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Dynamika pohřební rituality a modernizační procesy 19. a 20. století v Římskokatolické farnosti děkanství Český Dub / Dynamics of funerary rituals and modernization processes of the 19th and 20th century in Roman Catholic parish deanery Český DubHavelková, Michaela January 2020 (has links)
The aim of this diploma thesis is to map the form and development of funeral customs in the southern part of the Roman Catholic parish Český Dub - in the collature of the church of St. Jakub Major in Letařovice from the middle of the 19th century to the second half of the 20th century. The focus is on the local village community, its experience of the death of its own member and the form of the funeral rite, which allowed the deceased to pass from the world of the living to the world of the dead. The work analyzes funeral rituals and their development through the prism of the theory of rites of passage, specifically through the perspective of Victor Turner and the analysis of the liminal phase. It also shows the reason for ritual behavior and its performative parts. The work reflects the modernization and secularization of society and tries to reveal their influence on the rituality of burials in Letařovice. It analyzes with bureaucratization and sanitation of funeral homes. The first part of this diploma thesis presents the development of burial in the Czech lands and regional historical context. Furthermore, the traditional rural funeral in the Letařovice cemetery, its spiritual and secular part, is depicted and analyzed, as it looked for the entire period - farewell in the mourning house,...
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Subjective Definitions of Substance Abuse Problems: Does Age Matter?Bozzelli, Elizabeth Katherine 29 August 2008 (has links)
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The Development of the Roman Missal: Fostering the Growth of the Ordinary and Extraordinary Forms of the Roman RiteLong, Alexander D. 14 September 2016 (has links)
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Pour un modèle chrétien de réconciliation dans la société luba : une interprétation des pratiques traditionnelles luba de réconciliation à partir de Genèse 32–33 et une proposition d’appropriation chrétienne contemporaineIlunga, Kandolo Kasolwa 08 1900 (has links)
Pour des raisons de limitation, cette thèse analyse le thème de la réconciliation à partir des pratiques traditionnelles des Baluba du Katanga; elle concerne et s'applique également aux autres ethnies bantu en Afrique Centrale où ces pratiques sont similaires. / La détérioration des relations et la fragilité de la cohésion entre certains groupes sociaux en RD Congo remontent à 1958, peu avant l’indépendance du pays en 1960. Depuis ce temps, les conflits socio-politiques affectent profondément les groupes ethniques et les conditions économiques sont de plus en plus mauvaises. Depuis son indépendance, le pays a traversé de nombreuses périodes de conflits, sans aucune accalmie durable.
De 1960 à 1964, les fréquentes guerres de sécessions, des rébellions et des guerres interethniques ont déstabilisé toute la structure sociale du pays. Les tentatives de réconciliation ont eu des résultats mitigés et parfois des solutions de courte durée. Le coup d’État de 1965, a plongé davantage le pays dans la violence : le pouvoir a été confisqué par les membres du parti unique et la gestion des biens publics a été confiée à quelques groupes ethniques privilégiés. Les frustrations et les injustices suscitèrent des insurrections et des soulèvements populaires, souvent réprimés dans le sang. Les efforts de démocratisation de 1990 n’ont pas rétabli l’équilibre des pouvoirs. Plusieurs groupes ethniques lésés se sont radicalisés et ont étayé leurs revendications par des actions violentes et meurtrières. La situation ne s’est guère améliorée depuis la fin de la dictature et perdure encore de nos jours.
Pourtant, l’histoire montre qu’en RD Congo, les ethnies avaient un système traditionnel de résolution des conflits de diverses natures. Grâce à un enquête de terrain, nous avons reconstitué ce processus qui conduisait à une réconciliation durable parce qu’elle résultait d’une concertation communautaire sous l’arbre-à-palabre. Selon nos interlocuteurs, ces pratiques traditionnelles de réconciliation ont fait leurs preuves. Dans une perspective d’inculturation de l’Évangile, elles peuvent être interprétées et adaptées, puis intégrées à la vie de l’Église et à sa mission de réconciliation en RD Congo.
