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The Sentence as a cognitive object. The Neural underpinnings of syntactic complexity in Chinese and French / La phrase en tant qu'objet cognitif. Bases neurales des structures syntaxiques dans la phrase chinoise et française.

Fabre, Murielle 07 December 2017 (has links)
En associant les récentes techniques de neuro-imagerie (IRMf et Potentiels Evoqués) à la finesse des analyses syntaxiques des approches typologiques et formelles, cette recherche pluridisciplinaire se penche sur la question de la représentation des structures hiérarchiques qui caractérisent l’unité-phrase à travers les langues. La façon dont le cerveau humain représente, construit et l'esprit comprend les diverses structures de phrase, est en effet une des plus importantes questions qui restent encore largement irrésolues dans l’organisation cérébrale du langage. En nous appuyant sur la diversité des langues dans leur organisation syntaxique de l’unité-phrase, nous avons pu isoler différentes dimensions de cette complexité grâce aux propriétés syntaxiques du français dans la formation des questions, ainsi qu'aux spécificités des articulations Topique-Commentaire en chinois mandarin. Suite à une étude du marquage intonationel de la hiérarchie entre Topique et Commentaire, nous avons pu enregistrer les réponses cérébrales (PE) à ce type de constructions en contexte, et ainsi découvrir l’influence de sa signature prosodique sur son traitement en temps réel. Nos deux études d’IRMf apportent quand à elles un éclairage sur les bases neurales de deux dimensions de la complexité syntaxique de la phrase : sa structure hiérarchique et les transformations structurelles dont elle témoigne en cas de dislocation de ses éléments. La première étude, sur les interrogatives en français, met en lumière les corrélats cérébraux de différents types de movements syntaxiques, la seconde, sur les différents phénomènes topicaux du chinois, révèle les représentations et processus qui sont liés à l’activation par le Topique de l’interface entre l’unité-phrase et le niveau du discours. / Combining fine-grained linguistic analyses — from both typological and formal approaches to syntax — with neuro-imaging techniques (fMRI and ERP), this pluri-disciplinary research aims at investigating experimentally the issue of the hierarchical nature and complexity of the linguistic representation of sentence structure and its processing strategies across languages, specifically focusing on the case of Chinese Topic-Comment articulations and on French Interrogative constructions. The question of how the brain achieves sentence structure representation, building and understanding is often seen as one of the most important and unsolved issues of the neural organization of language. Leveraging on cross-linguistic invariance and variability in sentence hierarchical structure organization and building, we found in Chinese and French two exceptional testing grounds to isolate different syntactic complexity dimensions of the sentence-unit encoding. While the on-line auditory comprehension of sentence hierarchical structure in case of minimal intonational cues is investigated thanks to ERP recordings of Topic-Comment articulations in Chinese, two fMRI studies isolate two different syntactic complexity dimensions, respectively reflecting the sentence’s hierarchy and syntactic transformations. The first study, on French interrogative, seeks to isolate the neural correlates of different syntactic movement types. The second study, on Chinese sentence-discourse interface and Topics types, enables us to distinguish word-order surface complexity factors from syntactic movement transformations.
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Propriétés syntaxiques des Qu- ajouts en chinois mandarin

Ren, Yi 05 1900 (has links)
No description available.
