• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 9
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 12
  • 12
  • 6
  • 6
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Le facteur-clé du développement économique : la culture ou la reconnaissance légale des droits de propriété ?

Bertrand, Nicolas January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
2

L’integration progressive du developpement dans l’enseignement social de l’eglise autour de gaudium et spes : le développement intégral et solidaire comme exigence de la foi vécue / The gradual integration of development into the social teachings of the church in gaudium et spes : integral and interdependent development as a requirement of lived faith

Anaehobi, Vitalis 02 September 2010 (has links)
Que la question du développement soit une question qui intéresse la théologie est aujourd’hui une évidence pour les théologiens. Depuis le Concile Vatican II, à l’exception de Jean Paul I, les papes successifs ont consacré chacun une encyclique entière à la question du développement. Ces encycliques abordent le développement comme une question à la fois économique, politique, sociale et surtout théologique et morale. Notre thèse cherche à répondre à une question historique très pertinente pour la pensée théologique en ce qui concerne le développement : Comment le développement est-t-il devenu une question théologique ? Quel est le processus qui a permit au développement de prendre une place importante dans la théologie ? Nous avons fait une étude du document principal qui a permis à l'église d’entrer en dialogue avec le monde et ses problèmes : La Constitution pastorale sur l'église dans le monde de ce temps Gaudium et spes. Nous avons montré comment les Pères conciliaires ont pu, à partir de leur travail au Concile, mettre en marche une dynamique en faveur du développement et de là ont pu élaborer un enseignement théologique sur le développement. Le sujet qui a conditionné tout le débat sur le développement est l’homme et son bien-être, l’homme créé par Dieu et qui collabore avec Dieu pour achever sa création. Une approche à la fois historique et théologique nous a permis de donner à notre thème un contenu précis et à élaborer ce qu’on peut désigner comme une théologie du développement. / For most theologians today, it goes without saying that development is a theological question. Since after the second Vatican Council, with the exception of Pope John-Paul I, all the other popes published an encyclical letter on development. Each of these encyclicals treats development as economic, political, social and especially theological question. Our research is an attempt to respond to a very important historical question for theological thought: How did development become a theological question? What processes led to its becoming a current and important theological issue? To respond to the above questions, we studied the principal document through which the Church entered into dialogue with the world during the second Vatican Council: The Pastoral Constitution on the Church in the modern world Gaudium et spes. The council Fathers, in the said documents, gave development an elaborate theological treatment. All the debate on development in the Council was dominated by the consideration for man and his well-being; man created by God and called by him to continue collaborating with him in his work of creation. By using a historical and theological approach, we were able to give to our theme a reasonable elucidation. This method also helped us to elaborate what could be designated as a theology of development.
3

La notion de mineur dans l'oeuvre de Pier Paolo Pasolini / The notion of minor in Pier Paolo Pasolini's works

