• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 20
  • 5
  • 4
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 32
  • 32
  • 16
  • 13
  • 11
  • 9
  • 8
  • 7
  • 7
  • 6
  • 6
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
21

Thomas Reid sur les premiers principes de la connaissance spéculative, morale et politique / Thomas Reid on the first principles of speculative, moral and political knowledge

França Freitas, Vinícius 20 November 2017 (has links)
Cette dissertation rend compte de la théorie des premiers principes de la connaissance de Thomas Reid (1710-1796), plus particulièrement, de la théorie des premiers principes de la philosophie de l'esprit, de la morale et de la politique. Dans le premier chapitre, je discute des engagements fondationnalistes de Reid dans la philosophie de l'esprit, de la morale et de la politique. Je soutiens qu'il est clairement un fondationnaliste en ce qui concerne la connaissance spéculative et morale, mais qu’il n'est pas clair qu’il conserve les engagements fondationnalistes en matière de savoir politique - les premiers principes de la politique ne sont pas des croyances évidentes en soi : ils ne sont pas justifiés depuis le début de la recherche. Par conséquent, ils n'ont pas ce qu'il faut pour être une croyance fondamentale dans une vision fondationnaliste de la structure de la connaissance. Dans le deuxième chapitre, je discute la compréhension de Reid des sources de la connaissance, à savoir, le sens commun et la connaissance de l'humanité. Je soutiens que si la philosophie de l'esprit et de la morale repose sur les premiers principes du sens commun (croyances immédiates et irrésistibles dues à la constitution originelle de l'esprit), la politique repose sur les premiers principes de la connaissance de l'humanité (croyances dues à un mélange de la sagacité et de l'expérience du philosophe politique qui vit parmi les êtres humains dans une société politique). Dans le troisième chapitre, j'essaie d'expliquer la compréhension de Reid des premiers principes de la philosophie de l'esprit, de la morale et de la politique. Je m’efforce de répondre à ces questions : Qu'est-ce qu'un principe premier de la connaissance ? Comment expliquer la distinction entre les principes des vérités contingentes et les principes des vérités nécessaires ? Quelles sont les moyens que nous avons pour identifier les premiers principes de la connaissance ? Le quatrième et dernier chapitre est entièrement consacré à la discussion du sens commun. Plus particulièrement, je discute la manière dont Reid défend les premiers principes du sens commun contre l'attaque sceptique. / This thesis aims to discuss Thomas Reid’s (1710-1796) theory of the first principles of knowledge, more particularly, the first principles of philosophy of mind, morals and politics. In the first chapter, I discuss Reid’s foundationalist commitments in philosophy of mind, morals and politics. I argue that he is clearly a foundationalist about speculative and moral knowledge, but it is not clear if he keeps foundationalist commitments with regard to political knowledge – the first principles of politics are not self-evident beliefs: they are not justified from the start and, therefore, they do not have what is needed for being basic beliefs in a foundationalist view of the structure of knowledge. In the second chapter, I discuss Reid’s understanding of the sources of speculative, moral and political knowledge, namely, common sense and knowledge of mankind. I argue that while philosophy of mind and morals are based upon the first principles of common sense – immediate and irresistible beliefs due to the original constitution of mind, politics is based upon first principles of the knowledge of mankind – beliefs that are due to a mixture of the sagacity and the experience of the political scientist who lives among other human beings in a political society. In the third chapter, I try to explain Reid’s comprehension on the first principles of philosophy of mind, morals and politics. I try to explain what a first principle of knowledge is, how to understand the distinction between the principles of contingent and necessary truths and what the means we have to identify the first principles of knowledge are. The fourth and last chapter is entirely dedicated to common sense. More particularly, I discuss how Reid defends the first principles of common sense from the skeptical attack.
22

Sémantique et pragmatique de la musique: Une approche cognitive basée sur le travail de Philippe Schlenker et sur les oeuvres de Franz Liszt