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Génération de phrases multilingues par apprentissage automatique de modèles de phrases / Multilingual Natural Language Generation using sentence models learned from corpora

Charton, Éric 12 November 2010 (has links)
La Génération Automatique de Texte (GAT) est le champ de recherche de la linguistique informatique qui étudie la possibilité d’attribuer à une machine la faculté de produire du texte intelligible. Dans ce mémoire, nous présentons une proposition de système de GAT reposant exclusivement sur des méthodes statistiques. Son originalité est d’exploiter un corpus en tant que ressource de formation de phrases. Cette méthode offre plusieurs avantages : elle simplifie l’implémentation d’un système de GAT en plusieurs langues et améliore les capacités d’adaptations d’un système de génération à un domaine sémantique particulier. La production, d’après un corpus d’apprentissage, des modèles de phrases finement étiquetées requises par notre générateur de texte nous a conduit à mener des recherches approfondies dans le domaine de l’extraction d’information et de la classification. Nous décrivons le système d’étiquetage et de classification de contenus encyclopédique mis au point à cette fin. Dans les étapes finales du processus de génération, les modèles de phrases sont exploités par un module de génération de texte multilingue. Ce module exploite des algorithmes de recherche d’information pour extraire du modèle une phrase pré-existante, utilisable en tant que support sémantique et syntaxique de l’intention à communiquer. Plusieurs méthodes sont proposées pour générer une phrase, choisies en fonction de la complexité du contenu sémantique à exprimer. Nous présentons notamment parmi ces méthodes une proposition originale de génération de phrases complexes par agrégation de proto-phrases de type Sujet, Verbe, Objet. Nous envisageons dans nos conclusions que cette méthode particulière de génération puisse ouvrir des voies d’investigations prometteuses sur la nature du processus de formation de phrases / Natural Language Generation (NLG) is the natural language processing task of generating natural language from a machine representation system. In this thesis report, we present an architecture of NLG system relying on statistical methods. The originality of our proposition is its ability to use a corpus as a learning resource for sentences production. This method offers several advantages : it simplifies the implementation and design of a multilingual NLG system, capable of sentence production of the same meaning in several languages. Our method also improves the adaptability of a NLG system to a particular semantic field. In our proposal, sentence generation is achieved trough the use of sentence models, obtained from a training corpus. Extracted sentences are abstracted by a labelling step obtained from various information extraction and text mining methods like named entity recognition, co-reference resolution, semantic labelling and part of speech tagging. The sentence generation process is achieved by a sentence realisation module. This module provide an adapted sentence model to fit a communicative intent, and then transform this model to generate a new sentence. Two methods are proposed to transform a sentence model into a generated sentence, according to the semantic content to express. In this document, we describe the complete labelling system applied to encyclopaedic content to obtain the sentence models. Then we present two models of sentence generation. The first generation model substitute the semantic content to an original sentence content. The second model is used to find numerous proto-sentences, structured as Subject, Verb, Object, able to fit by part a whole communicative intent, and then aggregate all the selected proto-sentences into a more complex one. Our experiments of sentence generation with various configurations of our system have shown that this new approach of NLG have an interesting potential
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Synchronní formální systémy založené na gramatikách a převodnících / Synchronous Formal Systems Based on Grammars and Transducers

Horáček, Petr January 2014 (has links)
Tato disertační práce studuje synchronní formální systémy založené na gramatikách a převodnících a zkoumá jak jejich teoretické vlastnosti, tak i perspektivy praktických aplikací. Práce představuje nové koncepty a definice vycházející ze známých principů řízeného přepisování a synchronizace. Navrhuje alternativní způsob synchronizace bezkontextových gramatik, založený na propojení pravidel. Tento princip rozšiřuje také na řízené gramatiky, konkrétně gramatiky s rozptýleným kontextem a maticové gramatiky. Dále je představen na podobném principu založený nový druh převodníku, tzv. pravidlově omezený převodník. Jedná se o systém složený z konečného automatu a bezkontextové gramatiky. Práce prezentuje nové teoretické výsledky ohledně generativní a přijímajicí síly. Poslední část práce zkoumá možnosti lingvisticky orientovaných aplikací se zameřením na překlad přirozeného jazyka. Diskutuje a srovnává hlavní výhody nových modelů s využitím vybraných případových studií z českého, anglického a japonského jazyka pro ilustraci.
