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La coopération Sud-Sud du Mexique, au sein de la nouvelle configuration de la coopération internationale pour le développement post-2015 / South-South Cooperation of Mexico, within the new configuration of international development cooperation post-2015Cortes Zéa, Carlos 23 June 2016 (has links)
L’éventail de concepts disponibles aujourd’hui, n’est plus pertinent pour comprendre les nouveaux enjeux auxquels sont confrontés les acteurs qui agissent au sein de la coopération internationale pour le développement. La fin du contexte bipolaire d’où elle est le résultat, l’affirmation politique des « pays émergents » et l’activisme croissant des acteurs non-étatiques (ONG, secteur privé, fondations, universitaires, etc…) bousculent les dynamiques depuis les années 90. Puis, l’importance des flux privés face à la stagnation relative des montants d’APD redéfini le rôle des donateurs traditionnels. Dans ce sens, il est nécessaire de reconsidérer le cadre d’analyse afin de comprendre ce phénomène international. Malgré les nombreux défis en termes d’inégalités et de pauvreté auxquels ils doivent encore faire face, ces « Coopérants du Sud » sont en train d’étendre leurs programmes de coopération. Par conséquent, la Coopération Sud-Sud n’a cessé d’augmenter depuis les années 2000. C’est ainsi qu’en 2013, ces flux ont représenté un total de $23,5 milliards de dollars, tandis que l’Aide Publique au Développement des pays de l’OCDE s’est élevée à $135,1 milliards de dollars pendant la même année. Ce constat peut parfois être perçu par les donateurs traditionnels comme une menace. A l’intérieur de ceux qu’on appelle les « Coopérants du Sud », l’ampleur des politiques de coopération est souvent méconnue voire ignorée. C’est le cas du Mexique, où l’entrée en vigueur d’une loi en 2011 a mis en place un nouveau système de coopération internationale pour le développement. Formulée pour asseoir sur des bases juridiques les projets qu’il mène en Amérique Centrale (considérée par les acteurs politiques mexicains comme leur « zone d’influence naturelle »), cette loi prévoit d’étendre ce type d’actions au-delà. Face à ces ambitions renouvelées, il y a un besoin pour mieux comprendre ce qui est fait par le Mexique dans ce domaine. A ce titre, on estime qu’en 2013 la coopération du Mexique s’élève à environ $551 millions de dollars.De ce point de vue, la mise à jour du clivage entre la coopération traditionnelle et la Coopération Sud-Sud soulève plusieurs problématiques. Si les pratiques des donateurs traditionnels sont discutées et font l’objet d’une concertation au sein du Comité d’Aide au Développement de l’OCDE, celles relatives aux Coopérants du Sud restent hors de sa portée. De ce fait, l’architecture classique de l’aide internationale pour le développement est en train d’être bouleversée. Proposer de nouveaux cadres d’analyse devient alors nécessaire. De ce point de vue, le nouvel environnement issu de l’adoption de l’Agenda de Développement Post-2015 nécessite d’adopter de nouveaux cadres théoriques. Dans cette thèse, la notion de « configuration », formulée par Norbert Elias, nous permet d’appréhender le phénomène autrement. Dans ce sens, analyser la nouvelle configuration de la coopération internationale pour le développement, c’est tenter de comprendre une nouvelle répartition des forces entre tous les acteurs présents. La « configuration » actuelle est de nature dynamique, et elle est modelée par les stratégies des acteurs qui la constituent afin d’augmenter leur marge de manœuvre. Il s’agit d’une configuration qui est définie par la position des acteurs dans l’espace commun qu’est la scène internationale. / Theoretical frameworks no longer explain our understanding of the new challenges faced by international development cooperation stakeholders. The end of the Cold War, the political affirmation of “emerging countries”, and the growing activism of non-state actors (NGOs, private sector, foundations, academia, etc.) are shattering the traditional paradigm. Furthermore, the increasing importance of private flows alongside the relative stagnation of ODA is redefining traditional donor’s role. In this sense, it is necessary to revitalize the analysis to comprehend this international phenomenon.Over the last twenty years, the economic success of emerging economies contrasts with the persisting inequalities and marginalization problems that they shelter. Despite the various challenges that they still face, these “Southern Providers” are increasing their cooperation programs. South-South Cooperation has risen steadily since the year 2000. In 2013 these flows represented a total of $23.5 USD billion, while Official Development Assistance of OECD countries attained $135.1 USD billion during the same year.Inside the so-called "Southern Providers”, the scope is often overlooked or ignored. In Mexico for instance, the approval of a law in 2011 implemented a new international development cooperation system. The wide range of projects in Central America (considered by Mexican stakeholders as their “natural influence zone”) are formulated to