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De la pertinence d'une approche sélectionniste en épistémologie : Hull contre Kitcher

Plante, Stéphane 12 1900 (has links)
David Hull et Philip Kitcher présentent tous deux une description des sciences qui tient compte autant de l'articulation logique des théories que de leur dynamique sociale. Hull (1988a, 2001) tente de rendre compte du progrès scientifique par le biais d'une analyse sélectionniste, en s'appuyant sur les contingences sociales et les biais individuels en tant que pressions de sélections. Pour lui, un processus de sélection darwinien filtre les théories supérieures des théories inadéquates. Kitcher (1993) présente plutôt le progrès scientifique comme un changement de consensus résultant de processus sociaux et psychologiques qui mènent de manière fiable à la vérité. Les théories sont ainsi filtrées par une dynamique sociale qui sélectionne les théories selon la qualité de leur articulation logique. Kitcher (1988) exprime un doute à l'idée qu'un processus de sélection darwinien du type suggéré par Hull puisse ajouter quoi que ce soit à une explication du processus d'avancement des sciences. Ce mémoire tentera d'établir si cette critique de Kitcher est fondée. Dans cette optique, une analyse détaillée de l’approche de Hull sera nécessaire afin d’examiner comment il justifie le lien qu’il établit entre la pratique scientifique et un processus de sélection. Un contraste sera ensuite fait avec l’approche de Kitcher pour tester la force et la nécessité de ce lien et pour expliquer le désaccord de Kitcher. Cette analyse comparative permettra de préciser les avantages et les désavantages uniques à chacune des approches pour déterminer si une analyse sélectionniste est plus prometteuse qu’une analyse non-sélectionniste pour rendre compte du progrès scientifique. / David Hull and Philip Kitcher both present a description of science that acknowledges its social aspects as much as its logical aspects. Hull (1988a, 2001) suggests an account of scientific progress based on a selectionist analysis, presenting social contingencies and individual bias as selective pressures. According to him, a Darwinian selection process filters superior theories from those which are inadequate. Kitcher (1993) rather suggests that scientific progress is a change in consensus practice resulting from social and psychological processes which lead reliably to the truth. Theories are thus filtered by a social dynamic which selects theories according to the quality of their logical formulation. Kitcher (1988), in fact, doubts that a Darwinian selection process of the type suggested by Hull can add anything to explanations of the process of advancement of science. This memoir will try to determine whether this objection from Kitcher is sound. In this respect, a detailed analysis of Hull’s approach will be necessary to understand how he justifies the link between scientific practice and selection processes. A comparison will then be established with Kitcher’s approach to test the strength and the need for such a link and to explain Kitcher’s objections. This comparative analysis will then allow us to specify the advantages and disadvantages of each approach to determine if a selecionist analysis is more promising than a non-selectionist account to explain scientific progress.
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Adorno et le projet d'une théorie dialectique de l'oeuvre d'art

Berzi, Nicolas 05 1900 (has links)
Le projet d’une théorie dialectique de l’œuvre d’art est sans doute un des plus complexes que Theodor Adorno ait tenu en haleine, projet qui table sur les horizons théoriques les plus diversifiés du philosophe de Francfort. Il ne s’agit donc pas ici d’en résumer la pertinence et les prémisses, de rendre justice à sa pleine complexité. Ce que je propose bien plutôt de faire c’est de développer trois façons inter-reliées de comprendre ce projet. En partant d’abord de la situation de l’esthétique contemporaine à Adorno, nous voudrions regarder en face la solution qu’offre la Théorie esthétique pour revitaliser l’esthétique philosophique. Il s’agit donc d’abord de questionner les catégories traditionnelles de l’esthétique qui semblent inadéquates à la réalité de l’art moderne « à l’époque où il devient objet de réflexion ». Le second aspect concerne l’interprétation et la méthode de présentation. « L’essai comme forme » qu’Adorno exécute et développe de pair avec la tendance parataxique de la poésie d’Hölderlin est l’objet des Notes sur la littérature. Ces travaux font écho à des notions clefs de la Théorie esthétique, déjà en germes dans « L’actualité de la philosophie » : l’interprétation, le contenu de vérité et le caractère énigmatique. Je propose finalement de restituer une certaine évolution du matériau-dissonance, ce qui recoupe et « matérialise » les deux premières perspectives. / The project of a dialectical theory of the artwork is probably one of the most complex aspects of Theodor Adorno’s thought. The aim of this thesis is neither to summarize this project nor to do justice to its full complexity. What I propose, more specifically, is to present three interrelated ways of understanding Adorno’s project. The first concerns the aim and relevance of contemporary philosophical aesthetics. The question here is how Adorno’s Aesthetic Theory contributes to a revitalization of philosophical aesthetics. By juxtaposing traditional categories, which seem inappropriate to the experience of modern art, and contemporary aesthetic experience, I show how Adorno’s negative dialectical philosophy provides a relay of sorts between the traditional and the modern, made necessary by modern art itself "at a time when it is becoming an object of reflection". The second perspective concerns questions of interpretation and presentation, centered on Adorno’s explorations of the essay as “form” and the concept of parataxis, as discussed in Notes to Literature. Here I focus on how these explorations intersect with key concepts in his Aesthetic Theory and his early essay on “The Actuality of Philosophy”: interpretation, truth content, and enigmaticity. Finally, I propose a more specific reflection on dissonance that illustrates and “materializes” aspects of the first two perspectives.
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Pouvoir et subjectivation : dialogue Arendt/Foucault sur les origines des camps de la mort

