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Attachement, émotions, et somatisation

Beauregard, Vickie January 2012 (has links)
La somatisation a une prévalence élevée dans la population. Les médecins n'arrivant pas à bien comprendre les symptômes ni à les traiter, certains facteurs psychologiques sont mis en cause dans le développement et le maintien de cette problématique. Parmi ceux-ci, des déficits au niveau de la régulation émotionnelle et de la mentalisation des états affectifs sont identifiés. Le développement d'un attachement insécurisant (c.-à-d. caractérisé par une élévation à la dimension d'anxiété d'abandon ou d'évitement de l'intimité) est reconnu comme étant impliqué dans ces déficits. Un examen de la documentation scientifique permet de constater que les mécanismes affectifs susceptibles de contribuer à la somatisation n'ont étés explorés que partiellement. Afin de préciser ces mécanismes, nous proposons un modèle original qui distingue deux profils de personnes présentant des symptômes de somatisation en fonction de la dimension d'attachement. Il est postulé que l'évitement de l'intimité implique une inhibition émotionnelle et l'anxiété d'abandon une intensification émotionnelle, et que ces deux profils distinctifs engendrent une plus grande incidence de la somatisation. L'affectivité négative, des déficits au niveau de la mentalisation et l'affectivité positive sont aussi intégrés au modèle; il est attendu que les deux premiers facteurs accroissent la somatisation, alors qu'aucune hypothèse n'est formulée concernant l'affectivité positive. Afin de vérifier ces hypothèses, des questionnaires mesurant ces différentes variables ont étés administrés à des personnes présentant des symptômes qui ne sont pas complètement expliqués médicalement. Les résultats montrent que l'évitement de l'intimité va de pair avec une inhibition émotionnelle, mais contrairement à ce qui était prévu, il n'augmente pas la somatisation via ce style de régulation émotionnelle tel que mesuré dans cette étude. Plutôt, l'évitement de l'intimité accroit la somatisation par le mécanisme de l'anhédonie (faible affectivité positive). L'anxiété d'abandon favorise l'intensification émotionnelle. Elle accroit la somatisation par le biais de l'affectivité négative, qu'elle tend à augmenter directement ou indirectement via l'intensification émotionnelle. L'affectivité négative est le meilleur prédicteur de la somatisation dans le modèle, suivie de près par l'anhédonie. Un déficit au niveau de la capacité à envisager ses propres états mentaux est associé à une augmentation de la somatisation et prédit les préoccupations par rapport à la santé, mais pas les symptômes somatiques et leurs impacts. La capacité à envisager les états mentaux des autres n'ayant pas été mesurée adéquatement, ses relations avec la somatisation n'ont pu être convenablement mises à l'épreuve. Dans l'ensemble, les deux profils, soit évitement de l'intimité-inhibition et anxiété d'abandon-intensification, semblent contribuer à la somatisation. Le profil évitement de l'intimité-inhibition le fait principalement via l'anhédonie, possiblement associée à des mécanismes dépressifs, alors que l'action du profil anxiété d'abandon-intensification s'exerce via l'affectivité négative, sans doute affiliée à des mécanismes anxieux. La mentalisation semble également liée à la somatisation : cette dernière augmenterait en fonction des difficultés vécues sur le plan de la capacité à envisager ses propres états mentaux, en accord avec les hypothèses traditionnelles de la médecine psychosomatique. Mots clés : somatisation, symptômes physiques médicalement inexpliqués, attachement, mentalisation, régulation émotionnelle, affectivité positive, affectivité négative.
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Les symptômes et les troubles intériorisés chez les jeunes contrevenants

