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La théorie de la connaissance chez Descartes et Vico : imagination et raison / Descartes and Vico theory of knowledge : imagination an reason

Gue, Loudmie 09 October 2017 (has links)
Au XVIIème siècle, la Querelle des Anciens et des Modernes donne l’occasion de s’interroger sur la manière dont l’homme construit ses connaissances. Deux facultés rentrent en jeu : l’imagination et la raison. Descartes, semble-t-il, a fait de la raison la seule faculté permettant à l’homme de connaître. Par ailleurs, Vico met en évidence l’imagination qui participe activement à la cognition chez l’homme. Ainsi, la tradition philosophique a tendance à faire de l’un l’opposé de l’autre. Mais, pouvons-nous prendre pour acquis une telle opposition ?En s’adonnant à une analyse du corpus cartésien, qu’est-il possible de faire ressortir au sujet de l’imagination ? Que dire de Vico qui, dans sa Scienza Nuova, prend en compte, d’une manière originale, ces deux facultés qui jouent un grand rôle dans la question de la cognition.D’un côté, des critiques font de Vico le farouche opposant de Descartes. D’un autre côté, une relecture de la position cartésienne de l’imagination nous conduit à une reconsidération de l’opposition Descartes/ Vico. La position de Vico permet de considérer l’imagination et la raison dans une relation de hiérarchisation et de complémentarité. Ainsi, l’imagination est chronologiquement la première faculté qui apparaît chez l’Homme. La raison la suit. Mais, ceci signifie t-il que l’une prime sur l’autre ou que l’une relève d’une plus grande importance que l’autre? Aussi, où Vico puise-t-il ses idées ? Comment agence-t-il celles-ci pour une nouvelle perspective dans la construction des connaissances ? Ces questions nous invitent à considérer le rapport Descartes/ Vico comme complexe et ambigu.Notre travail consiste à fixer le statut de l’imagination et son rapport avec la raison chez les deux philosophes et apporter un caractère scientifique à la première. Ceci nous amène à étudier le statut des deux facultés, la relation profonde qui existe entre elles lors de l’appréhension du réel. / In the 17th century, the Quarrel of the Ancients and the Moderns gives the opportunity to wonder about the way in which men build knowledge. Two faculties come into play: imagination and reason. Descartes, it seems, has made reason the only faculty enabling men to know. In addition, Vico highlights the imagination that actively participates in cognition in humans. Thus, the philosophical tradition tends to make the one the opposite of the other. But can we take such opposition for granted?By indulging in an analysis of the Cartesian corpus, what is it possible to bring out about the imagination? What about Vico, who in his Scienza Nuova takes into account, in an original way, those two faculties that play a great role in the question of cognition.On the one hand, critics make Vico the fierce opponent of Descartes. On the other hand, a re-reading of the Cartesian position of the imagination leads us to a reconsideration of the opposition Descartes / Vico. Vico's position allows us to consider the imagination and the reason in a relation of hierarchization and complementarity. Thus, imagination is chronologically the first faculty which appears in men. The reason follows. But does this mean that the one over the other or that one is of greater importance than the other? So where does Vico get his ideas? How does he organize these for a new perspective in the construction of knowledge? These questions invite us to consider the Descartes / Vico report as complex and ambiguous.Our work consists in fixing the status of the imagination and its relationship with reason in the two philosophers and bringing a scientific character to the first. This leads us to study the status of the two faculties, the deep relationship that exists between them when apprehending the real.
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La justification argumentative: vers une théorie de la rationalité

Danblon, Emmanuelle January 2000 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L’amour imparfaitement rationnel : la conception de l’amour dans la moralité kantienne

Kenny, Katherine January 2012 (has links)
Cette thèse cherche à expliquer le concept de l’amour chez Emmanuel Kant. Elle essaye de catégoriser les différentes définitions de ce concept. Elle tente d’analyser ces définitions en utilisant trois clés d’analyse : la raison et l’émotion, la liberté et la communauté et la distance et la proximité. L'amour kantien est aussi analysé dans la perspective de la nature du sujet kantien pour le comparer au devoir d’amour.
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La raison du plus fort : le sol dans la pensée de Heidegger, son rôle dans l'achèvement de la métaphysique / Reason of the strongest : ground in the thought of Heidegger, its part in the metaphysical consummation