Cloutier, Alexandre 08 1900 (has links)
La divulgation dans les médias de masse des atrocités commises dans les camps de concentration nazis et soviétiques n’a pas ébranlé que les milieux politiques. Plusieurs chercheurs en sciences humaines (on pense immédiatement à l’expérience de Milgram) et en philosophie ont cherché à comprendre le fonctionnement des régimes totalitaires. Hannah Arendt, en plus d’avoir contribué à la popularisation du concept de totalitarisme, a été l’une des premières à en rechercher les origines. Bien qu’il n’ait jamais abordé de front la question du nazisme et du stalinisme, Michel Foucault a, lui aussi, ancré ses recherches sur le pouvoir dans une démarche généalogique. Plus précisément, c’est lors de ses travaux sur la gouvernementalité et la biopolitique qu’il a étudié les rationalités gouvernementales, leurs technologies et leur effet subjectivant. Les objectifs de cette recherche sont de présenter un exposé critique de ces deux approches des phénomènes de pouvoir en Occident et de produire une étude comparative du phénomène totalitaire. / The revelation to light of the atrocities committed in Nazi and Soviet concentration camps has not only shaken the political circles. Several researchers in the humanities (one thinks immediately of the Milgram experiment) and philosophy have sought to understand the functioning of totalitarian regimes. Hannah Arendt, in addition to having contributed to the popularization of the concept of totalitarianism, was one of the first to look for the origins. Although he never tackled head on the issue of Nazism and Stalinism, Michel Foucault, too, grounded his research on power in a genealogical approach. Specifically, it was during his work on governmentality and biopolitics that he studied governmental rationalities, technologies and their subjectification effect. The objectives of this research are to present a critical discussion of these two approaches of the phenomena of power in the West and to produce a comparative study of the totalitarian phenomenon.
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Nature et fonction du consentement au sein de l’éthique de la sexualité

Bard, Guillaume 01 1900 (has links)
Quelles sont les conditions sous lesquelles nous pouvons dire qu’un acte sexuel est moralement permissible? Plus précisément, quel est le rôle qui doit être accordé à la notion de consentement des partenaires dans la détermination de l’acceptabilité morale des actes sexuels? Dans un premier temps, je tâcherai d’exposer la nature même du consentement, en soulignant son caractère performatif ainsi que ses composantes essentielles, sans la présence desquelles le consentement serait invalide. Sur cette base, j’établirai trois schémas possibles quant à la fonction du consentement, selon qu’on en fasse une condition de la permissibilité morale qui soit a) suffisante et nécessaire, b) non suffisante mais nécessaire, c) ni suffisante ni nécessaire. Je tenterai ensuite de voir quelles peuvent être les autres conditions qui complètent ou remplacent la nécessité du consentement. Dans cette perspective j’examinerai plus scrupuleusement une position conforme au deuxième schéma, soit celle que Raymond Belliotti a développée dans son ouvrage Good Sex (1993). Pour conclure, j’avancerai l’hypothèse que plusieurs des conditions qui complètent ou remplacent la nécessité du consentement en matière sexuelle peuvent être conçues soit comme une redondance, au sens où ces conditions sont déjà implicites dans la définition même du consentement, soit comme une limitation aux libertés individuelles, telles qu’on les conçoit dans un esprit libéral. / What are the conditions under which we can say that sexual acts are morally permissible? More specifically, what role should consent play in determining the moral permissibility of sexual acts? I will first expose the nature of consent and outline its performative character as well as its essential components, whose absence would invalidate consent. On this basis, I will then establish three possible structures: the first structure takes consent to be a sufficient and necessary condition of the moral permissibility of sexual acts; the second structure considers that consent is necessary but not sufficient to moral permissibility; and, according to the third structure, consent is neither sufficient nor necessary to moral permissibility. I will then try to see what other conditions are required to complement or replace the condition of consent. More specifically, I will discuss a theory that Raymond Belliotti proposed in his 1993 book Good Sex, a theory that seems to comply with the second structure. To conclude, I will argue that most conditions that complement or replace the condition of consent in the sexual realm could be thought of either as redundant because they are already included in the initial definition of consent, or as a restriction of the individual freedom inherent to liberal ethics.
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Je qui devient Nous et Nous qui devient Je : sens unitaire de la culture chez Hegel