Rodriguez, Hugo 30 March 2021 (has links) (PDF)
Ce travail propose une théorie générale de l'interface entre deux dimensions du fait musical : sa dimension sémantique (les significations que la musique peut contenir) et sa dimension pragmatique (ses usages en contexte). Cette théorie se situe dans une perspective naturaliste, au carrefour de trois disciplines : la philosophie de l'esprit, la psychologie cognitive et la musicologie historique. Elle part du postulat que la sémantique et la pragmatique de la musique sont des cas particuliers de certaines normes universelles (par exemple la norme de vérité) et certaines dispositions cognitives et sociales de l'être humain, pour l'essentiel non spécifiques à ce qu'on appelle la musique, l'art et l'esthétique. La première partie trace les grandes lignes de la théorie. Elle se fonde sur les travaux du linguiste et philosophe Philippe Schlenker. On y défend deux thèses principales : une thèse sémantique et une thèse pragmatique. La thèse sémantique soutient que toute signification musicale est indexicale, c'est-à-dire que toute signification musicale consiste dans le fait d'attribuer à une unité formellement cohérente de sons musicaux un ensemble de causes probables. Ces causes probables des sons musicaux peuvent être des entités réelles et/ou fictives, des entités objectives et/ou subjectives, des entités productrices de son ou non. Dans tous les cas, ces entités sont situées dans le contexte d'écoute de la musique, et la musique les « indique » à l'auditeur (d'où le terme « indexical »). Ces entités sont alors tenues pour être les contenus indexicaux vrais ou faux de la musique. La thèse pragmatique soutient que toute communication en musique consiste à organiser intentionnellement (y compris à distance, via des dispositifs de médiation adéquats, tels que des programmes, des techniques et lieux d'écoute, des rituels et autres conventions) la relation entre la musique composée/interprétée d'une part, et le contexte effectif ou supposé où cette musique sera perçue d'autre part, de sorte à maximiser la pertinence des significations indexicales, vraies ou fausses, inférées de l'écoute musicale dans ce contexte. La seconde partie du travail approfondit ces thèses en étudiant en détail trois phénomènes sémantico-pragmatiques suffisamment riches et complexes : la fiction, la narration et l'évocation. Cette seconde partie est bâtie sur l'analyse de trois poèmes symphoniques de Franz Liszt (Hamlet, Tasso et Mazeppa). Elle est ancrée dans le contexte de la querelle entre la musique à programme et la musique pure, qui a agité les milieux musicaux au XIXe siècle autour des mêmes problématiques que celles de ce travail. / This PhD aims to build a general theory of the interface between two dimensions of music : its semantic dimension (i.e. the meaningful nature of music) and its pragmatic dimension (i.e. the uses of music in context). The theory is grounded in a naturalistic perspective, at the intersection of three disciplines :philosophy of mind, cognitive psychology and historical musicology. The basic premise is that semantics and pragmatics of music are just particular cases of certain universal norms (i.e. the norm of truth) and certain social-cognitive dispositions of the human being, essentially non specific to what is usually called music, art or æsthetics. The first part outlines the main aspects of the theory, building on the work of linguist and philosopher Philippe Schlenker. We defend two claims :a semantic one and a pragmatic one. The semantic claim is that every musical meaning is indexical. In other words, a musical meaning is the set of possible causes attributed to a formally coherent unit of musical sounds, be they real and/or fictional causes, objective and/or subjective causes, sound producing or not sound producing causes. In any case, these possible causes are entities that are located within the listening context and are “indicated” by the music to the listener (hence the use of the word “indexical”). The entities that have possibly caused the musical sounds are, then, considered to be the true or false indexical content of the music. The pragmatic claim is that communication in music consists in organizing intentionally (including indirectly, at a distance, by means of relevant devices, such as programs, listening technologies, performance places, rites and other conventions, etc.) the relation between the composed and/or performed music and the supposed or effective context where the music would be listened, in order to enhance as much as possible the relevance of the true or false indexical meanings, inferred from the musical listening in this context. In the second part, the two hypotheses are further investigated by focusing on more complex semantico-pragmatic issues. We propose an in-depth analysis of three phenomena : fiction, narration and evocation. This three-part study is based on a detailed analysis of three symphonic poems by Franz Liszt (Hamlet, Tasso and Mazeppa). It is also grounded in the context of a central episode of 19th Century musical life :the quarrel between program music and pure music about the same semantic and pragmatic issues. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
23

