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L'institution de juge au Maroc : vers une conciliation entre tradition et modernité (1874-1974)

Zehiri, Mohammed 19 April 2018 (has links)
Cette thèse vise à analyser les réformes qu’ont traversé le système judiciaire et l’institution de juge au Maroc à travers l’analyse des dahirs (ordonnance royale) et à travers quatre moments clés de son histoire : la phase précoloniale de la justice traditionnelle de 1894 à 1912, la phase coloniale de l’imposition de la justice française de 1912 à 1956, la phase transitoire qui tient compte des premiers temps de l’indépendance de 1956 à 1964 et enfin, le moment qui porte sur deux réformes fondamentales - la loi 1965 et la loi 1974. Cette institution, que certains pourraient croire immobile, stable, a subi dans les faits plusieurs transformations relatives à la nature, à la nomination, au choix et à la fonction de juge. L’analyse des données recueillies révèle une marginalisation de la justice traditionnelle shra’ au profit d’un modèle judiciaire importé et imposé dès le début du Protectorat par la France qui veut faire entrer le Maroc et son système judiciaire dans un processus de modernisation. Par la suite, avec l’indépendance et l’adoption de la loi de 1965, il s’agit de montrer que le système judiciaire expérimente une période transitoire dans la mesure où s’opèrent à la fois une sorte de conciliation entre tradition et modernité, mais aussi une progressive réappropriation de la justice en œuvrant en faveur de son unification, de son arabisation et de sa marocanisation sous la pression des nationalistes. Il n’en demeure pas moins que cette réappropriation n’est pas totale pour des raisons d’ordre structurel et technique et ne signifie pas une rupture complète avec l’ordre judicaire imposé par la France. Enfin, l’étude de la loi de 1974 révèle à la fois une nouvelle structuration du système judiciaire qui tend vers sa modernisation, une reconnaissance de la fonction du juge mais aussi une volonté de perpétuer la dualité du système judiciaire entre zones urbaines et zones rurales pour répondre à un certain conservatisme social. Ce dernier point conduit à rendre compte d’une certaine ambivalence entre tradition et modernité qui a marqué, de façon constante, toute l’évolution de la justice au Maroc.
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Les actes de langage dans le discours pédagogique de 1ère année de l'enseignement primaire

Ziarko, Hélène 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
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Rôles et fonctions des récits de miracle dans les Actes apocryphes des Apôtres dans le contexte religieux de l'Antiquité tardive

Labrecque, Jean 05 June 2021 (has links)
Ce mémoire traite des récits de miracle qui se retrouvent dans les Actes apocryphes des Apôtres. Son objectif est d'analyser les récits de miracles dans le but de déterminer s'ils ont des fonctions ou des rôles spécifiques dans les Actes apocryphes. Les Actes analysés sont ceux d'André, de Jean, de Pierre, de Paul, de Thomas et de Philippe. Le mémoire analyse également la question de l'influence du contexte socio-religieux de l'Antiquité tardive sur les Actes apocryphes. Le but de cette analyse est de découvrir si les miracles de l'Antiquité tardive ont les mêmes fonctions que ceux des Actes apocryphes et comment le monde contemporain des Actes a pu influencer ces derniers.
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Le proportionnalisme, systématisation heureuse de l'éthique?

Lamoureux, Normand 18 February 2021 (has links)
Bien qu'elle soit l'une des méthodes d'appréciation éthique de l'agir les plus largement répandues parmi les moralistes de renom des trois dernières décennies, la théorie proportionnaliste n'a été que trop rarement l'objet d'une analyse systématique. L'auteur du présent mémoire se propose de se livrer à pareil exercice. Après avoir exposé le fonctionnement de cette théorie, puis dégagé et présenté pour eux-mêmes les principes fondamentaux sur lesquels elle repose en sa teneur essentielle, il attire l'attention sur un certain nombre de sous-entendus et d'enjeux qui passent habituellement inaperçus, et en arrive à montrer qu'en dépit de sa simplicité et de sa portée universelle prétendue celle-ci se heurte à de sérieuses difficultés ; principalement en raison de la conception dualiste et chosifîante de l'agir qu'elle sous-tend. L'auteur montre enfin comment l'approche thomasienne de l'agir permet d'éviter ce double écueil, tout en accordant une part de vrai à l'intuition de fond voulant qu'il soit impossible de se prononcer d'une manière définitive sur la valeur morale d'un acte avant d'en avoir considéré toutes les circonstances.
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La «koinônia» des Actes des apôtres : analyse structurelle du verset 2,42 et de son contexte d’insertion