Plourde, David 08 1900 (has links)
Le thème de la culture (Bildung) se caractérise d’abord, dans l’ensemble de l’œuvre de Hegel, par sa diversité contextuelle. Bien que la culture y soit définie spécifiquement comme un mode de développement propre à l’humain, à la différence de l’usage usuel du terme en allemand, cette diversité fait en sorte qu’on la retrouve aussi bien dans les remarques anthropologiques les plus anodines que dans les passages s’intéressant à l’histoire de l’esprit du monde ou encore les textes de nature politique. Il s’agit donc, dans le présent travail, d’étudier pour eux-mêmes les différents contextes généraux dans lesquels la notion apparaît (Phénoménologie de l’esprit, philosophie politique et philosophie de l’histoire) pour en arriver à retracer le fil conducteur donnant à la culture hégélienne son unité de sens. Loin d’être un concept indéterminé, la culture désigne, à tous les niveaux où il se manifeste, le dynamisme propre à l’esprit. / The theme of culture (Bildung) is primarily characterized by its contextual diversity within Hegel’s body of work. Although culture is specifically defined as a means of development unique to humans, unlike the typical usage of the term in German, its diversity means it is as present in the most mundane of anthropological observations as in passages addressing the history of world spirit and even political writings. This work will examine each of the general contexts in which the concept appears (Phenomenology of spirit, political philosophy, and philosophy of history) in order to establish the common thread underpinning the core of Hegelian concept of culture. Far from being an undefined concept, culture represents the dynamic nature of the spirit wherever it manifests itself.
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Cosmopolitanism and confrontation : realizing consumer responsibility in a globalized marketplace

Cameron, Duncan Hart 12 1900 (has links)
Ce mémoire explore des façons de conceptualiser la responsabilité dans des cas où des individus contribuent de façon peu significative à des torts collectifs éloignés. Pour contextualiser la discussion, la relation entre des actes de consommation et la perpétuation des « sweatshops » dans l’industrie des textiles et des chaussures est utilisée. Une approche basée sur les droits humains est déployée pour définir le tort qui est présent dans les usines de textiles et une conceptualisation de la connection est proposée selon la notion de la structure sociale. Guidé par la notion de « unstructured collective harms » proposée par Christopher Kutz, et en comparaison avec des notions de responsabilité qui mettent la responsabilité nationale en premier plan, les conclusions qui sont offertes ici sont centrées sur l’importance de la confrontation du consommateur pour remédier aux effets du problème d’action collective qui est au coeur de la création des torts collectifs lointains. Finalement, l’importance du cosmopolitanisme comme une façon de stabiliser des théories de responsabilité à travers les frontières est mis en évidence. / This paper explores ways of conceptualizing responsibility in cases where individual agents contribute in marginal ways to a distant collective harm. To contextualize the discussion, the relationship between consumer acts and the perpetuation of sweatshop labour in the Textiles, Clothing, and Footwear Industry has been focused upon. A human rights framework is adopted to define the harm that occurs on sweatshop floors and an understanding of connection to the harm has been proposed using the concept of social structure. Guided by the notion of unstructured collective harms, defined by Christopher Kutz, and in contrast to so called nation-centred approaches to responsibility, the conclusions here centre on the need to confront individuals with their contributions to distant collective harms as a way of countering the collective action problem that leads to distant collective harms. Finally, the importance of cosmopolitanism, as a way of stabilizing accounts of responsibility across borders, is emphasized.
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Le cercle du comprendre et la conception heideggérienne de la philosophie dans Sein und Zeit