Manan, Patrick 24 September 2014 (has links)
Étude la pensée de Heidegger autour de la thématique du sol ou raison et de son rapport ou identité avec l'animalité, singulièrement pour ce qui touche à la question de l'achèvement de la métaphysique / Investigating into the thought of Heidegger about the thematic of earth and its relationships with animality, particulary concerning the question of metaphysical consummation
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Quand la Raison se mire dans le miroir de sorcière. Résonances de la pensée scientifique dans le récit fantastique des XIX et XX siècles / When reason looks at itself in a distorting mirror. The reflection of scientific thinking in the Fantastic literature of the nineteenth and twentieth centuries

Linck, Anouck 20 November 2010 (has links)
L’objectif de ce travail est d’étudier les résonances de la pensée scientifique dans les récits fantastiques du XIX et XX siècle et de revivifier, du même coup, l'approche théorique du genre fantastique. L'axe dorsal de ma thèse consiste à étudier le rapport du genre à la raison (la plasticité de ce concept permet de dépasser les découpages habituels entre science et non-science). Si l'on résume la position de la critique sur la question, on aboutit au constat suivant : le Fantastique met en exergue les carences de la raison. Il en souligne les défaillances, les limitations, les insuffisances, au nom de l’inexhaustible complexité du réel. L'image que le Fantastique véhicule de la raison est donc passablement négative, mais elle est liée à une conception classique de la rationalité, aujourd'hui périmée. L'image de la raison que proposent les sciences a considérablement évolué. Quelques unes des révolutions conceptuelles les plus marquantes du XX siècle dans le domaine des sciences physiques et des mathématiques sont à l'origine de cette évolution, elles marquent le passage de la raison classique (absolutiste) à la raison contemporaine (relativiste et complexifiée). On ne peut s'attendre à ce que le miroir de sorcière reflète une image irréprochable et normative de la raison, mais on ne saurait se satisfaire d'une image strictement négative. Le Fantastique ne se tient pas, contrairement à ce qu'on pourrait croire, à l'écart des vertiges de la science moderne. Il évolue en symbiose avec elle. Je m'attache à montrer, tout au long de ce travail, que la littérature fantastique restitue une image positive mais impure de la raison. Cette dernière dérive des « monstres » que la raison engendre au XX siècle : relativité einsteinienne, mécanique quantique, théorème de Gödel, relativité einsteinienne, logiques non-classiques (entre autres). Dans un récit fantastique, la raison strictement déductive, rigide et totalisante est systématiquement battue en brèche. Mais ce n'est pas là la preuve que la raison a atteint ses limites. La pensée scientifique nous enseigne que ce peut être, au contraire, le signe d'une extension de la raison. Cette réhabilitation de la raison – de son versant « impur » – qui tient compte du contexte scientifique actuel a le mérite de réactualiser le genre fantastique et lui confère une nouvelle unité. Cette réactualisation passe par une modification substantielle du statut du surnaturel : il n’est plus tenu pour un principe désorganisateur mais considéré comme agent de la rationalité. / The purpose of this doctoral dissertation is to analyze the reflection of scientific thinking in the Fantastic literature of the nineteenth and twentieth centuries, and, by the same token, to re-invigorate the theoretical approach to the Fantastic genre. The backbone of my thesis is to study the connection between reason and the Fantastic genre. In summarizing the specialists on this subject, one comes to the following conclusion: the Fantastic genre highlights the insufficiency of reason. It underlines the shortcomings, restrictions and failures of reason in the name of the inexhaustible complexity of reality. The image of reason that the Fantastic genre conveys is quite negative, although connected to a classical concept of rationality, nowadays obsolete. Some key revolutionary concepts of the twentieth century in the fields of physics and mathematics have significantly changed the way we regard reason. This progress marks the passage from classical reason (absolutist) to contemporary reason (relativist and a high degree of complexity). It could not be expected that Fantastic literature reflect a faultless and canonical image of reason, but a strictly negative image is unsatisfactory. The Fantastic genre is not insensitive, contrary to usual belief, to the amazing discoveries of modern science. It evolves in symbiosis with modern science. My goal is to show throughout this work that Fantastic literature gives a positive but troubled image of reason. The latter comes from the “monsters” that were invented by science during the twentieth century: Einstein’s relativity, quantum mechanics, Gödel’s theorem, non- classical logics (among others).In a Fantastic tale, strictly deductive reasoning, unbending and all-knowing is systematically defeated. But this is not proof that reason has reached its limits. Scientific thinking teaches us that it can be, on the contrary, a sign of an extension of reason. This rehabilitation of reason –of its "troubled" side– that takes into account the current scientific context updates the Fantastic genre and gives it a new unity. This updating means a substantial modification of the status of the supernatural: one does not consider it as a disorganizing agent but as an agent of rationality
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Le toucher suspendu / A touch in suspense