Dans cette thèse, nous proposons un modèle chrétien et inculturé de réconciliation, élaboré à partir des pratiques et des rites traditionnels des Baluba. Pour constituer ses composantes essentielles, nous avons fait une sélection critique de ces éléments traditionnels, qui ont des potentialités de paix. Nous les avons ensuite mis en corrélation avec ceux retenus d’une analyse du récit de la réconciliation entre Jacob et Ésaü (Gn 32–33) et de son appropriation chrétienne à partir des enseignements de Jésus (Mt 5. 21-26) et de Paul (2 Co 5. 11-21).
Ce modèle chrétien inculturé est proposé à l’Église et ses partenaires pour être mis en œuvre auprès de la communauté chrétienne, dont les Baluba, et dans l’ensemble de la société congolaise. La première étape de cette mise en œuvre sera un travail de conscientisation et de concertation débouchant sur des expériences pratiques et concrètes de la réconciliation dans des communautés locales, qui pourront servir d’inspiration à d’autres niveaux. La démarche réalisée ici invite aussi à poursuivre des réflexions interdisciplinaires sur la réconciliation durable à partir des pratiques de la culture africaine traditionnelle. / The deterioration of relations and the fragility of cohesion between several social groups in the DR Congo date back to 1958, shortly before the country’s independence in 1960. Since then, socio-political conflicts have profoundly affected ethnic relations and economic conditions have even worsened. Since its independence, the country has gone through many periods of conflict, without any lasting peace.
From 1960 to 1964, frequent secession wars, rebellions and inter-ethnic conflicts have destabilized the entire social structure of the country. Attempts for reconciliation have had mixed results and sometimes short-lived solutions. The 1965 coup plunged the country further into violence: power ended up in the hands of members of the sole ruling party and the management of public assets got entrusted to select members of influential ethnic groups. Frustrations and lack of distributive justice engendered insurrections and popular uprisings, which were often quelled by bloody repression. Attempts to democratization since 1990 have not restored the balance of powers. Several ethnic groups, feeling unfavourably treated, have become radicalized and have used deadly violence in support of their claims. The situation has hardly improved since the end of dictatorship and persists even these days.
Yet, history shows that in the DR Congo, ethnic groups had a traditional system of resolving various kinds of conflicts. Through a field survey, we have reconstructed the process which usually brought about lasting reconciliation, since it was grounded in community consultations under a palaver tree. Accounts by participants in our survey suggest that such traditional practices of reconciliation have demonstrated their efficiency. From the theological perspective of an inculturation of the Gospel, they can be reinterpreted and adapted, then integrated into the life of the Church and into its mission of reconciliation in the DR Congo.
In this dissertation, we propose a Christian and contextualized model of reconciliation, grounded in the traditional practices and rites of the Baluba. To constitute its essential components, we have critically selected traditional elements which have shown their potential for peace. We have then correlated them with elements from a narrative analysis of the reconciliation between Jacob and Esau (Gen. 32–33) and its Christian reinterpretation through the teachings of Jesus (Mt 5. 21-26) and Paul (2 Co 5. 11-21).
This contextualized Christian model is being proposed to the Church and its partners for implementation within the Christian community, including the Baluba, and within the entire Congolese society. The first step of this implementation process will consist of the raising of awareness and of consultations, thus leading to practical and actual experiences of reconciliation in local communities, which, in turn, will serve as a source of inspiration at further levels. The approach taken here also invites continued interdisciplinary reflections on lasting reconciliation grounded in traditional African cultural practices.
