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La convergence en matière de droit applicable aux sociétés cotées de l’Union européenne : qui s'assemble se ressemble / Convergence regarding the law applicable to listed companies in the European Union : those who flock together are birds of a featherPapadima, Raluca 16 October 2017 (has links)
Les sociétés cotées constituent un monde à part. Il existe environ 5 000 sociétés cotées sur les marchés réglementés des bourses de l’UE. Même si elles représentent moins de 1 % des entreprises européennes, leur capitalisation boursière s’élève à plus de 70 % du PIB. Parce que ces sociétés ont une importance systémique pour l’économie, la compréhension de leur régime juridique s’avère cruciale. Nous traçons d’abord les contours du droit qui leur est applicable, en partant du niveau supranational parce que le droit européen est la plus importante source à la fois de convergence et de divergence. Cette approche nous permet de discuter si le niveau supranational devrait s’investir de nouveaux secteurs ou pousser l’harmonisation dans ceux déjà réglementés et de faire des prédictions quant à la direction probable ou souhaitable des réglementations. Nous analysons ensuite la causalité de la convergence, ce qui fait ressortir trois types de convergence : imposée, par pression et par rapprochement des circonstances factuelles dans lesquelles les sociétés cotées de l’UE exercent leurs activités. Nous concluons qu’il existe à présent une convergence en matière de droit applicable aux sociétés cotées de l’UE en dépit d’une harmonisation seulement partielle opérée au niveau supranational et que cette convergence s’approfondira sous l’impulsion des forces et des facteurs qui en servent de cause. Cette conclusion appuie la systématisation future des droits nationaux en fonction d’une nouvelle summa divisio entre sociétés cotées et sociétés non cotées. / Listed companies are a world apart. There are approximately 5 000 companies listed on the regulated markets of the EU stock exchanges. Although they represent less than 1 % of the European businesses, their market capitalization amounts to more than 70 % of GDP. Because they have a systemic importance for the economy, the comprehension of their legal regime is crucial. We first establish the boundaries of the applicable law, starting from the supranational level because EU law represents the most important source of both convergence and divergence. This method allows us to establish if the supranational level should extend to new areas of regulation or push for further the harmonization in the areas already regulated and to make predictions regarding the probable or desirable future directions of the regulations. We then analyze the causality of convergence, which shows three main types of convergence : imposed, by pressure and by approximation of the factual circumstances of the environment in which EU listed companies operate. We conclude that presently there is a convergence of national regulations applicable to EU listed companies despite only partial harmonization at the supranational level and that this convergence will deepen as a result of its forces and factors of causality. This conclusion reinforces the arguments for a reorganization of national laws based on a new summa divisio between listed companies and non-listed companies.
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Les opérations scrutées sous l'angle de l'intérêt public par les organismes de réglementation des valeurs mobilières : entre efficience et duplicitéGauthier, Bastien 04 1900 (has links)
Les organismes de réglementation des valeurs mobilières doivent veiller à la
protection des investisseurs et à l'efficience des marchés financiers. Pour ce faire, ils
ont été investis de larges pouvoirs discrétionnaires leur permettant de contrôler les
opérations qui, quoique conformes aux prescriptions légales, sont susceptibles de porter
atteinte à l'intérêt public.
La notion d'intérêt public étant malléable et difficile à circonscrire, la discrétion
conférée à ces organismes est étendue. Son exercice pouvant menacer la sécurité
juridique des opérations et être associé à l'arbitraire, elle a été décriée par de nombreux
observateurs qui ont demandé qu'elle soit limitée aux cas de transgression de la
législation sur les valeurs mobilières.
Le texte cherche à déterminer si les organismes de réglementation des valeurs
mobilières ont fait preuve de l'ingérence appréhendée par certains en recourant à leur
discrétion relative à l'intérêt public. Tout en faisant ressortir la portée large et flexible
de cette discrétion, il cherche à cerner les types d'opérations susceptibles d'en entraîner
l'exercice. Bien qu'il ne propose pas une refonte du cadre juridique actuel, il soulève
des points de réflexion et suggère des avenues qui pourraient être envisagées afin de
limiter les risques y étant associés. / Securities regulators must ensure the protection ofinvestors and the ejJiciency of
capital markets. With this intention, they have been vested with broad discretionary
powers enabling them to control the operations that, although in conformity with legal
requirements, are likely to undermine public interest.