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L'acquisition du passif en français

Fryer, Maude 12 1900 (has links)
La présente thèse porte sur l’acquisition du passif en français chez des enfants de 3 à 6 ans. Notre premier objectif était de tester l’effet du potentiel adjectival des passifs sur la compréhension des passives actionnelles et non actionnelles. Selon Borer et Wexler (1987), Babyonyshev et al. (2001), Hirsch et Wexler (2006) et Oliva et Wexler (2018), les enfants ne parviendraient pas à comprendre facilement les passifs verbaux, car certains principes de leur grammaire n’auraient pas atteint une certaine maturation syntaxique qui leur autoriserait la computation de ces passifs. Ils pourraient néanmoins utiliser une stratégie adjectivale pour les comprendre en analysant ces passifs comme des passifs adjectivaux, dont la représentation syntaxique serait accessible à leur grammaire. Pour tester cette hypothèse, nous avons mené une première expérimentation auprès de 98 enfants, âgés de 3 à 6 ans, et de 16 adultes, qui ont réalisé une tâche d’appariement phrase-image. Les résultats révèlent que les passives actionnelles ayant un faible potentiel adjectival sont les mieux comprises par les enfants, ce qui va à l’encontre d’une hypothèse adjectivale. Pour expliquer ces résultats, nous avons avancé que l’affectivité avait un effet facilitant sur la compréhension du passif (Nguyen et Snyder, 2018). Les passives actionnelles présentant un degré plus élevé d’affectivité seraient mieux comprises par les enfants. Les résultats de cette expérimentation appuient également l’hypothèse de Paolazzi et al. (2015, 2016) et Grillo, Alexiadou, Gehrke et al. (2019). Comme ces passives ne revêtent pas d’ambiguïté adjectivale/verbale, leur traitement serait moins complexe que les passives actionnelles présentant un potentiel adjectival élevé et qui peuvent être analysées comme des passives adjectivales ou verbales en l’absence du complément en par. Notre deuxième objectif de recherche était de mesurer l’effet du complément en par sur la compréhension des passives actionnelles et non actionnelles. Dans une deuxième expérimentation, 96 enfants, âgés de 3 à 6 ans, et 16 adultes ont effectué une tâche d’appariement phrase-image. Les résultats indiquent que la présence du complément en par n’a aucun effet sur la compréhension des passives actionnelles. Nos deux expérimentations reproduisent aussi l’effet Maratsos (Maratsos et al., 1985) : un délai acquisitionnel est observé pour la compréhension des passives non actionnelles. Les résultats de la deuxième expérimentation montrent que les passives courtes non actionnelles sont mieux comprises que les passives longues non actionnelles. Ainsi, notre recherche en conclut que l’acquisition des passives ne se fait pas d’un seul coup, mais qu’elle est largement déterminée par la présence du complément en par. Ce résultat appuie l’hypothèse de Paolazzi et al. (2015, 2016) et Grillo, Alexiadou, Gehrke et al. (2019). Les passives courtes, qui, sans le complément en par, seraient interprétées comme des passives adjectivales, seraient réanalysées en passives verbales lorsque ce complément est ajouté. Cette réanalyse serait couteuse cognitivement, ce qui expliquerait la moins bonne compréhension des passives longues non actionnelles. Notre thèse propose un ordre d’acquisition des constructions passives. Les passives courtes actionnelles seraient acquises à 3 ans, et les longues, à 4 ans. Les passives courtes non actionnelles seraient maitrisées à 5 ans alors que les longues le seraient après l’âge de 6 ans. Somme toute, nos résultats mettent en évidence l’importance du type de verbe (actionnel/non actionnel), qui est plus déterminant dans la compréhension du passif que l’effet du potentiel adjectival et du complément en par. Nos résultats remettent également en cause l’hypothèse d’une stratégie adjectivale et révèlent l’importance du type de prédicat (évènementiel/statif) et de l’ambiguïté adjectivale/verbale dans la compréhension des phrases passives. / The present dissertation focuses on the acquisition of the French passive construction by young children aged 3 to 6 years old. Our first objective was to test the effect of passive's adjectival potential on the comprehension of actional and non actional passives. Following Borer & Wexler (1987), Babyonyshev et al. (2001), Hirsch & Wexler (2006), and Oliva & Wexler (2018), children are not able to comprehend verbal passives because some principles of their grammar have not reached a certain syntactic maturity, which would allow them to compute these passives. They could however use an adjectival strategy to understand these passives by analyzing them as adjectival passives. To test this hypothesis, we conducted a first experiment