sit within a legal framework, while the law is planned to be extended beyond these type of projects. Given these renewed ambitions, there is a need to better understand what is being done by Mexico in this area. As such, it is estimated that Mexican cooperation flows accounted for $551 USD millions in 2013.In this respect, the current discrepancies between traditional and South-South Cooperation raises several issues. If traditional donors’ practices are discussed within the Development Assistance Committee of the OECD, those of Southern Providers remain out of reach. Therefore, the classic international aid architecture is being eroded.Proposing new analytical frameworks has become necessary. In this regard, the international environment following the adoption of the Post-2015 Development Agenda cannot be capitalised upon with outdated concepts. As a central part of this thesis, the concept of “configuration” formulated by Norbert Elias allows us to understand the phenomenon further. In this sense, the analysis of the new configuration of international development cooperation aims to understand a new distribution of power between relevant stakeholders. While the “architecture” needs to be conceived and planned, a “configuration” has a dynamic nature, and is shaped by the players’ strategies to increase their power. The result is a configuration defined by the positioning of actors within the common space, and the international scene.This research is structured in three parts. First, it explains the new configuration of international cooperation for development. Second, it analyses Mexico’s "systemic responsibilities" as an emerging country towards Central American countries. Finally, it addresses Mexican South-South Cooperation, in the context of the implementation of its new international development cooperation system. / La gama de conceptos disponibles ya no es suficiente para comprender los nuevos retos que enfrentan los actores que operan dentro de la cooperación internacional para el desarrollo. El fin de la Guerra Fría, la afirmación política de los “países emergentes” y el creciente activismo de los actores no-estatales (ONG, sector privado, fundaciones, universidades, etc…) han modificado la dinámica que regía las relaciones internacionales durante los años 90. Aunado a esto, la importancia de los flujos privados ante el estancamiento de la Ayuda Oficial al Desarrollo (AOD) está redefiniendo el rol de los donantes tradicionales. En este sentido, es necesario proponer nuevos marcos conceptuales que nos permitan analizar este fenómeno internacional.A pesar de los múltiples desafíos en términos de desigualdad y pobreza a los que se enfrentan, los “Cooperantes del Sur” están ampliando sus programas de cooperación. En consecuencia, la Cooperación Sur-Sur ha aumentado en forma constante desde el año 2000. En el 2013, estos flujos representaron un total de $23,5 mil millones de dólares, mientras que la AOD ascendió a $135 mil millones durante el mismo año. Esta tendencia puede a veces ser percibida por los donantes tradicionales como una amenaza.Al interior de los llamados « Cooperantes del Sur », el alcance de las políticas de cooperación a menudo se pasa por alto o es ignorado. Es el caso de México, en donde la entrada en vigor de una ley en el 2011 estableció un nuevo sistema de cooperación internacional para el desarrollo. Formulada para aumentar la eficacia de los proyectos llevados a cabo en Centroamérica (subregión considerada la “zona natural de influencia” de México), la ley favorece la implementación de proyectos de cooperación en otras partes del mundo. Frente estas ambiciones renovadas, es necesario estudiar las acciones del país en el campo. Como tal, se estima que la cooperación mexicana se elevó a aproximadamente $551 millones de dólares en el 2013.Desde este punto de vista, la actualización de la escisión entre la cooperación tradicional y la Cooperación Sur-Sur plantea varios problemas. Si las prácticas de los donantes tradicionales son discutidas y son objeto de concertación dentro del Comité de Asistencia para el Desarrollo de la OCDE, aquellas relativas a la Cooperación Sur-Sur permanecen fuera de su alcance. Por lo tanto, nos encontramos ante la erosión progresiva de la arquitectura clásica de la ayuda internacional para el desarrollo.Proponer nuevos puntos de referencia se vuelve necesario. A partir de aquí, la coyuntura que resultó de la adopción de la Agenda de Desarrollo post-2015 requiere la adopción de marcos teóricos alternativos. Para esta tesis, la noción de “configuración”, formulada por Norbert Elias, nos permite entender el fenómeno desde otro enfoque. El análisis de la “nueva configuración de la cooperación internacional para el desarrollo post-2015”, es un intento por comprender la nueva distribución del poder entre los actores que la conforman. La “configuración post-2015” es de naturaleza dinámica, moldeada por las estrategias de los actores que la constituyen, cuyo objetivo es aumentar su margen de maniobra. Se trata en definitiva de una “configuración particular”, definida por el posicionamiento de los actores internacionales.
