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TELA : Structure et algorithmes pour la traduction fondée sur la mémoire

Planas, Emmanuel 07 July 1998 (has links) (PDF)
Cette étude concerne les outils d'aide à la traduction fondée sur la mémoire (OTFM). La première partie offre un état de l'art de ces outils. Il est ensuite expliqué comment les OTFM de première génération, très utiles à l'industrie de la traduction, ne permettent toutefois pas de réaliser correctement certaines opérations basiques. On démontre alors que de ces faiblesses proviennent principalement du type de représentation des données, interne aux OTFM. Deux représentations complémentaires sont alors proposées : une représentation primaire fondée sur XML ou les données sont séquentielles, et une forme analytique composée d'un étagement de treillis liés : la structure "TELAM". Celle-ci permet d'éclater les données selon leur "nature" en autant de treillis. Cette seconde partie se termine par la présentation d'un modèle abstrait pour TELAM, appelé TELA. Une représentation objet d'une part et fondée sur le formalisme XML d'autre part, sont proposées pour TELA. La troisième partie propose des algorithmes pour manipuler les structures TELAM, et evalue leurs complexités statiques et dynamiques. La notion de similitude est proposée pour calculer les proximités de deux segments de traduction par le nombre d'opérations d'édition élementaires nécessaires pour passer de l'un à l'autre. Ces opérations s'appliquent sur chacun des étages des structures TELAM représentant chacun des segments. Deux algorithmes sont proposés à partir des travaux de Wagner et Fisher (1974) : l'algorithme X' pour évaluer la distance d'édition entre deux segments, et l'algorithme Y' pour donner l'une des suites d'opérations élementaires qui font passer de l'un à l'autre. On montre alors comment utiliser les structures TELAM et les algorithmes X' et Y' pour réaliser un nouveau système de traduction fondée sur la mémoire capable d'adapter et composer les unités de traduction. En outre, il devient alors possible de transférer les objets non textuels et la mise en forme depuis le segment d'entrée vers sa traduction.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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LE TRAITEMENT DES PREPOSITIONS SPATIALES DANS UN SYSTEME DE TRADUCTION AUTOMATIQUE FRANCAIS-ALLEMAND, ALLEMAND-FRANCAIS BASE SUR L'UNIFICATION /

Maillot, Catherine. DIMON, PIERRE.. January 1997 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : LINGUISTIQUE : Metz : 1997. / 1997METZ018L. 93 ref.
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Recherche d'information translinguistique sur les documents en arabe

Kadri, Youssef January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila 31 May 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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Du clavecin à la harpe, transcription du répertoire français du XVIIIe siècle / From harpsichord to harp, transcription of the French 18th century music

Luzzati, Constance 20 November 2014 (has links)
Le répertoire original pour harpe est relativement restreint. Deux voies permettent de concourir à son accroissement : la création contemporaine d’une part, et la transcription d’autre part. La présente étude interroge le rapport entre les habitus anciens et une pratique actuelle de transcription, depuis le répertoire de clavecin français du XVIIIe siècle vers la harpe. La transcription est ici considérée comme une pratique non notée qui relève de l’interprétation, et qui partage avec celle-ci, comme avec la traduction, des problématiques fondamentales en apparence antinomiques : esprit et lettre, idiomatisme et fidélité. Elle confronte l’interprète à ses propres limites ainsi qu’à celles de son instrument, et favorise la rencontre avec l’altérité d’une écriture dépourvue de gestes familiers. La transcription constitue l’un des moyens privilégiés de compréhension du répertoire transcrit, de l’instrument de destination, et du rapport de l’interprète à son instrument. La transcription du répertoire de clavecin français pour harpe sera envisagée tout d’abord sous un angle historique, puis à travers les interrogations de nature esthétique que suscite l’antagonisme entre idiomatisme et fidélité, enfin la question des limites et impossibilités sera interrogée selon une approche technique et pratique. / The original harp repertoire is rather limited. It seems there are two efficient ways to help its increase : contemporary creation on the one hand, and transcription on the other. This study questions the relation between early music and a current way of transcribing for harp the eighteenth century french harpischord repertoire. Transcription is here considered as an unwritten practice that comes close to interpretation, and like interpretation and translation, it faces fundamental issues which seem paradoxical : spirit and letter, idiomatism and fidelity. Transcription forces the performer to face his own limits as well as his intrument’s, and it favours the encounter with the otherness of a writing that is free of any familiar gesture. Transcription is one of the best ways to comprehend the transcribed repertoire, the instrument the piece is being transcribed for, and the relationship the performer has with his instrument. The transcription for harp of the eighteenth century french harpischord repertoire will be examined first under a historic angle, then, with esthetic concerns raised by the paradox between idiomatism and fidelity, and finally, the issue of the limits and impossibilities will be studied from a technical and practical approach.
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Les traductions de Kamouraska d’Anne Hébert en roumain