Samé, Martine 12 December 2009 (has links)
Dans un contexte d’apprentissage de la masso-kinésithérapie en Institut de Formation Initiale, cette étude retrace et analyse les risques pris et encourus par les étudiants de première et deuxième année. Nombre d’entre eux n’ont soit pas conscience des dangers d’un toucher mal exécuté, soit pas envie de se limiter à des gestes plus sécuritaires. Face à cette situation inacceptable, faire appel à leurs capacités sensitives et réflexives n’est pas suffisant. L’hypothèse émise dans cette thèse pour rendre leurs actes moins risqués est qu’ils prennent le temps de suspendre leur toucher à leurs sensations, leur raison, mais également et surtout à leurs émotions. Ainsi, peurs, orgueil et joie, habilement intégrés à leurs désirs, pourraient peut être les mener à un apprentissage du toucher beaucoup plus éthique / First and second year students learning physiotherapy at trainingphysiotherapy-schools take and undergo quite a lot of risks. Some of them are either absolutely not aware of the dangers of the “touch” they perform or don’t feel like being careful. Such a situation is unacceptable, but calling on their sensitive and sensible abilities doesn’t help enough. This is why we suggest “a touch in suspense”, in order to be less dangerous. Sensations, understanding and emotions, especially fear, pride and joy could be linked skillfully to their desires and wishes and thus perhaps lead them to a much more ethical touch
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Liberté et universalité dans la philosophie de Kant / Liberty and universality in the Kant's philosophy

Makaya Makaya, Rodrigue 12 July 2014 (has links)
La liberté et l'universalité sont des critères de la moralité fondés en raison et qui n'admettentrien de relatif. Dans cette étude, nous soupçonnons le relativisme d’être à l’origine de la crisemorale d’aujourd’hui. Ensuite, parce ce que ce courant de pensée soulève un doute sur l’unitéde la raison, et donc de la liberté et de l’universalité pour le genre humain. Pour cela, nousvoulons opposer au relativisme la philosophie kantienne, laquelle pose la liberté etl’universalité comme étant deux concepts fondamentaux dans la conception kantienne de lamoralité, atemporels et dépassant le champ de toute expérience. De fait, nous comprenonsmieux l’effort de Kant qui consiste à poser l’autonomie de la volonté comme le principeunique et universel de la morale (pour le genre humain) et à désapprouver toutes les doctrinesmorales qui sont fondées par exemple sur la culture, la religion ou le bonheur personnel. AvecKant, on ne peut donc dériver la morale de tout cela. / Liberty and universality are criteria of morality ; they are grounded in reason and admitnothing relative. In this study, relativism is put into question as being at the origin of today’smoral crisis. More to the point, this school of thought raises a doubt about the unity ofreason, and therefore the liberty and universality for mankind. In this perspective, the thesisconfronts relativism to the Kantian philosophy, which puts forward the concepts of ‘freedom’and ‘universality’ as fundamental in understanding morality that is timeless and goes beyondthe scope of any experience. In fact, we understand better Kant's premise which consists inputting forward the principle of party autonomy as the unique and universal criteria ofmorality (to mankind) and in disapproving all moral doctrines which are based, for example,on culture, religion or personal happiness. From a Kantian point of view, one cannot derivemorality from the latters.
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Le problème de l'amour en phénoménologie / The problem of love in phenomenology