with 98 children, aged 3 to 6 years old, and 16 adults, who carried out a sentence-picture matching task. Results show that actional passives with a lower adjectival potential are the ones which are the best understood by children, which do not support an adjectival hypothesis. To explain these results, we have suggested that affectivity have a facility effect on the comprehension of passives (Nguyen & Snyder, 2018). Actional passives which have a higher degree of affectivity would be the ones which are the best understood by children. The results of this experiment also support the hypothesis of Paolazzi et al. (2015, 2016) and Grillo, Alexiadou, Gehrke et al. (2019). Because these passives do not take an adjectival/verbal ambiguity, their treatment would be less complex than actional passives which have a high adjectival potential, and can be analyzed as adjectival or verbal passives without the by-phrase. Our second research objective was to measure the effect of the by-phrase on the comprehension of actional and non actional passives. In a second experiment, 96 children aged 3 to 6 years old and 16 adults did a sentence-picture matching task. Results show that the presence of the by-phrase has no effect on the comprehension of actional passives. Our two experiments reproduce the Maratsos effect (Maratsos et al., 1985): an acquisitional delay is observed for the comprehension of non actional passives. The results of the second experiment showed that short non actional passives are better understood than long non actional passives. Therefore, our research concludes that the acquisition of the passive construction does not occur at once, but is largely determined by the presence of the by-phrase. This result supports the hypothesis put forward by Paolazzi et al. (2015, 2016) and Grillo, Alexiadou, Gehrke et al. (2019): Short passives which, without the by-phrase, would be interpreted like adjectival passives, should be reanalyzed as verbal passives when this complement is added. The reanalysis would be cognitively costly, which would explain the poor comprehension of long non actional passives. This dissertation suggests an order of acquisition of passive constructions. Short actional passives would be acquired at 3 years old and long actional passives, at 4 years old. Short non actional passives would be mastered at 5 years old while long non actional passives would be acquired after 6 years old. On the whole, our results highlight the importance of verb type (actional/non actional), which is more decisive in the comprehension of passives than the effect of adjectival potential and the by-phrase. In this way, our results challenge an adjectival strategy and reveal the importance of the predicate type (eventive/stative) and of the adjectival/verbal ambiguity on the comprehension of passive constructions.
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Lexicalisation souple en réalisation de texte

Gazeau, Avril 08 1900 (has links)
GenDR est un réalisateur de texte symbolique qui prend en entrée un graphe, une repré- sentation sémantique, et génère les graphes sous forme d’arbres de dépendances syntaxiques lui correspondant. L’une des tâches de GenDR lui permettant d’effectuer cette transduction est la lexicalisation profonde. Il s’agit de choisir les bonnes unités lexicales exprimant les sémantèmes de la représentation sémantique d’entrée. Pour ce faire, GenDR a besoin d’un dictionnaire sémantique établissant la correspondance entre les sémantèmes et les unités lexi- cales correspondantes dans une langue donnée. L’objectif de cette étude est d’élaborer un module de lexicalisation souple construisant automatiquement un dictionnaire sémantique du français riche pour GenDR, son dictionnaire actuel étant très pauvre. Plus le dictionnaire de GenDR est riche, plus sa capacité à paraphra- ser s’élargit, ce qui lui permet de produire la base de textes variés et naturels correspondant à un même sens. Pour y parvenir, nous avons testé deux méthodes. La première méthode consistait à réorganiser les données du Réseau Lexical du Français sous la forme d’un dictionnaire sémantique, en faisant de chacun de ses noeuds une entrée du dictionnaire et des noeuds y étant reliés par un type de lien lexical que nous appelons fonctions lexicales paradigmatiques sémantiquement vides ses lexicalisations. La deuxième méthode consistait à tester la capacité d’un modèle de langue neuronal contextuel à générer des lexicalisations supplémentaires potentielles correspondant aux plus proches voisins du vecteur calculé pour chaque entrée du dictionnaire afin de l’enrichir. Le dictionnaire construit à partir du Réseau lexical du français est compatible avec GenDR et sa couverture a été considérablement élargie. L’utilité des