Passerone, Léa 09 December 2017 (has links)
Cette thèse se propose d’étudier la façon dont l’idée de mineur traverse l’œuvre de Pier Paolo Pasolini, que ce soit dans son sens linguistique et littéraire (rapport aux langues et aux auteurs dits « mineurs »), sociopolitique (présence des subalternes et des minorités), ou encore spirituel (« mineur » au sens franciscain). L’ensemble de la vaste production artistique et critique de l’auteur italien que nous prenons en considération semble en effet guidé par le désir de porter à la lumière et de valoriser ce qui d’ordinaire est dénigré, oublié et situé au bas des hiérarchies, quelles qu’elles soient : paysans frioulans, sous-prolétaires romains, peuples du Tiers Monde, langues et cultures périphériques, etc. Les notions de « minore » (« mineur ») et de « minoranza » (« minorité ») paraissent d’autant plus significatives et pertinentes qu’elles sont utilisées et problématisées par l’écrivain-cinéaste, de ses premiers essais littéraires à ses derniers articles et scénarios, à des moments clés de son parcours. Elles se révèlent en outre étroitement liées aux périodes de profondes transformations socio-culturelles que traverse l’Italie, dont elles se font le reflet antithétique. Alors que le prétendu « miracle économique » bat son plein au cœur des années 1960, la notion de mineur, centrée autour de l’idée d’infériorité et d’humilité, cède la place à la notion plus politique et polémique de minorité. Si cette dernière reprend certains traits de la précédente, elle se définit davantage comme altérité radicale et puissance de contestation des modèles dominants, tout en accentuant l’esthétique et la poétique de la contamination, selon lesquelles humilis et sublimis sont indissociables. / This PhD thesis intends to explore how the idea of minor is present throughout Pier Paolo Pasolini’s works, in its linguistic and literary sense (linked to languages and authors called « minors »), in its socio-political sense (presence of the subalterns and the minorities), or even in its spiritual sense (« minor » according to Franciscans). The extensive artistic and critical production of the Italian author who we consider, seems in fact to be guided by the will of highlighting and promoting what is usually depreciated, forgotten and situated at lower levels in every hierarchy : Friulian peasants, Roman sub-proletarians, people from the Third World, outlying languages and cultures, etc. The notions of minor and minorities are particularly significant and relevant, given that they are used and questionned by the writer and the director from his first literary essays to his last articles and scenarios, in key moments of his career. Furthermore, they appear closely associated to the period of deep socio-cultural changes that Italy is experiencing, hence the contradicting images they convey. While the so-called « economic miracle » is triumphal in the sixties, the notion of « minor », centered on the idea of inferiority and humility, is replaced by the more political and polemical notion of minority. If this last notion has some characteristics of the former one, it should also be defined as a radical alterity and contesting power of the dominant models, at the same time keeping the emphasis on the contamination esthetic and poetics, whereby humilis and sublimis are inseparable.
4

Diagnostic et perspectives d'un système de gestion des déchets domestiques urbains : le cas de Santiago de los Cabaileros en République Dominicaine

Ponton, Martin January 1995 (has links)
Une ville peut être considérée comme un éco-sociosystème conçu par l'homme, ayant des analogies paradigmatiques avec les écosystèmes naturels. Une telle perspective met l'accent sur les interrelations et les complémentarités actuelles et potentielles entre différentes activités humaines conduites dans la ville. Ainsi, l'urbanisation engendre, dans une perspective de développement durable, un effet négatif sur l'environnement et la santé des populations. Plus spécifiquement, la croissance démographique et économique ainsi que l'étalement de l'espace urbain de la ville de Santiago soulèvent d'immenses problèmes. Ceux-ci requièrent des investissements considérables pour leurs solutions et créent des besoins en matière de services urbains que cette ville peut difficilement se permettre. Par exemple, les déchets domestiques pourraient être récupérés et utilisés pour la satisfaction d'autres besoins humains : v. g. compost pour la production alimentaire et énergétique. L'éco-sociosystème urbain apparaît donc comme un vaste réservoir de ressources potentielles à identifier et dans lesquelles il faut puiser pour tenter d'arrêter la détérioration (et peut-être améliorer la qualité) de la vie urbaine, particulièrement pour les sous populations marginalisées.
5

Les limites de l'intégration régionale internationale : le cas de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO)

Ramdé, Mamadou January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
6

Economic evaluation of prevention of mother – to – child – transmission of HIV/AIDS interventions in developing countries : a systematic review