Mahéo, Gabriel 23 June 2016 (has links)
Ce travail a pour objectif d'élaborer une description phénoménologique de l'amour en suivant pour cela trois axes d'investigation : dans une première partie, il s'agit d'analyser l'amour comme modalité de l'intentionnalité, telle que la thématisent chacun de leur côté Scheler et Husserl, ce qui suppose l'élucidation du rapport de l'amour aux valeurs qu'il dévoile pour l'un ou constitue pour l'autre. Dans une deuxième partie, à travers la reprise du débat entre Heidegger et Binswanger quant au statut de l'amour dans la constitution existentiale du Dasein, l'expérience de l'amour est comprise comme un mode original de configuration du monde : l'horizon est alors l'articulation de l'amour et de la question de l'être. Enfin, dans une troisième partie, il s'agit de combiner ces deux approches dans la perspective d'une phénoménologie de l'existence qui s'efforce de saisir le phénomène de l'amour dans son sens humain, c'est-à-dire détaché de tout horizon théologique. / Our purpose in this work is to build a phenomenological description of human love through three ways of investigation. First, we describe love as a mode of intentionnality, with Scheler's and Husserl's analysis, in order to elucidate how love reveals or constitutes values. Then, in the second part, we approach the phenomenological problem of love as configuration of a new world, by reconsidering the debate between Heidegger and Binswanger about his function within the Dasein existential analysis. By doing so, the problem of love appears in his connection with ontology. In the third part of this work, we finally try to expose the human meaning of love, which appears in Sartre's phenomenology. By including love in a phenomenology of existence, Sartre allows us to understand how it must be described with the opposition of authenticity and inauthenticity, that is to say without including any theological presupposition in the phenomenological description.
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Rationality in Adorno’s Aesthetics

Hadzipetros, John 08 1900 (has links)
Nous proposons d’examiner le concept adornien de la rationalité esthétique en vue de sa distinction entre une raison bourgeoise universalisante et une raison dialectique qui maintien la prédominance de l’objet par une opération d’autocritique intellectuelle selon qui les catégories sont évalués en vue des objets qu’elles décrivent pour identifier leurs insuffisances conceptuelles. Nous explorons la distinction qu’établit Adorno entre deux rationalités en traçant la genèse historique de la raison bourgeoise dans la philosophie occidentale. Nous démontrons comment les critiques lancées par Adorno contre Hegel et Lukács influencent sa lecture de la tradition marxiste de la critique de l’idéologie et de l’économie politique. Nous illustrons la différence entre la critique de la rationalité bourgeois et l’irrationalisme propre en démontrant qu’Adorno offre une critique rationnelle de la raison qui ne se positionne pas en dehors de la raison. Ayant construit cette fondation conceptuelle, nous tournons vers l’esthétique d’Adorno. Nous démontrons que la raison esthétique se déroule en parallèle avec la raison bourgeoise, et que la raison esthétique participe à la domination de la nature exercée par la raison par la médiation de la forme des œuvres d’art. Nous soulignons deux aspects de la raison esthétique, l’aspect constructif et l’aspect critique, et nous démontrons comment la raison esthétique utilisent ces deux aspects pour remplacer le concept de l’art déjà établie afin d’ouvrir des nouvelles possibilités pour l’art. En explorant les catégories de la beauté naturelle, la beauté de l’art, et du laid, nous démontrons comment la raison esthétique se constitue avant de se mettre en question soi-même par le moyen de la dissonance de l’art moderne. Finalement, nous démontros la manière dont l’art moderne risque de devenir neutralisé par la raison homogénéisante qu’il proteste, et nous conclurons en considérant la pertinence à la question de la normativité esthétique de la lecture adornienne de Samuel Beckett, dont le théâtre pose une challenge critique à la société de l’après-guerre en même temps qu’il met en question le concept de l’art existant. / I propose to examine Theodor Adorno’s concept of a developing aesthetic rationality in light of his distinction between a universalizing bourgeois rationality and a dialectical rationality that strives to maintain the preponderance of the object by challenging its categories with the experience of their object. I will first explore Adorno’s distinction between two rationalities, tracing the historical genesis and growth of bourgeois reason in Western philosophy. I will account for how Adorno’s criticisms of Hegel and Lukács influence his reading of the Marxist traditions of ideology critique and political economy. I will show how Adorno’s criticism of bourgeois rationality differs from irrationality in its attempt to offer an immanent critique of Enlightenment rather than in attempting to position itself outside of Enlightenment. I will then turn to Adorno’s aesthetics, showing how aesthetic rationality progresses in lockstep with Enlightened rationality and how artworks dominate experiential materials through the determining mediation of form. I will highlight two aspects of aesthetic rationality, a constructive aspect and a critical aspect, and I will show how aesthetic rationality uses both to overturn the existing concept of art in order to redefine what counts as art. By exploring the categories of natural beauty, art beauty, and ugliness, I will show how aesthetic rationality establishes itself only to put itself in question through the dissonance of modern art. I will then show how modern art itself falls victim to the very homogenizing rationality it protests, before concluding with a discussion of how Samuel Beckett’s theatre embodies Adorno’s call for an art that critically positions itself against society as well as the pre-existing concept of art.
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La compréhension cartésienne de la raison et de la foi