Vaillancourt, Richard 08 1900 (has links)
La conception heideggérienne du « cercle de la compréhension » exposée aux §§ 31 et 32 de Sein und Zeit est bien connue et a souvent été analysée, notamment par Hans-Georg Gadamer dans Vérité et méthode (1960) et Jean Greisch dans son commentaire de Sein und Zeit (1994). Mais on a trop peu vu que la théorie du cercle herméneutique déterminait aussi la conception heideggérienne de la philosophie. Notre recherche s’efforcera de le montrer et d’expliquer pourquoi il en est ainsi. Au plan de la méthodologie, nous proposerons, en nous inspirant des commentateurs les plus autorisés (Greisch, Gadamer, Courtine, et al.), un commentaire serré des §§ 31 et 32 de Sein und Zeit, sans oublier le § 63 où Heidegger souligne lui-même la « situation herméneutique » de sa propre enquête, ni le § 68 où se trouve mise en évidence la dimension temporelle du cercle de la compréhension. Nous tâcherons ensuite de montrer en quoi ce cercle affecte la conception heideggérienne de la philosophie telle que présentée au § 7 de Sein und Zeit et dans d’autres textes de Heidegger tels que Les problèmes fondamentaux de la phénoménologie (GA 24). / Heidegger’s understanding of the « hermeneutic circle » presented in §§ 31 et 32 of Sein und Zeit is well known and was analysed, among others, by Hans-Georg Gadamer in Truth and Method (1960) and Jean Greisch in his commentary of Sein und Zeit (1994). However, what has received too little attention is the extent to which the hermeneutic circle theory has a determining influence on Heidegger’s idea and practice of philosophy. Our research will attempt to explain why this is so. In our methodology, guided by the most relevant commentators (Greisch, Gadamer, Courtine, et al.), we elaborate a close analysis of §§ 31 and 32 in Sein und Zeit. This commentary also takes into account § 63, where Heidegger himself underlines the « hermeneutic situation » of his own investigation and § 68 where the temporal dimension of the hermeneutic circle is pointed out. We conclude by trying to demonstrate in what respect the circle influences Heidegger’s interpretation of philosophy, as shown in § 7 of Sein und Zeit and in other texts of Heidegger, such as The Fundamental Problems of Phenomenology (GA 24).
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L'espace public de Jürgen Habermas, réexaminé à la lumière de ses écrits de jeunesse

Hardy, Jonathan 07 1900 (has links)
L'espace public (1962) de Jürgen Habermas est souvent lu comme le premier ouvrage de sa carrière. Notre mémoire tâche de porter un éclairage différent sur celui-ci, de lire L'espace public comme point d'aboutissement de la pensée habermassienne des années 1950. Par l'exploration d'un certain nombre d'écrits mineurs et majeurs pré-1962, L'espace public se révèle une sorte de théorie critique de la société, encore fortement empreinte de marxisme, faisant figure de synthèse partielle des écrits de jeunesse. / Jürgen Habermas' The structural transformation of the public sphere (1962) is often read as the first landmark of his career. Our study sets out to shed a different light upon it, to read The structural transformation of the public sphere as the arrival point of Habermas' 1950s thought. While we explore a certain number of minor and major pre-1962 works, his thesis reveals itself as some kind of critical theory of society, still deeply rooted in Marxism, that embodies a partial synthesis of his early works.
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L'angoisse chez Søren Kierkegaard et chez Martin Heidegger