Ako-Arrey, Denis E. 12 1900 (has links)
Les gouvernements mondiaux et les organismes internationaux ont placé une haute priorité dans la prévention de la transmission mère-enfant du VIH. Cependant, bien qu'il y ait eu des progrès énormes rapportés dans des nations industrialisées, la situation dans les pays en voie de développement est encore déplorable; on y constate un grand écart entre l’engagement international pour réduire cette voie de transmission et l'accès aux interventions. Ceci peut être attribué à la situation économique déplorable dans plusieurs pays en voie de développement. Des interventions prioritaires en santé doivent donc être soigneusement sélectionnées afin de maximiser l'utilisation efficace des ressources limitées. L’évaluation économique est un outil efficace qui peut aider des décideurs à identifier quelles stratégies choisir. L'objectif de cette revue systématique est de recenser toutes les études d'évaluation économique existantes qui ont été effectuées dans les pays en voie de développement sur la prévention de la transmission mère-enfant du VIH. Notre revue a retenu 16 articles qui ont répondu aux critères d'inclusion. Nous avons conçu un formulaire pour l’extraction de données, puis nous avons soumis les articles à un contrôle rigoureux de qualité. Nos résultats ont exposé un certain nombre de défauts dans la qualité des études choisies. Nous avons également noté une forte hétérogénéité dans les estimations des paramètres de coût et d'efficacité de base, dans la méthodologie appliquée, ainsi que dans les écarts utilisés dans les analyses de sensibilité. Quelques interventions comportant la thérapie à la zidovudine ou à la nevirapine à court terme se sont avérées rentables, et ont enregistré des valeurs acceptables de coût-utilité. Les résultats des évaluations économiques analysées dans cette revue ont varié sur la base des facteurs suivants : la prévalence du VIH, la classification du pays selon le revenu, les infrastructures disponible, les coûts du personnel, et finalement les coûts des interventions, particulièrement les prix des médicaments. / Local governments worldwide and international organizations have placed a high priority in the Prevention of Mother – To – Child – Transmission (pMTCT) of HIV. However, though there have been reports of tremendous progress in achieving these goals in industrialised nations, the situation in developing countries is still deplorable. In developing countries, there is a significant gap between the global and local policy commitments to reduce Mother – To – Child – Transmission (MTCT) of HIV and the access to pMTCT interventions. This can be attributed to the dire economic situation within developing countries. Healthcare interventions therefore need to be strategically prioritized in order to make maximum efficient use of these scarce resources. An effective tool to assist decision makers in identifying which strategies represent value for money is economic evaluation of these interventions. The objective of this study is systematically pool all the existing economic evaluation studies that have been carried out in developing countries on the pMTCT of HIV/AIDS, in order to present the best fit, affordable, yet effective intervention (s). Our review retained 15 articles that met the inclusion criteria. We designed an extraction form which we used to collect relevant data, after which we subjected the articles to a rigorous quality checklist. Our results exposed a number of flaws in methodological quality of the selected studies. We also recorded widespread heterogeneity in the assumptions used to estimate base case cost and effectiveness parameters, in the methodology applied, as well as in the range of valued used in sensitivity analyses. Some interventions involving short course zidovudine or nevirapine therapy were found to be cost effective, and recorded acceptable cost-utility values. The results of economic evaluations analyzed in this review varied based on the following factors: HIV prevalence, country income classification, available infrastructure, staff costs, and ultimately costs of the interventions, especially drug prices.
7

Extrême pauvreté et justice globale : une réflexion philosophique sur le concept de responsabilité dans une perspective cosmopolitique