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[pt] O PAPEL DA COOPERAÇÃO SUL-SUL NA REARTICULAÇÃO DA AUTORIDADE DO PATRIMÔNIO CULTURAL NO BRASIL: UM ESTUDO SOBRE AÇÕES INTERNACIONAIS DO IPHAN / [en] SOUTH-SOUTH COOPERATION S ROLE IN REARTICULATING CULTURAL HERITAGE AUTHORITY IN BRAZIL: A STUDY ON IPHAN S INTERNATIONAL ACTIONSTHALYTA GOMES FERRAZ 20 July 2016 (has links)
[pt] Esta dissertação trata da rearticulação da autoridade do patrimônio cultural no Brasil via ações de cooperação internacional a partir de 2008. Mais especificamente, elabora uma compreensão acerca do engajamento do Instituto do Patrimônio Histórico e Artístico Nacional (IPHAN), instância compreendida como a autoridade que define quem diz o que é patrimônio cultural da nação e o que deve ser preservado, em iniciativas internacionais no âmbito da cooperação Sul-Sul. Inicialmente, o trabalho explora a construção dessa autoridade a partir de narrativas que legitimam as práticas de preservação e sua desestabilização no início dos anos 1980, com os processos de democratização que eclodiram no Brasil. No final do século XX, esses processos abriram espaço para contestações quanto a representação do patrimônio cultural consagrado, conformando a necessidade de reelaboracão da identidade nacional forjada pelas políticas de patrimônio cultural. Em seguida, apresenta a evolução do tema do patrimônio imaterial nos debates internacionais no âmbito da UNESCO e a incorporação desse conceito como condição para a rearticulação da autoridade patrimonial. Por fim, aponta como a ampliação do conceito de patrimônio cultural e o reconhecimento de novas identidades culturais impõem questões acerca da correspondência entre identidade nacional e território, problematizando a autoridade do IPHAN. O trabalho conclui que as iniciativas internacionais em gestão de patrimônio cultural do IPHAN contribuem para a rearticulação de sua autoridade patrimonial, pois permitem, através da releitura do território do Estado brasileiro, a reelaboração da identidade nacional, agora reconhecida na sua heterogeneidade e por sua espacialidade transnacional. / [en] This Master thesis addresses the rearticulation of authority in cultural heritage within Brazil through international cooperation initiatives since 2008. More specifically, it elaborates an understanding on the engagement of the Institute of Historical and Artistic National Heritage (Instituto do Patrimônio Histórico e Artístico Nacional, IPHAN, in Portuguese), the entity seen as responsible to define who determines the content of cultural national heritage and what should be preserved, within South-South cooperation initiatives. Initially, the following thesis explores the construction of this authority from the narratives that legitimize preservation practices and the destabilization of those at the beginning of the 1980s drawing from the democratization processes in Brazil. In the end of 20th century these processes open space for contestations towards the representation of the sacred cultural heritage, shaping the need to redesign the national identity, which has been forged by the cultural heritage policies. Next, the international debates within the UNESCO and the evolution of the topic of intangible heritage will be assessed as a strategy or necessary condition to rearticulate the Institute s heritage authority. Finally, the extension of the cultural heritage concept and the recognition of new cultural identities raise questions in terms of the correspondence between national identity and territory, problematizing IPHAN s authority. The thesis concludes that the international initiatives in cultural heritage management promoted by IPHAN contribute to the rearticulation of its heritage authority, because they allow through a new reading of the Brazilian s state territory, the reelaboration of the national identity, now recognized as heterogeneous and by its transnational spatiality.
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Coopération Chine-Afrique : l'initiative Belt and Road en Sierra Leone et en TanzanieBonacina, Amabilly 08 1900 (has links)
L’initiative Belt and Road (BRI) a été lancée en 2013 par le président chinois Xi Jinping. En 2021, 46 pays africains avaient déjà signé des accords avec la Chine pour réaliser des travaux dans le cadre de l’Initiative. À contre-courant, la Tanzanie et la Sierra Leone ont suspendu deux projets signés dans le cadre de la BRI. Dans ce contexte, ce travail cherche à savoir pourquoi les pays africains, après avoir signé des accords de coopération avec la Chine, dans le cadre de la BRI, décident d’interrompre le projet. Pour répondre à cette question, nous ferons deux études de cas : l’interruption du projet de l’aéroport de Mamamah en Sierra Leone et celle du port de Bagamoyo en Tanzanie. L’argument développé dans cette recherche explore l’importance de l’agentivité africaine dans un contexte de coopération Sud-Sud, pour réduire les asymétries dans les négociations. Les cas analysés ont démontré qu’il existe un espace d’expression et d’opportunité pour les acteurs africains. De plus, la dynamique de la politique interne joue un rôle fondamental dans l’attitude des agents vis-à-vis des accords de coopération, ce qui contribue in fine à leur interruption ou à leur maintien. / The Belt and Road Initiative (BRI) was launched in 2013 by Chinese President Xi Jinping. By 2021, 46 African countries had already signed a Memorandum of Understanding with China under the initiative. Against this broad trend, Tanzania and Sierra Leone have suspended two projects signed under the BRI. In this context, this research seeks to explain why some African countries, after signing cooperation agreements with China, within the framework of the BRI, decide to stop the project. To answer this question, we will conduct two case studies: the interruption of the Mamamah airport project in Sierra Leone and that of the Bagamoyo port in Tanzania. The argument developed in this research explores the importance of African agency in a context of South-South cooperation, to reduce asymmetries in negotiations. The cases analyzed have shown that there is a space for expression and opportunity for African actors. In addition, the dynamics of domestic politics play a fundamental role in the attitude of agents vis-à-vis cooperation agreements, which ultimately contributes to their interruption or maintenance.