Ruta, Alina January 2018 (has links)
Ce mémoire s’intéresse aux deux traductions en roumain du roman Kamouraska d’Anne Hébert. La première traduction paraît en Roumanie en 1986 à partir de la version anglaise qu’avait proposée Norman Shapiro en 1973. La deuxième traduction, faite cette fois à partir de la version originale française, paraît en 2008. Notre étude contient une présentation du cadre sociopolitique dans lequel a été faite la première traduction de Kamouraska sous le régime communiste, après quoi nous nous penchons sur le contexte de publication des deux traductions et sur des éléments paratextuels : couvertures, quatrièmes de couverture, préfaces, etc. L’examen des principales caractéristiques du style d’Anne Hébert dans Kamouraska est suivi d’une analyse comparative de quelques extraits significatifs du roman dans la première et la deuxième traductions. Nous présentons ensuite notre version française des deux préfaces aux traductions de Kamouraska : la première est signée par Irina Bădescu, et la seconde, par Cătălin Sturza. La traduction française de ces deux textes vient enrichir notre connaissance de la réflexion critique qui est faite de ce roman partout dans le monde. / Abstract : This M.A. thesis focuses on the two translations of Anne Hébert’s novel Kamouraska into Romanian. Published in Romania in 1986, the first translation was done from the English version that Norman Shapiro proposed in 1973. The second translation, this time done directly from the original French version, was published in 2008. We aim at introducing the political context in which the first translation of Kamouraska was made, more specifically under the Communist regime. We then proceed to present the editorial context of these two translations as well as some of the paratextual elements: covers, back covers, prefaces, etc. A survey of Anne Hébert’s main stylistic features in writing Kamouraska is followed by a comparative analysis of significant excerpts from the novel for the first and the second translation. Afterwards we introduce our French version of the two prefaces to the translations of Kamouraska: the first is signed by Irina Bădescu, and the second by Cătălin Sturza. The French translation of these two introductions enriches the critical understanding that is done of that novel everywhere in the world.
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Les inscriptions de la Perse achéménide et leurs traductions

Khalkhali, Nazila January 2011 (has links)
Depuis plusieurs décennies, on assiste en Iran à un regain d’intérêt pour la Perse ancienne, en particulier pour la dynastie des Achéménides (550-330 av. J.-C). De ce vaste empire qui s’étendait sur tout le plateau iranien jusqu’à l’Inde et qui fut conquis par Alexandre, il ne reste plus que des vestiges parmi lesquels un ensemble d’inscriptions cunéiformes gravées sur la paroi des rochers ou sur les monuments de l’époque. L’étude porte sur les deux grandes périodes historiques où la traduction accompagne l’intérêt porté à ces vestiges: c’est d’abord le moment orientaliste de leur découverte, puis l’Iran moderne des Pahlavi suivi de l’actuel régime islamique. À la faveur du mouvement orientaliste européen, les inscriptions achéménides ont attiré l’attention des archéologues et suscité la curiosité des philologues au XVIIIe siècle et surtout au XIXe siècle. Rédigées simultanément en plusieurs langues (vieux perse, élamite et babylonien), ces inscriptions ont peu à peu été déchiffrées et traduites vers les langues européennes, en particulier vers l’allemand, l’anglais et le français. Jusqu’à une époque récente, elles sont demeurées opaques pour les Iraniens : héritiers de ce brillant empire, ils n’en comprenaient plus les langues. C’est à partir des années 1970, sous l’impulsion du dernier shah d’Iran que débute la traduction systématique de ces inscriptions vers le persan moderne et, plus généralement, des travaux orientalistes sur la Perse ancienne. Le phénomène s’est ralenti au moment de la Révolution islamique (1979), mais il a repris de sa vigueur avec le durcissement du régime des mollahs. Depuis quelques années, le secteur privé de l’édition publie une abondance de traductions vers le persan d’ouvrages sur la période achéménide initialement publiés en Europe. Ces « traductions-retour » remplissent une fonction identitaire et politique en soutenant le courant nationaliste et réformiste contre un régime qui s’efforce d’occulter le passé préislamique de l’Iran.
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L’utilisation de la traduction automatique en contexte professionnel : étude de cas concernant les perceptions de la traduction automatique ainsi que son utilisation en contexte professionnel

Lavigne, Pierre-Étienne January 2017 (has links)
Résumé : La demande croissante du marché de la traduction n'est pas aisée à combler, ce qui pousse un certain nombre de traducteurs et de fournisseurs de services de traduction à chercher des outils d'aide à la traduction pouvant complémenter ou remplacer ceux liés aux mémoires de traduction (MT) (Lewis 1997 : 256; O'Brien 2002 : 99, 105-106; Saint-André 2015 : 1-8). Certains se sont tournés vers la traduction automatique (TA), qui paraît permettre certains gains de productivité lorsqu'elle est utilisée en combinaison avec un outil de MT (Guerberof 2009; Lewis 1997 : 256; O'Brien 2002 : 99, 105-106). Toutefois, la question de l’utilisation de la TA par des traducteurs en contexte organisationnel réel semble avoir été peu étudiée. La présente étude, menée en collaboration avec l’équipe de traduction des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), a visé à évaluer si la combinaison d’outils de MT avec des outils de TA peut véritablement rehausser la productivité des traducteurs dans ce type de contexte. Pour ce faire, une analyse des perceptions des traducteurs en rapport aux outils de MT et de TA et une expérience dans le cadre de laquelle des textes ont été traduits à l’aide d’une MT seule ou à l’aide d’une MT et d’un système de TA ont été effectuées. Les données des deux volets de la recherche ont ensuite été analysées pour évaluer les perceptions des participants en rapport aux outils de MT et de TA, déterminer si l’utilisation d’outils de MT et de TA permettait d’atteindre des seuils de productivité plus élevés que l’utilisation d’outils de MT seuls, et vérifier si les perceptions des participants en rapport aux outils utilisés avaient influencé les seuils de productivité atteints. L’étude contribue ainsi à approfondir les connaissances en rapport à l’utilité de la TA en contexte organisationnel réel et en rapport aux perceptions des traducteurs quant aux outils d’aide à la traduction que constituent les MT et la TA.

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