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Relations entre dépression, symptômes dépressifs et démences chez le sujet âgé : rôle de la pression artérielle / Depression, depressive symptoms, and dementia : mediation of blood pressure

Barei Moniri - Lenoir, Hermine 10 September 2012 (has links)
La dépression (caractérisée ou subsyndromique) est fréquente tout au long de la vie et les démences sont des pathologies fréquentes du sujet âgé. Une association longitudinale entre la dépression ou les symptômes dépressifs et la démence a été rapportée. Cependant, le sens de cette association demeure incertain et ses mécanismes pathogéniques selon l’âge de l’apparition des manifestations dépressives sont largement méconnus. Les facteurs de risque vasculaires sont associés à la démence et une comorbidité vasculaire est également retrouvée chez le sujet âgé dépressif. L’hypothèse qu’un ou des facteurs de risque cardiovasculaires constitue(nt) l’ultime dénominateur commun des troubles de l’humeur et de démences devrait être vérifié. L’objectif de cette thèse était d’étudier les liens entre la pression artérielle, la dépression et la démence. Dans un échantillon de 9294 sujets âgés de 65 ans et plus (Etude 3C), non institutionnalisés, suivis pendant 4 ans, nous avons retrouvé une association entre les symptômes dépressifs sévères à l’inclusion et le risque de démence (en particulier vasculaire) incidente. A l’opposé, les antécédents dépressifs n’augmentaient pas le risque de démence. Nos analyses transversales indiquaient une pression artérielle plus basse chez les sujets dépressifs comparés aux sujets non dépressifs. Pour terminer, l’association entre les symptômes dépressifs sévères et la démence n’était pas médiée par l’hypertension artérielle. Nos résultats indiquent que les symptômes dépressifs semblent constituer une expression non cognitive de la phase prodromale de la démence plutôt que d’en être un facteur de risque. L’explication d’une pression artérielle plus basse chez les sujets dépressifs comparés aux sujets non dépressifs n’est pas univoque. Une pression artérielle basse pourrait conduire à une hypoperfusion cérébrale, corrélée aux lésions de la substance blanche dans les régions les plus sensibles aux modifications du flux sanguin cérébral et dont l’altération est associée aux manifestations dépressives et cognitives. Ce travail offre de nouvelles perspectives de définition des groupes de population à haut risque de démence, et des perspectives de recherche sur les mécanismes biologiques liant la pression artérielle et la dépression. D’un point de vu méthodologique, il met l’accent sur la nécessité des méthodes d’évaluation fiables et précises des cas pathologiques (dépressifs et déments), lesquels influencent réciproquement l’évaluation de chacun. / Depression is highly common throughout the life course and dementia is common in late life. Depression has been linked with dementia, yet the direction and pathological mechanisms of this association (whether depression is a prodromal feature or consequence of, or a risk factor for dementia) remains unclear. Vascular risk factors are associated to the risk of incident cognitive impairment and dementia and comorbid vascular disease is a feature of depression in latelife. Therefore, the hypothesis that vascular risk factors are the ultim denominator of psychological perturbations and dementia is to be verified. The aim of this work was to study the links between blood pressure, depression and dementia. In a cohort of 9294 community-dwelling elderly individuals aged 65 years and over, participating to the longitudinal population-based 3 City Study, followed up for 4 years, we found an association between baseline depressive symptoms’ severity and the incident dementia risk (particularly of vascular type). Conversely, we found no association between history of depression and incident dementia. Moreover, our cross sectional analyses exhibited an inverse association between systolic and diastolic blood pressure values and depression. Overall, however, the association between depressive symptoms and dementia was not mediated by hypertension. These results indicate that depression is rather a prodromal symptom of vascular dementia than a risk factor for it. The explanation for the inverse association found between blood pressure values and depression is not straightforward. Low blood pressure may lead to cerebral hypoperfusion found to be associated with white matter lesions in cerebral regions vulnerable to alterations of cerebral blood flow, and associated with cognitive impairment and depression. This work offers the opportunity for the definition of group of populations at high risk to develop dementia, vascular one in particular. It also gives the perspective of research on the biological mechanisms linking blood pressure and depression. From a methodological point of view, it emphasizes the need for instruments assessing precisely and thoroughly these two conditions which influence the assessment of each other.