lexicalisations supplémentaires générées par le modèle neuronal s’est avérée limitée, ce qui nous amène à conclure que le modèle testé n’est pas tout à fait apte à accomplir le genre de tâche que nous lui avons de- mandée. / GenDR is an automatic text realiser. Its input is a graph; a semantic representation, and its output is the corresponding syntactic dependencies tree graphs. One of GenDR’s tasks to operate this transduction successfully is called deep lexicalization, i.e. choosing the right lexical units to express the input semantic representation’s semantemes. To do so, GenDR needs access to a semantic dictionnary that maps the semantemes to the corresponding lexical units in a given language. This study aims to develop a flexible lexicalization module to build a rich French semantic dictionary automatically for GenDR, its current one being very poor. The more data the semantic dictionary contains, the more paraphrases GenDR is able to produce, which enables it to generate the basis for natural and diverse texts associated to a same meaning. To achieve this, we have tested two different methods. The first one involved the reorganization of the French Lexical Network in the shape of a semantic dictionary, by using each of the network’s nodes as a dictionary entry and the nodes linked to it by a special lexical relationship we call semantically empty paradigmatic lexical functions as its lexicalizations. The second method involved testing a contextual neural language model’s ability to gen- erate potential additional lexicalizations by calculating the vector of each of the dictionary entries and generating its closest neighbours in order to expand the semantic dictionary’s coverage. The dictionary we built from the data contained in the French Lexical Network is com- patible with GenDR and its coverage has been significantly broadened. Use of the additional lexicalizations produced by the language model turned out to be limited, which brings us to the conclusion that the tested model isn’t completely able to perform the task we’ve asked from it.
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La représentation de la variation syntaxique chez le personnel enseignant au primaire dans la ville de Québec

Drouin, Antoine 01 March 2024 (has links)
En enseignement du français langue maternelle, la tendance à situer le français québécois standard comme une variété linguistique dotée d'une valeur intrinsèque et non pas sociale amènerait les enseignantes et les enseignants à rejeter les variétés non standard qui peuvent faire partie du répertoire linguistique des élèves, ce qui entrainerait, dès les premières années du parcours scolaire, insécurité linguistique chez ces derniers. Cette affirmation, reprise de toute part, ne semble fondée sur aucune base empirique récente réalisée en contexte québécois. Dans cet état de choses, il incombe de se pencher sur la représentation de la variation linguistique chez les enseignantes et les enseignants au primaire, susceptible d'influencer leurs discours et leurs pratiques. En particulier, cette étude se donne l'objectif de décrire leur représentation de la variation syntaxique, étant donné la réflexion pauvre à ce sujet, par exemple en comparaison avec la variation lexicale, à laquelle ils se montrent assez sensibilisés. Cet objectif se décline en quatre questions de recherche. Ce travail cherche ainsi à décrire la représentation de la variation syntaxique diaphasique, à souligner les différences entre les représentations du français familier québécois et du français standard québécois, à mesurer le degré d'homogénéité de la représentation du français québécois familier dans le groupe étudié et à évaluer le degré de reproduction des idéologies linguistiques dominantes. Le projet privilégie une méthode mixte inspirée de la méthode d'analyse combinée des langues de Maurer (2013, 2016). L'analyse d'un corpus de textes produits par des enseignantes et des enseignants ou leur étant destinés permet d'élaborer deux tâches de classements qui constituent le cœur d'un questionnaire en ligne composé de deux autres sections, soit trois mises en situation et six questions directes. Les résultats suggèrent d'abord que le personnel enseignant tient une représentation de la variation syntaxique nuancée, en particulier de la variété familière de français québécois, et modulable; que le français standard québécois est mieux évalué que le français familier québécois, mais de manière partagée; ensuite, qu'elle est relativement homogène; finalement, qu'il n'adhère pas aveuglément aux idéologies linguistiques prises en compte. En bout de piste, le projet explore les solutions proposées par la recherche en vue d'amener le corps enseignant à s'ouvrir davantage à la pensée sociolinguistique.
