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Modalités de collaboration entre pairs devant un ordinateur<br />Étude pragmatique et didactique d'une activité<br />de rédaction collective en Français Langue Étrangère

Dejean, Charlotte 16 December 2004 (has links) (PDF)
Le travail présenté s'inscrit dans le champ de l'analyse des interactions verbales en contexte didactique. Il prend pour objet une situation d'apprentissage et d'interaction spécifique : la rédaction collective d'un texte narratif par des apprenants de français langue étrangère travaillant en dyade, avec un même ordinateur, en contexte d'enseignement-apprentissage formel.<br />Le principal ancrage théorique de ce travail se situe en pragmatique linguistique interactionniste mais il s'articule également aux recherches interactionnistes en acquisition d'une langue étrangère. <br />L'étude est empirique et principalement descriptive. Grâce à une approche qualitative et inductive, il s'agit de contribuer à une meilleure compréhension des modalités de collaboration entre pairs en langue cible. L'analyse met en relation ces modalités de collaboration avec la mobilisation par les sujets alloglottes de leur compétence interactionnelle, ainsi qu'avec leur capacité à gérer interactivement les problèmes linguistiques. En outre, il s'agit de s'interroger sur les effets potentiels de l'outil informatique sur les interactions décrites. A cette fin, deux types d'activités constitutives de la tâche sont examinées : les activités d'élaboration de contenu, au cours desquelles les apprenants négocient des contenus en lien avec l'univers fictionnel du texte à construire, et les activités métalinguistiques, au cours desquelles ils traitent les problèmes linguistiques rencontrés. <br />La catégorisation, la description et l'analyse des différentes modalités d'accomplissement de ces activités aboutissent à la mise en évidence d'indicateurs du degré de collaboration (conduites, indices énonciatifs et interactionnels, gestion des asymétries, profil interactionnel des sujets) et à une caractérisation des profils des dyades observées. L'analyse de la coordination entre actions verbales et actions non verbales montre que si le travail sur ordinateur semble favoriser l'engagement des sujets dans la tâche, il ne favorise pas nécessairement l'orientation des apprenants vers le processus interactionnel, et vers la négociation.
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Comprendre la mention, la citation, l'autonymie. Une étude sémantique et pragmatique du discours métalinguistique

De Brabanter, Philippe 19 November 2002 (has links) (PDF)
This thesis sets out to do mainly two things. On the one hand, I wish to provide an overview of scholarship on natural metalanguage. On the other, I want to tackle some of the most interesting problems that emerge from the recent literature on the subject. As far as my first goal is concerned, I discuss the origin of the term and the notion of 'metalanguage' in logic (Ch 1); I review and criticise the various theories of mention or quotation (Ch 2, 4, 5) because these are the main theoretical upshot, in the area of the study of natural languages, of the logicians' discussions of metalanguage. As for the second goal, I discuss the problems linked to the reference of quotational sequences (Ch 4); I devise a typology of metalinguistic utterances (Ch 6), based on a conception of semantics and pragmatics that is set out in Ch 3; I examine where a natural metalanguage "fits" with respect to the rest of the language and review a number of concerns regarding, notably, the infiniteness of the lexicon (Ch 7); I explore some of the issues raised by complex cases of alleged simultaneous use and mention (Ch 8).
