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Danse et spectacle vivant. Réflexion critique sur la construction des savoirs

Verlinden, Elodie 27 April 2010 (has links)
La thèse aura pour objectif premier de relire les discours scientifiques sur la danse à travers quelques démarches considérées comme illustratives d’une discipline. Ce parcours a pour vocation seconde d’interroger les modes de construction de l’objet danse au sein des études en arts du spectacle vivant. Comment les sciences ont-elles pensé la danse ? Fallait-il penser la danse ? A travers quels questionnements peut-on appréhender la performance dansée sans englober un paradigme plus vaste ? Toutes problématiques qui conduisent non seulement à saisir de manière critique les regards sur la danse mais à élaborer un modèle propre qui pose à la fois la question de l’identité et des processus énonciatifs de la danse au sein du paradigme des « arts du spectacle vivant ».
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Expériences sonores et intersubjectivité dans le spectacle vivant contemporain. L'inter[o]ralité, entre désir et pouvoirs / Sonic experience and intersubjectivity in contemporary theatre. Inter[o]rality, between desire and power

Fargier, Noémie 14 December 2018 (has links)
Cette thèse propose une réflexion sur la relation entre scène et salle se tissant à travers l’écoute. Dépassant le modèle activité/passivité auquel pourrait être rattachée l’expérience sonore du spectateur, nous tenterons de cerner les contours de cette relation où l’un émet tandis que l’autre reçoit, mais aussi répond. Le pouvoir semble du côté de la scène, capable de forcer l’écoute du spectateur, d’écraser toute réaction, tandis que le désir serait l’enjeu même de cette relation asymétrique, et circulerait de part et d’autre. Associant la notion d’auralité, qui englobe en un seul terme l’écoute et l’audition, à celle d’oralité, acte d’émettre une parole à l’intention d’un auditeur, la notion d’inter[o]ralité, fusionne les deux pôles, émission et réception, et les deux organes, bouche et oreille. Elle cherche à cerner la dimension intersubjective de la relation d’écoute liant la scène à la salle : si celle-ci prend modèle sur la situation d’énonciation, elle ne se réduit pas à l’écoute muette d’une parole ; elle est jeu d’adresse, intention d’attention.Cette réflexion, mûrie au fil d’une expérience de spectatrice, nourrie de la mémoire, souvent fragmentaire, de spectacles, se fonde sur un corpus d’oeuvres vues et entendues entre 2004 et 2017, créées par des artistes de la scène européenne tels que Joël Pommerat, Romeo Castellucci, Maguy Marin, Vincent Macaigne, Gisèle Vienne, Rimini Protokoll, dont le rapport au sonore est remarquable ou parlant du fait de la relation qu’il engendre avec le spectateur. Aussi cette réflexion invite-t-elle à une appréhension plus large de l’écoute : non seulement comme réception du sonore et de ce qu’il y a à entendre, mais comme réponse à une proposition émise à l’attention d’un autre, attention à cette attention elle-même, à laquelle ce dernier est libre, à tout moment, de se dérober. / This thesis explores the relationship between stage and audience as it arises in listening. Going beyond the activity/passivity paradigm that could be used to describe the audience’s sonic experience, we will try to draw the contours of a relationship in which the one produces while the other not only receives, but also responds. Power seems to belong to the stage in order to enforce listening on the part of the spectator and to prevent any reaction, while desire appears to be circulating back and forth as the purpose of this asymmetrical relationship. Conflating the notion of aurality, which gathers “listening” and “hearing”, and the notion of orality, which is the act of producing speech for a listener, the notion of inter[o]rality combines the two sides, production and reception, and the two organs, mouth and ears. It aims at capturing the intersubjective dimension of the listening relationship between stage and audience : even if it is modeled on the paradigm of enunciation, it is not limited to the mute listening of what is being said ; it is a game of addressing, an intention of attentiveness. This reflection, which has matured along with my experience as a spectator and which relies on the often incomplete memory of the shows I have seen, is based on a corpus of works that I watched and heard between 2004 and 2017. They were produced by European stage directors and artists such as Joël Pommerat, Romeo Castellucci, Maguy Marin, Vincent Macaigne, Gisèle Vienne, or Rimini Protokoll, whose connection to sound is remarkable or significant because of the relationship it creates with the spectator. In this way, this reflection encourages a wider approach to listening, considered not only as the reception of sound and of what is to be heard, but also as a response to what is offered to the attention of an other, and as an attentiveness to this attention itself, which the other is free, at any moment, to relinquish.