The public interest notion being malleable and difJicult to circumscribe, the
discretion conferred to these organizations has a wide scope. As its exercise can
threaten the legal safety of operations and be associated to the arbitrary, it has been
disparaged by many observers who required that it be limited to cases in which the
securities legislation has been breached.
The text seeks to determine if securities regulators have shown the interference
dreaded by some by resorting to their public interest discretion. White emphasizing the
broad andflexible range ofthis discretion, it seeks to determine the types ofoperations
likely to lead to its exercise. Although it does not propose a revision ofthe current legal
framework, it provides points for reflection and suggests avenues that could be
considered in order to limit the risks being associated to it. / "Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Maîtrise en droit (LL.M) option droit des affaires"
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La mondialisation de la compagnie Brésilienne Vale, 2002-2010 / The globalization of Brazilian company Vale, 2002-2010De Moraes Vodopives, Hildete 19 November 2018 (has links)
L'internationalisation des entreprises des pays en développement est une caractéristique de la mondialisation contemporaine. Inversant la tendance des flux de capitaux, ces derniers représentent ce que le Boston Consulting Group appelle les global challengers: «un groupe de challengers émergents qui deviennent des acteurs importants à la fois dans les pays développés et en voie de développement à travers le monde.» Cette thèse examine le cas de l'un de ces global challengers: la compagnie minière brésilienne Vale. Après l'acquisition du géant minier canadien Inco en 2006, Vale fit un bond en avant en passant de la sixième à la deuxième position parmi les producteurs miniers mondiaux. Une évolution aussi drastique suscite un certain nombre d’interrogations. Quelles raisons ont conduit cette compagnie émergente inconnue à s'aventurer dans un environnement international? Quel a été le succès de Vale dans cette entreprise? Et enfin: quels sont les effets de l’internationalisation de Vale sur l'économie brésilienne? Fondée par l’État en 1942, Vale est à la base de la filière sidérurgique qui est au cœur du développement économique du Brésil. Dans le même temps, Vale est contrainte à rechercher de marchés à l’étranger. Après sa privatisation en 1997, l'entreprise s’est fixé l'objectif de devenir un acteur global doté d’un plan agressif d’acquisitions nationales et internationales. Vale élargit sa présence internationale et son portefeuille de produits. Néanmoins, cette ambition internationale n'est pas complètement réalisée. En 2010, Vale doit composer avec l'ingérence du pouvoir politique au Brésil et le coût de faire des affaires pour une entreprise brésilienne. / The internationalisation of companies located in developing countries is a feature of contemporary globalization. Inverting the trend of capital flows, they represent what the Boston Consulting Group calls the global challengers: “a group of emerging challengers that are becoming important players in both developing and developed countries around the globe.” This dissertation examines the case of one of these challengers: the Brazilian mining company Vale. After the acquisition of the Canadian giant Inco in 2006, Vale jumped from the sixth to the second position among global mining companies. Such a drastic move elicits a number of questions. What reasons led this unknown emerging company to venture in an international environment? How successful was Vale in this endeavor? What are the effects of Vale’s internationalization on the Brazilian economy? Since its creation in 1942 as a state-controlled company, Vale plays a leading role in Brazil’s economic development. At the same time, the company had no choice but to turn to international markets. After its privatization, the company defines the goal of becoming a global player with an aggressive plan for national and international acquisitions. Results are expressive. Vale succeds in expanding both its international presence and its product portfolio. Nevertheless, the becoming a global player ambition is not completely achieved. In 2010, Vale remains a company that suffers from Brazilian political interference and cost of doing business.
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Análise do risco sistemático e idiossincrático em portfólios de ações nos mercados desenvolvidos e emergentesRossetti, Glenda Najara 19 January 2017 (has links)
Submitted by glenda rossetti (glenda.rossetti@hotmail.com) on 2017-02-14T21:47:23Z
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Para que possamos aceitar seu trabalho, por gentileza, deixe o seu nome em letras maiúsculas.