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Educación socialista, ayuda y cooperación internacional en el Tercer Mundo. Las becas oficiales de la Isla de la Juventud cubana (1977-2012)Murguia Mendez, Dayana 11 March 2024 (has links)
Die vorliegende Dissertation ist ein historiografischer Beitrag über ein internationales offizielles Stipendienprogramm sui generis in Form von Entwicklungshilfe im Bildungsbereich, das zwischen 1977 und 2012 auf der zweitgrößten Insel des kubanischen Karibikarchipels, der Isla de la Juventud, umgesetzt wurde. Auf der Grundlage von Archivquellen und Teilnehmerberichten wird die Motivation Kubas für die Organisation dieser Bildungshilfe diskutiert. Es wird gezeigt, dass Kuba seine Bildungshilfe auf die Bedürfnisse und Interessen der beteiligten Staaten und Personen ausgerichtet und dementsprechend strukturiert hat. Es wird nachgewiesen, dass neben der Bereitstellung von Ausbildungsmöglichkeiten massiv angelegte Stipendien für die Sekundarstufe I im Mittelpunkt des Programms standen und herausgearbeitet, dass diese Maßnahme angesichts der niedrigen Einschulungsraten in der Dritten Welt den entscheidenden Beitrag des Programms darstellte. Unter Berücksichtigung der wichtigsten Debatten über Entwicklungshilfe im Bildungsbereich stützt sich die Arbeit auf Studien über die Süd-Süd-Zusammenarbeit und die Geschichte der internationalen Stipendien, um zu argumentieren, dass Kuba sich sowohl in seiner ursprünglichen Motivation als auch in der Form der in der Umsetzung des Programms aufgebauten Beziehungen sowie in den Endergebnissen desselben am Prinzip der Solidarität orientierte. Die vorliegende Arbeit kommt zu dem Schluss, dass die kubanische Politik der Entwicklungshilfe im Bildungsbereich die “nationale Entpersönlichung” der Geförderten überwinden konnte. Mit anderen Worten, die Teilnehmer des Programms auf der Insel der Jugend kehrten mit einem Gefühl der Zugehörigkeit zu ihrer Nation in ihre Heimatländer zurück und brachten dabei die in den ʽoffenen Lehrplänenʼ erworbenen Fähigkeiten und die in den ʽungeschriebenen Lehrplänenʼ vermittelten Einstellungen mit, welche in verschiedenen Arbeitskontexten relevant sind. / This dissertation is a historiographical contribution on a sui generis international scholarship program in the form of educational development aid that was implemented between 1977 and 2012 on the second largest island of the Cuban Caribbean archipelago, the Isla de la Juventud. Based on archival sources and reports of participants, Cuba’s motivation for organizing this educational aid is discussed. It is shown that Cuba structured its educational assistance according to the needs and interests of the countries and people involved. It is evidenced that, in addition to the offer of specialties, the program focused on the massive granting of scholarships for lower secondary education and that this measure represented the decisive contribution of the program in view of the low schooling rates in the Third World. Taking into account the main debates on development aid in education, the paper draws on studies of South-South cooperation and the history of official international scholarships to argue that Cuba was guided by the principle of solidarity both in its initial motivation and in the form of the relationships established in the implementation of the program, as well as in the final results of the program. This study concludes that the Cuban development aid policy in the field of education managed to circumvent the “national depersonalization” of the beneficiaries. In other words, participants in the Isla de la Juventud program returned to their countries of origin with a sense of belonging to their nation, taking with them the skills acquired in the ʽopen curriculaʼ and the attitudes conveyed in the ʽnon-written curriculaʼ, which are relevant in different work contexts.
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[en] AMBIVALENCES AND TENSIONS OF A BRAZIL IN BETWEEN: THE NARRATIVE OF BRAZILIAN COOPERATION IN ANGOLA / [pt] AMBIVALÊNCIAS E TENSÕES DE UM BRASIL IN-BETWEEN: A NARRATIVA DA COOPERAÇÃO BRASILEIRA EM ANGOLACAMILA DOS SANTOS 23 August 2016 (has links)
[pt] Presentes na construção de alteridades inerentes às políticas que orientam a cooperação brasileira, as dinâmicas do nexo poder-conhecimento apresentam uma heterogeneidade latente aos seus discursos e práticas, permitindo que o Brasil se coloque ao mesmo tempo como subjugado e subjugador. Isto posto, a presente pesquisa se empenha em compreender como essas políticas sinalizam a persistência de colonialismos, que, mesmo apesar de todas suas hibridizações, continuam a silenciar e subjugar vozes – posto que certas políticas de desenvolvimento são eleitas em detrimento de outras. Assim, o estudo reflete acerca das políticas e práticas de cooperação brasileira, que foram moldadas e informadas sob a influência de uma história intelectual ocidental e europeia, tratando especificamente daquelas exportadas para Angola via combinação de investimentos privados. / [en] As a part of the construction of inherent otherness in the policies that guide Brazilian international cooperation, the dynamics of the power-knowledge nexus bear a latent heterogeneity in their discourses and practices, which allows Brazil to place itself at the same time as subjugated and subjugator. That said, this research strives to understand how these policies indicate the persistence of colonialisms, which despite all their hybridizations, continue to hush and subdue voices - since certain development policies are chosen over others. Thus, the study reflects on the Brazilian cooperation policies and practices that have been shaped and informed under the influence of a Western and European intellectual history, specifically addressing those exported to Angola via combination of private investment.