Roy, Jean-Marie 04 1900 (has links)
Jésus de Nazareth accordait beaucoup d’importance à la commensalité, au point de faire du repas en commun le contexte particulier du double geste sur le pain et le vin accompli à la dernière Cène. Après avoir été réitéré dans son contexte d’origine par plusieurs générations de chrétiens, le rappel de la Cène s’est ensuite complètement dissocié du contexte d’un repas. Le terme koinwnia utilisé au verset 2,42 du livre des Actes des apôtres désigne-t-il ce repas communautaire autour duquel se déroulaient les rassemblements chrétiens? Grâce à une analyse structurelle réalisée en entonnoir sur les chapitres 2 à 5 du livre des Actes, le présent mémoire met en relief l’importance des repas communautaires dans la vie de la communauté primitive, tout en montrant que le terme koinwnia a un sens plus étendu que le seul repas en commun, mais tout aussi concret et actif que les trois autres éléments énumérés au verset 2,42. / Jesus of Nazareth used to place much importance on commensality, so much that he wished the common meal to be the particular environment for both actions on bread and wine Jesus did during the Last Supper. For several generations, the memorial of Jesus Last Supper kept on being celebrated in its original context by Christians. But it was later separated from the communal meal. Does the word koinwnia in Acts 2:42 denote those communal meals during which Christian gatherings were held? The importance of common meals in the early community will be highlighted here through a funnel-type structural analysis of Acts 2-5. But it will be shown also that the meaning of koinwnia is more extended than the common meal alone, and just as concrete and active as the three other elements listed in verse 2:42.
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La délimitation des frontières entre les domaines administratif et politique en droit public français / The demarcation of legal boundaries between administrative and political domains in French public law

Aubertin, Julie 10 July 2014 (has links)
Paradigme de la pensée juridique française, la distinction entre les domaines administratif et politique est devenue confuse en raison du renforcement de l’Etat de droit et des approfondissements de la décentralisation. Alors que l’Etat apparaît comme une entité politique avec une dimension administrative, les collectivités territoriales constituent des entités administratives dont la dimension politique n’est pas reconnue par la conception traditionnelle de la décentralisation. Pourtant, en distinguant de façon théorique les organes administratifs des organes politiques, les organes locaux tant exécutifs que délibérants présentent des caractères politiques, sans toutefois pouvoir être assimilées aux institutions politiques étatiques qui elles seules exercent la souveraineté. Succédant à cette délimitation organique, la délimitation matérielle des deux domaines, qui se concentre sur les fonctions juridiques de ces organes, leurs actes et leurs responsabilités, confirme le placement des entités étatique et locales à la frontière entre ces deux domaines. Croissante, la dimension administrative de l’Etat s’oppose à l’irréductibilité du politique. La dimension politique des entités décentralisées, qui s’exprime par un pouvoir décisionnel, ne peut s’affirmer que dans le cadre de l’Etat unitaire. Fondée sur une analyse de la doctrine et de la jurisprudence, la délimitation des frontières juridiques entre les deux domaines permet finalement de cerner les notions d’administration et de politique en droit public. / The distinction between administrative and political domains was always a paradigm of French legal thought, yet it became complicated by the strengthening of both the Rule of Law and local autonomy. While the State appears as a political entity with an administrative dimension, local authorities are administrative entities whose political dimension is not recognized by the traditional conception of local autonomy. Nevertheless, by trying to separate administrative bodies from political bodies, local authorities entail political characteristics without being equated with state political authorities (which are the only authorities that can exercise sovereignty). Subsequent to this organic demarcation, the material delimitation of both domains, which focuses on the legal functions of these bodies, their actions and responsibilities, confirms that the State and local authorities are at the boundary between these two domains. Increasingly, the administrative dimension of the State can be contrasted directly with the irreducibility of policy. The political dimension of local entities, which is expressed through decision-making power, cannot question the unitary State. Based on an analysis of the doctrine and jurisprudence, the delimitation of boundaries between the two domains allows us to define ultimately the concepts of administration and policy.
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Nature et dimensions des actes recognitifs