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L'humour créole réunionnais : dynamique linguistique et culturelle (1963 - 2011) / Creole humour from Réunion : linguistic and cultural dynamics (1963 - 2011)

Lauret, Francky 06 July 2017 (has links)
La recherche, en Etudes Créoles, se fonde sur un corpus complexe de données linguistiques, sociales et historiographiques, représentatives du spectacle vivant des humoristes réunionnais, agent majeur de la tradition orale créole sur 48 années. La discussion s'instaure avec les théoriciens de l'humour (Freud S. (1905), Escarpit R. (1960) et Stora-Sandor J. (2015). Il en résulte une formalisation linguistique du champ sémantique de l'humour, ses universaux et ses spécificités créoles réunionnaises. Après Attardo, S. (1994), un nouveau schéma sémantique s'établit grâce à une relecture comparative des ouvrages lexicographiques majeurs (1972-2014). Le corpus performé de base - une sélection de 131 productions, 661 citations, issues de 59 performances scéniques (soit six heures) met en scène 119 personnages dont les répliques sont celles des humoristes : Cazal (1963), Kichenin (1965), Vabois (1979, 1990), Jardinot (1989, 1990, 2011) Mangaye et Cadet (2005), Sinaman et Faubourg (2011). Notre historiographie de l'humour à La Réunion de 1804 à 2017 confirme l'hypothèse que les formes de spectacle populaires nées de la tradition orale créole sont réinvesties par les humoristes. La langue créole de l'humour, reconstruite en dix champs sémantiques et deux cents unités lexicales, révèle une clef du lexique à la croisée de la syntaxe et de la sémantique (Staudacher-Valliamée, G., 2004, 2010). Le fonds créole commun réinvesti par la scène et les nouvelles technologies de la communication identifie une classe grammaticale d'interjections, un recours humoristique à la référenciation du signe linguistique, la mise en œuvre de 50 procédés linguistiques et culturels. / The research Creole Studies is based on a complex linguistic, social and historiographical framework, represented in the live shows of Réunionese comedians, major contributors to the oral tradition across 48 years. The discussion explores the theories of humour defined by Freud S. (1905) and Stora-Standor J. (2015). Questioning the sematic schema of humour elaborated by Attardo S. (1994) a new schema, specific to the situation of Créole Réunionese, is established thanks to a comparative study of lexicographical works on Créole Réunionese (1972-2014). This thesis leads to the linguistic formalization of a semantic field of humour, with the universal and specific schemas of Réunionese Créoles. The corpus of live performances, selected from a body of 131 productions, includes 661 quotes from 59 shows, totalling 6 hours, comprised of 119 characters are from the following performers: Cazal (1963), Kichenin (1965), Vabois (1979, 1990), Jardinot (1989, 1990, 2011) Mangaye and Cadet (2005), Sinaman and Faubourg (2011). The historiography of humour in Réunion Island from 1804 to 2017 and confirms the hypothesis of a convergence between mass entertainment originating in the oral tradition and reinvented by the comedians. Créole language humour, thus reconstructed in 10 semantic fields and 200 lexical units, shows a key to the lexicon of humour at the intersection of syntactic and semantic data (Staudacher-Valliamée G., 2004, 2010). The collective Créole knowledge used on stage and in the new communication technologies identifies a grammatical class of interjection, the use of humour in referencing linguistic signs, the implementation of 50 linguistic and cultural methods.