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A Cooperação Técnica entre Países em Desenvolvimento (CTPD) da Agência Brasileira de Cooperação (ABC-MRE): o Brasil como doador / Technical Cooperation among Developing Countries of the Brazilian Cooperation Agency (ABC-MRE): Brazil as donorLopes, Luara Landulpho Alves 23 October 2008 (has links)
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Previous issue date: 2008-10-23 / At the end of the 1970s, the First United Nations Conference on Technical Cooperation among Developing Countries, held in Buenos Aires, has given visibility to the debate on new cooperation arrangements. The meeting in Buenos Aires, albeit limited, served to systematize the discourse on TCDC, and also contributed to suggest a different conception of international cooperation.
Thus, the dissertation aims to raise the terms of the contemporary debate on Technical Cooperation among Developing Countries (TCDC) and locate the United States - more specifically, the Brazilian Cooperation Agency - in this debate.
We defend the idea according to which Brazil has contributed, through its activity of TCDC, with the horizontalisation of cooperation discourse and practice. That is, we believe that the performance of the Brazilian Cooperation Agency carrying out projects and participating in international forums regarding TCDC has helped to spread a more balanced conception of international cooperation, in contrast to the predominant design in traditional arrangements, North x South, of international aid / No final da década de 1970, a Primeira Conferência das Nações Unidas sobre Cooperação Técnica entre Países em Desenvolvimento, realizada em Buenos Aires, conferiu visibilidade ao debate sobre os novos arranjos de cooperação. O encontro em Buenos Aires serviu para sistematizar, ainda que de forma limitada, o discurso sobre CTPD, e contribuiu também para sugerir uma concepção diferente de cooperação internacional.
Assim, a monografia tem como objetivo levantar os termos do debate contemporâneo sobre Cooperação Técnica entre Países em Desenvolvimento (CTPD) e localizar o Brasil mais especificamente, a Agência Brasileira de Cooperação nesse debate.
Defendemos a idéia segundo a qual o Brasil tem contribuído, através da sua atividade de CTPD, com a horizontalização do discurso sobre cooperação. Ou seja, acreditamos que a atuação da ABC em projetos e fóruns internacionais sobre CTPD tenha ajudado a difundir uma concepção mais simétrica de cooperação internacional, contrastando com a concepção predominante nos arranjos tradicionais, Norte x Sul, de ajuda internacional
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A nova política externa independente : o Governo Lula e a inserção externa brasileira no século 21 / The new independent foreign policy: the Lula Administration and the Brazilian foreign policy in the 21st centuryMello, Eduardo Brigidi de January 2009 (has links)
A partir de 2003, a política externa brasileira retomou mais claramente o padrão verificado entre 1930 e 1980. O Estado voltou a assumir papel fundamental no processo de desenvolvimento, como indutor da economia, priorizando o que se chamou de social-desenvolvimentismo. As aspirações do país mudaram e o universalismo, já consolidado, passou a protagonismo nas principais questões internacionais. A inovação consiste na ênfase com que o Governo Lula passou a defender a reforma social, tanto interna quanto externa. A premissa filosófica de que parte a atual administração é de que há uma relação simbiótica entre aquelas dimensões, e a solução dos problemas internos está condicionada ao reforço da posição do Brasil no sistema internacional. Como a justiça social encontra-se na base da atual gestão, identificaram-se elementos que possibilitam afirmar que a política externa do Governo Lula encontra seu mais aproximado comparativo na Política Externa Independente (PEI). Por tal proximidade, e também por razões didáticas, o atual período é denominado Nova Política Externa Independente (Nova PEI). A estratégia pode ser avaliada segundo os principais eixos táticos adotados a partir de 2003, que encontram correspondência nos eixos táticos da PEI: democracia e multilateralismo, comércio internacional, cooperação Sul-Sul e justiça social. Democracia e Multilateralismo e Comércio Internacional são objetivos, determinados por um instrumento do qual dependem para ser atingidos, a Cooperação Sul-Sul. Como síntese, o eixo Justiça Social é considerado a filosofia que permeia discurso e ação da Nova PEI. Trata-se de um processo de renovação da atuação brasileira para que se torne protagonista nas questões globais. Com a intenção de facilitar a delimitação da Nova PEI, será feita comparação detalhada com a PEI. Nela encontra origem, mas sua originalidade deriva da combinação dos eixos mencionados com a nova configuração do sistema internacional. Após a indicação dos limites característicos de ambas, o resumo das idéias compiladas e das idéias aqui arriscadas buscará indicar os desafios que a política externa brasileira enfrentará no século que se inicia. Finalmente, questiona-se se é possível uma diplomacia para o desenvolvimento no século XXI. / Since 2003, Brazilian foreign policy recovered more clearly the pattern verified between 1930 and 1980. The State once again adopted a fundamental role in the development process, leading the economy towards the so called social development process. The goals of the country have changed and the universalism, already settled, supported the effort for the country to become a real protagonist in the main international issues. The innovation consists in the emphasis that the Lula Administration put in the social reform, both internal and external. The philosophical premise that bases the current administration is that there is a mutual relationship between those dimensions, and that the solution of the internal problems is conditioned to the strengthening of the Brazilian position in the international system. Considering that social justice is a ground to this administration, some elements have been identified that make it possible to compare President Lula’s foreign policy with the Independent Foreign Policy from the early sixties (Política Externa Independente – PEI). For this similarity, but also for didactical purposes, the current period is named New Independent Foreign Policy (Nova Política Externa Independente – Nova PEI). For this similarity, but also for didactical purposes, the current period is named New Independent Foreign Policy (Nova Política Externa Independente – Nova PEI). The strategy must be evaluated according to the main tactical lines adopted since 2003, and that correspond to PEI’s tactical lines: democracy and multilateralism, international trade, South-South cooperation and social justice. Democracy and Multilateralism are goals, determined by an instrument on which they depend to be fulfilled, South-South cooperation. As a synthesis, Social Justice is considered the philosophy that underlies “Nova PEI’s” discourse and action. It is a renovation process of the Brazilian role to make the country a protagonist in global matters. Having in mind the intention to ease the understanding of Nova PeI, it will be constructed a comparison to PEI, in which it finds its origins. But its originality derives from the combination of the tactical lines mentioned related to the configuration of the international system. After pointing the limits of both policies, the summary of the ideas gathered will risk to try and indicate the challenges the Brazilian foreign policy will face in the new century. Finally, it will be considered if it is possible a diplomacy for development in this century.