Harvey, Sophie 07 1900 (has links)
L’angoisse est un état qui se distingue des autres sentiments en ce qu’elle ne survient devant rien de précis, mais plutôt devant notre vie en général. Mais que signifie-t-elle? Pourquoi fait-elle jour? Le présent mémoire vise à mieux comprendre le phénomène de l’angoisse à travers les conceptions de deux philosophes s’y étant attardé de façon importante : Søren Kierkegaard et Martin Heidegger. Il cherche à cerner ce que ces deux conceptions, malgré des divergences importantes, peuvent amener comme éclairage philosophique à ce phénomène proprement humain. En fait, leurs conceptions philosophiques respectives de l’angoisse transforment – permettent un autre regard -, sur la question. Ils ne font pas vraiment état des effets psychologiques de l’angoisse, mais plutôt de ce que cette dernière peut permettre d’ouvrir comme perspective de saisie de l’être humain. Effectivement, l’angoisse, comme situation affective, permet d’atteindre l’être humain d’une façon plus profonde et plus originaire que ne le ferait n’importe quelle science. Elle permet de se positionner au cœur de ce qui constitue l’être humain, qui est une synthèse entre deux éléments contraires (l’âme et le corps, l’ontique et l’ontologique, etc.), dévoilant ainsi l’existence de l’être humain d’une manière toute particulière. De plus, l’angoisse assure aussi le lien entre le possible et le réel, mettant ainsi l’être humain devant un enjeu fondamental de sa condition, à savoir son possible, son destin. / Anxiety differs from other feelings and states in that it is not directed at anything specific, but rather towards life in general. But what does anxiety mean? Why does it come about? The present dissertation seeks to understand anxiety through the works of two philosophers who dealt with these questions at length: Søren Kierkegaard and Martin Heidegger. By taking into account various similarities and differences between these two conceptions, we will come to a better understanding of how philosophy has clarified this peculiarly human phenomenon. In fact, one might say that these conceptions have served to transform — or to open a new perspective on — the question of anxiety. No longer is anxiety treated in terms of its psychological effects, but rather in terms of how it allows us to grasp something essentially human. Anxiety, qua affective situation, provides a privileged mode of access to the human being, deeper and more original than any purely scientific approach. Anxiety thrusts us into the heart of what is constitutive of the human being: a synthesis of two contrary factors (be it the soul and the body or the ontic and the ontological). Moreover, anxiety articulates the connection between possibility and reality, placing the individual before a fundamental feature of human existence: one’s own most possibilities, or destiny.
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Lewis’ Theory of Counterfactuals and Essentialism

Lippiatt, Ian 12 1900 (has links)
La logique contemporaine a connu de nombreux développements au cours de la seconde moitié du siècle dernier. Le plus sensationnel est celui de la logique modale et de sa sémantique des mondes possibles (SMP) dû à Saul Kripke dans les années soixante. Ces dans ce cadre que David Lewis exposera sa sémantique des contrefactuels (SCF). Celle-ci constitue une véritable excroissance de l’architecture kripkéenne. Mais sur quoi finalement repose l’architecture kripkéenne elle-même ? Il semble bien que la réponse soit celle d’une ontologie raffinée ultimement basée sur la notion de mondes possible. Ce mémoire comporte quatre objectifs. Dans un premier temps, nous allons étudier ce qui distingue les contrefactuels des autres conditionnels et faire un survol historique de la littérature concernant les contrefactuels et leur application dans différent champs du savoir comme la philosophie des sciences et l’informatique. Dans un deuxième temps, nous ferons un exposé systématique de la théorie de Lewis telle qu’elle est exposée dans son ouvrage Counterfactuals. Finalement, nous allons explorer la fondation métaphysique des mondes possible de David Lewis dans son conception de Réalisme Modal. / Modern logic since the end of the Second World War has undergone many developments. Two of the most interesting of these are the Kripkian Possible World Semantics and Lewis’ system of Counterfactuals. The first was developed by Saul Kripke in the 1960s and the second was developed by David Lewis in the 1970s. In some senses we can say that Lewis’ system of counterfactuals or Counter Factual Semantics (CFS) is built on top of the architecture which Kripke created with his Possible Worlds Semantics (PWS). But, what is the Kripkian Possible World Semantics itself built on? The answer it seems is very finely tuned ontology founded on the notion of possible worlds. This paper will attempt to do the following. First, attempt to draw a distinction between on the one hand conditionals and the other counterfactuals and at the same time attempt to look at some of the historical literature surrounding counterfactuals and their application in various fields like the philosophy of science. Second, recapitulate Lewis’ system of counterfactual semantics as developed primarily in Lewis’ book Counterfactuals. Finally this paper will attempt to explore the metaphysical foundations of the possible worlds account argued for by David Lewis in his conception of Modal Realism.

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