Dongmeza, Cyriaque Grégoire 11 1900 (has links)
Le problème de l’extrême pauvreté dans le Tiers-monde n’est pas d’abord une question économique. Il est avant tout politique parce qu’il est la conséquence directe des choix de société et de l’organisation du pouvoir au niveau des États et des diverses instances de la communauté internationale. Le politique a pour objet la conquête du pouvoir et la répartition des richesses à grande échelle. Il s’agit aussi d’un problème moral parce que les options prises collectivement par les peuples et le concert des nations ne s’orientent pas toujours vers la vertu de justice et l’égalité de chances pour tous. Extrême pauvreté et justice globale forment un binôme qui nous ramène donc au cœur de la philosophie politique et morale. Après la Seconde guerre mondiale, la philosophie politique a élargi ses horizons. Elle réfléchit davantage à l’exercice du pouvoir sur la scène internationale et la distribution des richesses au niveau mondial. Le phénomène de la mondialisation économique crée une dépendance mutuelle et d’importantes influences multilatérales entre les États. Plus que par le passé, l’autarcie n’est guère envisageable. Le dogme de la souveraineté intangible des États, issu du Traité de Westphalie au XVIIe siècle, s’avère de plus en plus caduque au regard des enjeux communs auxquels l’humanité fait actuellement face. D’où la nécessité d’une redéfinition du sens des souverainetés nationales et d’une fondation des droits cosmopolitiques pour chaque individu de la planète. Voilà pourquoi le binôme extrême pauvreté/justice globale nécessite une réflexion philosophique sur le concept de la responsabilité qui s’étend non seulement sur la sphère nationale, mais aussi sur une large amplitude cosmopolitique. L’expression « pays du Tiers-monde » peut sembler archaïque, péjorative et humiliante. Cependant, mieux que celles de « pays sous-développés » ou « pays en voie de développement », elle rend compte, sans euphémisme, de la réalité crue, brute et peu élégante de la misère politique et économique qui y sévit. Bien qu’elle semble désuète, elle délimite assez clairement le domaine de définition conceptuel et géographique de notre champ d’investigation philosophique. Elle désigne l’ensemble des pays qui sont exclus de la richesse économique répartie entre les nations. Étant donné que le pouvoir économique va généralement avec le pouvoir politique, cet ensemble est aussi écarté des centres décisionnels majeurs. Caractérisée par une pauvreté extrême, la réalité tiers-mondiste nécessité une analyse minutieuse des causes de cette marginalisation économique et politique à outrance. Une typologie de la notion de responsabilité en offre une figure conceptuelle avec une géométrie de six angles : la causalité, la moralité, la capacité, la communauté, le résultat et la solidarité, comme fondements de la réparation. Ces aspects sous lesquels la responsabilité est étudiée, sont chapeautés par des doctrines philosophiques de types conséquentialiste, utilitariste, déontologique et téléologique. La typologie de la responsabilité donne lieu à plusieurs solutions : aider par philanthropie à sauver des vies humaines ; établir et assigner des responsabilités afin que les torts passés et présents soient réparés aussi bien au niveau national qu’international ; promouvoir l’obligation de protéger dans un contexte international sain qui prenne en considération le devoir négatif de ne pas nuire aux plus défavorisés de la planète ; institutionnaliser des règles transfrontalières de justice ainsi que des droits cosmopolitiques. Enfin, nous entendrons par omniresponsabilité la responsabilité de tous vis-à-vis de ceux qui subissent les affres de l’extrême pauvreté dans le Tiers-monde. Loin d’être un concept-valise fourre-tout, c’est un ensemble de responsabilités partagées par des acteurs identifiables de la scène mondiale, en vue de la coréparation due aux victimes de l’injustice globale. Elle vise un telos : l’épanouissement du bien-être du citoyen du monde. / The problem of extreme poverty in the Third World is not first and foremost a question of economy. It is above all a political one because it is the direct consequence of choices made by societies and of the organization of power at the level of the State and of various instances of the international community. Its object is the conquest of power and the distribution of wealth on a large scale. It is also a moral problem because the options taken collectively by nations and the society of nations tend towards or against justice and equality of opportunities for everyone. Extreme poverty and global justice form a binomial that therefore brings us back to the heart of political and moral theory. After the Second World War, political theory broadened its horizons. Since then, it also reflects on the exercise of power at the international level and the distribution of wealth at the world level. The phenomenon of economic globalisation creates a mutual dependency and important multilateral influences between the States. More than in the past, autarky is no longer something to consider. The dogma of the untouchable sovereignty of the States, that came forth from the Treaty of Westphalia in the XVIIth century, appears to be more and more obsolete in view of the common stakes that presently confront humanity. From which came forth the need for a remolding of the meaning of national sovereignties and for the founding of cosmopolitical rights for every individual on the planet. That is why the binomial in question provokes more of a philosophical reflection on the concept of responsibility that extends not only to the national sphere, but to a wide cosmopolitical amplitude. The expression “countries of the Third World” may seem archaic, pejorative and humiliating. However, more so than those of "under developed countries” or "developing countries" it accounts for, without embellishment, the raw, brutal, and far from elegant reality of the political and economical misery that exists there. Though it may be obsolete, it quite clearly delimits the area of conceptual and geographical definition of our field of philosophical investigation. It designates the grouping of countries that are excluded from the economical wealth distributed among the nations. Given that economic power generally goes together with political power, this grouping is also kept away from the major decisional centers. Characterized by an extreme poverty, the Third World reality requires a meticulous analysis of the causes of this extreme economical and political marginalization. A typology of the notion of responsibility offers a conceptual figure of this reality with a geometry of six angles: causality, morality, capacity, community, result and solidarity, as foundations for reparation. These aspects, under which responsibility is studied, are overseen by philosophical doctrines of consequentialist, utilitarian, deontological and teleogical type. The typology of responsibility gives rise to many solutions: bringing aid through philanthropy in helping to save lives; establishing and assigning responsibilities so that the mistakes of the past and the present be repaired both at the national and international levels; promoting the obligation to protect in a healthy international context that takes into consideration the negative duty not to harm the most disadvantaged of the planet; institutionalizing the transboundary rules of justice as well as of cosmopolitical rights. Finally, by omniresponsibility we will understand this as the responsibility of all towards those who endure the throes of extreme poverty in the Third World. Far from being a catch-all concept, it is an ensemble of shared responsibilities for identifiable actors on the world scene, with the view of coreparation due to the victims of global injustice. It aims at a telos: the blossoming of the welfare of the citizen of the world.
8