Pollayil Devassy, Joseph 10 1900 (has links)
Notre recherche a pour objectif d’analyser systématiquement les réflexions cartésiennes sur la foi et la raison ; le parallèle que Descartes établit entre la foi et la raison fait en sorte qu’il s’agit de deux vérités distinctes, voire opposées, mais qui ne sauraient toutefois se contredire. En réalité, Descartes semble même soutenir, à certains endroits, des points de liaison entre les deux types de vérités. Il faudra prendre en considération, d’une part, les définitions qu’il donne de ces deux sources de connaissance et, d’autre part, la manière dont une articulation est possible malgré leur séparation assez stricte. L’approche du mémoire sera proprement historique dans l’analyse des réflexions philosophiques de Descartes sur la religion et exigera notamment de contextualiser les conflits théologiques qu’il a eus avec les penseurs de la scolastique. La première partie du mémoire aura pour objectifs de relever les principaux passages où Descartes traite de cette question en se basant sur l’édition de référence d’Adam et Tannery (1969). La deuxième partie visera à analyser les positions que Descartes défend pour penser la séparation entre foi et raison. Évidemment, le rapport entre foi et raison devra être achevé par des études parallèles sur les réflexions cartésiennes quant au rapport entre la théologie et la philosophie. C’est ici que les discussions avec la scolastique seront examinées. La dernière partie visera à comprendre si, d’après Descartes relativement à certains points de doctrine et malgré leur séparation fondamentale, foi et raison sont réconciliables. Il semble pour lui clair qu’une complémentarité est possible, car « une vérité ne peut jamais être contraire à une autre vérité » (Épître au P. Dinet). / Our research aims to systematically analyze Cartesian reflections on faith and reason; the parallelism that Descartes establishes between faith and reason means that these are two distinct, even opposite truths, but which cannot, however, contradict each other. Descartes even seems to support in some places the points of connection between the two types of truths. It will be necessary to take into consideration, on the one hand, the definitions that he gives of these two sources of knowledge, on the other hand, the way in which an articulation is possible despite their rather strict separation. The approach of the thesis will be properly historical in the analysis of the philosophical reflections of Descartes on religion and will require to contextualize the theological conflicts that he had with the thinkers of scholasticism. The first part of the thesis will aim to identify the main passages where Descartes deals with this question, taking as a basis of reference to the edition of Adam and Tannery (1969). The second part will aim to analyze the positions that Descartes defends there to think about the separation between faith and reason. Obviously, the relationship between faith and reason should be complemented by a parallel study of Cartesian reflections on the relationship between theology and philosophy. It is here that the discussions with the scholastic will be examined. The last part will aim to understand if, despite their fundamental separation, faith and reason would be reconcilable according to Descartes with respect to certain points of doctrine. It seems clear to him that the complementarity is possible, because “one truth can never be contrary to another truth” (Letter to P. Dinet).

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