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La périphrase verbale "venir de + infinitif" et ses équivalents dans quelques langues, particulièrement l'espagnol et le latin: étude syntaxique et sémantique

Dominicy, Marc 15 December 1975 (has links)
Ce travail se situe dans le cadre de la Théorie Standard Étendue, à laquelle certaines modifications sont apportées, notamment quant à l’association d’une règle sémantique aux opérations transformationnelles. Il est montré que ce type d’approche permet d’assigner à chaque phrase une description sémantique (une forme logique) apte à représenter un phénomène crucial comme la présupposition (sémantique). L’étude empirique porte sur la périphrase verbale « venir de + infinitif » et ses équivalents dans plusieurs langues qui recourent soit à une autre périphrase (par exemple, l’espagnol « acabar de + infinitif »), soit à l’emploi d’un adverbe (latin « modo », anglais « just », etc.) accompagnant une forme de parfait ou de prétérit. On soutient qu’à ces expressions de surface très diverses correspond une forme logique sous-jacente combinant un opérateur d’accompli à un opérateur de restriction portant sur un adverbe de temps (« maintenant » / « alors », etc.). De nombreux phénomènes, tant synchroniques que diachroniques, trouvent leur explication dans un tel cadre, en particulier la concurrence entre « venir de + infinitif » et « ne faire que (de) + infinitif » dans l’histoire du français.<p><p>This research work has been carried out in the framework of a modified version of Extended Standard Theory where semantic rules are associated to transformations. It is shown that this approach allows assigning to each sentence a semantic description (i.e. a logical form) able to represent such a crucial phenomenon as (semantic) presupposition. The empirical study bears on the French verbal periphrasis « venir de + infinitive » and its equivalents in several languages where we find either another periphrasis (like, for instance, Spanish « acabar de + infinitive ») or an adverb (Latin « modo », English « just », etc.) modifying a perfect or preterite form. It is argued that such highly diverse surface forms should receive an underlying logical form that combines an « accomplished/completed » operator to a restriction operator taking a time adverb (« now » / « then », etc.) under its scope. Numerous synchronic or diachronic data can be accounted for in such a framework, in particular the competition between « venir de + infinitive » and « ne faire que (de) + infinitive » in the history of French.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les Res gestae Alexandri Macedonis de Julius Valerius: études lexicales, syntaxiques et stylistiques

Foubert, Frédéric 18 December 2007 (has links)
Les conquêtes et les hauts faits d’Alexandre le Grand ont fait l’objet d’une tradition romanesque à laquelle est donné le titre générique de Roman d’Alexandre ;elle est connue par le biais de nombreuses versions, traductions et adaptations. L’objectif de la thèse est d’évaluer les prétentions littéraires des Res gestae Alexandri Macedonis de Julius Valerius, première version latine connue de ce Roman. Le texte – envisagé comme objet littéraire autonome, en raison, notamment, de la perte de l’original grec dont il constitue la traduction – a été analysé au travers de trois séries d’études, portant sur le lexique, la syntaxe verbale et les figures de style. Effectués sur la base de la dernière édition de référence (ROSELLINI 2004²), ces dépouillements offrent la première vision approfondie des ambitions qui caractérisent la démarche de l’auteur ;ils ont permis en outre d’envisager, à titre d’hypothèse, l’objectif de ce dernier :dans un monde en voie de christianisation, donner à l’élite politique et culturelle un nouvel accès à texte consacré à l’une des figures les plus célèbres de la culture païenne. / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les structures corrélatives isomorphes: étude des propriétés sémantiques, morphologiques et (micro-/macro-) syntaxiques des corrélatives isomorphes en "autant", "ni", "plus", "soit", "tantôt" et "tel" / Isomorphic correlative structures: study of semantic, morphologic and (micro-/macro-) syntactic properties of French isomorphic correlatives in "autant", "ni", "plus", "soit", "tantôt" et "tel"

Roig, Audrey 23 October 2013 (has links)