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Étude du déterminisme moléculaire des Interactions compatibles et incompatibles Vitis vinifera-Nepovirus-Nicotiana occidentalis (InViNNo) / Study of the molecular determinism of compatible and incompatible interactions Vitis vinifera-Nepovirus-Nicotiana occidentalis (InViNNo)

Martin, Isabelle 30 November 2018 (has links)
Le Grapevine fanleaf virus (genre Nepovirus) est l'agent principal du court-noué de la vigne. Il induit des symptômes très variables. Ce travail présente une étude mécanistique de la symptomatologie du GFLV sur un hôte herbacé et sur l'hôte d’intérêt agronomique. Par détection de marqueurs biochimiques et moléculaires j'ai montré que le GFLV-F13 induit une réponse hypersensible (HR) sur N. occidentalis et une restriction partielle du virus. J'ai identifié puis cartographié le déterminant viral de cette HR en utilisant des réassortants, des recombinants et des variants naturels du virus. Sur vigne, sur un dispositif expérimental unique en son genre, j'ai mené une approche sans a priori d’étude transcriptomique par RNA-Seq. J'ai comparé des vignes du cépage gewurztraminer mono-infectées par une souche sévère induisant des symptômes de rabougrissement et par une souche plus modérée. 1 023 gènes sont spécifiquement dérégulés par la souche sévère parmi lesquels des gènes impliqués dans la régulation de la HR. Ce résultat permet de proposer pour la première fois qu'une HR pourrait être mise en place dans la vigne en réponse à une infection virale. / Grapevine fanleaf virus (genus Nepovirus) the causative agent of fanleaf degeneration, induces variable symptoms. This manuscript presents a mechanistic study of GFLV symptomatology on both an herbaceous model plant and an agronomically important crop plant.On N. occidentalis, I demonstrated that GFLV-F13 induces a reaction exhibiting hallmarks of a hypersensitive response (HR), partially restricting virus spread. Using reassortants, recombinants and natural variants of the virus, I could identify and map the viral determinant of this HR. On grapevine, I took advantage of a unique experimental set-up and used RNA-Seq to compare the transcriptoms of Gewurztraminer plants infected with two different GFLV strains, one of which induced stunting symptoms and the other mild symptoms. 1,023 genes among which genes involved in the regulation of HR, were specifically regulated by the more severe strain This is the first hint of a HR taking place in grapevine in response to a virus infection.
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Comparing tolerability profile of second generation antipsychotics in schizophrenia and affective disorders : a meta-analysis

Moteshafi, Hoda 12 1900 (has links)
Les antipsychotiques de deuxième génération (ADG) sont de plus en plus employés dans le traitement de troubles psychiatriques. Selon de nombreuses observations cliniques, les effets secondaires reliés à la prise d’ADG diffèrent chez les patients atteints de schizophrénie (SCZ) et de maladies affectives (MA) éprouvent divers. Ainsi, il s’avère nécessaire d’étudier la fréquence et l'intensité des effets secondaires induits par les ADG qui pourraient différer selon le diagnostic. Pour ce faire, nous avons effectué une revue systématique de la littérature afin d’identifier l’ensemble des études rapportant les effets secondaires de cinq ADG (aripiprazole, olanzapine, quétiapine, rispéridone et ziprasidone) dans le traitement de la schizophrénie ou des maladies affectives. Les effets secondaires métaboliques et extrapyramidaux ont été recueillis séparément pour les deux groupes de patients, puis ont été combinés dans une méta-analyse. Des méta-régressions ainsi que des sous-analyses ont également été effectuées dans le but de regarder l’effet de différents modérateurs (i.e. âge, genre, et dose). Dans la présente méta-analyse, 107 études ont été inclues. Les résultats montrent que le traitement avec l’olanzapine a occasionné une plus importante prise de poids chez les patients SCZ comparativement aux patients MA. De plus, le traitement à la quétiapine a amené une hausse significative du taux de LDL et de cholestérol total dans le groupe SCZ par rapport au groupe MA. Selon nos résultats, les symptômes extrapyramidaux étaient plus fréquents dans le groupe MA, excepté pour le traitement à l'olanzapine qui a induit davantage de ces symptômes chez les patients SCZ. Également, nos résultats suggèrent que les patients SCZ seraient plus vulnérables à certains effets métaboliques induits par les ADG dû à une possible susceptibilité génétique ou à la présence de facteurs de risque associés au style de vie. D'autre part, les patients MA en comparaison aux SCZ étaient plus enclins à souffrir de troubles du mouvement induits par les ADG. Bref, les ADG semblent exacerber certains types d’effets secondaires tout dépendant de la maladie dans laquelle