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L’appartenance à une Église de droit propre dans l’Église catholique. D’un principe juridique établi à une réalité malmenée / Belonging to a sui iuris church in the catholic Church. from an established judicial principle to an manhandled realityGonçalves, Bruno 25 June 2014 (has links)
Au sein de l’Église catholique, les critères d’appartenance à une Église sui iuris ont évolué dans l’histoire du droit canonique notamment à l’occasion de la promulgation encore récente du code latin de 1983 et du code des canons des Églises orientales de 1990. Le droit positif témoigne du souci du législateur de privilégier désormais l’objectivité du critère, sans empêcher qu’interviennent des éléments d’appréciation liés à la volonté des personnes qui souhaitent changer de rite par exemple à l’occasion de leur mariage. La loi et la praxis du Saint Siège manifestent cette recherche difficile d’un équilibre entre un déterminisme objectif de l’appartenance rituelle et une liberté subjective de choisir son rite ou d’en changer. Mais, les mutations sociales et structurelles ecclésiales récentes, caractérisées par la multiplication de structures ecclésiastiques à caractère personnel dans le monde latin, qui font droit à la volonté subjective des fidèles et l’augmentation importante du nombre des catholiques orientaux en diaspora, conduisent à s’interroger sur la pertinence de privilégier le critère territorial par rapport au critère personnel des structures ecclésiales orientales. Sauf à les condamner à la marginalité, voire à la disparition, il convient désormais de réfléchir sur le lien institutionnel qui unit les Églises de droit propre à leurs fidèles. Le poids de l’histoire, celui des relations avec les autres Églises orientales orthodoxes et enfin celui de la tradition canonique doivent être à la fois intégrés et dépassés pour ne pas enfermer les Églises orientales catholiques dans une logique mortifère. / Within the Catholic Church, the criteria for belonging to a sui iuris Church have evolved throughout the history of Canon Law, particularly after the fairly recent promulgation of the Latin Code in 1983 and of the Code of the Canons of the Eastern Churches in 1990. Positive Law is proof of the care the legislator now takes to give priority to the objectivity of the criteria, whilst not preventing other elements to be taken into account, such as the desire of people who wish to change the rite, for example in the case of their marriage. Holy See law and Praxis are a witness to this difficult search for a balance between an objective determinism concerning adherence to the ritual and a subjective freedom to choose one’s rite or to modify it. However, society and Church structures have changed in recent years, changes which are characterized by the multiplication of ecclesiastical structures with a personal character in the Latin world, giving the Faithful the right to have their own personal wishes; and a growing number of Eastern Church members in Diaspora. This has led us to reconsider whether it is now at all pertinent to favour territorial criteria as opposed to personal ones in Eastern Church structures. Unless we wish to condemn them to a marginal position or even to disappear altogether, we must now reflect carefully on the institutional link between the Sui Iuris Churches and their Faithful. The weight of History, of the link with the other Eastern Orthodox Churches, and of the tradition of Canon Law must be simultaneously integrated and transcended if Eastern Catholic Churches are not to be trapped within a death-inducing logic.
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Religion locale et pouvoir politique au Gabon : cas du rite Ndjobi chez les Mbede / Local religion and political power in the Gabon : case of the rite Ndjobi to MbedeAdjoi - Obengui, Guy Donald 06 December 2014 (has links)
Entre Sociologie politique et Anthropologie religieuse, cette thèse tente de comprendre l’interaction entre « Religion locale et pouvoir politique» dans la perspective de consolidation du pouvoir en Afrique, plus précisément au Gabon. Elle met l’accent sur la gestion du pouvoir politique en Afrique et analyse les rapports du rite initiatique Ndjobi avec le pouvoir politique dans la communauté Mbede. Ce champ thématique est déconstruit jusqu’à la nation gabonaise à travers l’initiation et l’implication des politiques locaux aux religions locales. Le rite Ndjobi serait une contre-offensive locale visant à réparer l’univers social et à protéger les Mbede. C’est un élément fondamental au maintien de l’ordre à travers le symbolisme de l’Okèlè é Ndjobi qui est l’affirmation par laquelle un initié prend à témoin le sacré et la vérité de la déclaration qu’il profère devant le panier contenant les reliques du Ndjobi. Pour un chef traditionnel, ce rite serait un moyen de compenser une déficience constitutionnelle de son pouvoir politique afin