Morin, Claudia January 2016 (has links)
Chaque année, des adolescents québécois sont soumis à des sanctions judiciaires en raison de leurs actes de délinquance (Association des centres jeunesse du Québec, 2015). Plusieurs recherches récentes indiquent que ces jeunes sont plus à risque de répondre aux critères diagnostiques d’au moins un trouble mental que les adolescents de la population générale (Fazel, Doll, & Langstrom, 2008; Vermeiren, 2003). Les jeunes contrevenants sont également plus nombreux à présenter des symptômes et des troubles intériorisés (Abram et al., 2014; Skowyra & Cocozza, 2007; Teplin et al., 2006), soit des comportements anxieux, dépressifs, de retrait et des plaintes somatiques (Achenbach & McConaughy, 1992). Cette thèse contribue aux connaissances quant aux symptômes et aux troubles intériorisés chez les jeunes contrevenants en traitant de deux sujets peu étudiés : les problèmes intériorisés des jeunes contrevenants associés aux gangs de rue et l’identification de ces problèmes par les intervenants travaillant auprès d’eux. Le premier article composant la thèse présente une étude descriptive où le nombre de symptômes et de troubles intériorisés a été comparé entre des jeunes contrevenants révélant être ou avoir été associés aux gangs de rue (n = 62) et des jeunes contrevenants n’ayant pas révélé une telle association (n = 41). Les symptômes et les troubles intériorisés ont été mesurés à l’aide d’un questionnaire et d’une entrevue diagnostique semi-structurée. Les résultats indiquent que les jeunes associés aux gangs présentent davantage de symptômes de dépression-anxiété et sont plus nombreux à répondre aux critères diagnostiques d’au moins un trouble anxieux que ceux qui n’y sont pas associés. De plus, près de la moitié des participants, associés ou non aux gangs de rue, répondent aux critères diagnostiques d’au moins un trouble intériorisé. Cette forte prévalence de troubles intériorisés soulève l’importance que ceux-ci soient dépistés par les intervenants travaillant auprès des jeunes contrevenants. En effet, considérant que les troubles mentaux non traités entrainent de la souffrance, nuisent au fonctionnement et sont liés à des taux de tentatives de suicide, d’arrestations et de récidive plus élevés (Abram et al., 2014; Cottle, Lee, & Heilbrun, 2001; Hoeve, McReynolds, & Wasserman, 2013; Schonfeld et al., 1997), leur identification s’avère primordiale afin qu’ils puissent bénéficier des services dont ils auraient besoin. Le deuxième article de cette thèse est une étude exploratoire où sont recensés les symptômes et les troubles intériorisés mentionnés par les intervenants au rapport prédécisionnel (RPD) de 22 participants. La concordance entre ces symptômes et troubles intériorisés et ceux autorapportés par les jeunes contrevenants par un questionnaire et une entrevue semi-structurée est ensuite évaluée. Plusieurs symptômes et troubles intériorisés seraient « sous-identifiés » dans le RPD des jeunes contrevenants en comparaison de ce qui est révélé par les participants. Les résultats de ces deux études laissent croire qu’il serait pertinent d’offrir de la formation aux intervenants quant aux symptômes et aux troubles intériorisés chez les adolescents, d’implanter une procédure de dépistage systématique des troubles mentaux, et d’inclure les symptômes et les troubles intériorisés dans les programmes de prévention et de traitement offerts aux jeunes contrevenants.
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Les IgG et les IgE spécifiques aux isocyanates chez les apprentis en carrosserie automobile à risque de développer de l'asthme professionnel

Dragos, Mircea Claudiu January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Dérèglement des cytokines inflammatoires chez les schizophrènes avec abus de substances

Bah, Ramatoulaye January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Étude neuroanatomique fonctionnelle de l'émoussement affectif dans la schizophrénie : les implications du traitement à la quetiapine

Fahim, Cherine January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Trajectoires de symptômes dépressifs chez les sujets âgés : profils, déterminants et évènements évolutifs à partir des données sur 20 ans de la cohorte PAQUID. / Trajectories of depressive symptoms in community-dwelling older adults : course predictive factors and outcomes

Montagnier, Delphine 26 March 2014 (has links)
L’objectif de ce travail était d’étudier l’évolution des symptômes dépressifs (SD) chez 2590 sujets âgés français, issus de la population générale et suivis pendant 20 ans entre 1988 et 2008. Une méthode d’analyse du changement fondée sur l’identification de trajectoires individuelles de développement a été utilisée afin de tenir compte de l’hétérogénéité pressentie dans cette population. Les facteurs et évènements évolutifs associés aux trajectoires de SD ont été étudiés. Nous avons identifié cinq trajectoires d’évolution de SD entre 1988 et 2008 et trois trajectoires entre 65 et 104 ans. La majorité des individus ne présentait pas ou peu de SD au cours des 20 ans de suivi. Cependant, environ une personne sur dix suivait une trajectoire compatible avec un diagnostic de dépression chronique. Les antécédents psychiatriques, la polymédication, les comorbidités somatiques et la perte d’autonomie étaient des facteurs fortement prédictifs de dépression « émergente » ou « persistante ». Le veuvage apparaissait être un facteur protecteur d’appartenance à la trajectoire de dépression « persistante » pour les femmes uniquement. L’entrée en institution et le décès étaient plus fréquents dans les trajectoires les plus défavorables. Les trajectoires de SD étaient significativement associées aux trajectoires de consommation d’antidépresseur. Notre travail confirme l’hétérogénéité de l’évolution des symptômes dépressifs en population âgée. Il alerte sur la prévalence préoccupante de la chronicité et aide à déterminer des sujets à plus haut risque d’évolution défavorable qui pourraient faire l’objet d’actions de prévention. / The aim of this study was to investigate patterns of the course of depressive symptoms (DS) in 2590 community-dwelling older adults followed over a period of 20 years, between 1988 and 2008. Using a group-based trajectory method, we modelled the course of DS and examined associations between trajectory patterns and baseline socio-demographic and health variables, as well as outcomes. We identified five time-related trajectories between 1988 and 2008, and three age-related trajectories between 65 and 104 years old. A majority of participants experienced no or only mild DS. However, about one to ten belonged to high-level trajectories consistent with clinically relevant chronic depression. Psychiatric history, polypharmacy, somatic comorbidities and functional limitation were strongly associated with membership to increasing and persistently high trajectories. Being widowed seemed to be a protective factor for membership of this persistently high trajectory group only in women. Institutionalization and death were more prevalent in worse trajectories. Trajectories of DS and trajectories of antidepressant use were significantly associated. Our study confirmed heterogeneity of the evolution of DS in late-life and highlighted the problematic risk of chronicity. We identified several high-risk groups for later-life depression that can be easily detected and that are amenable to preventive intervention.
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Risk factors for suboptimal adherence and facilitators of adherence to HAART in HIV-infection