Em seguida, submeter novamente.
O trabalho deve estar em PDF.
Att on 2017-02-14T22:36:30Z (GMT) / Submitted by glenda rossetti (glenda.rossetti@hotmail.com) on 2017-02-14T22:42:30Z
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Por gentileza, na capa, contra capa seu nome deve estar em letras maiúsculas.
Salvar o arquivo em PDF para submete-lo novamente.
Att on 2017-02-14T23:00:11Z (GMT) / Submitted by glenda rossetti (glenda.rossetti@hotmail.com) on 2017-02-14T23:06:00Z
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Previous issue date: 2017-01-19 / This paper has two objectives: verify whether systematic risk is different across countries by comparing risk return ratio of market portfolios and equally weighted portfolios (1/N) to verify their efficiency and the levels of diversification across countries by showing risk behavior increasing diversification. Monthly dollars returns were selected from the forty (40) largest shares of fourteen (14) capital markets indexes of the major developed and emerging economies during the period from June 30, 2011 to May 31, 2016 to construct equally weighted portfolios (1/N) and compare them to market portfolios. Based on the assuming of Modern Portfolio Theory (MPT), the empirical tests have shown evidence that systemic risks are different between the capital markets of the main developed and emerging economies, that market portfolios are not efficient and despite of this, the number of shares required to achieve a certain level of diversification is similar across countries. The results found are in agreement with the literature researched both internationally and nationally. / Este trabalho tem dois objetivos: verificar se o risco sistemático é diferente entre países comparando a relação risco retorno dos portfólios de mercado com portfólios igualmente ponderados (1/N) para verificar sua eficiência e se os níveis de diversificação entre os países mostrando o comportamento do risco com o aumento da diversificação. Foram selecionados retornos mensais em dólares das quarenta (40) maiores ações de catorze (14) índices de mercados de capitais das principais economias desenvolvidas e emergentes no período de 30 de Junho de 2011 á 31 de Maio de 2016 para construir portfólios igualmente ponderados (1/N) e compará-los aos portfólios de mercado. Partindo dos pressupostos da Teoria Moderna do Portfólio (MPT) os ensaios empíricos realizados neste trabalho revelaram evidências de que os riscos sistêmicos são diferentes entre os mercados de capitais das principais economias desenvolvidas e emergentes, que os portfólios de mercados não são eficientes e apesar disso, o número de ações necessárias para adquirir certo nível de diversificação é semelhante entre os países. Os resultados encontrados estão de acordo com a literatura pesquisada tanto internacionalmente quanto nacionalmente.
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O efeito de determinantes microeconômicos e conjunturais sobre a volatilidade dos retornos das principais ações negociadas no BrasilCaselani, César Nazareno 11 May 2005 (has links)
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Previous issue date: 2005-05-11T00:00:00Z / O presente estudo teve como objetivo explicar o comportamento da volatilidade dos retornos das principais ações negociadas na Bovespa no período compreendido entre janeiro de 1995 e setembro de 2003. O trabalho buscou contribuir de diversas maneiras para o estudo da volatilidade dos retornos das ações no mercado brasileiro. Primeiro, fazendo uma exposição abrangente das diversas teorias e modelos que têm sido desenvolvidos para explorar os fatores determinantes da volatilidade dos retornos das ações. Dentre as teorias exploradas, o estudo trabalhou com a teoria da alavancagem, a teoria da retroalimentação da volatilidade, o modelo das diferenças de opinião entre os agentes econômicos e os modelos de preço–volume. Outra contribuição importante do trabalho foi utilizar uma amostra ampla de 35 ações com níveis aceitáveis de liquidez, utilizando a metodologia própria do estudo. Além disso, o estudo buscou agregar aos modelos econométricos não apenas variáveis microeconômicas mas também as macroeconômicas (conjunturais). Finalmente, o trabalho discutiu os resultados dos modelos à luz das especificidades do mercado acionário brasileiro. Dentre os resultados encontrados, foi possível observar que a volatilidade dos retornos das ações é impulsionada pelo grau de alavancagem financeira das companhias. No Brasil, a volatilidade dos retornos das ações segue o mesmo caráter persistente encontrado em mercados