d’entretenir chez ses sujets initiés respect et surtout crainte. Le serment du Ndjobi serait un contrat politique de confiance à un chef de village, à un responsable politique initié à ce rite. A travers cette déconstruction, cette religion locale pourrait être appréhendée comme un support du pouvoir politique gabonais à l’échelle nationale. Les serments se font avec des paroles ; mais en Afrique noire, ces paroles ne sont pas légères. Elles permettent d’agir sur soi, sur les autres et sur le monde concerné comme une contrainte comparable à une épée de Damoclès. Cette contrainte s’exerce d’une manière subtile et imposée avec quelques négociations intra-politiques liées à la « politique du ventre » pour que l’initiation ne s’apparente pas à un acte subi et sorcellaire aux yeux de la population. La sorcellerie comme une sanction du rite Ndjobi est vécue par l’ensemble des Mbede et des initiés politiques, comme une menace permanente d’agression visant leurs corps, leurs biens et leurs familles. En effet, certains chefs traditionnels dit « Nga Mpugu» choisissent la ruse, la fraude, les crimes rituels, la possession matérielle comme moyen politique afin non seulement de contrôler la population, mais aussi de manipuler les envies de pouvoir de leurs adeptes et de leurs proches collaborateurs. En Afrique, « gouverner c’est prévoir » et prévoir, c’est mettre en place un mécanisme permettant d’éviter d’être surpris par l’ennemi qui peut être un proche. Ce serait, en fait, la mise en fonction d’une « Démocratie traditionnelle ». C’est dans ce sens que cette thèse peut s’inscrire dans la perspective de compréhension et d’analyse du politique en Afrique noire à travers les religions locales comme fondement du pouvoir politique malgré l’arrivée actuelle des obédiences religieuses modernes et des parrainages / On horseback between political Sociology and political Anthropology, this thesis try to understand the interaction enter "local Religion and political Power» with the prospect of consolidation of the power Africa, more exactly in the Gabon. It underlines the management (direction) of the power politics and analyzes the relationship enter the initiation rite Ndjobi and the political power in the community Mbede. This thematic field is deconstructed up to the Gabonese nation through the initiation and the implication of the politics premises within this religion. The rite Ndjobi would be a local counter-offensive to repair the universe social and to protect Mbede. It is a fundamental element in the maintenance of law and order through the symbolism of Okèlè é Ndjobi that is the assertion by which an initiated calls in to witness the sacred and the truth of the statement which he utters in front of the basket containing the relics of Ndjobi. For a traditional leader, this rite would be a way to compensate for a constitutional deficiency of its political power to maintain at its introduced subjects respect and especially been afraid, fault of whom its power could widely be imaginary. The oath of Ndjobi would be a political reliable contract to a village headman, to a politician introduced to this rite. Through this demolition, this local religion appears as a support of the Gabonese political power on a national scale and even money regional. Even if the oaths are made with words; but in Black Africa, these words are not light. They allow to act on one, on the others and on the world concerned as a constraint comparable to a sword of Damocles. The constraint practiced in a way subtle and imposed with some intra-political negotiations bound to the «politics of the stomach " So that the initiation undergone is not similar to an act of the witchcraft in the eyes of the population. The witchcraft as a penalty of the rite Ndjobi is lived by all the Mbede and the political initiated, as a threat perms of aggression aiming their bodies, at their goods and at their families. Indeed, every traditional leader says "Nga Mpuhu" always chooses the guile, the fraud, the ritual crimes, the material ownership as political way to make not only control the population, but also to manipulate the desires for power of her followers and for her close collaborators. In Africa, "you saddle today and ride out tomorrow" and plan, it is to set up a mechanism allowing to avoid being was a surprise by the enemy who, generally, is always a close relation. It would be, in fact, the putting according to a "traditional Democracy ". It is in this direction that this thesis can serve of complementary element with the prospect of understanding and analysis of politics in Black Africa through the religions local as foundation of the political power in spite of the current arrival of the modern religious obedience and the sponsoring
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Rite et poétique du don dans l'art contemporain : dépense, dégoût, destruction / Rite and poetics of gift in contemporary art : exhaustion, disgust, destructionKouadio, Yao Etienne 05 December 2016 (has links)