Massé, Brigitte January 2005 (has links)
No description available.
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Troubles des comportements alimentaires : nouveaux symptômes ? Nouveaux traitements ? / Eating disorder : news symptoms ? news treatements ?

Dubreil, Jean-Malo 15 September 2018 (has links)
Notre thèse porte sur les troubles des comportements alimentaires (TCA). Ces derniers ont certaines spécificités représentatives des nouvelles formes de symptômes. La dimension de jouissance y est prédominante et a tendance à étouffer la dimension d’appel propre à toute formation symptomatique. Au regard de ces particularités, les traitements dits « habituels » sont fréquemment inopérants, ce qui peut amener certains patients à entrer dans un protocole de soin hospitalier. Lieu, offrant de multiples scènes de soins qui œuvrent de façon convergente pour vider le symptôme d’une partie de sa jouissance.La thèse montre que la démarche clinique auprès de ceux qui souffrent de TCA, doit amener le psychologue clinicien, à faire preuve de créativité et prendre une posture active, s’il veut permettre au sujet de s’ouvrir à sa division subjective / Our research dealt with eating disorders. They have specific characteristics that represent new forms of symptoms. The ‘Jouissance’ dimension is predominant and tends to overwhelm the ‘address dimension’ corresponding to any symptomatic formation. In view of these particularities, treatments called ‘usual’ are frequently ineffective, leading some of the patients to medical care. The clinical environment allows a multidisciplinary team to meet and work together under certain conditions in order to remove part of the ‘jouissance’ in the symptoms. This work aims to show that the clinical procedure addressed to those who suffer from eating disorders must provide a clinical psychologist who will have to prove creativity and an active behaviour in order to give the subject the possibility to access his unconcious
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Troubles du comportement chez les sujets âgés en Afrique Centrale / Neuropsychiatric symptoms among older people in Central Africa

Zohoun, Ines 16 September 2019 (has links)
Les troubles du comportement sont fréquents chez les sujets âgés avec ou sans troubles cognitifs. En Afrique subsaharienne, très peu de données sont disponibles en population générale sur les troubles du comportement chez le sujet âgé et aucune n’a encore été réalisée en Afrique Centrale. L’objectif général de ce travail était de contribuer à une meilleure connaissance des troubles du comportement chez les sujets âgés en Afrique Centrale en République Centrafricaine et au Congo. Nos objectifs spécifiques étaient de : 1) décrire les troubles du comportement, leur gravité, leur retentissement, leurs facteurs associés et les symptômes associés aux démences ; 2) évaluer l’association entre les troubles du comportement et l’Apolipoprotéine E ε4 ; 3) évaluer l’association entre les troubles du comportement, la mortalité et le déclin cognitif. A partir des données des programmes EPIDEMCA et EPIDEMCA-FU, nous avons pu déterminer que la prévalence des troubles du comportement était de 63,7% (IC95% : 59,5-67,8). Le score médian global de gravité était de 9 [IQR : 6-12] et le score médian global de retentissement était de 7 [IQR : 4-10]. Vivre à Gamboma (zone rurale du Congo), l’audition normale et les liens amicaux étaient protecteurs des troubles du comportement. Le sexe féminin, la démence, la personnalité dépendante et le handicap physique ont été identifiés comme étant associés à la présence des troubles du comportement. Les idées délirantes, la dépression, l’apathie, la désinhibition et le comportement moteur aberrant étaient associés à la présence de démences dans notre étude. Dans nos travaux, les troubles du comportement n’étaient pas associés à l’Apolipoprotéine E ε4. Ces symptômes étaient associés à la mortalité des sujets âgés à deux ans mais pas au déclin cognitif. Ces résultats permettent une amélioration de la connaissance des troubles du comportement en Afrique Centrale et de nombreuses perspectives liées à leur prise en charge s’en dégagent. / Neuropsychiatric symptoms are common among older adults with or without cognitive disorders. In sub-Saharan Africa, few population-based studies are focused on these symptoms and to our knowledge no study was conducted in Central Africa. Our main objectivewas to improve the knowledge of neuropsychiatric symptoms in Central Africa (Central African Republic: CAR and Republic of Congo: ROC). Specifically we aimed at describing the neuropsychiatric symptoms, their severity, their distress and associated factors; 2) evaluating the association between neuropsychiatric symptoms and Apolipoprotein E ε4; 3) evaluating the association between neuropsychiatric symptoms, mortality and cognitive decline among older adults We performed the studies, using data from the EPIDEMCA and EPIDEMCA-FU programmes. The prevalence of neuropsychiatric symptoms was 63.7% (95%CI: 59.5-67.8).The overall median score of severity was 9 [IQR: 6-12] and the overall median score of distress was 7 [IQR: 4-10]. Living in Gamboma (rural ROC), normal hearing and having friends in the community were protective while female sex, dementia, dependent personality, and physical disability were risk factors for neuropsychiatric symptoms. Delusions, depression, apathy, disinhibition and aberrant motor behavior were specifically associated with dementia. We are not able to confirm the relationship between neuropsychiatric symptoms and Apolipoprotein E ε4. Neuropsychiatric symptoms were associated with mortality after two years of follow-up but not associated with cognitive decline. This thesis allowed us to improve the knowledge of behavioral disorders in Central Africa. Due to their burden among caregivers, a better management of these symptoms must be performed.
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Perception de la douleur dans la schizophrénie : mécanismes excitateurs de la douleur / Pain perception in schizophrenia: pain excitatory mechanisms