Quatre réponses au problème de la combinaison pour le monisme russellien

Tremblay-Baillargeon, Victor 08 1900 (has links)
Le « problème difficile de la conscience » consiste à comprendre pourquoi certains processus physiques, comme ceux ayant lieu dans le cerveau humain, donnent lieu à de la conscience, c’est-à-dire à de l’expérience subjective. Ce mémoire se penche sur une théorie cherchant à répondre au problème difficile de la conscience : le monisme russellien. Cette théorie affirme en bref que la conscience est la nature intrinsèque de la matière. Le monisme russellien espère pouvoir expliquer l’existence de la conscience humaine en posant la conscience au niveau fondamental de la réalité. Toutefois, des critiques affirment que cette théorie est incapable d’expliquer comment la conscience présente dans la matière pourrait se combiner pour former la conscience humaine. Une telle objection se nomme le « problème de la combinaison ». Après une présentation du monisme russellien et du problème du la combinaison, la plausibilité de quatre différentes réponses au problème de la combinaison sera évaluée. Ces quatre réponses tâchent de rendre intelligible la manière dont la conscience présente dans la matière pourrait se combiner pour constituer la conscience humaine. / The "hard problem of consciousness" is the problem of understanding why certain physical processes, such as those taking place in the human brain, give rise to consciousness, or subjective experience. This thesis examines a theory that seeks to answer the hard problem of consciousness: Russellian monism. In short, this theory asserts that consciousness is the intrinsic nature of matter. Russellian monism hopes to explain the existence of human consciousness by positing consciousness at the fundamental level of reality. However, critics claim that this theory is unable to explain how consciousness present in matter could combine to form human consciousness. Such an objection is called the "problem of combination". After a presentation of Russellian monism and the combination problem, I critically evaluate the plausibility of four different answers to the combination problem. These four different answers try to make intelligible the way in which consciousness present in matter could combine to constitute human consciousness.
24

Le néo-réductionnisme et la matérialisme éliminativiste de Paul M. Churchland

Côté Charbonneau, Mathieu January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
25

Philosophie de la psychologie et psychanalyse chez Freud : enjeux épistémologiques contemporains / Philosophy of psychology and Freudian psychoanalysis : contemporary epistemological stakes

Limikou Bikiela, Alpin Dieu-donné 13 October 2014 (has links)
Quels sont les principaux acquis de la psychologie médicale de l’époque de Freud qui ont contribué à l’émergence du mouvement psychanalytique ? Comment Freud les a-T-Il repris dans le cadre d’une construction originale ? Malgré l’abondante littérature consacrée à ces questions qui paraissent si simples, les réponses sont loin de faire l’unanimité. Cette difficulté n’est pas récente, elle est perceptible déjà chez Freud qui, en 1914 (dans Contribution à l’histoire du mouvement psychanalytique) et en 1925 (dans Ma vie et la psychanalyse), entreprit de retracer l’histoire de la psychanalyse, tout en évoquant les principaux acteurs qui ont, de manière directe ou indirecte, contribué à l’éclosion de ce corps de connaissances. Cependant, les découvertes faites par des chercheurs contemporains, dans les Archives des centres hospitaliers, où étaient internés certains patients de Freud, tout autant qu’une lecture attentive du contexte historique et des productions intellectuelles sur la maladie mentale, à la fin du XIX ème siècle, laissent planer des interrogations. Freud a-T-Il biaisé l’histoire de la psychanalyse pour en apparaitre comme le père fondateur ? Ces soupçons qui pèsent sur le travail d’historien entrepris d’abord par Freud, puis par ses collaborateurs, nous invite, en tant qu’historien des sciences, à réévaluer un certain nombre d’acquis en psychanalyse, au regard de l’abondance des découvertes récentes. En outre, les travaux de Freud n’entretiennent pas seulement des rapports avec les théories psychologiques de son temps. De nos jours, ils alimentent encore des discussions dans les « théories contemporaines de l’esprit », notamment dans les champs disciplinaires tels que la philosophie de l’esprit et les neurosciences cognitives. C’est ce que démontre la dernière partie de cette thèse qui, à titre de test, confronte la théorie freudienne de l’inconscient aux théories contemporaines. / What where the main types of psychological knowladge used by Freud which contributed to the emergence of psychoanalytic movement? How did Freud use these main types of psychological knowladge in the context of original construction? In spite of the abundant literature concerning these questions which appaer simple, the answers aren't uncontroversial. This difficulty isn't recent, Freud has been already studied this matter in Contribution to the History of Psychoanalysis movement (1914) and My life and Psychoanalysis (1925) retraced the history of psychoanalysis, mentioning the principal actors who have, directly or indirectly, contributed to the building this body of knowledge.However, the discoveries done by contemporary researchers, in the archives of hospitals, where some Freud’s patients were interned, with a careful reading of the historical context and the intellectual productions on mental illness, at the end of 19th century, raises important questions. Did Freud bias the psychoanalysis history in order to be considered as the real founding father? These suspicions have an impact on the historians working on the work of Freud and on his partisans as well. This invites us, as historians of sciences, to revaluate a certain number of hypotheses in psychoanalysis, according to recent discoveries.Besides, the work of Freud doesn’t not only have relationship with psychological theory of his time. In our days, Freud’s work enriches discussions as far it concerns “contemporary Theories of mind”, and in particular, in disciplinary fields such as Philosophy of mind and cognitive neuroscience. This is what the last part of this thesis demonstrates, as a test case, it interacts Freudian theory of unconsciousness with contemporary theories.
26