on les utilise. / Second generation antipsychotics (SGAs) are extensively prescribed for psychiatric disorders. Based on clinical observations, schizophrenia (SCZ) and affective disorders (AD) patients experience different SGAs side effects. The expanded use of SGAs in psychiatry suggests a need to investigate whether there is a difference in the incidence and severity of side-effects related to diagnosis. A comprehensive literature search was conducted to identify studies reporting side effects of five SGAs (aripiprazole, olanzapine, quetiapine, risperidone and ziprasidone) in the treatment of SCZ or AD. The metabolic and extrapyramidal side effects were collected separately for each group, and then were combined in a meta-analysis. Meta-regression and sub-analyses were also performed to investigate the role of different moderators (e.g., age, dose and gender). One hundred and seven studies were included in the analysis. Olanzapine induced a body weight gain significantly higher in SCZ patients than in AD patients. In addition, quetiapine treatment led to significantly higher LDL and total cholesterol mean change in the SCZ group relative to the AD group. Based on our results, the incidence of extrapyramidal side effects was more frequent in the AD group, except for olanzapine that caused more parkinsonism in SCZ patients. Our results suggest that SCZ patients may be more vulnerable to some SGA-induced metabolic disturbances, in which lifestyle risk factors and a possible inherent genetic vulnerability may play a role. Most of the studied SGAs caused more movement disorders in AD patients than in schizophrenics. It might be that an antipsychotic induces severity of side effect according to the phenotype.
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Étude des résultats des traitements psychosociaux auprès de jeunes adultes présentant un premier épisode psychotique : influence des traits de personnalité

Beauchamp, Marie-Chantal 06 1900 (has links)
L'objectif général de cette thèse est d'examiner le lien entre les traits de personnalité évalués selon l'approche des cinq facteurs et les résultats des traitements psychosociaux auprès de jeunes adultes présentant un premier épisode psychotique. Afin d'atteindre cet objectif, 129 personnes ont été recrutées à participer à une étude expérimentale randomisée. Les participants ont été assignés soit à un groupe de thérapie cognitive-comportementale, soit à un groupe d'entraînement aux habiletés sociales visant la gestion des symptômes, soit à une liste d'attente. Les participants ont complété pré- et post-traitement le Questionnaire bref de personnalité NEO Révisé (Costa & McCrae, 1992), l'Échelle abrégée d'évaluation psychiatrique (Lukoff et al., 1986; Ventura et al., 1993) et l'Échelle d'adaptation cybernétique (Edwards & Baglioni, 1993). Dans le premier article, les profils de personnalité et la stabilité temporelle des traits de personnalité des jeunes adultes présentant un premier épisode psychotique ont été étudiés. Les résultats révèlent différents profils de personnalité et une stabilité des traits de personnalité. Dans le second article, les profils de personnalité et la valeur prédictive des traits de personnalité ou des profils sur les résultats thérapeutiques ont été investigués. Les résultats révèlent aussi différents profils de personnalité, aucun spécifiquement lié aux symptômes. Aucun lien n'a pu être rapporté entre les traits de personnalité et l'amélioration symptomatologique. Toutefois, les traits de personnalité et les profils sont liés à l'amélioration des stratégies actives d'adaptation. Dans le dernier article, la valeur prédictive des traits de personnalité sur les résultats thérapeutiques selon le groupe de traitement spécifique a été étudiée. Les résultats démontrent un lien entre les traits de personnalité et l'amélioration symptomatologique et des stratégies d'adaptation selon le traitement. Les traits de personnalité sont particulièrement liés aux résultats thérapeutiques des stratégies actives d'adaptation. Cette thèse contribue à l'avancement des connaissances en se penchant sur l'importance des traits de personnalité dans le traitement psychosocial des jeunes adultes présentant un premier épisode psychotique et en soulignant la nécessité d'étudier davantage les différences individuelles de la personnalité de cette clientèle. Les implications cliniques des résultats et les recommandations pour la recherche sont présentées. / The aim of this thesis was to elucidate the link between personality traits based on the Five Factor Model of personality and therapeutic outcomes of two group treatments for first episode psychosis: cognitive behavior therapy and skills training for symptom management. One hundred and twenty-nine individuals with first episode psychosis were recruited to participate in a randomized controlled trial. Participants were randomized