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Territorialisation culturelle et poïétique d'un espace intercommunal : Le cas d'Ouest Provence et la régie culturelle Scènes et Cinés

Pamart, Emilie 09 December 2011 (has links) (PDF)
Dans un contexte de complexité territoriale où les référents spatiaux se multiplient, se fragmentent, se recomposent et entrent en concurrence, aborder la question de la territorialisation culturelle comme un processus communicationnel est le moyen par lequel ce travail contribue à la réflexion sur les phénomènes de requalification et de recomposition des territoires. Par emprunt de la notion de territorialisation à la Science politique et à la Géographie, notre posture s'appuie sur une boîte à outils (théorique et méthodologique) capable de construire un regard oblique dont le principe est celui de l'indissociabilité des composants d'un même phénomène. En effet, l'originalité de cette recherche se situe principalement dans l'articulation d'approches habituellement considérées comme irréconciliables étant donné le caractère polyphonique des discours qui participent de cette poïétique territoriale - les modalités de la (re)génération d'un territoire - : l'approche identificationnelle matérialisée par les discours des acteurs politiques, et l'approche appropriationnelle qui s'intéresse aux récits de pratiques territoriales des habitants et des usagers. L'enjeu scientifique de cette thèse réside donc dans la compréhension du fonctionnement de ce processus communicationnel et de sa capacité à enchanter, par la médiation des discours, un espace intercommunal.Pour la compréhension de ce processus, nous avons pris appui sur le cas d'Ouest Provence, ancienne " ville nouvelle " située sur les rives de l'étang de Berre, au nord-ouest de Marseille, marqué par une imposante activité industrielle et polluante. Cette agglomération se trouve aujourd'hui dans une phase de normalisation, après avoir bénéficié, pendant quarante ans, du régime exceptionnel de ce projet de développement urbain initié et soutenue par l'État. À partir d'une approche ethno-sémiotique, nous avons constitué et analysé un corpus hétérogène de discours circulants (discours d'inauguration de l'identité nouvelle d'Ouest Provence, extrait du numéro inaugural du journal intercommunal, toponyme, logotypes, programmes et éditoriaux de saison de la régie culturelle SCOP), et de discours provoqués (entretiens ethnographiques auprès des acteurs politiques, administratifs et culturels, et auprès des spectateurs-abonnés de la régie culturelle SCOP). L'objectif étant de mettre au jour le travail d'obturation d'une partie du champ de vision de l'habitant et de l'usager que mènent les acteurs politiques, par une restructuration de leurs pratiques ou du moins de leurs effets, afin d'enchanter leur imaginaire territorial. Et c'est par l'intermédiaire d'un opérateur, le dispositif de la régie culturelle Scènes et Cinés, que se met en place cette stratégie. Effectivement, la pratique de sortie au théâtre est donc décrite comme une pratique de mobilisation des habitants et des usagers de manière à leur faire-croire en cette " communauté imaginée " qu'incarne Ouest Provence. Mais à côté de ces discours d'élus, l'analyse des récits des pratiques des abonnés de Scènes et Cinés laisse entrevoir une territorialité dont les trois régimes que esquissés (le sentiment du chez-soi, l'engagement, et l'attachement à un être-ensemble) sont motivés par un rapport sensible au territoire. Cette dimension de la pratique de sortie au théâtre nous semble fondamentale en ce qu'elle révèle la nature du rapport individuel et collectif des spectateurs à leurs espaces de pratiques culturelles qui est, avant tout, façonné par la sensation et l'émotion. La territorialité spectatorielle constitue ainsi une expérience qui participe, tout au moins momentanément, du processus d'enchantement territorial.