La réalité sans représentation, la théorie de l'énaction et sa légitimité épistémologique

Peschard, Isabelle 04 November 2004 (has links) (PDF)
Ce travail présente une critique conceptuelle et épistémologique des conceptions représentationnistes de la 'connaissance de la réalité', entendue comme le résultat d'un processus cognitif ou scientifique. Il expose les raisons de l'insatisfaction que peut susciter ce type de conception relativement à l'usage ordinaire des concepts de 'connaissance' et de 'réalité'. Puis, il montre la possibilité d'une théorie de la cognition, théorie de l'énaction, et d'une épistémologie qui fassent droit, à l'expérience, phénoménale et pragmatique, attachée à cet usage. La théorie de l'énaction formalise l'idée d'une co-constitution historique du sujet et de l'objet de la connaissance émergeant de l'interaction sensori-motrice d'un système vivant et de son environnement. Elle autorise, en outre, une conception de la connaissance de la réalité qui permet de repenser en termes conceptuels la question de la relation mental/physique, et de proposer une pratique d'articulation des compte-rendus phénoménal et objectif, produits respectivement en première et en troisième personne : la neurophénoménologie. <br />La légitimation de cette 'théorie de l'énaction' fait appel à une épistémologie non représentationniste revendiquant elle aussi une 'véritable' historicité du processus de co-constitution de l'objet et du sujet de la connaissance. Cette épistémologie établit une distinction entre le 'faire' de la pratique scientifique et le 'dire' de la connaissance de la réalité qui permet d'arracher le concept de réalité à l'espace métaphysique des causes et de le replacer dans l'espace logique de la justification. C'est une épistémologie qui est basée sur les notions d'alliances plurielles et d'ouverture de pratiques diverses situant la connaissance scientifique au sein d'un réseau évolutif d'acteurs impliqués à divers titres dans l'organisation de la vie collective.
27

Le néo-réductionnisme et la matérialisme éliminativiste de Paul M. Churchland

Côté Charbonneau, Mathieu January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
28

Martin Heideggers Gang durch Hegels "Phänomenologie des Geistes"

Sell, Annette. January 1998 (has links)
Thesis (doctoral)--Ruhr-Universität Bochum, 1997. / Includes bibliographical references (p. [165]-175).
29

Emergence et évolution du concept de conscience mentale: de l'aristotélisme à la philosophie de l'esprit / History of consciousness: from aristotelianism to philosophy of mind

