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Betwixt a false reason and none at all Pyrrhonian lessons on common sense and natural commitments /Waugh, Shane G. January 2008 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Sydney, 2009. / Title from title screen (viewed October 15, 2009) Submitted in fulfilment of the requirements for the degree of Doctor of Philosophy to the Dept. of Philosophy, Faculty of Arts. Degree awarded 2009; thesis submitted 2008. Includes bibliographical references. Also available in print form.
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Polemone l'ateniese, scolarca dell'Academia antica. Testimonianze / Polemo the Athenian, Head of the Ancient Academy. Testimonies / Polémon l'Athénien, scolarque de l'ancienne Académie. TémoignagesMarzotto Caotorta, Tessa 28 April 2012 (has links)
Les témoignages concernant le quatrième scolarque de l'Académie, Polémon l'Athénien, ont été étudiés dans leurs spécificité réciproque, à fin de tracer une carte des emplois et des usages du nom du philosophe dans la littérature ancienne qui a survécu. Polémon, donc, est dans cet étude avant tout une figure textuelle, et non pas un philosophe pourvu d'une doctrine systématique complète. On le rencontre en fait dans la littérature biographique en tant qu'exemple de 'conversion' soudaine au genre de vie philosophique et incarnation des traits distinctifs du philosophe hellénistique. On découvre ainsi que Polémon est plus pyrrhonien de Pyrrhon et plus stoïcien du père du stoïcisme, Zénon. Par contre, en relation à la tradition platonicienne, Polémon est rattaché par les sources à la phase de l'histoire de l’école nommée 'Ancienne Académie'. Ayant réuni autour de soi un groupe de disciples compact, caractérisé par l'harmonie et la concorde, Polémon est ensuite devenu le symbole d'une réception diligente de la pensée platonicienne, exempte d’altération ou d'intervention innovatrice. Sa qualité de fidèle héritier doit d'ailleurs se comprendre surtout en relation aux développements postérieurs de l'instance académicienne, plus spécifiquement en relation au surgissement d'une approche 'sceptique' à la pensée de Platon, développé par Arcésilas. A posteriori donc les contestataires de la position 'sceptique' de l’Académie ont essayé de délégitimer la lecture de la pensée de Platon donnée par Arcésilas, tout en affirmant par conséquence le caractère 'originaire' et 'dogmatique' de la phase d'interprétation de l'Ancienne Académie. / The testimonies on the forth head of the Academy, Polemo the Athenian, have been individually studied in order to provide a complete survey of the several usages of the philosopher's name in the ancient surviving literature. In this study, Polemo is, therefore, mainly a text figure, rather than a philosopher provided with a full systematic doctrine. We find his name, as a matter of fact, in the biographic literature, as an example of a sudden 'conversion' to the philosophical life and as an example of the embodiment of the distinctive features of the Hellenistic philosopher. We discover then that Polemo is even more pyrrhonian than Pyrrho and more stoic than the Stoicism's father, Zeno. Moreover, within the Platonic tradition, Polemo is linked by the sources to the phase of the history of the school labelled as 'Ancient Academy'. After assembling around him a compact group of disciples, characterized by the greatest harmony and agreement, Polemo has become the symbol of a diligent reception of the Platonic thought, free from any alteration or innovative intervention. His role of faithfull heir must be by all means considered in relation to the later developments of the Academic instance, more precisely in relation to the rising of a 'sceptic' approach to Plato's thought, encouraged by Arcesilaus. A posteriori then the critics of the 'sceptic' position have tried to delegitimize Arcesilaus' reading of Plato, stating by consequence the 'original' and 'dogmatic' character of the interpretative phase of the Ancient Academy.
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Pour une esthétique apophatique néopragmatique, ou pas / For a neopragmatic apophatic aesthetics, or notCollot, Antoni 12 December 2015 (has links)
« Apophatique » signifie « négatif » ou « par négation ». Le terme est principalement employé pour qualifier une forme particulière de théologie qui 1. ne peut rien dire de Dieu car énoncer une qualité serait lui ôter la qualité antinomique. Il est facile d'en comprendre la logique : dire que Dieu est grand c'est dire qu'il n'est pas petit ce qui est incompatible avec le fait de dire qu'il est tout. 2. consiste à énoncer ce que Dieu n'est pas : mauvais ou un chien, par exemples. Par exemple aussi, cette recherche n'est pas l'occasion d'une anthologie des meilleurs textes de théologie négative, mais la méthode – le scepticisme teinté de pensée logique et/ou mystique – n'est pas sans alimenter les développements à venir. Une des solutions qui s'offre à moi consiste à n'évoquer en rien l'art, l'esthétique, et tout autre domaine relatif aux dites sciences de l'art – un texte sur le nombre pi aurait fait l'affaire d'une esthétique apophatique. Cependant positivement fonder une pensée sur/avec la négation me rend heureux, par espièglerie, esprit de contradiction, par inquiétude fondamentale ; je ne m'en priverai donc pas au profit d'un tour de passe-passe, aussi réjouissante que soit l'idée de vous imaginer lire présentement une théorie du chou-fleur. / “Apophatic” means “negative” or “by negation”. The term is mainly used to designate a particular form of theology which 1. can't say anything of God because stating a quality would be taking the antinomic quality away from him. It is easy to understand the logic : to say that God is great is to say that he is not small, which is incompatible with the fact of saying that he is everything. 2. consists in stating what God is not : bad or a dog, for example. For example also, this research is not the occurrence of an anthology of the best texts of negative theology, but the method – the scepticism tinged with logical and/or mystic thought – is not without fueling the developments to come. One of the solutions that is given to me consists in not mentioning art in any way at all, the aesthetics, and any other field related to the so-called sciences of the arts – a text on the number Pi would have suited an apophatic aesthetics. However positively establishing a thought on negation makes me happy, by mischievousness, for the sake of argumentation, by fundamental concern; I will thus not deprive myself of it in favor of a quick/cheap trick, as delightful as the idea of imagining you currently reading a theory of the cauliflower might be.