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Le discours sur l'espace judiciaire européen : analyse du discours et sémantique argumentative

Menuet, Laetitia 04 December 2006 (has links) (PDF)
La recherche menée dans cette thèse traite du discours de l'Union européenne sur l'espace judiciaire européen entre 1996 et 1999. En convoquant l'analyse du discours et la lexicométrie dans un cadre théorique de la sémantique argumentative, elle analyse le sens des mots autour de l'expression « espace de liberté, de sécurité et de justice ». L'objectif est de définir comment s'élabore la réappropriation de valeurs universelles au profit du discours et de l'identité européenne véhiculée par les procédés argumentatifs utilisés pour représenter l'espace judiciaire européen. Le contexte politique et les théories linguistiques de la méthode d'analyse exposés, cette thèse porte sur les conditions de communication du discours et de sa particularité sémantique, en montrant qu'il construit une identité en triade renvoyant aux trois valeurs de son emblème triptyque (« liberté, sécurité et justice ») : les institutions, la criminalité organisée et les citoyens. Elle révèle les indices linguistiques de cette construction identitaire avec ses enjeux politiques et de légitimation en introduisant la notion de « normalisation discursive ». Celle-ci adopte un schéma linguistique très marqué conduisant à la mise en œuvre d'un processus de « manipulation argumentative » défini et démontré dans ce travail. Les résultats illustrent que la normalisation et la manipulation engendrent une circularité du discours reposant sur le conflit de deux orientations discursives : celle d'un discours sécuritaire et celle d'un discours sur l'État de droit et la démocratie.
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En plein milieu des confins - Éléments pour la construction d'une réflexion en traduction pragmatique

Froeliger, Nicolas 10 June 2013 (has links) (PDF)
Cette note de synthèse se donne pour visée, comme son sous-titre l'indique, de contribuer à la construction d'une recherche en traductologie pragmatique. Cette tâche apparaît nécessaire dans la mesure où cette composante de la traductologie, science elle-même en devenir, s'interroge encore sur son périmètre, ses objectifs et ses voisinages intellectuels, tout en reposant sur une activité professionnelle elle-même en plein développement et en pleine mutation. L'ensemble reprend sous une forme thématique, mais aussi dans une certaine mesure chronologique, les jalons qui m'ont permis d'affiner ma réflexion après une thèse en littérature américaine. Les articles et contributions à des colloques sur lesquels s'est édifiée cette réflexion sont mentionnés en bas de page. D'autres sont en projet. L'essentiel de ces travaux repose sur des exemples dans le sens anglais-français, qui ne sont toutefois évoqués qu'allusivement dans cette note de synthèse, faute de place. L'introduction fournit tout d'abord l'occasion de revenir sur les multiples acceptions du mot traduction, dans la langue de tous les jours, mais surtout les principaux auteurs de ce domaine. Pour ces derniers, la traduction est à la fois une opération ; un moteur, défini avant tout par son objet ; et un produit, qui s'intègre à un ensemble de métiers. Toujours, en tout cas, elle est difficile à cerner, ce qui justifie le recours au discours métaphorique pour mieux la comprendre - au point qu'on peut se demander si la traduction n'est pas ce qui permet d'appréhender le concept de métaphore... Dans ce contexte labile et saturé d'idéologie, il s'agit de dessiner des lignes de partage afin de situer, en l'occurrence, la traduction et la traductologie pragmatiques. La première se définit par une visée de communication, la seconde par la volonté de faire correspondre une recherche et une pratique professionnelle assises sur un ensemble de métiers en pleine évolution. Mais pour commencer, il importe de revenir sur le parcours intellectuel qui mène à cette conclusion. Celui-ci m'a d'abord valu (parallèlement à une activité de traducteur professionnel) de m'intéresser à la littérature américaine contemporaine, avec une thèse sur les romans de Thomas Pynchon (chapitre 1 : Thomas Pynchon : les contraires contrariés). Organisée autour des questions de limite, celle-ci