Les conséquences de la crise de Suez de 1956 sur le système international / The Consequences of the Suez Crisis in 1956 on the International System

Bringuez, Jacques 07 February 2019 (has links)
La crise de Suez de 1956 est avant tout synonyme d'une opération militaire menée par les Français et les Anglais, dont l'échec retentissant a sonné le glas de la politique colonialiste des deux États. Mais Suez 1956 représente aussi et surtout un véritable tournant dans les relations internationales pour plusieurs raisons. Tout d'abord parce que, pour la première fois depuis l'avènement de la Guerre froide, l'URSS et les USA vont faire front commun contre les puissances occidentales associées à Israël. Ensuite parce que concomitamment, les Soviétiques répriment l'insurrection hongroise, battant en brèche leur toute nouvelle théorie de la coexistence pacifique. Enfin parce que le Tiers-monde trouve naissance dans cet affrontement, et devient l'objet de conquête idéologique, notamment au Moyen-Orient. En quoi la crise a-t-elle modifié les interactions au niveau diplomatique, l’équilibre des institutions internationales, les relations géopolitiques, les relations bilatérales dans l'univers de la Guerre froide, les relations intra blocs Est-Ouest ? Quelles conséquences la crise aura-t-elle eue sur la stratégie et les objectifs politiques des différents acteurs ? / The Suez crisis of 1956 is generally synonym for a military operation led by the French and the English army, whose resounding failure sounded the end of the colonialist policy of both States. But Suez 1956 represents also and above all a real turning point in the international relations for several reasons. Firstly, because, for the first time since the advent of the cold war, the USSR and the USA are going to join forces against the western powers associated with Israel. Then, because concomitantly, the Soviet power repress the Hungarian revolution, damaging their quite new theory of the peaceful coexistence. Finally, because the Third World finds birth in this confrontation, and becomes the object of ideological conquest, especially in the Middle-East In what did the crisis modify the interactions at the diplomatic level, the balance of the international institutions, the geopolitical relations, the bilateral relations in the universe of the Cold war, the relations intra East-West blocks? What consequences the crisis will generate on the strategy and the policy of the various actors?
9

Economic evaluation of prevention of mother – to – child – transmission of HIV/AIDS interventions in developing countries : a systematic review