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Danse et spectacle vivant: réflexion critique sur la construction des savoirs

Verlinden, Elodie 27 April 2010 (has links)
La thèse aura pour objectif premier de relire les discours scientifiques sur la danse à travers quelques démarches considérées comme illustratives d’une discipline. Ce parcours a pour vocation seconde d’interroger les modes de construction de l’objet danse au sein des études en arts du spectacle vivant. Comment les sciences ont-elles pensé la danse ?Fallait-il penser la danse ?A travers quels questionnements peut-on appréhender la performance dansée sans englober un paradigme plus vaste ?Toutes problématiques qui conduisent non seulement à saisir de manière critique les regards sur la danse mais à élaborer un modèle propre qui pose à la fois la question de l’identité et des processus énonciatifs de la danse au sein du paradigme des « arts du spectacle vivant ». / Doctorat en Information et communication / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Territorialisation culturelle et poïétique d'un espace intercommunal : Le cas d’Ouest Provence et la régie culturelle Scènes et Cinés / Cultural territorialization and the poïetics of inter-communal space : The case of the Ouest Provence Urban Community in France, its inter-communal syndicate and the management of culture by the Scènes et Cinés public institution

Pamart, Emilie 09 December 2011 (has links)
Dans un contexte de complexité territoriale où les référents spatiaux se multiplient, se fragmentent, se recomposent et entrent en concurrence, aborder la question de la territorialisation culturelle comme un processus communicationnel est le moyen par lequel ce travail contribue à la réflexion sur les phénomènes de requalification et de recomposition des territoires. Par emprunt de la notion de territorialisation à la Science politique et à la Géographie, notre posture s’appuie sur une boîte à outils (théorique et méthodologique) capable de construire un regard oblique dont le principe est celui de l’indissociabilité des composants d’un même phénomène. En effet, l’originalité de cette recherche se situe principalement dans l’articulation d’approches habituellement considérées comme irréconciliables étant donné le caractère polyphonique des discours qui participent de cette poïétique territoriale – les modalités de la (re)génération d’un territoire – : l’approche identificationnelle matérialisée par les discours des acteurs politiques, et l’approche appropriationnelle qui s’intéresse aux récits de pratiques territoriales des habitants et des usagers. L’enjeu scientifique de cette thèse réside donc dans la compréhension du fonctionnement de ce processus communicationnel et de sa capacité à enchanter, par la médiation des discours, un espace intercommunal.Pour la compréhension de ce processus, nous avons pris appui sur le cas d’Ouest Provence, ancienne « ville nouvelle » située sur les rives de l’étang de Berre, au nord-ouest de Marseille, marqué par une imposante activité industrielle et polluante. Cette agglomération se trouve aujourd’hui dans une phase de normalisation, après avoir bénéficié, pendant quarante ans, du régime exceptionnel de ce projet de développement urbain initié et soutenue par l’État. À partir d’une approche ethno-sémiotique, nous avons constitué et analysé un corpus hétérogène de discours circulants (discours d’inauguration de l’identité nouvelle d’Ouest Provence, extrait du numéro inaugural du journal intercommunal, toponyme, logotypes, programmes et éditoriaux de saison de la régie culturelle SCOP), et de discours provoqués (entretiens ethnographiques auprès des acteurs politiques, administratifs et culturels, et auprès des spectateurs-abonnés de la régie culturelle SCOP). L’objectif étant de mettre au jour le travail d’obturation d’une partie du champ de vision de l’habitant et de l’usager que mènent les acteurs politiques, par une restructuration de leurs pratiques ou du moins de leurs effets, afin d’enchanter leur imaginaire territorial. Et c’est par l’intermédiaire d’un opérateur, le dispositif de la régie culturelle Scènes et Cinés, que se met en place cette stratégie. Effectivement, la pratique de sortie au théâtre est donc décrite comme une pratique de mobilisation des habitants et des usagers de manière à leur faire-croire en cette « communauté imaginée » qu’incarne Ouest Provence. Mais à côté de ces discours d’élus, l’analyse des récits des pratiques des abonnés de Scènes et Cinés laisse entrevoir une territorialité dont les trois régimes que esquissés (le sentiment du chez-soi, l’engagement, et l’attachement à un être-ensemble) sont motivés par un rapport sensible au territoire. Cette dimension de la pratique de sortie au théâtre nous semble fondamentale en ce qu’elle révèle la nature du rapport individuel et collectif des spectateurs à leurs espaces de pratiques culturelles qui est, avant tout, façonné par la sensation et l’émotion. La territorialité spectatorielle constitue ainsi une expérience qui participe, tout au moins momentanément, du processus d’enchantement territorial. / Our research contributes to the understanding of a requalification and reorganization phenomenon