desenvolvidos, como o dos Estados Unidos. O giro dos negócios com as ações tende a alimentar a volatilidade dos papéis. Um giro maior de negócios pode ser resultante de um incremento na quantidade de informações que chegam ao mercado, o que provoca revisões nos preços das ações e estimula um aumento na volatilidade dos retornos. Quando aliado às divergências de opinião entre os investidores, um giro maior também pode alimentar a volatilidade dos retornos. Diferentemente do previsto pelas teorias, os resultados do presente estudo não corroboraram o argumento de que existe maior volatilidade dos retornos das ações em momentos de retornos negativos. Os resultados indicaram ainda clara influência de algumas variáveis macroeconômicas sobre a volatilidade dos retornos das ações. Uma redução no Produto Interno Bruto do Brasil tende a incrementar a volatilidade dos retornos das ações, possivelmente fruto de uma perspectiva de instabilidade econômica ou recessão. A volatilidade dos retornos no mercado acionário também aumentou quando da alteração do regime cambial implementada no início de 1999. O estudo mostrou que não parece haver uma dependência significante entre os mercados de ações do Brasil e dos Estados Unidos. Finalmente, a inclusão de variáveis relacionadas com características específicas do mercado acionário brasileiro mostrou resultados interessantes. Parece existir uma relação direta entre volatilidade dos retornos e ações preferenciais, oriunda possivelmente do alto giro dos negócios com esse tipo de ação ou da ausência do direito de voto por parte dos investidores, aumentando o risco do ativo. Contudo, testes adicionais são necessários para confirmar tal associação. No que diz respeito à adoção de melhores práticas de governança por parte das companhias, os resultados parecem corroborar o argumento de que a preocupação com a boa governança tende a reduzir o risco percebido pelos investidores com relação às ações. / This study aimed to explain the behavior of stock return volatility concerning the main stocks negotiated in São Paulo Stock Exchange (Bovespa) from January, 1995 through September, 2003. The study wanted to contribute in several ways for the understanding of stock return volatility in Brazilian market. First, it shows the theories and models developed to explain the determining factors of stock return volatility. Among those theories, this work explored leverage theory, volatility feedback theory, differences of opinion models and price– volume models. Another important contribution of this study was to use a sample of 35 stocks with minimum levels of liquidity using the study own methodology. Additionally, microeconomic and macroeconomic variables were added to the econometric models. Finally, this study discussed the results and their relation with the idiosyncrasies of Brazilian stock market. Among the results, it was observed that stock return volatility is influenced by the company leverage. In Brazil, stock return volatility follows the persistent behavior found in developed capital markets. The stock turnover tends to increase stock volatility. Maybe the high stock turnover is caused by new information increasing and revisions in stock prices. Those revisions stimulate stock return volatility. When the stock turnover occurs jointly with differences of opinion among investors, a higher turnover may produce stock return volatility. Contrary to the theory, the results didn’t corroborate the argument that stock return volatility is bigger when the return is negative. Additionally, results indicated influence of macroeconomic variables over the stock return volatility. A reduction in Brazilian GNP is associated with the increment in return volatility, possibly because it signalizes the perspective of recession. Also, stock return volatility increased in 1999 after the implementation of new exchange regime in Brazil. The study results showed that Brazilian stock market is not dependent of U.S. stock market. Finally, the inclusion of variables concerning the idiosyncrasies of Brazilian stock market showed interesting results. It seems that there is a positive association between stock return volatility and preferred stocks, maybe because Brazilian preferred stocks have higher turnover than common stocks and the lack of voting rights concerning preferred stocks increases the risk for investors. However, additional tests are necessary to confirm that association. Concerning the adoption of good corporate governance practices, the results of this study corroborate the argument that better corporate governance reduces stock risk.