Malkoun-Henrion, Aude 08 1900 (has links)
Thèse écrite en cotutelle (Université de Montréal ; Université Paris 1 - Panthéon Sorbonne) / Afin de mieux saisir le rôle de certains phénomènes affectifs au sein des rapports dits de reconnaissance - tels que les émotions de l’estime mais aussi la colère ou le sentiment d’injustice -, ce travail cherche à cerner la nature des actes recognitifs à partir de l’analyse conceptuelle d’énoncés idéal-typiques de reconnaissance. Qu’est-ce que représente un énoncé de reconnaissance ? Que se produit-il lors d’un énoncé de reconnaissance ? Ou, en d’autres termes, que dis-je et que fais-je lorsque j’énonce reconnaître x comme p ? De cette analyse, il ressort que les actes recognitifs correspondent à des actes communicationnels particuliers, en termes habermassiens, des actes régulateurs. Plus spécifiquement, elle permet de mettre en lumière que la reconnaissance fonctionne, au plan normatif, comme un concept régulateur des interactions humaines et, au niveau pratique, qu’elle représente une obligation éthique au sens développé par Hegel dans les Principes de la Philosophie du droit. Comprendre les actes de reconnaissance comme des processus d’attribution de statuts - via l’octroi logiquement antérieur d’une valeur - visant à instaurer un certain type d’interaction entre agents libres présente un double avantage. Le premier, de proposer une unification des différents sens attachés au concept de reconnaissance autour des notions de valeur et de statut. Le second, de permettre des hypothèses explicatives quant à la présence de phénomènes affectifs lors de ces processus. Ces derniers semblent découler, d’une part, du type de processus que sont les actes recognitifs et, d’autre part, de la double fonction que paraissent exercer ces émotions, entendues comme des « perceptions de valeur ». / In order to understand better the role of certain affective phenomena within the so-called relations of recognition - such as the emotions of esteem but also anger or the sense of injustice -, this work seeks to discern the nature of acts of recognition as of the conceptual analysis of the ideal-typical statements. What represents a statement of recognition? What is produced during a statement of recognition? Or, in other words, what do I say and what do I do as I state: “I recognize or acknowledge x as p”? It results from this analysis that the acts of recognition correspond to particular communicational acts, in habermassian terms, of regulatory acts. More specifically, at a normative level, it reveals that, recognition functions as a regulatory concept of human interactions, and at a practical level, it represents an ethical obligation in the sense developed by Hegel in the Elements of the Philosophy of Right. Understanding the acts of recognition as the process of attribution of status - through a prior logical bestowal of a value - aiming at establishing a certain type of interaction between free agents, features a double advantage. The first is to propose a unification of different meanings attached to the concept of recognition around the notions of value and status. The second is to allow some explicative hypotheses regarding the presence of the affective phenomena during those processes. The latter seem to stem, on the one hand, from a type of process that are acts of recognition, and on the other, from the double function that these emotions seem to be practiced, understood as “perceptions of values”.
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« Et ils prophétiseront » : la prophétie de Jl 3,1-5 reprise en Ac 2, 17-21 : clé d'interprétation du phénomène pentecostal