Prenant appui sur ma pratique plastique, cette thèse s’est développée en marge mon expérience subjective et vécu avec ma mère spirituelle, tout en étant ancrée dans la problématique de la période contemporaine. En ce sens, l’articulation entre mes œuvres plastiques, le patrimoine ancestral africain et l’art contemporain occidental reste un point central de médiation. De même, celles-ci s’articulent avec la magie africaine et la psychothérapie occidentale dans leur dimension thérapeutique. Ainsi donc, cette thèse intitulée « RITE ET POÉTIQUE DU DON DANS L’ART CONTEMPORAIN - Dépense, Dégoût, Destruction » a pour but d’examiner l’expression artistique du déchirement intérieur de mon histoire personnelle, développer des concepts artistiques de la pratique créatrice singulière. La première partie de la thèse situe mon œuvre poïétique dans le processus d’altérité qui mène à la naissance de concepts dans le champ de l’art contemporain, qui ont tendance à façonner la personnalité comme pédagogie d’intégration de l’apprentissage à l’individu. La seconde porte sur l’immatérialité artistique qui se révèle comme un procédé catalyseur du concept de performance. La troisième partie démontre les procédures plastiques d’aujourd’hui auxquelles l’artiste peut faire face en scrutant l’œuvre ritualisée. La quatrième est une mise en œuvre du vohou vohou comme processus de déconstruction d’une nouvelle identité artistique. Le don comme forme de re-création me permet de faire œuvre dans ma pratique picturale. C’est pourquoi, j’ai toujours revendiqué une dimension spirituelle qui apporte à l’œuvre son champ sacré. Plus proche de Michel-Ange ou de Marx Ernest par ma foi en l’art, je crée une œuvre allégorique, qui affirme efficacement la perte re-créatrice comme langage pictural dans l’art contemporain. / On the basis of my practice of plastic arts, this thesis developed alongside my subjective experience lived with my spiritual mother, while staying rooted in the problematics of the contemporary era. In this perspective, the meeting place between my works of art, the African ancestral heritage and the western contemporary art stands as a central point of mediation. These meeting elements also go along with the African magic and the western psychotherapy in their therapeutic dimension. Then, this thesis entitled « RITE AND POETICS OF GIFT IN CONTEMPORARY ART - Exhaustion, Disgust, Destruction » aims at examining the artistic expression of my heartrending personal history, and developing artistic concepts of the singular creative practice. The first part of the thesis identifies my poietic work in the process of otherness which leads to the creation of concepts in the field of contemporary art, which concepts tend to shape the personality as pedagogy for the integration of learning by the individual. The second part is about the artistic immateriality which appears as a catalytic process for the concept of performance. The third part exhibits the nowadays plastic procedures the artist can meet by examining a ritualized work. The fourth one is an implementation of the vohou vohou as a process of deconstruction of a new artistic identity. Gift as a form of re-creation enables me to paint. Therefore, I always claim a spiritual side which endows the work of art with a sacred dimension. Admirer of Michel-angel or Marx Ernest through my faith in art, I create an allegorical work, which effeciently affirms the re-creative loss as a painting style in contemporary art.
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La dignité au travail chez les employés atypiquesClaveau, Marie-Pier 12 1900 (has links)
Cette étude dresse un bref historique du concept de la dignité humaine pour observer sa dualité et sa multiplicité à travers les époques. Peu présente dans la littérature, la dignité au travail, tout aussi dichotomique et plurielle, s’inscrit néanmoins dans un cadre singulier, où s’ajoute des paramètres spécifiques à l’organisation du travail. Elle s’avère particulièrement problématique pour les employés atypiques, incluant entre autres les employés à contrats à durée déterminée, les employés saisonniers et les employés temporaires. Effectivement, malgré l’augmentation significative de leur embauche au sein du marché du travail canadien depuis la fin des années 1990, les employés atypiques représentent un groupe peu étudié, vulnérable et plus enclin à subir les répercussions de pratiques contraignantes et nuisibles à la dignité selon la précarité rattachée au statut, d’où la pertinence de s’y intéresser. En ce sens, si la dignité appelle à l’autonomie par la considération de la valeur intrinsèque et inaliénable de l’individu, et que le travail implique qu’il réalise des finalités autres que les siennes, s’interroger sur la dignité au travail, principalement chez un groupe marginalisé par sa présence éphémère, prend tout son sens.