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A nova política externa independente : o Governo Lula e a inserção externa brasileira no século 21 / The new independent foreign policy: the Lula Administration and the Brazilian foreign policy in the 21st centuryMello, Eduardo Brigidi de January 2009 (has links)
A partir de 2003, a política externa brasileira retomou mais claramente o padrão verificado entre 1930 e 1980. O Estado voltou a assumir papel fundamental no processo de desenvolvimento, como indutor da economia, priorizando o que se chamou de social-desenvolvimentismo. As aspirações do país mudaram e o universalismo, já consolidado, passou a protagonismo nas principais questões internacionais. A inovação consiste na ênfase com que o Governo Lula passou a defender a reforma social, tanto interna quanto externa. A premissa filosófica de que parte a atual administração é de que há uma relação simbiótica entre aquelas dimensões, e a solução dos problemas internos está condicionada ao reforço da posição do Brasil no sistema internacional. Como a justiça social encontra-se na base da atual gestão, identificaram-se elementos que possibilitam afirmar que a política externa do Governo Lula encontra seu mais aproximado comparativo na Política Externa Independente (PEI). Por tal proximidade, e também por razões didáticas, o atual período é denominado Nova Política Externa Independente (Nova PEI). A estratégia pode ser avaliada segundo os principais eixos táticos adotados a partir de 2003, que encontram correspondência nos eixos táticos da PEI: democracia e multilateralismo, comércio internacional, cooperação Sul-Sul e justiça social. Democracia e Multilateralismo e Comércio Internacional são objetivos, determinados por um instrumento do qual dependem para ser atingidos, a Cooperação Sul-Sul. Como síntese, o eixo Justiça Social é considerado a filosofia que permeia discurso e ação da Nova PEI. Trata-se de um processo de renovação da atuação brasileira para que se torne protagonista nas questões globais. Com a intenção de facilitar a delimitação da Nova PEI, será feita comparação detalhada com a PEI. Nela encontra origem, mas sua originalidade deriva da combinação dos eixos mencionados com a nova configuração do sistema internacional. Após a indicação dos limites característicos de ambas, o resumo das idéias compiladas e das idéias aqui arriscadas buscará indicar os desafios que a política externa brasileira enfrentará no século que se inicia. Finalmente, questiona-se se é possível uma diplomacia para o desenvolvimento no século XXI. / Since 2003, Brazilian foreign policy recovered more clearly the pattern verified between 1930 and 1980. The State once again adopted a fundamental role in the development process, leading the economy towards the so called social development process. The goals of the country have changed and the universalism, already settled, supported the effort for the country to become a real protagonist in the main international issues. The innovation consists in the emphasis that the Lula Administration put in the social reform, both internal and external. The philosophical premise that bases the current administration is that there is a mutual relationship between those dimensions, and that the solution of the internal problems is conditioned to the strengthening of the Brazilian position in the international system. Considering that social justice is a ground to this administration, some elements have been identified that make it possible to compare President Lula’s foreign policy with the Independent Foreign Policy from the early sixties (Política Externa Independente – PEI). For this similarity, but also for didactical purposes, the current period is named New Independent Foreign Policy (Nova Política Externa Independente – Nova PEI). For this similarity, but also for didactical purposes, the current period is named New Independent Foreign Policy (Nova Política Externa Independente – Nova PEI). The strategy must be evaluated according to the main tactical lines adopted since 2003, and that correspond to PEI’s tactical lines: democracy and multilateralism, international trade, South-South cooperation and social justice. Democracy and Multilateralism are goals, determined by an instrument on which they depend to be fulfilled, South-South cooperation. As a synthesis, Social Justice is considered the philosophy that underlies “Nova PEI’s” discourse and action. It is a renovation process of the Brazilian role to make the country a protagonist in global matters. Having in mind the intention to ease the understanding of Nova PeI, it will be constructed a comparison to PEI, in which it finds its origins. But its originality derives from the combination of the tactical lines mentioned related to the configuration of the international system. After pointing the limits of both policies, the summary of the ideas gathered will risk to try and indicate the challenges the Brazilian foreign policy will face in the new century. Finally, it will be considered if it is possible a diplomacy for development in this century.