Martin, David 01 1900 (has links)
Cette présente recherche vise à défendre le point de vue selon lequel le don de l’Esprit dans le récit de la Pentecôte (Ac 2, 1-13) s’interprète principalement comme l’investissement d’une puissance habilitant au témoignage. À cette fin, nous posons l’hypothèse que le contenu d’Ac 2, 17-21 est un axe fondamental de la théologie pneumatique de l’œuvre lucanienne, lequel interprète la manifestation pentecostale dans une perspective prophétique. La démonstration se fait par le biais d’une analyse rédactionnelle d’Ac 2, 17-21, une citation de Jl 3,1-5 insérée dans un discours explicatif de Pierre du phénomène pentecostal. Nous examinons d’abord le lieu d’inscription de ce passage dans l’œuvre lucanienne afin d’évaluer la valeur stratégique de son emplacement (chapitre 1). Nous étudions ensuite l’interprétation que fait Luc de cette prophétie pour en venir à la conclusion qu’il envisage l’intervention de l’Esprit essentiellement dans une perspective d’habilitation à la prophétie (chapitre 2). Nous vérifions cette première conclusion dans l’Évangile de Luc (chapitre 3); puis ensuite dans les Actes des Apôtres (chapitre 4). Nous en arrivons ainsi à établir un parallélisme entre les étapes initiatiques du ministère de Jésus dans le troisième évangile et celui des disciples dans les Actes, pour y découvrir que, dans les deux cas, l’effusion de l’Esprit habilite à l’activité prophétique. Le ministère des disciples s’inscrit de la sorte dans le prolongement de celui du Maître. Nous soutenons, en fait, que tout le discours pneumatique de l’Évangile de Luc converge vers l’effusion initiale de l’Esprit sur les disciples dans le récit pentecostal, d’une part, et que cette effusion jette un éclairage sur l’ensemble de l’œuvre missionnaire des Actes, d’autre part. Bref, le passage explicatif du phénomène pentecostal, en l’occurrence Ac 2, 17-21, met en lumière un axe central des perspectives de Luc sur l’Esprit : Il s’agit de l’Esprit de prophétie. Dans cette optique, l’effusion de l’Esprit à la Pentecôte s’interpréterait essentiellement comme l’investissement du croyant d’une puissance en vue du témoignage. / This present research argues that the gift of the Spirit in the Pentecost account (Ac 2.1-13) is to be understood as a source of empowerment for the task of witnessing. The thesis that I defend is that the passage of Ac 2.17-21 is in fact a fundamental axis of the pneumatic theology of Luke’s work, which in turn interprets the pentecostal gift as a prophetic endowment. I will demonstrate this affirmation by performing a redactional analysis of Ac 2.17-21, which is, in fact, a citation from Jl 3.1-5 quoted in Peter’s pentecostal speech whose purpose is to interpret the pneumatic phenomenon of Ac 2.1-13. I start by examining the specific position of Ac 2.17-21 in order to assess the strategic value of its location (chapter 1). I will then carefully look at how Luke interprets this prophecy, only to conclude that he understands the work of the Spirit mainly as a source of empowerment for a prophetic task (chapter 2). I will verify this conclusion throughout the Gospel of Luke (chapter 3), and then in the Acts of the Apostles (chapter 4). This exercise will bring to light an important parallel between the circumstances surrounding the inauguration of Jesus’ ministry in the Gospel of Luke and that of the disciples in Acts, which shows that, in both cases, the Spirit is given as a source of power for a prophetic ministry. The disciples’ ministry is therefore to be understood to lie in the continuity of the one of the Master. Consequently, we will see that all of the pneumatic discourse of Luke’s Gospel converges towards the initial outpouring of the Spirit on the disciples in the Pentecost account, and that this same passage subsequently sheds light on the missionary work in Acts. In short, the interpretative passage of the pentecostal phenomenon, Ac 2.17-21, brings to light a fundamental axis of Luke’s perspectives on the Sprit; It is the prophetic Spirit. The gift of Spirit at Pentecost is then in turn to be understood primarily as a prophetic endowment enabling the disciples to witness.
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La caractérisation du personnage Jésus dans la narration des Actes des Apôtres