to one of two group treatments or to a wait-list control group. Measures pre- and post-treatment included the shorter version of the Revised NEO personality Inventory (Costa & McCrae, 1992), measures of Brief Psychiatric Rating Scale-Expanded (Lukoff et al., 1986; Ventura et al., 1993) and the shorter version of the Cybernetic Coping Scale coping strategies (Edwards & Baglioni, 1993). In the first article, personality profiles and stability over time of personality traits of individuals with a first episode of psychosis were investigated. Results showed that individuals with a first episode of psychosis present with different personality profiles. Moreover, personality traits of the first episodes showed stability over time. In the second article, personality profiles and predictive value of personality traits or profiles on therapeutic outcomes of treatments for first episode psychosis were investigated. Results revealed also different personality profiles, none specifically linked to psychotic symptoms. No links could be demonstrated between personality traits and symptom improvements but personality traits and profiles were linked to therapeutic improvements in active coping strategies. In the last article, predictive value of personality traits on therapeutic outcomes accordingly to specific group treatments for first episode psychosis was investigated. Results showed links between personality traits, symptoms and coping outcome measures, according to specific group treatments. Personality traits were particularly linked to therapeutic improvements in active coping strategies. In sum, this thesis contributed to the field of personality traits in those with a first episode psychosis by investigating the pertinence of personality traits in the choice of psychosocial treatments and highlighting the need for further study considering individual differences in psychosis. Clinical implications are discussed and recommendations for clinical research offered.
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Syndrome inflammatoire chez les schizophrènes toxicomanes

Igue, Raouf 12 1900 (has links)
La schizophrénie est une maladie mentale grave qui présente une comorbidité fréquente avec la toxicomanie et avec divers troubles immunitaires. Une méta-analyse réalisée récemment dans notre laboratoire a montré une augmentation d’IL-6 (une cytokine pro-inflammatoire), du récepteur soluble d’IL-2 (un marqueur d’activation du système immunitaire), et d’IL-1RA (une cytokine anti-inflammatoire) dans la schizophrénie, suggérant l’existence d’un syndrome inflammatoire dans cette maladie. La toxicomanie aussi est associée au dérèglement du réseau des cytokines inflammatoires, mais les effets dépendent du type de drogues et ils sont parfois diamétralement opposés. On dispose encore de peu d’informations sur le statut immunitaire et inflammatoire des patients qui ont un double diagnostic de schizophrénie et de toxicomanie. Le but de ce travail était d’explorer l’existence d’un état inflammatoire systémique chez les patients schizophrènes et toxicomanes, et l’influence du traitement avec un médicament antipsychotique atypique, la quétiapine. Les objectifs spécifiques étaient : 1) Mesurer les concentrations plasmatiques des cytokines inflammatoires chez les schizophrènes et toxicomanes avant, pendant et après traitement avec la quétiapine ; et 2) Faire des études de corrélations entre les taux de cytokines, les symptômes cliniques, et la consommation de drogues. Les résultats montrent que comparativement aux contrôles normaux, les patients avec un double diagnostic présentent une augmentation d’IL-6, d’IL-1RA, du sIL-2R et d’IL-8 avant traitement à la quétiapine. Les augmentations des concentrations plasmatiques d’IL-1RA sont particulièrement importantes chez les patients avec double diagnostic, si on les compare à celles publiées chez les schizophrènes sans toxicomanie. Le traitement à la quétiapine n’influence pas les concentrations plasmatiques de ces cytokines, sauf sIL-2R qui augmente davantage au cours du traitement. Des corrélations positives de puissance modérée sont retrouvées entre IL-6 et dépression, IL-6 et alcool, IL-1RA et cognition, IL-8 et dépression, IL-8 et alcool, sIL-2R et cannabis. Notre étude révèle que la réponse inflammatoire est activée chez les schizophrènes et toxicomanes. De plus, la toxicomanie semble jouer un rôle facilitant ou potentialisateur dans les augmentations des taux circulants d’IL-1RA. Les études en cours sur différentes populations de schizophrènes avec ou sans toxicomanie, et chez des toxicomanes non schizophrènes permettront de préciser le rôle des différentes drogues d’abus dans le syndrome inflammatoire chez les schizophrènes, ainsi que les implications de ce syndrome sur le plan clinique et thérapeutique. / Schizophrenia is a psychosis which presents a frequent comorbidity with substance use disorders (SUD) and with various immune alterations. Using meta-analysis, we have demonstrated previously establishment of an inflammatory syndrome in schizophrenia patients, illustrated by elevated circulating levels of IL-6 (a pro-inflammatory cytokine), sIL-2R (marker of immune activation) and IL-1RA (an anti-inflammatory cytokine). SUD is also associated with dysregulation of inflammatory cytokines, but the effects may depend on the type of substance of abuse. The goal of this project was: 1) To measure plasma concentrations of inflammatory cytokines in schizophrenia patients with comorbid SUD, before, during and after treatment with an atypical antipsychotic, quetiapine; and 2) To perform correlation studies between plasma concentrations of inflammatory cytokines and clinical symptoms, including positive and negative symptoms, cognition, depression and substance use. Relative to normal controls, patients with a dual diagnosis showed increased plasma concentrations of IL-6, IL-1RA, sIL-2R, and IL-8 at baseline, IL-1RA increases being the most important. Quetiapine treatment did not influence plasma cytokine concentrations, except sIL-2R which increased further. Moderate positive correlations were found between IL-6 and depression, IL-6 and alcohol, IL-1RA and cognition, IL-8 and depression, IL-8 and alcohol and between sIL-2R and cannabis. This study demonstrates that the immune and inflammatory response is activated in schizophrenia patients with comorbid SUD. Furthermore, SUD may play a facilitating or potentiating role in the increases in peripheral levels of IL-1RA. Ongoing studies in different patient populations with schizophrenia with or without SUD, and patients with SUD alone will help elucidate the role of different substances of abuse in the inflammatory syndrome in schizophrenia, as well as the clinical and therapeutic relevance of this syndrome.
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Le processus de co-rumination entre amis chez les jeunes victimes de harcèlement par les pairs : impact sur le développement des symptômes dépressifs à l’adolescence

Jerabkova, Barbara 10 1900 (has links)
La victimisation au sein du groupe de pairs est un facteur de risque associé à l’augmentation des symptômes dépressifs au début de l’adolescence. En contrepartie, le fait d’entretenir des relations d’amitié constitue un facteur protecteur important susceptible de modérer les conséquences négatives associées à la victimisation par les pairs. Toutefois, les bénéfices associés aux relations d’amitié peuvent varier en fonction de certaines caractéristiques de celles-ci. Cette étude a pour but d’évaluer dans quelle mesure les caractéristiques des relations d’amitié (c.-à-d., le caractère intime et soutenant de la relation et la propension des amis à co-ruminer) modèrent l’association entre la victimisation par les pairs et l’augmentation des symptômes dépressifs sur une période d’un an. L'échantillon est composé de 536 élèves du secondaire auprès de qui la victimisation et les caractéristiques des relations d’amitié ont été évaluées au premier temps de mesure de façon auto-rapportée. Les symptômes dépressifs des élèves ont également été mesurés lors de deux années consécutives. Les résultats démontrent que le niveau de victimisation des élèves, la qualité des relations d’amitié et la tendance des amis à co-ruminer sont respectivement associés de façon concomitante à l’expression des symptômes dépressifs. En contrepartie, seule la co-rumination entre amis permet de rendre compte de l’augmentation des symptômes dépressifs sur une période d’un an. L’association entre la victimisation par les pairs et le développement des symptômes dépressifs n’est toutefois pas modérée par les caractéristiques des relations d’amitié. / Victimization is an important risk factor for depression in early adolescence. On the other hand, having friends is an important protective factor susceptible of moderating the negative effects associated with victimization. However, the benefits associated with friendships may vary according to some of their characteristics. The goal of this study was to evaluate whether friendship characteristics (i.e. intimacy and support as well as co-rumination) moderate the association between victimization experiences and depressed feelings a year later. The sample is composed of 536 high school students whose victimization level, friendship quality and tendency to co-ruminate were self-reported at the first time point. Depressive mood were self-reported at the end of two consecutive years. Results show that victimization, friendship quality and co-rumination are respectively associated with concurrent depressive mood. However, only co-rumination predicted depressive mood a year later after controlling for initial adjustment. The link between peer victimization and depressive mood was not moderated by friendship characteristics.