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O envolvimento da EMBRAPA e do SENAI na Cooperação Sul-Sul: da indução à busca pela retroalimentação / The involvement of EMBRAPA and SENAI in South-South Cooperation: from induction to the search for feedbackIara Costa Leite 14 November 2013 (has links)
Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico / Por envolver número crescente de atores domésticos, a participação do Brasil na Cooperação Técnica entre Países em Desenvolvimento (CTPD) representa domínio privilegiado para se compreenderem oportunidades e desafios à institucionalização da Cooperação Sul-Sul nas relações exteriores do país. Além de contarem com competência
setorial, instituições implementadoras da CTPD brasileira passaram a reunir conhecimentos sobre países com os quais o Brasil não mantinha ligações históricas estreitas e contínuas,
aumentando seu potencial de influência sobre as diretrizes da política externa. Ao mesmo tempo, boa parte dessas instituições possui estrutura voltada para o desenvolvimento
doméstico, conflitando com a alocação crescente de seus recursos para a promoção do desenvolvimento internacional. Por um lado, embora a busca pelo desenvolvimento nacional
seja baluarte da diplomacia brasileira, os benefícios da CTPD para o mesmo aparecem de forma difusa no discurso diplomático. Por outro lado, agências implementadoras passaram a desenhar estratégias para triar ou induzir demandas, alimentando divergências com instituições decisórias e implementadoras que sustentavam visões distintas sobre o desenvolvimento e a inserção internacional do Brasil. O objetivo geral desta tese é entender os
determinantes do envolvimento do Brasil na CTPD e os impactos da alocação crescente de recursos oficiais brasileiros para a promoção do desenvolvimento internacional sobre a formulação da política externa brasileira. A análise será aprofundada por meio de estudo dos casos de duas agências protagonistas na CTPD brasileira: a Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecuária (EMBRAPA) e o Serviço Nacional de Aprendizagem Industrial (SENAI). Seu
envolvimento na CTPD apresenta trajetória semelhante na medida em que induzido, inicialmente, por doadores tradicionais e, posteriormente, como maior ênfase, pela diplomacia brasileira. Durante o Governo Lula, diante do volume crescente de demandas, EMBRAPA e SENAI, identificados tradicionalmente com modelos de desenvolvimento focados no crescimento econômico e no avanço científico-tecnológico, fortaleceram suas divisões de
Relações Internacionais e buscaram influenciar o processo decisório da CTPD considerando lições aprendidas em campo e elementos de seus respectivos planejamentos estratégicos. Não obstante, com a entrada do Governo Dilma e as novas prioridades do desenvolvimento e da política externa, essas instituições divergiram na avaliação da instrumentalidade da CTPD. A vertente Sul-Sul se desmobilizou no SENAI, mas continuou relevante na EMBRAPA, o que pode guardar relação com a maior competitividade do setor agrícola brasileiro e com a capacidade da EMBRAPA de mobilizar fontes alternativas de recursos humanos e financeiros para implementar ações. Porém, a polarização entre agronegócio e agricultura familiar dentro da empresa, alimentada pela sua polarização na sociedade brasileira e fora do país, comprometeu o alinhamento institucional em torno do caráter estratégico de sua atuação na CTPD. / For involving a growing number of domestic actors, Brazils participation in Technical Cooperation among Developing Countries (TCDC) represents a privileged field for
understanding opportunities and challenges to the institutionalization of South-South Cooperation in the countrys foreign affairs. Besides gathering sectorial expertise,
implementing institutions of Brazilian TCDC began gathering knowledge on countries with which Brazil did not maintain close and continuous historical relations, thus enhancing their
potential to influence foreign policy guidelines. At the same time, most of such institutions framework targets at domestic development, conflicting with growing allocation of their
resources to the promotion of international development. On the one hand, although the search for national development is a bulwark of Brazilian diplomacy, the benefits of TCDC to
the former are diffusely accounted for in the diplomatic discourse. On the other hand, implementing agencies started designing strategies to sort or to induce demands, feeding
divergences with decision-making and implementing institutions holding different views on development and on Brazils participation in international affairs. The aim of this dissertation is to understand the drivers of Brazils involvement in TCDC and the impacts of growing allocation of Brazilian official resources to the promotion of international development over the design of Brazilian foreign policy. The analysis will be deepened through case studies of two protagonist agencies in Brazilian TCDC: the Brazilian Agricultural Research Corporation (EMBRAPA) and the National Industrial Training Service (SENAI). Their involvement in
TCDC presents similar paths since it was initially induced by traditional donors and later, with greater emphasis, by Brazilian diplomacy. During the Lula administration, faced with a growing number of demands, Embrapa and Senai, traditionally identified with development models focused at economic growth and scientific and technological advance, have strengthened their International Relations departments and tried to influence TCDC decisionmaking considering lessons learnt in field and elements presented in their respective strategic plans. However, with the arrival of the Dilma administration and new development and foreign policy priorities, such institutions have diverged in the assessment of TCDCs instrumentality. The South-South arena was demobilized in SENAI, but continued to be relevant in EMBRAPA, something that can bear a relation with greater competitiveness of the Brazilian agricultural sector and EMBRAPAs capacity of mobilizing alternative human and
financial resources to implement actions. Nonetheless, polarization among agribusiness and family farming inside the corporation, fed by its polarization in Brazilian society and outside the country, has compromised institutional alignment around its strategic action in TCDC.