La méthodologie de cette étude est basée sur l’analyse interprétative d’entretiens semi-structurés réalisés avec douze employés atypiques. Comparées à la littérature existante et suite à la mise en place d’une typologie du travail spécifique aux employés atypiques et à la dignité, les données recueillies ont montré une réappropriation de la dualité du concept par l’inclusion de l’opposition entre l’être et l’action de la part des participants. Plus encore, ils ont ajouté trois dimensions supplémentaires : l’interaction, les systèmes du travail et le temps. Concept central et pivot, l’interaction permet l’établissement de relations dans l’ensemble des dimensions. L’organisation du travail dans les systèmes et l’éphémérité du statut des employés atypiques, éléments différentiels, banalisent les pratiques nuisibles à la dignité des employés atypiques, où ces derniers finissent par percevoir leur situation comme un rite de passage dans l’attente d’un avenir meilleur. / This study begins with a brief historical overview of the concept of dignity. Despite the multiple meanings given to the notion of dignity over time, a clear duality appears between definitions that privilege the intrinsic, inalienable nature of dignity and those that attribute dignity according to the quality of an individual's actions. While dignity at work has received far less scholarly attention, the emergent literature replicates the same dichotomy that is found in studies of dignity. The question of dignity at work is particularly important for atypical employees who, due to their precarious status, are especially vulnerable to workplace indignity. Surprisingly, atypical workers, a category that includes seasonal workers, temporary workers, workers on short-term contracts, and permanent part-timers, remain on the sidelines of much academic research, despite constant growth in their numbers as a proportion of the Canadian labour market since the late 1990s. The importance of studying dignity at work appears clearly in the following conundrum: how can we understand dignity at work when dignity implies that one recognizes the unique value of every human person based on his/her autonomy to choose his/her own ends, yet the context of work requires that workers commit themselves to attaining objectives imposed by someone else?
Using an interpretive methodology to explore the meanings of dignity at work, this study is based on semi-structured interviews with twelve atypical employees. The findings show how participants reconciled the duality between being and doing as a source of dignity. Participants added three other dimensions that are not present in the extant literature: interaction, work systems, and time. These five dimensions are combined to create a typology of dignity at work that is specific to atypical employees. Interaction acts as a core concept that links all of the other dimensions together. The organization of work systems and the ephemeral status of atypical employees work together to trivialize workplace practices that undermine the dignity of atypical employees, who come to perceive their situation as a rite of passage to be endured while waiting for a better future.
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The mystery of death-life in the Maronite Catholic ChurchZeid, Nadim Abou 01 January 2002 (has links)
This study reflects the belief systems of a nation living their lives as though in exile. It is
also an 'echo' of their spiritual journey, stretching from the dawn of humanity until the
time of Jesus Christ. It is the testimony of the people who lived in Phoenicia, Antioch,
and the holy mountains and valleys of Lebanon.
From the time of early Christianity they structured their beliefs according to the general
admonition and teaching of the Scripture, and looked forward to the imminent 'return' of
Christ. They lived in an atmosphere of preparation for the ready welcome of the
'heavenly Bridegroom'.
The background to and the reasoning supporting this study and exposition, is that of
understanding the history, spirituality, and the ritual deriving from the beliefs and thought
systems of the Christians of the Maronite Catholic Church, and their understanding of the
hereafter. It is an attempt to relate the many factors which comprise the 'life' and ritual,
the biblical foundation, and the theological and eschatological views of the Maronite
Church and its members. / Christin Spirituality, Church History and Missiology / M. Th. (with specialisation in Christian Spirituality)
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Pratiques funéraires complexes : réévaluation archéo-anthropologique des contextes ibéromaurusiens et capsiens (paléolithique supérieur et épipaléolithique, Afrique du Nord-Ouest) / Complex funeral practices : archaeo-anthropological reassessment of iberomaurusians and capsians contexts (paleolithic and epipaleolithic, Northwest Africa)Aoudia-Chouakri, Louiza 11 February 2013 (has links)