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Mapas de precificação de ativos no mercado de capitais : uma análise do poder prescritivo da behavioral financeNunes, Bernardo Fonseca January 2008 (has links)
O objetivo deste trabalho é analisar o poder prescritivo da Behavioral Finance (Shleifer, 2000) para a gestão de ativos financeiros no mercado de capitais, contrastando-a com as implicações da Hipótese dos Mercados Eficientes (FAMA, 1970). A meta específica é identificar quais conjuntos de técnicas são apropriados para a precificação de títulos ou ações levando-se em conta a interação dos respectivos modelos teóricos com a evidência empírica do comportamento dos investidores. A presente análise será feita através do mapeamento dos processos decisórios dos investidores segundo a Hipótese dos Mercados Eficientes (HME) e a Behavioral Finance (BF), identificando os pressupostos dos aludidos modelos e suas implicações e confrontando-os com a evidência obtida através de experimentos em laboratório que testem determinadas hipóteses sobre o comportamento de investidores. Discute-se a contribuição positiva de uma linha de pesquisa, a BF, que explora a racionalidade limitada dos agentes individuais em suas escolhas e os efeitos que os investidores experimentam ao tomarem decisões de investimentos. Metodologicamente, a BF absorve as conclusões sobre o mundo real obtidas a partir da observação experimental (DAVIS & HOLT, 1993; SMITH, 1987, 1994; MILLER, 2002) para daí elaborar modelos descritivos, contrapondo-se assim ao método econômico dedutivista lógico (POPPER, 1959). Há uma tensão não resolvida acerca da gestão de ativos que envolve a escolha entre dois métodos: a gestão ativa ou a gestão passiva; e isto depende diretamente da possibilidade (ou não) de assegurarmos a HME como base fidedigna e única para a construção das técnicas apropriadas. Além da introdução, o trabalho conta com mais três capítulos. No capítulo 2, abordamos a gestão científica dos investimentos e as proposições do CAPM dentro do paradigma da eficiência de mercado e da precificação de ações e títulos mobiliários. Também se aborda as implicações da BF para a administração de ativos no mercado de capitais. O capítulo 3 apresenta a metodologia experimental que capta a influência da análise técnica (grafista) sobre a avaliação de ativos financeiros. Para isto, replica-se um dos tratamentos experimentais de Mussweiler e Schneller (2003) com uma amostra de estudantes de economia com baixo nível de experiência em investimentos. Também, como forma de analisar a aplicabilidade da análise fundamentalista, utiliza-se os resultados experimentais obtidos por Haruvy, Lahav e Noussair (2007) e do referencial teórico de Camerer e Fehr (2006) e Lo (2004, 2005). O poder prescritivo da teoria financeira é refinado ao incorporar os fenômenos explicados pela pesquisa comportamental na precificação e gestão de ativos. A análise técnica é descrita através dos efeitos dos vieses cognitivos presentes na natureza comparativa humana (KAHNEMAN & MILLER, 1983; MUSSWEILLER, 2003). A análise fundamentalista é justificada pela existência dos graus de antecipação da hierarquia cognitiva (CAMERER, HO & CHONG, 2004). O fenômeno da existência de uma ampla prática de gestão ativa é explicado pela observação de um processo adaptativo de convergência dos preços de mercado aos valores fundamentais dos ativos. A Hipótese dos Mercados Adaptativos proposta por Lo (2004, 2005) concilia a HME com o poder prescritivo da BF estabelecendo a primeira como um caso extremo que serve de referencial para a mensuração da eficiência relativa de determinado mercado. Além disso, a BF permite que a teoria financeira explique um maior número de fenômenos com poucos pressupostos adicionais e sem necessitar a auto-exclusão e a independência dos programas de pesquisa. / The goal of this work is to analyze the prescriptive power of Behavioral Finance (SHLEIFER, 2000) for asset management in capital market, contrasting it with Efficient Markets Hypothesis implications (FAMA, 1970). Specifically, we seek to identify what techniques are appropriate in asset pricing, taking into account the interaction between empirical evidence obtained from empirical data and respective theoretical models. We map investors’ decision process in accordance with Efficient Markets Hypothesis (EMH) and Behavioral Finance (BF), identifying the assumptions and implications, and confront them with laboratorial experimental evidence, which test hypothesis about investors’ behavior. We discuss the positive contribution of Behavioral Finance’s research program, which explores bounded rationality in human choices and the effects experimented by investors in their