Bersot, Jonathan 08 1900 (has links)
Si la théologie lucanienne de la résurrection a largement été étudiée dans le livre des Actes des Apôtres, Jésus n’a jamais été considéré comme personnage principal, à l’inverse des apôtres, de l’Esprit saint ou même de Dieu. Pourtant, le premier verset des Actes laisse entendre que Jésus va continuer de faire et d’enseigner ce qu’il avait commencé dans l’évangile, même si, peu de temps après l’ouverture du récit, il quitte la scène. Pour chercher à comprendre ce paradoxe, une analyse approfondie de la mise en récit du personnage Jésus dans les Actes était nécessaire. Le premier chapitre de cette thèse introduit le sujet, l’état de la question et deux approches méthodologiques empruntées aux experts de la caractérisation narrative. Au chapitre deux, après avoir introduit la difficulté d’identification du personnage qui se trouve derrière le titre Seigneur des Actes, le cadre épistémologique d’Elizabeth Struthers Malbon permet d’observer le comment en classant toutes les péricopes qui participent à la rhétorique de la caractérisation christologique en cinq catégories : (1) la christologie représentée qui montre ce que Jésus fait, (2) la christologie détournée qui permet d’entendre ce que Jésus dit en réponse aux autres personnages, (3) la christologie projetée qui laisse entendre ce que les autres personnages ou le narrateur disent à Jésus et à son sujet, (4) la christologie réfléchie qui montre ce que les autres personnages font en reflétant ce que Jésus a dit et (5) la christologie reflétée qui montre ce que les autres personnages font en reflétant ce que Jésus a fait. Ensuite, avec le chapitre trois, l’approche de John Darr donne à comprendre le pourquoi de la caractérisation par l’observation de quatre activités cognitives du lecteur : (1) l’anticipation et la rétrospection, (2) la recherche de cohérence, (3) l’identification et/ou l’implication et (4) la défamiliarisation. Enfin, au chapitre quatre, les résultats des deux méthodes sont comparés pour proposer une solution au cas de l’ouverture paradoxale des Actes. D’abord les différentes observations de la thèse montrent que le personnage Jésus n’est pas si absent du récit; puis la rhétorique narrative de la caractérisation conduit le lecteur à comprendre que c’est essentiellement au travers des personnages du récit que Jésus est présent en actes et en paroles. / Though Luke’s theology of resurrection is widely studied in the Book of Acts, Jesus is never seen as its main character, unlike the apostles, the Holy Spirit or God. However, the first verse of Acts suggests that the Jesus character will continue to do and teach what he began in the Gospel, even if soon after the opening, he leaves the scene. To resolve this paradox, a thorough analysis of Jesus characterization in Acts is needed. The first chapter of this dissertation introduces the subject, what has already been said, and two narrative scholars’ methodologies selected for this study. In chapter two, the difficult identification of the Lord of Acts is discussed. Then, the epistemological framework of Elizabeth Struthers Malbon is considered. It shows how characterization works, by ranking all episodes involving Jesus in five groups : (1) enacted Christology : what Jesus does; (2) deflected Christology : what Jesus says in response to other characters; (3) projected Christology : what other characters and the narrator say to and about Jesus; (4) mirroring Christology : what other characters do that mirrors what Jesus says and (5) reflected Christology : what other characters do that mirrors what Jesus does. Chapter three discusses the method of John Darr which helps us to understand the why by observing four cognitive activities of the reader: (1) anticipation and retrospection; (2) consistency-building; (3) identification and (4) defamiliarization. In the conclusion in chapter four, the results of the two systems are compared to resolve the case of the paradoxical opening of Acts. The main conclusion of the different observations of this thesis shows that Jesus is not so absent from the story. Thus the narrative rhetoric of characterization leads the reader to understand that Jesus is mainly present through the characters of the story in acts and words.
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Aspects du sujet dans la philosophie du langage ordinaire / Aspects of the subject in the Ordinary Language Philosophy.