Ako-Arrey, Denis E. 12 1900 (has links)
Les gouvernements mondiaux et les organismes internationaux ont placé une haute priorité dans la prévention de la transmission mère-enfant du VIH. Cependant, bien qu'il y ait eu des progrès énormes rapportés dans des nations industrialisées, la situation dans les pays en voie de développement est encore déplorable; on y constate un grand écart entre l’engagement international pour réduire cette voie de transmission et l'accès aux interventions. Ceci peut être attribué à la situation économique déplorable dans plusieurs pays en voie de développement. Des interventions prioritaires en santé doivent donc être soigneusement sélectionnées afin de maximiser l'utilisation efficace des ressources limitées. L’évaluation économique est un outil efficace qui peut aider des décideurs à identifier quelles stratégies choisir. L'objectif de cette revue systématique est de recenser toutes les études d'évaluation économique existantes qui ont été effectuées dans les pays en voie de développement sur la prévention de la transmission mère-enfant du VIH. Notre revue a retenu 16 articles qui ont répondu aux critères d'inclusion. Nous avons conçu un formulaire pour l’extraction de données, puis nous avons soumis les articles à un contrôle rigoureux de qualité. Nos résultats ont exposé un certain nombre de défauts dans la qualité des études choisies. Nous avons également noté une forte hétérogénéité dans les estimations des paramètres de coût et d'efficacité de base, dans la méthodologie appliquée, ainsi que dans les écarts utilisés dans les analyses de sensibilité. Quelques interventions comportant la thérapie à la zidovudine ou à la nevirapine à court terme se sont avérées rentables, et ont enregistré des valeurs acceptables de coût-utilité. Les résultats des évaluations économiques analysées dans cette revue ont varié sur la base des facteurs suivants : la prévalence du VIH, la classification du pays selon le revenu, les infrastructures disponible, les coûts du personnel, et finalement les coûts des interventions, particulièrement les prix des médicaments. / Local governments worldwide and international organizations have placed a high priority in the Prevention of Mother – To – Child – Transmission (pMTCT) of HIV. However, though there have been reports of tremendous progress in achieving these goals in industrialised nations, the situation in developing countries is still deplorable. In developing countries, there is a significant gap between the global and local policy commitments to reduce Mother – To – Child – Transmission (MTCT) of HIV and the access to pMTCT interventions. This can be attributed to the dire economic situation within developing countries. Healthcare interventions therefore need to be strategically prioritized in order to make maximum efficient use of these scarce resources. An effective tool to assist decision makers in identifying which strategies represent value for money is economic evaluation of these interventions. The objective of this study is systematically pool all the existing economic evaluation studies that have been carried out in developing countries on the pMTCT of HIV/AIDS, in order to present the best fit, affordable, yet effective intervention (s). Our review retained 15 articles that met the inclusion criteria. We designed an extraction form which we used to collect relevant data, after which we subjected the articles to a rigorous quality checklist. Our results exposed a number of flaws in methodological quality of the selected studies. We also recorded widespread heterogeneity in the assumptions used to estimate base case cost and effectiveness parameters, in the methodology applied, as well as in the range of valued used in sensitivity analyses. Some interventions involving short course zidovudine or nevirapine therapy were found to be cost effective, and recorded acceptable cost-utility values. The results of economic evaluations analyzed in this review varied based on the following factors: HIV prevalence, country income classification, available infrastructure, staff costs, and ultimately costs of the interventions, especially drug prices.
10

Extrême pauvreté et justice globale : une réflexion philosophique sur le concept de responsabilité dans une perspective cosmopolitique