decision making. Methodologically, Behavioral Finance absorbs the conclusions about real world obtained from lab experiments (DAVIS & HOLT, 1993; SMITH, 1987, 1994; MILLER, 2002) in order to create descriptive models, opposing, in this way, to the logical deductivism (POPPER, 1959) of conventional economics. Asset management has an unresolved tension which involves deciding between two methods: active or passive portfolio management; and this answer depends directly on the possibility (or not) for us to assume EMH as the strongest and only source to build appropriate strategies. Besides the introduction content, the work has three more chapters. In chapter 2, we explore scientific asset management and CAPM (SHARPE, 1964) propositions about market efficiency and security analysis paradigm. We also discuss the BF implications in asset management. Chapter 3 presents the experimental methodology which identifies technical analysis (chartist) influence in valuation process of financial assets. For this, we replicate an experimental treatment presented in Mussweiller and Schneller (2003) in a sample of low experienced Economics students. For the applicability of fundamentalist analysis, we use experimental results obtained by Haruvy, Lahav and Noussair (2007) and Camerer and Fehr (2006) and Lo (2004, 2005) qualitative approaches. The prescriptive power of financial theory is refined when it includes the phenomena explained by behavioral research in asset pricing and portolio managing. Technical analysis can be described using the cognitive bias effects present in human comparative nature (KAHNEMAN & MILLER, 1983; MUSSWEILLER, 2003). Fundamentalist analysis is justified by the cognitive hierarchy degrees of anticipation (CAMERER, HO & CHONG, 2004). The existence of series of active portfolio management practices is explained by the experimental observation that market prices converge to fundamental values in an adaptive process. Adaptive Markets Hypothesis (AMH) proposed by Lo (2004, 2005) reconciles BF with EMH, understanding the former as an extreme case which serves as reference point for measuring relative efficiency of a specific market. Besides, BF provides financial theory explanations about a greater range of phenomena, adding few new assumptions and with no need to understand it as an independent and self-excluding approach.
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Mapas de precificação de ativos no mercado de capitais : uma análise do poder prescritivo da behavioral financeNunes, Bernardo Fonseca January 2008 (has links)
O objetivo deste trabalho é analisar o poder prescritivo da Behavioral Finance (Shleifer, 2000) para a gestão de ativos financeiros no mercado de capitais, contrastando-a com as implicações da Hipótese dos Mercados Eficientes (FAMA, 1970). A meta específica é identificar quais conjuntos de técnicas são apropriados para a precificação de títulos ou ações levando-se em conta a interação dos respectivos modelos teóricos com a evidência empírica do comportamento dos investidores. A presente análise será feita através do mapeamento dos processos decisórios dos investidores segundo a Hipótese dos Mercados Eficientes (HME) e a Behavioral Finance (BF), identificando os pressupostos dos aludidos modelos e suas implicações e confrontando-os com a evidência obtida através de experimentos em laboratório que testem determinadas hipóteses sobre o comportamento de investidores. Discute-se a contribuição positiva de uma linha de pesquisa, a BF, que explora a racionalidade limitada dos agentes individuais em suas escolhas e os efeitos que os investidores experimentam ao tomarem decisões de investimentos. Metodologicamente, a BF absorve as conclusões sobre o mundo real obtidas a partir da observação experimental (DAVIS & HOLT, 1993; SMITH, 1987, 1994; MILLER, 2002) para daí elaborar modelos descritivos, contrapondo-se assim ao método econômico dedutivista lógico (POPPER, 1959). Há uma tensão não resolvida acerca da gestão de ativos que envolve a escolha entre dois métodos: a gestão ativa ou a gestão passiva; e isto depende diretamente da possibilidade (ou não) de assegurarmos a HME como base fidedigna e única para a construção das técnicas apropriadas. Além da introdução, o trabalho conta com mais três capítulos. No capítulo 2, abordamos a gestão científica dos investimentos e as proposições do CAPM dentro do paradigma da eficiência de mercado e da precificação de ações e títulos mobiliários. Também se aborda as implicações da BF para a administração de ativos no mercado de capitais. O capítulo 3 apresenta a metodologia experimental que capta a influência da análise técnica (grafista) sobre a avaliação de ativos financeiros. Para