Lévesque, Mylène January 2012 (has links)
Résumé : Depuis la caractérisation de la schizophrénie, les cliniciens ont noté une sensibilité anormale à la douleur chez leurs patients. D’un autre côté, la littérature publiée sur le sujet est plutôt inconsistante concernant la nature du changement de douleur rapportée. Dans un effort pour mieux caractériser le profil de réponse à la douleur dans la schizophrénie, nous avons donné des stimulations nociceptives aiguës et prolongées (à répétition rapide; sommation temporelle) à des patients souffrant de schizophrénie et à des sujets sains. En mesurant le score de douleur subjective et la réponse du réflexe de flexion nociceptif en réponse à des stimulations électriques transcutanées, il a été possible d’évaluer la contribution des circuits spinaux à la douleur chez les patients et les sujets sains. Les résultats révèlent une sensibilité augmentée à la douleur aiguë chez les patients atteints de schizophrénie (i.e., un seuil de détection de la douleur plus bas que les sujets sains) mais aussi une diminution de la sommation temporelle de la douleur quand les stimuli se répètent fréquemment. Les différences intergroupes dans l’expérience subjective à la douleur n’étaient pas accompagnées d’une différence dans l’amplitude du réflexe nociceptif, suggérant ainsi une origine supra-spinale du phénomène observé. Il est intéressant de noter que les symptômes positifs de la schizophrénie étaient corrélés négativement avec les scores de seuil de douleur chez les patients atteints de schizophrénie, suggérant que les distorsions de la pensée et des fonctions peuvent être reliées à une augmentation de la sensibilité à la douleur aiguë dans la schizophrénie. Ces résultats suggèrent la présence d’un profil de sensibilité à la douleur unique chez les patients atteints de schizophrénie ayant des répercussions importantes pour les pratiques cliniques. // Abstract : Ever since the characterization of schizophrenia, clinicians have noted abnormal pain sensitivity in their patients. The published literature, however, is inconsistent concerning the nature of the change reported. In an effort to better characterize the pain response profile of schizophrenia patients, we provided both acute and prolonged (i.e., rapidly-repeating: temporal summation) painful stimuli to schizophrenia patients and healthy controls. By measuring subjective pain ratings and nociceptive flexion reflexes in response to transcutaneous electrical stimulations of the sural nerve, it was possible to evaluate the contribution of spinal circuits to pain in patients and controls. Results revealed increased sensitivity to acute pain in schizophrenia patients (i.e., lower pain detection thresholds for schizophrenia patients than for controls), but decreased temporal summation of pain when painful stimuli repeated frquently. Group differences in subjective experience were not accompanied by group differences in nociceptive flexion reflex activity, suggesting supra-spinal origins to the change in pain experienced by patients. Interestingly, positive symptoms correlated negatively with pain threshold values among patients, suggesting that distortions of thought and function relate to pain sensitivity in schizophrenia. These results indicate the presence of a unique pain response profile for schizophrenia patients which have important implications for clinical practice.

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