Dongmeza, Cyriaque Grégoire 11 1900 (has links)
Le problème de l’extrême pauvreté dans le Tiers-monde n’est pas d’abord une question économique. Il est avant tout politique parce qu’il est la conséquence directe des choix de société et de l’organisation du pouvoir au niveau des États et des diverses instances de la communauté internationale. Le politique a pour objet la conquête du pouvoir et la répartition des richesses à grande échelle. Il s’agit aussi d’un problème moral parce que les options prises collectivement par les peuples et le concert des nations ne s’orientent pas toujours vers la vertu de justice et l’égalité de chances pour tous. Extrême pauvreté et justice globale forment un binôme qui nous ramène donc au cœur de la philosophie politique et morale. Après la Seconde guerre mondiale, la philosophie politique a élargi ses horizons. Elle réfléchit davantage à l’exercice du pouvoir sur la scène internationale et la distribution des richesses au niveau mondial. Le phénomène de la mondialisation économique crée une dépendance mutuelle et d’importantes influences multilatérales entre les États. Plus que par le passé, l’autarcie n’est guère envisageable. Le dogme de la souveraineté intangible des États, issu du Traité de Westphalie au XVIIe siècle, s’avère de plus en plus caduque au regard des enjeux communs auxquels l’humanité fait actuellement face. D’où la nécessité d’une redéfinition du sens des souverainetés nationales et d’une fondation des droits cosmopolitiques pour chaque individu de la planète. Voilà pourquoi le binôme extrême pauvreté/justice globale nécessite une réflexion philosophique sur le concept de la responsabilité qui s’étend non seulement sur la sphère nationale, mais aussi sur une large amplitude cosmopolitique. L’expression « pays du Tiers-monde » peut sembler archaïque, péjorative et humiliante. Cependant, mieux que celles de « pays sous-développés » ou « pays en voie de développement », elle rend compte, sans euphémisme, de la réalité crue, brute et peu élégante de la misère politique et économique qui y sévit. Bien qu’elle semble désuète, elle délimite assez clairement le domaine de définition conceptuel et géographique de notre champ d’investigation philosophique. Elle désigne l’ensemble des pays qui sont exclus de la richesse économique répartie entre les nations. Étant donné que le pouvoir économique va généralement avec le pouvoir politique, cet ensemble est aussi écarté des centres décisionnels majeurs. Caractérisée par une pauvreté extrême, la réalité tiers-mondiste nécessité une analyse minutieuse des causes de cette marginalisation économique et politique à outrance. Une typologie de la notion de responsabilité en offre une figure conceptuelle avec une géométrie de six angles : la causalité, la moralité, la capacité, la communauté, le résultat et la solidarité, comme fondements de la réparation. Ces aspects sous lesquels la responsabilité est étudiée, sont chapeautés par des doctrines philosophiques de types conséquentialiste, utilitariste, déontologique et téléologique. La typologie de la responsabilité donne lieu à plusieurs solutions : aider par philanthropie à sauver des vies humaines ; établir et assigner des responsabilités afin que les torts passés et présents soient réparés aussi bien au niveau national qu’international ; promouvoir l’obligation de protéger dans un contexte international sain qui prenne en considération le devoir négatif de ne pas nuire aux plus défavorisés de la planète ; institutionnaliser des règles transfrontalières de justice ainsi que des droits cosmopolitiques. Enfin, nous entendrons par omniresponsabilité la responsabilité de tous vis-à-vis de ceux qui subissent les affres de l’extrême pauvreté dans le Tiers-monde. Loin d’être un concept-valise fourre-tout, c’est un ensemble de responsabilités partagées par des acteurs identifiables de la scène mondiale, en vue de la coréparation due aux victimes de l’injustice globale. Elle vise un telos : l’épanouissement du bien-être du citoyen du monde. / The problem of extreme poverty in the Third World is not first and foremost a question of economy. It is above all a political one because it is the direct consequence of choices made by societies and of the organization of power at the level of the State and of various instances of the international community. Its object is the conquest of power and the distribution of wealth on a large scale. It is also a moral problem because the options taken collectively by nations and the society of nations tend towards or against justice and equality of opportunities for everyone. Extreme poverty and global justice form a binomial that therefore brings us back to the heart of political and moral theory. After the Second World War, political theory broadened its horizons. Since then, it also reflects on the exercise of power at the international level and the distribution of wealth at the world level. The phenomenon of economic globalisation creates a mutual dependency and important multilateral influences between the States. More than in the past, autarky is no longer something to consider. The dogma of the untouchable sovereignty of the States, that came forth from the Treaty of Westphalia in the XVIIth century, appears to be more and more obsolete in view of the common stakes that presently confront humanity. From which came forth the need for a remolding of the meaning of national sovereignties and for the founding of cosmopolitical rights for every individual on the planet. That is why the binomial in question provokes more of a philosophical reflection on the concept of responsibility that extends not only to the national sphere, but to a wide cosmopolitical amplitude. The expression “countries of the Third World” may seem archaic, pejorative and humiliating. However, more so than those of "under developed countries” or "developing countries" it accounts for, without embellishment, the raw, brutal, and far from elegant reality of the political and economical misery that exists there. Though it may be obsolete, it quite clearly delimits the area of conceptual and geographical definition of our field of philosophical investigation. It designates the grouping of countries that are excluded from the economical wealth distributed among the nations. Given that economic power generally goes together with political power, this grouping is also kept away from the major decisional centers. Characterized by an extreme poverty, the Third World reality requires a meticulous analysis of the causes of this extreme economical and political marginalization. A typology of the notion of responsibility offers a conceptual figure of this reality with a geometry of six angles: causality, morality, capacity, community, result and solidarity, as foundations for reparation. These aspects, under which responsibility is studied, are overseen by philosophical doctrines of consequentialist, utilitarian, deontological and teleogical type. The typology of responsibility gives rise to many solutions: bringing aid through philanthropy in helping to save lives; establishing and assigning responsibilities so that the mistakes of the past and the present be repaired both at the national and international levels; promoting the obligation to protect in a healthy international context that takes into consideration the negative duty not to harm the most disadvantaged of the planet; institutionalizing the transboundary rules of justice as well as of cosmopolitical rights. Finally, by omniresponsibility we will understand this as the responsibility of all towards those who endure the throes of extreme poverty in the Third World. Far from being a catch-all concept, it is an ensemble of shared responsibilities for identifiable actors on the world scene, with the view of coreparation due to the victims of global injustice. It aims at a telos: the blossoming of the welfare of the citizen of the world.

Page generated in 0.0796 seconds