isto, replica-se um dos tratamentos experimentais de Mussweiler e Schneller (2003) com uma amostra de estudantes de economia com baixo nível de experiência em investimentos. Também, como forma de analisar a aplicabilidade da análise fundamentalista, utiliza-se os resultados experimentais obtidos por Haruvy, Lahav e Noussair (2007) e do referencial teórico de Camerer e Fehr (2006) e Lo (2004, 2005). O poder prescritivo da teoria financeira é refinado ao incorporar os fenômenos explicados pela pesquisa comportamental na precificação e gestão de ativos. A análise técnica é descrita através dos efeitos dos vieses cognitivos presentes na natureza comparativa humana (KAHNEMAN & MILLER, 1983; MUSSWEILLER, 2003). A análise fundamentalista é justificada pela existência dos graus de antecipação da hierarquia cognitiva (CAMERER, HO & CHONG, 2004). O fenômeno da existência de uma ampla prática de gestão ativa é explicado pela observação de um processo adaptativo de convergência dos preços de mercado aos valores fundamentais dos ativos. A Hipótese dos Mercados Adaptativos proposta por Lo (2004, 2005) concilia a HME com o poder prescritivo da BF estabelecendo a primeira como um caso extremo que serve de referencial para a mensuração da eficiência relativa de determinado mercado. Além disso, a BF permite que a teoria financeira explique um maior número de fenômenos com poucos pressupostos adicionais e sem necessitar a auto-exclusão e a independência dos programas de pesquisa. / The goal of this work is to analyze the prescriptive power of Behavioral Finance (SHLEIFER, 2000) for asset management in capital market, contrasting it with Efficient Markets Hypothesis implications (FAMA, 1970). Specifically, we seek to identify what techniques are appropriate in asset pricing, taking into account the interaction between empirical evidence obtained from empirical data and respective theoretical models. We map investors’ decision process in accordance with Efficient Markets Hypothesis (EMH) and Behavioral Finance (BF), identifying the assumptions and implications, and confront them with laboratorial experimental evidence, which test hypothesis about investors’ behavior. We discuss the positive contribution of Behavioral Finance’s research program, which explores bounded rationality in human choices and the effects experimented by investors in their decision making. Methodologically, Behavioral Finance absorbs the conclusions about real world obtained from lab experiments (DAVIS & HOLT, 1993; SMITH, 1987, 1994; MILLER, 2002) in order to create descriptive models, opposing, in this way, to the logical deductivism (POPPER, 1959) of conventional economics. Asset management has an unresolved tension which involves deciding between two methods: active or passive portfolio management; and this answer depends directly on the possibility (or not) for us to assume EMH as the strongest and only source to build appropriate strategies. Besides the introduction content, the work has three more chapters. In chapter 2, we explore scientific asset management and CAPM (SHARPE, 1964) propositions about market efficiency and security analysis paradigm. We also discuss the BF implications in asset management. Chapter 3 presents the experimental methodology which identifies technical analysis (chartist) influence in valuation process of financial assets. For this, we replicate an experimental treatment presented in Mussweiller and Schneller (2003) in a sample of low experienced Economics students. For the applicability of fundamentalist analysis, we use experimental results obtained by Haruvy, Lahav and Noussair (2007) and Camerer and Fehr (2006) and Lo (2004, 2005) qualitative approaches. The prescriptive power of financial theory is refined when it includes the phenomena explained by behavioral research in asset pricing and portolio managing. Technical analysis can be described using the cognitive bias effects present in human comparative nature (KAHNEMAN & MILLER, 1983; MUSSWEILLER, 2003). Fundamentalist analysis is justified by the cognitive hierarchy degrees of anticipation (CAMERER, HO & CHONG, 2004). The existence of series of active portfolio management practices is explained by the experimental observation that market prices converge to fundamental values in an adaptive process. Adaptive Markets Hypothesis (AMH) proposed by Lo (2004, 2005) reconciles BF with EMH, understanding the former as an extreme case which serves as reference point for measuring relative efficiency of a specific market. Besides, BF provides financial theory explanations about a greater range of phenomena, adding few new assumptions and with no need to understand it as an independent and self-excluding approach.