a été soutenue en 1995, et explore la manière dont Pynchon utilise l'épistémologie du XXe siècle pour subvertir, notamment par les stratégies narratives et discursives et par la mise en cause des modes de la représentation, divers repères traditionnels de la forme romanesque : unité des personnages ou temporalité, en particulier. Ce retour critique appelle trois remarques : tout d'abord, les ouvrages publiés par Pynchon après la soutenance de cette thèse viennent plutôt conforter mes observations que les infirmer ; ensuite, et en corollaire, il est peu probable que j'eusse pu pousser cette recherche beaucoup plus avant ; enfin, la véritable originalité de ce travail est de m'avoir permis d'aborder en traducteur technique l'œuvre d'un auteur qui recourt énormément à la technique. La suite de mon parcours intellectuel m'a amené à m'intéresser à divers domaines traductologiques qui ne relèvent pas directement de la sphère pragmatique et, par là, à poser une réflexion sur le rapport de cette dernière à la fois avec la traduction littéraire et avec la littérature tout court (chapitre 2 : De la littérature à la traductologie). La transition du roman américain contemporain à la traduction pragmatique s'est donc opérée en douceur : après avoir envisagé la traduction littéraire tout court en traducteur technique, j'ai pu appliquer à la traduction tout court les outils de la littérature. Cette recherche est passée par les rapports entre traduction et culture de masse, via la traduction de chansons et les clichés en traduction technique, puis par la question de l'autonomisation des différentes composantes de la traductologie. Deux postures traditionnelles me paraissent en effet devoir être remises en cause à cet égard : celle, héritée de la traduction des textes sacrés, qui voudrait que toutes les problématiques traductologiques se retrouvent dans les grands textes, et celle, encore fréquente chez les spécialistes d'autres domaines pour lesquels la traduction est un moyen, mais non un objet de réflexion, en vertu de laquelle seul un expert de tel ou tel sujet puisse traduire sur ce sujet. Parfaitement acceptables sur leur périmètre de sustentation, ces attitudes ne me semblent pas transposables à la traduction pragmatique : celle-ci doit reposer sur ses propres bases professionnelles. La traductologie pragmatique n'a pas à se constituer en opposition ou en annexe à d'autres champs de la traductologie, mais plutôt à côté d'elles. In fine, on peut faire valoir que s'il y a une articulation à trouver entre traduction littéraire et traduction pragmatique, celle-ci se trouvera dans la littérature même, en tant que réservoir de formes, de postures intellectuelles et de concepts. Vient ensuite (chapitre 3 : Faire : pratique de la traduction et recherche y afférente) une recherche qui plonge ses racines dans l'exercice même de la traduction, ce qui passe par une interrogation sur le rôle de la norme et sur les modèles esthétiques de la traduction pragmatique. Ceux-ci sont en effet à chercher dans la technique même : la traduction d'un texte technique est déjà un objet technique. Ces investigations se poursuivent avec la question du malentendu : pour moi, celui-ci constitue une donnée du problème et non un repoussoir. On peut même, dans le cas de la traduction juridique, lui trouver une valeur positive : une incompréhension raisonnable entre les parties est parfois ce qui permet de faire la paix. Cette logique m'amène à préciser en quoi la notion d'intention (issue du champ pragmatique) se distingue de celle de sens (tel que défini par la théorie interprétative) et à insister sur le rôle constructif de l'erreur. Viennent ensuite un certain nombre de paradoxes observés en traduction pragmatique : lorsque celle-ci influe sur le texte de départ ou lorsqu'elle nous conduit à réfléchir en géomètres sur l'usage de la nuance. L'ensemble de ces problématiques témoignent de ce que la traduction pragmatique n'est pas qu'affaire de langue : les éléments culturels y sont essentiels. D'où l'intérêt de se pencher sur ce que l'on a appelé, justement, le tournant culturel, pour montrer que l'on gagnerait à appliquer en traduction pragmatique les idées de ce courant a priori très éloigné, voire ennemi de celle-ci. L'un et l'autre en sortiraient rajeunis. Dernier pan de cette