Français :<br /><p><br /><p>Cette étude porte sur les structures françaises dites "corrélatives", construites en "autant.autant", "ni.ni", "soit.soit", "plus.plus", "tantôt.tantôt" et "tel.tel", soit des corrélatives "isomorphes". Si ces structures mettent toutes en relation deux termes ou structures, nous montrons ici, par le biais de descriptions sémantique, morphologique et syntaxique, que chacune de ces constructions est également très différente. À partir d’exemples tirés de corpus (français oral et écrit), ce travail ambitionne donc de mettre en évidence les propriétés des structures corrélatives isomorphes, de dresser le bilan des caractéristiques qui les unissent et les distinguent les unes des autres. Il a pour second objectif de questionner la place de la corrélation dans la typologie des modes de liaisons de prédications – c’est-à-dire la possibilité ou non d’assimiler les corrélatives françaises à de la subordination, de la coordination ou encore de la juxtaposition. Une tierce finalité, davantage méthodologico-épistémologique, a trait à l’examen de la façon dont les structures corrélatives isomorphes sont prises en compte respectivement en syntaxe traditionnelle, dans les approches graduelles et en macrosyntaxe (aixoise et fribourgeoise) ;il poursuit consécutivement un objectif plus général, celui de trouver une porte de sortie à l’impasse actuelle en syntaxe, née de l’apparente inconciliabilité des trois approches. <br /><p><br /><p>La réponse à ces trois objectifs nécessite une étude en deux étapes. Dans un premier temps, ce travail s'attarde ainsi sur chacune des six structures corrélatives, mettant en évidence leurs ressemblances et dissemblances tant sémantiques que formelles. Cette première étape offre alors la possibilité d’inscrire le phénomène de la corrélation isomorphe dans le cadre général des liaisons de prédications et de confronter plus spécifiquement les propriétés des structures dites "corrélatives" avec celles de ces autres modes de liaisons dans une les modèles 1) binaires ou ternaires des modes de jonctions propositionnelles (approche traditionnelle), 2) graduels (Foley & Van Valin, Rebuschi, Lehmann) et 3) macrosyntaxiques (écoles d'Aix et de Fribourg).<p><p><br /><p><br /><p><br /><p><p>English :<br /><p><br /><p>This project focuses on the study of so-called “correlative” structures in French that use "autant.autant", "ni.ni", "soit.soit", "plus.plus", "tantôt.tantôt" et "tel.tel", that is to say "isomorphic" correlatives. While all these constructions serve to connect two terms or structures, we shall show, through morphological, syntactic and semantic descriptions, that they each possess distinctive features. Using examples drawn from a corpus (French, oral and written), this project thus aims to establish the properties of isomorphic correlative structures, and to identify the characteristics they share and those that distinguish them from one another. The second aim of this project consists in (re-)examining the place of correlation in the typology of predication linking structures in an effort to determine whether or not French correlatives may be considered as a type of subordination, coordination or even juxtaposition. The third objective, which is methodological and epistemological in nature, will consist in studying how traditional syntax, gradual models and macrosyntax have respectively accounted for isomorphic correlative structures. In this way, we shall attempt to break the current deadlock resulting from the apparent incompatibility of the three approaches.<br /><p><br /><p>To reach these three goals, the study will be organized in two phases. First, the various correlative structures will be scrutinized in order to highlight semantic and formal similarities and dissimilarities. This will allow us to position the phenomenon of isomorphic correlation within the general framework of predication linking, and thereby compare the properties of so-called “correlative” structures with those of other linking structures. In the second phase, we will re-examine the place of correlative structures in the models advanced by traditional syntax, by gradual approaches (Foley & Van Valin, Rebuschi, Lehmann) and macrosyntax (Aix and Fribourg).<p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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