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A nova política externa independente : o Governo Lula e a inserção externa brasileira no século 21 / The new independent foreign policy: the Lula Administration and the Brazilian foreign policy in the 21st centuryMello, Eduardo Brigidi de January 2009 (has links)
A partir de 2003, a política externa brasileira retomou mais claramente o padrão verificado entre 1930 e 1980. O Estado voltou a assumir papel fundamental no processo de desenvolvimento, como indutor da economia, priorizando o que se chamou de social-desenvolvimentismo. As aspirações do país mudaram e o universalismo, já consolidado, passou a protagonismo nas principais questões internacionais. A inovação consiste na ênfase com que o Governo Lula passou a defender a reforma social, tanto interna quanto externa. A premissa filosófica de que parte a atual administração é de que há uma relação simbiótica entre aquelas dimensões, e a solução dos problemas internos está condicionada ao reforço da posição do Brasil no sistema internacional. Como a justiça social encontra-se na base da atual gestão, identificaram-se elementos que possibilitam afirmar que a política externa do Governo Lula encontra seu mais aproximado comparativo na Política Externa Independente (PEI). Por tal proximidade, e também por razões didáticas, o atual período é denominado Nova Política Externa Independente (Nova PEI). A estratégia pode ser avaliada segundo os principais eixos táticos adotados a partir de 2003, que encontram correspondência nos eixos táticos da PEI: democracia e multilateralismo, comércio internacional, cooperação Sul-Sul e justiça social. Democracia e Multilateralismo e Comércio Internacional são objetivos, determinados por um instrumento do qual dependem para ser atingidos, a Cooperação Sul-Sul. Como síntese, o eixo Justiça Social é considerado a filosofia que permeia discurso e ação da Nova PEI. Trata-se de um processo de renovação da atuação brasileira para que se torne protagonista nas questões globais. Com a intenção de facilitar a delimitação da Nova PEI, será feita comparação detalhada com a PEI. Nela encontra origem, mas sua originalidade deriva da combinação dos eixos mencionados com a nova configuração do sistema internacional. Após a indicação dos limites característicos de ambas, o resumo das idéias compiladas e das idéias aqui arriscadas buscará indicar os desafios que a política externa brasileira enfrentará no século que se inicia. Finalmente, questiona-se se é possível uma diplomacia para o desenvolvimento no século XXI. / Since 2003, Brazilian foreign policy recovered more clearly the pattern verified between 1930 and 1980. The State once again adopted a fundamental role in the development process, leading the economy towards the so called social development process. The goals of the country have changed and the universalism, already settled, supported the effort for the country to become a real protagonist in the main international issues. The innovation consists in the emphasis that the Lula Administration put in the social reform, both internal and external. The philosophical premise that bases the current administration is that there is a mutual relationship between those dimensions, and that the solution of the internal problems is conditioned to the strengthening of the Brazilian position in the international system. Considering that social justice is a ground to this administration, some elements have been identified that make it possible to compare President Lula’s foreign policy with the Independent Foreign Policy from the early sixties (Política Externa Independente – PEI). For this similarity, but also for didactical purposes, the current period is named New Independent Foreign Policy (Nova Política Externa Independente – Nova PEI). For this similarity, but also for didactical purposes, the current period is named New Independent Foreign Policy (Nova Política Externa Independente – Nova PEI). The strategy must be evaluated according to the main tactical lines adopted since 2003, and that correspond to PEI’s tactical lines: democracy and multilateralism, international trade, South-South cooperation and social justice. Democracy and Multilateralism are goals, determined by an instrument on which they depend to be fulfilled, South-South cooperation. As a synthesis, Social Justice is considered the philosophy that underlies “Nova PEI’s” discourse and action. It is a renovation process of the Brazilian role to make the country a protagonist in global matters. Having in mind the intention to ease the understanding of Nova PeI, it will be constructed a comparison to PEI, in which it finds its origins. But its originality derives from the combination of the tactical lines mentioned related to the configuration of the international system. After pointing the limits of both policies, the summary of the ideas gathered will risk to try and indicate the challenges the Brazilian foreign policy will face in the new century. Finally, it will be considered if it is possible a diplomacy for development in this century.
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