recherche fondée sur l'observation de la pratique, de nombreux phénomènes me semblent pouvoir être expliqués par des facteurs psychologiques qui, ensemble, concourent à former, à l'extérieur comme à l'intérieur de la profession, une image des traducteurs. Il en est ainsi de la confiance (sur le marché et dans les textes), du sentiment d'imposture, de la relation à la trahison et au mensonge, ou de l'insécurité linguistique, notamment. Le fil directeur de cette approche est qu'il faut placer le traducteur au cœur de la traductologie. Le dernier volet de cette entreprise visant à constituer une traductologie pragmatique est double : il s'appuie à la fois sur la formation des traducteurs et sur la conception et la conduite de manifestations scientifiques (chapitre 4 : Dire et faire dire : enseignement, responsabilité pédagogique et organisation d'une recherche collective). Dans un secteur qui a vu l'éclosion d'une multitude de diplômes depuis dix ans, il s'agit d'abord de fonder une pédagogie de la traduction pragmatique, et en l'occurrence de le faire sur la traduction technique. Il faut dans un deuxième temps structurer les enseignements qui préparent à un vaste ensemble : celui des métiers de la traduction. Cela suppose de s'interroger sur l'histoire de la professionnalisation dans ces domaines, réflexion qui part d'un cas emblématique (la traduction audiovisuelle) pour s'élargir ensuite à la totalité du secteur, dans ses aspects institutionnels, théoriques, professionnels et, depuis quelques années seulement, internationaux. Un des leitmotivs du chapitre précédent étant le caractère collectif des phénomènes envisagés, il était logique d'en venir à l'organisation d'une recherche elle aussi collective, avec deux manifestations principales et relativement novatrices : la Traductologie de plein champ, créée en 2007 pour réunir enseignants-chercheurs, professionnels et étudiants (cinq éditions jusqu'en 2013) et Tralogy, qui touche cette fois à la convergence entre traducteurs humains (biotraducteurs) et traitement automatique du langage (deux colloques à ce jour : 2011 et 2013). Dans le premier cas, mon rôle a été celui d'initiateur et animateur (responsabilité d'ailleurs partagée depuis 2009) ; dans le second, celui de coordinateur scientifique dans le cadre d'une équipe pluridisciplinaire. L'ensemble de ces réflexions m'amène à proposer de surmonter un antagonisme encore bien enraciné : celui qui oppose la traductologie et la linguistique. Cette dichotomie a eu son utilité, et n'empêche pas de traiter un grand nombre de phénomènes traductologiques ; elle cesse d'être pertinente dès lors que viennent s'intégrer au tableau les outils informatiques, de plus en plus massivement employés en pratique. Ce qui pose à nouveaux frais la question de la structuration idéale d'une recherche traductologique suffisamment interdisciplinaire pour rendre compte de la multiplicité des métiers de la traduction mais suffisamment délimitée pour ne pas englober tout et n'importe quoi. Au final, l'ensemble de ma démarche peut être résumé par la justification d'une légitimité de la traduction et de la traductologie pragmatiques reposant sur une mise en concordance de l'enseignement, de la recherche et de la pratique : un débutant doit passer du dire au faire, un traducteur expérimenté doit passer du faire au dire. Il s'agit donc de remplacer les oppositions frontales (traduction technique/traduction littéraire, sciences humaines/sciences exactes...) par une cartographie des domaines de validité et des emboîtements entre les divers champs de la traduction. À travers ce cheminement est posée une question simple et ambitieuse : qu'est-ce qui fait sens dans l'étude de la traduction pragmatique aujourd'hui ? Comment faire œuvre utile lorsqu'on est soi-même ancien traducteur, soucieux du devenir d'un secteur d'activité à la fois fragile et en pleine évolution, préoccupé, en tant que responsable de formation, par l'avenir des étudiants et des professionnels de ce secteur, mais aussi par la place de la traduction et du multilinguisme dans la société en général - en un mot aussi impliqué que désireux de prendre du recul ? Contribuer, en particulier par l'encadrement de thèses, à asseoir une recherche solide dans ce domaine précis du savoir me semble une réponse pertinente.