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La quétiapine dans le traitement des troubles liés à l’utilisation de substances psychoactives.

Rizkallah, Élie 07 1900 (has links)
Contexte Les troubles liés à l’utilisation de substances psychoactives (TUS) sont associés à une variété de troubles psychiatriques entre autre une instabilité comportementale et affective. Plusieurs études suggèrent que les antipsychotiques atypiques peuvent être utiles dans le traitement de la toxicomanie. L’objectif principal de la présente étude à devis ouvert est d’évaluer l’efficacité de la quétiapine sur les variables reliés à la toxicomanie chez des poly-toxicomanes sans psychose comorbide entrant en désintoxication. Méthodes Dans le cadre d’une étude pharmacologique à devis ouvert d’une durée de 12 semaines, trente-trois polytoxicomanes entrant en désintoxication et répondant à un ou plusieurs critères d’abus/dépendance à une substance du DSM-IV ont été recrutés. Les patients présentant un autre trouble comorbide à l’Axe I ont été exclus. Les envies de consommer, les quantités consommées, les jours de consommation ainsi que la sévérité de la toxicomanie ont été évalués au point de départ (semaine 0) et à la fin de l’étude (semaine 12). Les symptômes psychiatriques et dépressifs furent aussi évalués. Résultats 26 des 33 patients complétèrent plus de 9 semaines de traitement. Les résultats relatifs à la dernière observation reportée (LOCF) ont montré une amélioration significative des envies de consommer, des quantités consommées, des jours de consommation, de la sévérité de la toxicomanie et des symptômes psychiatriques et dépressifs. Conclusions Nos résultats ne peuvent être attribués en soi aux effets pharmacologiques de la quétiapine, et ce compte tenu d’abord du type d’étude à devis ouvert à laquelle nous avons procédée, ainsi que le petit nombre de sujets impliqués et enfin le fait que les participants étaient impliqués dans une thérapie intensive. Ceci dit, nos résultats suggèrent quand même que la quétiapine peut être bénéfique dans le traitement des toxicomanes entrant en désintoxication. Des études randomisées sont de mises pour déterminer la pertinence de ces résultats. / Background: Substance use disorders (SUDs) are associated with a variety of psychiatric disorders and mood and behavioral instability. Growing evidence suggests that the atypical antipsychotic quetiapine may be useful in the treatment of SUDs. The primary objective of the current open-label trial was to examine the effects of quetiapine on SUD outcomes in patients entering detoxification. Methods: Thirty-three nonpsychosis SUD patients participated. Patients received quetiapine for a 12-week beginning in detoxification. Craving, quantities used and psychiatric symptoms were evaluated on baseline and at end point. Results: Out of 33 recruited patients, 26 completed > 9 weeks of treatment. Last observation carried forward (LOCF) analyses revealed that craving, SUD severity and quantities used improved during the study. Psychiatric and depressive symptoms also improved. Conclusions: Our results cannot be attributed per se to the pharmacological effects of quetiapine owing to the open-label design of the study, the small sample size involved and the fact that patients were involved in an intensive therapy program. Nevertheless, our results indicate that quetiapine may be helpful for the treatment of SUD patients entering detoxification. Controlled studies are warranted to determine whether these results are quetiapine-related.