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L'accord de la théorie et de la pratique chez Pyrrhon et Sextus EmpiricusAssaf, Philippe January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L'accord de la théorie et de la pratique chez Pyrrhon et Sextus EmpiricusAssaf, Philippe January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La phénoménologie comme manière de vivreSetlakwe Blouin, Philippe 08 1900 (has links)
Au cœur de la phénoménologie gît une thèse métaphysique selon laquelle le flux phénoménal du vécu (Erlebnisstrom) puise son sens et son être en lui-même, plutôt que d’une quelque réalité extérieure ou sous-jacente. En outre, cette thèse de l’autonomie existentielle du flux phénoménal, ou de l’équivalence de l’être et du paraître, ne s’atteste que moyennant une transformation complète de notre rapport au monde, où l’on s’efforce de se mettre à l’écoute des choses, et du mystère qui les enveloppe, plutôt que de les maîtriser. Pris ensemble, cette thèse métaphysique et cette attitude du laisser-être (Seinlassen) constituent les deux piliers de la phénoménologie comme manière de vivre dont la présente thèse se propose de tracer les grandes lignes. Pour ce faire, nous centrons nos recherches sur l’œuvre du fondateur de la phénoménologie, Edmund Husserl, que nous soumettons toutefois à une critique immanente; c’est Husserl qui à la fois dégage l’idée d’une phénoménologie comme manière de vivre et lui pose le plus sérieux obstacle. Cette tension au sein de la pensée husserlienne s’aperçoit à même les deux exigences qui la définissent : celle du « retour aux choses mêmes », d’une part, et celle de la description eidétique, de l’autre. À l’aide de différents interlocuteurs – qui nous permettent d’interroger Husserl rétrospectivement (Pyrrhon), contemporainement (James, Bergson) et prospectivement (Heidegger) –, nous montrons que ces deux exigences sont en fait incompatibles, et proposons afin de résoudre cette contradiction d’éliminer un de ses termes, soit l’exigence de description eidétique. Se fait alors jour la possibilité d’une phénoménologie qui assume pleinement sa vocation existentielle. Enfin, en parallèle à cette critique immanente de Husserl, et afin de l’étayer, nous développons une explication génétique de l’ἐποχή transcendantale, où celle-ci est caractérisée en tant que conversion de l’attitude naturelle à une forme de conscience postréflexive, c’est-à-dire mystique. / At the heart of phenomenology lies a metaphysical claim according to which the phenomenal stream of lived experience (Erlebnisstrom) derives its meaning and its being from itself, rather than from some external or underlying reality. Moreover, this claim of the existential autonomy of the phenomenal stream, or of the equivalence of being and appearing, can only be verified through a complete transformation of our relationship to the world, where we seek to become mindful of things, and of the mystery in which they are steeped, rather than seeking to master them. Taken together, this metaphysical claim and this attitude of letting-be (Seinlassen) constitute the two pillars of phenomenology as a way of life, which the present thesis proposes to describe in broad outline. To do so, we focus our research on the work of the founder of phenomenology, Edmund Husserl, which we submit however to an internal critique; it is Husserl who both allows us to contemplate the idea of phenomenology as a way of life and at the same time poses the greatest obstacle to it. This tension within Husserlian thought can be seen in the two imperatives that define it: that of the “return to the things themselves”, on the one hand, and that of eidetic description, on the other. With the help of various interlocutors – who allow us to interrogate Husserl retrospectively (Pyrrho), contemporaneously (James, Bergson) and prospectively (Heidegger) – we show that these two imperatives are in fact incompatible, and propose in order to lift this contradiction to eliminate one of its terms, namely the imperative of eidetic description. Thus a path is cleared for a phenomenology that fully commits itself to its existential vocation. Finally, in parallel to this internal critique of Husserl, and to better support it, we develop a genetic explanation of the transcendental ἐποχή, where it is characterized as a conversion from the natural attitude to a post-reflective, that is mystical, form of consciousness.
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