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Wittgenstein et le conventionnalisme : une critique du contextualisme sémantique de François Recanati

Bazinet, Charles 08 1900 (has links)
Dans Literal Meaning, François Recanati cherche à montrer que ce qui est dit lorsqu’une phrase est prononcée correspond à un contenu fondamentalement pragmatique. À cet effet, il propose deux arguments généraux qui consistent à faire valoir que ce qui est dit est indéterminé si l'on s'en tient aux règles de la sémantique. Le premier de ces deux arguments tente d’établir que dans bien des cas, le contenu sémantique supposément associé à une phrase ne correspond pas à ce qui est dit. Le second est plutôt une élaboration de la thèse wittgensteinienne suivant laquelle la signification des types linguistiques est indéterminée. Pour ma part, je soutiens que si nous adoptons effectivement une conception wittgensteinienne de la signification, certains des exemples supposés illustrer le premier de ces deux arguments peuvent et doivent être critiqués. / In Literal Meaning, François Recanati argues that what is said when a sentence is uttered corresponds to a content that is fundamentally pragmatic. To this end, he proposes two general arguments according to which what is said will be indeterminate if we stick to the rules of semantics. The first of these two arguments tries to establish that in many cases, the semantic content supposedly associated with a sentence does not correspond to what is said. The second one is rather an elaboration of Wittgenstein’s thesis to the effect that the meaning of linguistic types is indeterminate. As for me, I claim that if we indeed adopt a wittgensteinian conception of meaning, some of the examples that are supposed to illustrate the first of these two arguments can and should be criticized.
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Émergence de la servitude subjectale au XVIe siècle. : Textes narratifs en prose (1504-1585)

Taddei, Edith 26 June 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse aborde un phénomène du changement linguistique spécifique à la langue française en tant que langue romane : la généralisation de l'emploi des personnels sujets considérée comme acquise au 17e siècle. Les relevés opérés dans un corpus littéraire en prose réparti sur le 16e s. montrent que cette progression, bien qu'elle soit continue, est inégale selon que les personnels sujets réfèrent au locuteur ou à l'allocutaire de la situation contextuelle ou qu'ils réfèrent à un élément cotextuel. Aussi, pour expliciter cette disparité, cette étude s'appuie sur l'hétérogénéité interne au paradigme des personnels sujets et distingue les personnels déictiques locutifs je/nous, et allocutifs tu/vous, et les anaphoriques il(s)/elle(s), et propose la raison énonciative comme principal facteur d'emploi. Elle s'efforce de démontrer que leur emploi correspond à un choix émanant de l'énonciateur qui s'effectue dans des cadres cotextuels repérables, illustrés par deux corpus, les assertions fictionnelles postérieures à un discours direct fictif (chap. 3) et un ensemble de propositions subordonnées (chap. 4). Dans le premier, le recours aux personnels sujets quel que soit leur mode référentiel pallie une saturation textuelle traditionnelle en voie de disparition. Dans le second, l'énonciateur (fictif ou fictionnel) signifie son intention de prendre en charge la représentation des instances de la situation coénonciative (je ou vous) au lieu de la laisser à l'initiative de son allocutaire. Au terme de cette thèse, le passage d'une morphosyntaxe variée à la progressive fixation de l'ordre phrastique PSV se trouve justifiée par trois critères, énonciatif, pragmatique et textuel.
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Sociologie des sciences de la performance sportive en France

Delalandre, Matthieu 08 December 2009 (has links) (PDF)
Les sciences de la performance sportive ont d'abord été sous tutelle de la sphère médicale et du monde de l'éducation physique. Elles se sont autonomisées et impliquent aujourd'hui une pluralité de chercheurs dans des institutions diverses, dont les finalités affichées vont de la production de connaissances théoriques à l'aide aux entraîneurs et aux sportifs. Ces institutions constituent des systèmes de contraintes et de ressources spécifiques, au regard de ces finalités, pour les scientifiques : ceux-ci doivent rendre visible, justifier ce qu'ils font et bénéficient en retour de ressources pour leur travail. L'activité scientifique implique également des acteurs non scientifiques : entraîneurs, sportifs, industriels, etc. Les sciences de la performance sportive sont ainsi à la croisée des intérêts d'acteurs scientifiques et non scientifiques. Elles se caractérisent par des formes de travail et des productions différenciés et typifiables, qui reflètent des modes d'engagement et de coordination particuliers entre les acteurs impliqués. Quatre " régimes scientifiques ", structurant ce domaine, ont ainsi été mis en évidence. Chacun d'entre eux peut être caractérisé par des finalités, des modes de fonctionnement et des contraintes spécifiques liées au rapport entretenus entre les acteurs scientifiques et non scientifiques, notamment ceux de la sphère sportive. Par ailleurs, la performance sportive, de par sa complexité, ne se laisse pas toujours enfermer dans les taxonomies disciplinaires officielles et donne ainsi lieu à des modalités particulières de travail interdisciplinaire
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Enseignement, représentations et pratiques. Confronter le sociocognitif au pragmatique : continuités et ruptures d'une relation.