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Accroissement de la prévalence du TDA/H, de la consommation de psychostimulants et des symptômes dépressifs : l’importance du contexte social évaluée à partir des effets d’âge, de période et de cohorte

Brault, Marie-Christine 08 1900 (has links)
La présente thèse de doctorat visait d’abord à valider les résultats des études antérieures démontrant un accroissement de la prévalence des problèmes de santé mentale et ensuite, à évaluer l’importance du contexte social dans l’explication des changements de prévalence, à partir des effets d’âge, de période et de cohorte. L’atteinte de ces objectifs s’est faite à partir de deux études empiriques, chacune ciblant sa propre problématique en santé mentale. La première étude, basée sur les données de l’Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes (ELNEJ) de Statistique Canada, a permis de conclure à un accroissement réel de la prévalence du diagnostic de trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité (TDA/H) et de la consommation de psychostimulants chez les enfants canadiens entre 1994 et 2007. Toutefois, cette tendance n’est ni constante, ni universelle, puisque des effets de période et d’âge apparaissent clairement : l’augmentation des prévalences est uniquement remarquée dans les années 2000, et survient seulement chez les enfants d’âge scolaire. L’identification d’inégalités de prévalence dues à la période historique et à l’âge des enfants souligne l’importance du contexte social dans la problématique du diagnostic de TDA/H et de la consommation de psychostimulants. La seconde étude a été réalisée à partir des données du Panel Study of Belgian Households (PSBH) et cherchait à expliquer l’accroissement des symptômes dépressifs observé ces vingt dernières années chez les adultes belges. L’utilisation de l’analyse multiniveaux longitudinale permettant la distinction des effets d’âge et des effets de cohortes a été privilégiée. Bien que l’intensité des symptômes dépressifs ait varié de manière relativement importante chez les individus au cours des années 1990, nos conclusions démontrent que les symptômes auto-rapportés de dépression sont davantage associés aux conditions de vie, qu’à la personnalité. L’augmentation résulte d’un effet de la succession des cohortes, où les individus des cohortes les plus récentes rapportent toujours une plus grande intensité de symptômes dépressifs que les individus des cohortes précédentes. Les membres d’une même cohorte de naissance partagent donc des expériences communes à un âge similaire, ce qui a un impact durable sur leurs comportements et sur leur santé mentale. De manière générale, les résultats des deux articles empiriques ont, chacun à leur manière, confirmé la réalité de l’accroissement des problèmes de santé mentale dans les sociétés occidentales contemporaines, et permis de constater que la prévalence diffère selon l’âge et la cohorte de naissance des individus, ainsi que selon la période historique, renforçant ainsi l’hypothèse de l’importance des facteurs sociaux dans l’étiologie des problèmes de santé mentale. Bien que la nature de ces facteurs n’ait pu être testée de manière directe, de nombreuses explications sociales furent tout de même proposées. À cet égard, des changements dans les normes comportementales associées à l’âge, dans les normes sociales, dans la conceptualisation des troubles mentaux, des modifications dans la sphère éducative, ainsi que des innovations pharmacologiques, médicales et technologiques constituent des explications sociales aux effets d’âge, de période et de cohorte qui ont été observés. / This doctoral dissertation aimed to validate findings from previous studies indicating an increase in the prevalence of mental health problems, and to evaluate the importance of contextual factors in explaining this increase in prevalence. Age, period and cohort effects were considered proxies for social context factors. These objectives were achieved through two empirical studies, each one focusing on a specific mental health problem. The first study analyzed data from the Statistics Canada National longitudinal survey on children and youth (NLSCY) and found significant increase in the prevalence of Attention-deficit/hyperactivity disorder (ADHD) diagnosis and the prescription of ADHD medications for Canadian children between 1994 and 2007. However, this tendency was not constant, or linear, as some period and age effects were found: an increase in prevalence was found only during the 2000s, and only for school-age children. These differences in prevalence rate by historical period and children’s age underline the importance of the social context in the diagnosing of ADHD diagnosis and prescription of ADHD medications. The second study used the data from the Panel Study of Belgian Households (PSBH) and aimed to explain the increase of depressive symptoms observed recently among Belgian adults. A longitudinal multilevel