Nicaise, Julien 22 April 2015 (has links)
La présente thèse de doctorat s'est fixée pour objectif de retracer l'histoire du concept de conscience mentale à travers les langages de spécialité (la philosophie et la psychologie principalement), et ce au cours de la période qui va de l'Antiquité (avec l’aristotélisme) jusqu'à notre époque (avec la philosophie de l’esprit). Ce travail nous a, tout d'abord, amené à redéfinir la conscience sous un jour nouveau, aussi bien en tant que concept pur et dur (dimension déjà présente chez Aristote et chez les penseurs pré-modernes) qu'en tant qu'outil de diverses philosophies chargées de fonder la connaissance et les sciences (dimension opérante à partir de Descartes), puis en tant que philosophie (nous pensons principalement à la philosophie de l'esprit). Une telle entreprise nous a ainsi permis de proposer une définition inédite de la conscience mentale, qui se nourrit des différents paradigmes étudiés tout au long de son histoire. Plus spécifiquement, le "méta-paradigme conscientiel" ainsi généré (aussi nommé "paradigme de type 1") propose une définition en intension, une définition en extension (à savoir une typologie), ainsi qu'un cadre onto-épistémologique servant de toile de fond. Dans le même temps, nous avons été amené à élaborer une épistémologie générale capable d'analyser les différents "paradigmes de type 0" que nous avons rencontrés - et qui se présentent sous diverses formes (des doctrines et des théories philosophiques, des théories scientifiques, des dogmatismes). Cette épistémologie - sous-tendue par quatre critères qui permettent de distinguer les paradigmes entre eux, et dont rend compte notre méta-paradigme - s'avère en outre pensée dans la perfectibilité et dans la complexité, étant ouverte aux futurs paliers d'une échelle de la conscience qui n'a pas fini de s'écrire. De cette manière, nous évitons, avec Donald Davidson, l'écueil qui consiste à voir le "conscientiel" (la conscience comme les productions de l'esprit) comme le simple prolongement du matériel – ce qui nous interdirait, par exemple, de nous interroger sur la "possibilité d'une conscience" au-delà même du vivant./The aim of this thesis was to trace the history of consciousness through philosophy and psychology, from Antiquity (Aristotelianism) to our time (Philosophy of Mind). In a first time, this work led us to define consciousness in a new light, as well as concept (which already appears in Aristotle and in medieval thinkers) and as a tool for various philosophies that try to found knowledge and sciences (this dimension will be born from Descartes), then as a philosophy (we think about the philosophy of mind). This also allowed us to propose a new definition of consciousness, which is inspired by different paradigms studied throughout its history. More specifically, our “metaparadigm” (or "type 1 paradigm") contains a definition and a typology of consciousness, and is underpinned by an onto-epistemological framework. At the same time, we tried to develop a general epistemology able to analyze “type 0 paradigms” we met (these paradigms can be philosophical doctrines, philosophical theories, scientific theories or dogmas). Open to future levels of consciousness’scale that is not finished, this epistemology - underlied by four criteria that distinguish them paradigms, and which are constitutive of our “metaparadigm” - is also favorable to the perfectibility and the complexity. In this way, we especially avoid, with Donald Davidson, the mistake of considering consciousness and all products of mind, thought or cultur just as an extension of material reality - which would prevent us, for example, to wonder about the possibility that consciousness might exist in “non-living beings”. / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
30

Approche développementale de la théorie de l'esprit, de la conscience de soi et de leurs relations

Legrain, Laure 18 December 2010 (has links)
Les cinq études détaillées au cours de cette thèse interrogent divers aspects de la théorie de l’esprit, de la conscience de soi ainsi que du lien (multiple ou unique) qui unit ces deux capacités sociocognitives si particulières. Les deux premières études mettent en évidence différentes variables qui peuvent – ou non- influencer l’attribution d’intention et de fausse croyance à autrui. La troisième étude porte plus précisément sur les différents composants de la conscience de soi et sur leur trajectoire développementale. La quatrième étude interroge le lien développemental entre la théorie de l’esprit et la conscience de soi, alors que la dernière étude questionne la présence de ce lien chez les chimpanzés (Pan Troglodytes). Nous démontrerons, tout au long de cette thèse, que la théorie de l’esprit et la conscience de soi sont composées de différents éléments et que leur acquisition est graduelle. / Doctorat en Sciences Psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.0778 seconds