by questioning cultural territorialization as a communicational process, in a context of territorial complexity where spatial referentials are multiplied, split up, recomposed and brought to compete with one another. Borrowing from the notion of territorialization as found in political sciences and geography, our posture is supported by a theoretical and methodological personal construction that enables us to build an oblique view point, the principle of which is the indivisibility of the above mentioned phenomenon’s components. Indeed, the originality of this research lies mainly in the combining of different approaches usually considered irreconcilable, given the polyphonic character of the discourses that participate in territorial poïetics - conditions of (re)generation of a territory - : the identification-based approach formed by political actors’ discourses, the function of which is the production and the circulation of standards and values in the public space, and the appropriation-based approach which is interested in the narrative given by inhabitants and practitioners of their territorial practices. The scientific argument of our thesis lies in the understanding of how this communicational process functions and its capacity to “enchant” an inter-communal space that becomes meaningful again, through the mediation of a series of discourses.In order to understand this process, we have used, as a case study, the urban community of Ouest Provence, which had the status of a “new town”, and thus benefitted for forty years, from major state development policies. This urban area, on the banks of the Etang de Berre, north west of Marseilles, where France’s major oil refineries, gaz and petro-chemical factories are located, is marked by this impressive industrial activity and the image of pollution that it gives. The Ouest Provence area is about to be “normalized”, by becoming an ordinary group of smaller towns with a new inter-communal status. From an ethno-semiotic approach, we have constituted and analyzed a heterogeneous corpus of circulating discourses (inaugural speech for Ouest Provence’s new identity, excerpts from the inter-communal newspaper inaugural issue, toponyms, logotypes, programs and editorials taken from the Scènes et Cinés’ cultural season) and instigated discourses (ethnographical conversations with political, administrative and cultural professionals and with the Scènes et Cinés’ spectators-subscribers). The intention was to bring to light the attempts by the political actors to modify the representations that local inhabitants and users have of their territory by restructuring in particular their theatre practices in order to re-enchant their territorial imagination. It is through an operator, the device of the cultural institution Scènes et Cinés, that this strategy is set up. The practice of theatre-going is thus described as a practice of mobilization of the inhabitants and the users so as to make them believe in this “imagined community” that the Ouest Provence embodies. The analysis of the practice narratives of the Scènes et Cinés subscribers gives us a glimpse of a territoriality where three aspects which we highlighted (the feeling of being at home, the commitment to the theatre, and the attachment to a sort of togetherness in this practice) are motivated by an emotional relationship to the territory. This theatre-going dimension seems to us fundamental, as it reveals all the complexity of the spectators’ relationships with each other and with the spaces linked to their cultural practices, which are particularly shaped by both individual and collective sensations and emotions. So, such a spectator experience is involved, at least temporarily, in the process of territorial enchantment.
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De la pratique rituelle au spectacle vivant: une approche sémio-anthropologique du Nguon et du Ngondo au Cameroun

Moungande, Ibrahim Aliloulay 04 November 2013 (has links)
Cette étude est une réflexion sur le phénomène de création en matière d’oralité. Elle vise non seulement à étudier la mise en spectacle du Nguon et du Ngondo mais aussi et surtout, à vérifier la pertinence des outils d’analyse sémiologique appliqués à ces deux pratiques rituelles. Dans cette perspective, la grille d’interprétation que propose Anne Ubersfeld ,soutenue par André Helbo et Patrice Pavis ,nous a été d’une importance heuristique considérable.