L’ibéromaurusien (23 000 - 9500 Cal BC) et le Capsien (9600 - 5000 Cal BC) sont deux cultures de la fin du paléolithique supérieur et de l’épipaléolithique d’Afrique du nord ; elles ont été définies sur la base de la typologie de leur assemblage d’industrie lithique. L’Ibéromaurusien est caractérisé par une industrie lamellaire microlithique et la Capsien par une industrie microlithique riche en segments minuscules, en microburins et microlamelles. La discontinuité biologique prêtée à ces deux groupes, sur la base d’arguments anthropologiques discutables, a fortement influencé le débat sur leur mode de remplacement. Ainsi une origine Moyen-Orientale a été proposée à la culture capsienne. Nous avons souhaité vérifier cette théorie à partir de l’étude du traitement funéraire dans ces deux groupes. En appliquant les méthodes de l’anthropologie funéraire moderne, nous proposons une révision critique de l’ensemble du corpus aujourd’hui disponible. Il comprend une soixantaine de sépultures Ibéromaurusiennes, renfermant 126 individus découverts dans 10 sites, 48 sépultures Capsiennes contenant 55 individus, issues de 13 sites, et enfin 38 sépultures du site de Columnata, livrant 89 individus. Nous avons scrupuleusement analysé les contextes de découvertes de ces individus dans les publications et les carnets de fouilles. Nous avons révisé les dénombrements, la détermination du sexe et l’estimation de l’âge au décès. Nous avons également exploré la surface de l’os à la recherche de stigmates permettant de valider ce que l’analyse taphonomique des sépultures laissait présager. Nous avons d’abord caractérisé le système funéraire de chacun de ces deux groupes, puis nous avons comparé les composants de ces deux systèmes afin de rechercher une éventuelle transmission ou rupture de coutume entre les deux sociétés. Les normes funéraires telles que nous les avons établies, confirment la spécificité de chacun de ces deux groupes. Les gestes funéraires sont différents et l’absence de transmission directe entre ces deux groupes de chasseurs cueilleurs est d’abord envisagée. Toutefois, l’interprétation ostéo-archéologique des sépultures révèle la présence d’une coutume funéraire minoritaire (conditionnelle), longue dans sa durée d’exécution, et complexe par la technique qu’elle requiert, quasi identique dans les deux groupes. Ce traitement passe par une étape de découpe du cadavre (décollation, désarticulation, décarnisation et éviscération), la tête après dépouillement est décorée parfois surmodelée. Enfin, le corps ainsi partitionné est inhumé en blocs anatomiques disloqués. Ce traitement, par les degrés d’apprentissage qu’il nécessite et la complexité de sa conception, suggère un lien direct entre les deux traditions. Cet héritage culturel Ibéromaurusien chez les Capsiens nous conduit à privilégier l’hypothèse d’une relation ancêtre-descendant et une origine locale de la culture Capsienne. / The iberomaurusien (23,000 - 9500 cal BC) and the Capsian (9600-5000 cal BC) are two cultures dating from the end of the upper Palaeolithic and Epipalaeolithic in North Africa. They have been established on the basis of the characterisitics of their lithic industries. The Iberomaurusien is characterized by a lamellar microblade industry and Capsian by a microblade industry rich in tiny segments and microburins microbladelets. Biological discontinuity of these two groups has been assumed on the basis of questionable anthropological arguments which have strongly influenced debate on their origins. Thus a Middle-Eastern origin has been proposed for the Capsian. We wanted to test this theory using a study of the mortuary practices in these two groups. By applying the perspective of modern mortuary anthropology, we offer a critical review of the entire available corpus. This includes 60 Iberomaurian graves, containing 126 individuals discovered in 10 sites, 48 Capsian graves containing 55 individuals from 13 sites, and 38 burials from the Columnata site providing 89 individuals. We carefully analyzed the contexts of discovery of these individuals as described in publications and field notes. We have revised the counts, the sex-determination and estimation of the age at death. We also explored the surface of the bones looking for stigmata to validate what a taphonomic analysis of the graves might reveal. We first characterized the burial system of each of these two groups, and then the components of these two systems were compared to find a possible transmission or break in burial custom between the two societies. The funeral practices as we have established them, confirm the specificity of these two groups. Funeral rituals are different and the absence of direct transfer between these two groups of hunter-gatherers is first considered. However, the osteo-archaeological interpretation of the graves revealed the presence of a (conditional) minority funeral custom, which lasted a long time, and required a complex technique, that was almost identical in the two groups. This treatment goes through a stage of dismembering the cadaver (beheading, disarticulation, butchering and evisceration), and the skull after flaying is sometimes plastered. Finally, thus partitioned, the body is buried assembled in dislocated anatomical blocks. This treatment, by the levels of knowledge that it requires, and the complexity of its design, suggests a direct link between the two traditions. This endurance of Iberomaurusian cultural heritage in the Capsian leads us to confirm the hypothesis of an ancestor-descendant relationship and a local origin of the Capsian culture.
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