Boutevin-Bonnet, Valérie 28 June 2012 (has links)
De quelle notion de sujet avons-nous besoin rendre compte de nos pratiques et notamment de notre pratique du langage ? Cette question du sujet et de la subjectivité se pose à nouveaux frais dans le cadre de la philosophie du langage ordinaire et tout particulièrement à partir de la théorie des actes de parole de J.L. Austin. En effet, si le langage n’a de signification qu’en tant que parole, et même qu’en tant qu’acte d’un sujet qui prend la parole, le langage ne saurait être un processus sans sujet. Un acte nécessite un agent et si cet acte est un acte de parole, il faut un agent capable de comprendre la signification de ce qui est dit, en d'autres termes, il semble bien qu’il faille un sujet pensant, un sujet psychologique. C’est dans cette voie que s’engagèrent les premières interprétations d’Austin. Les actes de parole donnèrent naissance d’une nouvelle discipline : la pragmatique, où le rôle de l’intention dans la signification est primordial. Or, la philosophie du langage ordinaire se situe dans le projet initial de la philosophie analytique, tel que mené par Frege, Russell et le premier Wittgenstein, qui détachaient la signification de la subjectivité des représentations en la liant à la référence ou dénotation. Le sujet psychologique se trouve alors hors du champ de la pensée et de la vérité. Austin poursuit et radicalise ce projet : dans la théorie des actes de parole, la vérité devient la dimension d’évaluation de certains énoncés à l’intérieur de la catégorie plus générale de la félicité, évaluation qui n’est possible qu’en situant l’énonciation dans son contexte. C’est donc le contexte, et non l’intériorité du sujet parlant qui permet la compréhension. Ainsi, Le sujet des actes de paroles n’est pas le sujet intentionnel du mentalisme. C’est en fait un sujet pensant dont la pensée se lit dans le comportement, un sujet dont la pensée publique se fonde et s’exprime dans des conventions sociales qui le rendent responsables de ses paroles. Le sujet parlant est un sujet social pour qui l’enjeu est de parvenir à trouver et faire entendre sa voix alors même qu’il parle dans les mots des autres, un sujet responsable et mis en position de fragilité car il doit répondre de plus qu’il ne le voudrait. / What kind of a notion of subject do we need in order to account for our practices, and especially our practice of language? The issue of subject and subjectivity is raised anew within the ordinary language philosophy, more particularly within J.L. Austin's speech acts theory. As a matter of fact, if language has a meaning only inasmuch as it is a speech—the speech act of a subject—language cannot be a process devoid of subject. There must be an agent to perform an act, and if the act is a speech act, the agent must be able to understand what is meant, in other words, what seems to be needed is a thinking, psychological subject. Austin's first interpretations actually went down that path. Speech acts gave birth to a new theory: pragmatics, in which intention plays a key role in meaning. Nevertheless, ordinary language philosophy is in continuity with the original project of analytical philosophy as conducted by Frege, Russell and the first Wittgenstein, who separated the meaning from the subjectivity of representations and linked it instead to the reference or denotation. The psychological subject is then excluded from the field of thought and truth. Austin continues and toughens that project. Within the speech acts theory, truth becomes the assessment dimension of some utterances within the more general category of felicity—such an assessment being possible only when the issuing of the utterance is inserted in its whole context. Therefore, what enables comprehension is context, not inwardness. So, the subject of speech acts isn't the intentional subject of mentalism. In fact, it's a subject whose thought is to be read in their behaviour, a subject whose public thought is based on and expressed in social conventions which make them responsible for what they say. The speaking subject is a social subject whose issue is to find their voice and make themselves heard, although they speak in other people's words, a responsible subject in a vulnerable position as they must answer for more than they care for.

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