<p>S’appuyant sur le fait que le corpus de ce travail est constitué de deux rites appartenant à deux régions diamétralement opposées du Cameroun et que chacun d’eux procède d’un style particulier, le besoin de recourir à l’approche comparatiste de temps à autre s’est fait sentir. Fort de ce constat, la sémiologie du spectacle vivant qui sert de support méthodologique et théorique est complétée par l’approche comparatiste. Approche qui ne vise pas à assimiler le Nguon et le Ngondo, mais à mettre en évidence les spécificités de chaque rite grâce à la mise en rapport de l’un avec l’autre. <p>Les résultats auxquels nous sommes parvenu montrent que ces deux pratiques rituelles sont des performances au sens Schechnerien du terme. Chacune d’elles ayant une certaine spécificité. <p>Le Nguon est à coup sûr une suite d’évènements représentés devant un public par des acteurs en un temps déterminé dont l’imitation et la dénégation en constituent l’essence. Dans cette perspective, il se rapprocherait plus d’une représentation théâtrale. Contrairement au Nguon, le Ngondo est une suite de performances où gestes (minutieusement orchestrés, chorégraphiés), objets et certaines activités ludiques constituent un vocabulaire dont la syntaxe déroule un sens. Dans cette perspective, chaque esprit forge ses propres refuges, ses stratégies, ses fétiches pour affronter cette pratique rituelle où certains référentiels du théâtre tels que la frontalité, la dénégation, etc. paraissent estompés ou abolis pour céder place aux terrains d’action, d’expérimentation et de transformation. Ainsi, chaque moment du Ngondo est une performance accomplie. Fort de ce constat, le Ngondo a le caractère d’un festival où performances, musiques et danses rivalisent d’adresse avec des réminiscences mythiques et mystiques. <p>Afin de les démocratiser davantage et assurer leur exploitation optimale, nous avons pensé à la création des espaces culturels dans ces régions du Cameroun à partir du modèle que nous proposons dans ce travail. La multiplicité de ces espaces dans toutes les régions de notre pays et sur le continent africain et pourquoi pas dans le monde entier faciliterait le travail d’un collectif de chercheurs venus des quatre coins de la planète pour se réunir autour du concept de la « Négroscénologie », que chaque membre doit entériner et de promouvoir où qu’il soit.<p> / Doctorat en Information et communication / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Développement d'outils de management et actes de langage dans les entreprises de spectacle vivant / Development of Management Tools and Speech Acts in Performing Arts Companies

Caillat, Isabelle 26 September 2011 (has links)
Les entreprises de spectacle vivant évoluent dans un contexte de diminution de ressources externes et de modification des modalités d’attribution des subventions par l’application de la LOLF (Loi Organique relative aux Lois de Finances). Leur problématique repose sur les moyens à mettre en œuvre pour faire face à ces contraintes. Nous nous attachons à démontrer que leur développement dépend de l’amélioration de la logique de coopération entre les acteurs à partir du projet artistique et de l’appropriation des contraintes d’évaluation de la LOLF, pour révéler les performances cachées et développer des ressources internes. Cette recherche se construit à partir de l’hypothèse que l’amélioration de la performance globale des organisations dépend d’une action transformative qui opère selon trois axes interdépendants : l’intervention, les outils de management, le langage–acteur. A partir d’une recherche-Intervention dans un théâtre et d’un diagnostic qualitatif dans un autre, nous accompagnons les acteurs dans une conduite de changement et étudions les conditions de développement managérial dans ce type d’organisation. Nous analysons comment l’utilisation du langage dans le cadre de l’Intervention Socio-Economique modifie les représentations et contribue à l’élaboration d’un nouveau dispositif managérial. Nous proposons d’associer les outils de management socio-Économiques, utilisés comme des matrices de lecture de l’organisation, aux critères d’évaluation et de subvention des pouvoirs publics pour en faire des outils de réflexion sur le processus de réalisation et de diffusion de spectacle et construire une représentation partagée entre les différents acteurs. / Performing arts companies operate in a context of declining resources and changes in the rules governing the allocation of grants, in accordance with the LOLF (Organic Law relative to the Laws of Finance). Their challenge lies in finding ways to address these constraints. We aim to demonstrate that their development depends on improving the manner in which all parties cooperate, based on the artistic project and taking into account the constraints resulting from the evaluation used by the LOLF, to reveal hidden costs and to develop internal resources. This research is based on the hypothesis that improving the overall performance of organizations depends on a transformative action that operates in three interdependent areas: intervention, management tools, and the speech-Actor. Based on intervention-Research in one theatre and on a qualitative study in another, we have assisted actors in the process of change management and examined the conditions in which managerial development takes place in this type of organization. We analyse how language use in the context of Socio-Economic Intervention modifies the representations and contributes to the elaboration of a new managerial instrument. We propose the use of socio-Economic management tools, serving as a framework for analyzing the organisation, combined with the criteria of evaluation and allocation of public funding as a basis of reflexion on the process of creation and dissemination of shows, as well as a means of building a shared representation between the different actors.

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