Trinquier, Marie-Pierre 10 January 2011 (has links) (PDF)
Cette note de synthèse s'inscrit dans le courant actuel des recherches analysant l'agir professionnel en éducation. Elle porte sur l'étude de la relation entre la sphère sociocognitive et la sphère pragmatique dans le domaine de l'enseignement. Elle présente dans un premier temps la dynamique de l'évolution de mon objet de recherche, puis dans un deuxième et troisième temps, le cœur de la note de synthèse consacré à mon objet actuel : la recherche des éléments représentationnels potentiellement ou effectivement organisateurs des pratiques d'enseignement. Cet objet porte sur l'analyse des pratiques verbales que les enseignants adressent à leurs élèves dans la communication pédagogique, pratiques particulièrement en prise avec les représentations via la symbolique du langage. Il se focalise sur les pratiques génériques d'enseignement, c'est-à-dire celles partagées par les enseignants. M'appuyant sur une discipline contributive aux Sciences de l'Éducation, la Psychologie Sociale, je considère les pratiques verbales comme des actes verbaux récurrents qui, par cette récurrence même, traduisent des intentions particulières guidées par des représentations plus ou moins conscientisées. C'est ce rapport entre les représentations (sphère sociocognitive) et les pratiques verbales (sphère pragmatique) qui est particulièrement étudié dans cette note de synthèse, via la confrontation des pratiques verbales observées en situation pédagogique (manifestations de représentations en pratiques), aux pratiques déclarées et justifiées en entretien (représentations des pratiques). Mes avancées sont essentiellement conceptuelles et théoriques. Elles s'inscrivent dans l'optique des recherches visant la connaissance de la pratique. Dévoiler les cohérences mais aussi les ruptures sociocognitivo-pragmatiques concourt à la réflexion scientifique cherchant à mettre en évidence des savoirs professionnels impliqués dans les pratiques. J'opérationnalise les cohérences, ou les ruptures par la mise au jour de différents types de généricités que je nomme ainsi : - Généricité congruente. Elle est à l'œuvre lorsque les pratiques constatées en classe correspondent à celles décrites et justifiées en entretien (ou lorsque des pratiques non constatées en classe ont été par ailleurs signalées par les enseignants comme ne pouvant être mises en place). Les représentations livrées en entretien ont un statut d'organisateurs opérants des pratiques, (ou dans le deuxième cas, celui d'organisateurs potentiellement opérants de l'absence de pratiques). - Généricité implicite. Elle se manifeste lorsque les pratiques constatées en classe ne sont pas décrites et justifiées en entretien. Les représentations (inférées par le chercheur, à propos des pratiques de terrain) ont alors un statut d'organisateurs potentiels des pratiques. - Généricité convenue. Elle est présente lorsqu'à l'inverse, les pratiques décrites et justifiées en entretien, ne sont pas constatées en classe. Les représentations livrées par les enseignants ne sont pas organisatrices des pratiques. Elles alimentent plutôt la pensée professionnelle. - Enfin Généricité contextuelle. Elle est à l'œuvre lorsque les enseignants signalent des pratiques qu'ils ne font pas, et justifient cette absence, alors que paradoxalement le chercheur constate de telles pratiques en classe. Les représentations ne sont pas dans ce cas organisatrices des pratiques. D'autres éléments de contexte influencent ces dernières. J'analyse les pratiques pour saisir lesquelles des représentations dont les psychologues sociaux ont mis en évidence l'impact sur les comportements en situations expérimentales (représentations de soi, d'autrui, de la tâche, du contexte), et éventuellement quelles représentations d'un autre type, sont organisatrices, ou potentiellement organisatrices, ou non organisatrices des pratiques ordinaires d'enseignement. Certains résultats obtenus permettent par exemple de mettre en relation certaines pratiques verbales génériques avec les représentations de la tâche d'enseignement à caractère hétérostructurant, ou encore avec les représentations que les enseignants possèdent des capacités cognitives des élèves selon le statut scolaire qu'ils leur attribuent. Pour étudier la relation entre la sphère sociocognitive et la sphère pragmatique en situations ordinaires d'enseignement, cette note de synthèse propose une démarche méthodologique et un cadre opératoire illustrant une orientation structuro-herméneutique.