analysis, allowing for the disentanglement of age and cohort effects, was conducted. Our findings demonstrate that, despite a variation in the intensity of depressive symptoms within individuals during the 1990s, self-reported symptoms are mostly associated with a reaction to life conditions rather than with personality. The increase over time results from an effect of cohort succession, where individuals from the most recent cohort always report more depressive symptoms than individuals from the oldest cohorts. Members from the same cohort share common experiences at a similar age, which has a durable impact on their behaviors and mental health. In general, results from our two empirical studies confirmed, each in their own way, that mental health problems have increased in contemporary Western societies. Moreover, findings demonstrated that prevalence differs according to age, birth cohort and historical period, thus reinforcing the importance of social factors in the etiology of mental health problems. Although the true nature of these social factors could not be directly examined, many social explanations were proposed. For example, the changes in behavioral norms associated with age, social norms, the conceptualization of mental health problems, and to the school system, as well as innovations in pharmacological, medical and technological fields across this period are all potential factors explaining these age, period and cohort effects.
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Étude longitudinale du lien prédictif entre les événements de vie négatifs et les symptômes somatiques à l’adolescence : le rôle modérateur des traits de personnalité

Samson, Sarah 05 1900 (has links)
No description available.
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Etude des facteurs psychopathologiques associés à la dépression, à la qualité de vie et à l'adiction [sic] à l'alimentation dans le cadre de la maladie chronique à partir du modèle de Wilson et Cleary / Study of the psychopathological factors associed with depression, quality of life and food addiction in patients with chronic diseases using Wilson and Cleary's theoretical model

Brunault, Paul 08 July 2015 (has links)
L’objectif de cette thèse d’articles était de préciser la place respective des mesures objectives (ex., durée et sévérité de la maladie, traitements reçus) et subjectives (ex., troubles psychiatriques, personnalité) en tant que déterminants potentiels de dépression, de qualité de vie (QV) et d’addiction à l’alimentation chez des patient(e)s souffrant de cancer du sein ou d’obésité sévère. En nous basant sur des modèles biopsychosociaux issus du modèle de Wilson et Cleary, nous avons démontré que : 1) La dépression était plus fortement associée aux caractéristiques psychopathologiques de l’individu (personnalité, dépression avant traitement) qu’à la sévérité de la maladie ou aux types de traitements reçus ; 2) Les facteurs associés à la QV dépendent de la dimension de QV considérée (association entre mesures objectives et QV physique ; association entre mesures subjectives et toutes les dimensions de QV) ; 3) Les patients obèses souffrant d’addiction à l’alimentation ont une vulnérabilité psychopathologique spécifique. Nos travaux suggèrent qu’en cas de maladie chronique, les mesures subjectives sont des déterminants potentiels importants de la santé / This article thesis aimed to assess risk factors for three different health outcome measures (depression, health-related quality of life and food addiction) in two populations (breast cancer patients and morbidly obese patients), by assessing the relative impact of biological and physiological variables (i.e., disease duration and severity, types of treatment used), and individual and psychological variables (i.e., psychiatric disorders, personality). By proposing and putting to the test several integrative biopsychosocial models based on Wilson and Cleary’s theoretical model, we demonstrated that : 1) Depression after breast cancer treatment is more strongly associated with variables related to the premorbid individual and psychological characteristics (i.e., personality and depression before treatment) than to biological and physiological variables (i.e., disease severity, types of treatment used) ; 2) Risk factors for lower quality of life are different depending on the quality of life dimension considered (e.g., physical, psychological or sexual) : biological and physiological variables are associated with physical quality of life ; individual and psychological factors are associated with all quality of life dimensions ; 3) Obese patients with food addiction exhibit some specific psychopathological risk factors. Our work suggest to systematically assess individual and psychological variables in patients with chronic diseases because these variables are important potential predictors for different health outcomes

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