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Le temps d'adresse dans les interactions verbales en classe d'espagnol, langue étrangère (niveau supérieur) : enseignement et pratiques / The terms of Spanish as a foreign language address : views pragmalinguistique interactional and didactic

Gutierrez -Laffargue, Patricia 09 December 2015 (has links)
A partir du constat fait auprès des étudiants d’espagnol langue étrangère qui ont beaucoup de difficultés à maîtriser l’utilisation des termes d’adresse, ce travail tente d’en élucider les raisons et propose des réflexions pour parvenir à régler le problème. Les termes d’adresse en tant que déictiques personnels et sociaux sont les marqueurs de la relation interpersonnelle que tout locuteur construit avec son interlocuteur. En espagnol, le système de l’adresse est complexe de par ses variations diatopiques ainsi que par les spécificités de son système, notamment du pronom usted, qui tout en désignant un allocutaire a une morphologie de troisième personne. De plus, il faut tenir compte de la situation de communication, qui est variable selon les cultures et les sociétés. A partir d’un corpus de données provoquées composé d’interactions orales d’étudiants français universitaires, nous faisons une analyse interactionnelle et pragmalinguistique qui permet de dégager les difficultés majeures que pose l’apprentissage et la maîtrise en contexte des termes d’adresse, pronoms de deuxième personne et formes nominales. Il est démontré que les erreurs présentes dans les discours des étudiants ne sont pas uniquement d’origine linguistique, mais sont aussi induites par un manque d’adéquation à la situation de communication. Ainsi, les termes d’adresse sont l’un des éléments dont l’utilisation ne dépend pas uniquement du niveau d’interlangue mais aussi de la compétence socioculturelle des locuteurs. / From the observation made with the spanish foreign language students have great difficulty in mastering the use of terms of address, this work tries to elucidate the reasons which offers reflections to the problem. Terms of address as a personal and social deictic are markers of the interpersonal relationship that all speakers built with his interlocutor. In spanish, the address system is complex variations diatopiques as well as the specific features of its system, including the pronoun usted, which designated an allocutaire has a morphology of third person. Furthermore, it must take into account the situation of communication, which is variable depending on the cultures and societies. From a corpus of data consisting of oral interactions of french university students, we make an interactional and pragmalinguistic analysis which allows to identify the major difficulties posed by learning and mastery in context of the terms of address, second-person pronouns and nominal forms. It is shown that these errors in the speech of the students are not only of linguistic origin, but are also induced by a lack of fitness for the communication situation. Thus, the address terms are one of the elements whose use depends not only on the level of interlanguage, but also of socio-cultural competence of the speakers.
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Jalons pour une théorie pragmatique de l’interprétation du contrat : du temple de la volonté à la pyramide de sens

Caron, Vincent 12 1900 (has links)
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