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A responsabilidade do cotista do fundo de investimento em participações / The liability of Brazilian private equity funds quotaholderCarlos Martins Neto 28 August 2015 (has links)
A presente dissertação tem por escopo traçar os contornos do regime de responsabilidade do cotista de fundo de investimento em participações FIP. Para tanto, serão analisados os aspectos históricos, a natureza jurídica e a forma como os fundos de investimento são estruturados no direito brasileiro, com foco no fundo de investimento em participações. Tendo em vista que o FIP pode assumir posição de controlador de companhia na qual realiza investimento,a dissertação também trata, de forma sucinta, da estrutura do poder de controle, da identificação do acionista controlador e das hipóteses de sua responsabilização. Na sequência, são apontadas as hipóteses de responsabilização direta e indireta dos cotistas de fundos de investimento em participações. A pesquisa busca demonstrar que o cotista do FIP, em razão da responsabilidade subsidiária decorrente da obrigação de arcar com o patrimônio negativo do fundo, está sujeito a responsabilidade indireta incompatível com o seu papel de investidor. Por fim, aponta-se uma possível solução para o problema da responsabilidade do cotista do FIP. / The scope of this thesis is to describe the outlines of the quotaholders liability on a Fundo de Investimento em Participações FIP (Brazilian Private Equity Fund). Therefore, will be analyzed the historical aspects, legal nature and the way investment funds are structured in the Brazilian law, focusing on the Fundo de Investimento em Participações. Considering the fact that the FIP can fulfill the position controlling shareholder on invested companies, this dissertation also approaches, succinctly, the control power structure, the controlling shareholders identification and the hypothesis of its liability. In sequence, the hypothesis of quotaholders direct and indirect liability on Fundo de Investimento em Participações are appointed. The research pursuits to demonstrate that the FIP quotaholder, due to the subsidiary liability arising from the obligation to bear the negative net equity of the fund, is susceptible to an indirect liability, incompatible with its role as a mere investor. Finally, a possible solution to the problem of the FIP quotaholder liability is presented.
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Contribuições do direito norte-americano ao sistema de proteção do investidor no mercado de capitais brasileiro / Contribution of the United States of America Securities Law to the System of Protection of Investors in the Brazilian Capital MarketCelso Roberto Pereira Filho 15 March 2016 (has links)
O atual arcabouço normativo de proteção do investidor no mercado de capitais brasileiro teve suas linhas mestras cravadas pela reforma bancária introduzida pelas Leis 4.595, de 31 de dezembro de 1964, e 4.728, de 14 de julho de 1965, pela criação de um regulador especializado em mercado de capitais pela Lei 6.385, de 07 de dezembro de 1976, e pela reforma da legislação das sociedades anônimas introduzida pela Lei 6.404, de 15 de dezembro de 1976. Desde 1976, o arcabouço normativo de proteção do investidor no mercado de capitais brasileiro vem sendo desenvolvido a partir dessas linhas mestras iniciais, incorporando as lições aprendidas com as turbulências e euforias vividas pela economia nacional. Esse arcabouço normativo que aí está desde 1976 foi inspirado por contribuições do direito federal norte-americano, as quais foram conscientemente captadas no Brasil pelo legislador e pela comunidade jurídica nacional. Difundiram-se internacionalmente dos EUA para o Brasil os preceitos da proteção do investidor no mercado de capitais calcados na existência de um órgão regulador do mercado de capitais, na divulgação de informações relevantes para decisões de investimento (disclosure), na regulação funcional dos agentes do mercado de capitais e na vedação de fraudes com valores mobiliários. / The current normative framework for the protection of investors in the Brazilian capital market had its main lines placed by the banking reform introduced by the Laws 4.595, as of December 31, 1964, and 4.728, as of July 14, 1965, by the institution of one regulatory body specialized in the capital market by the Law 6.385, as of December 07, 1976, and by the reform in the legislation on companies introduced by the Law 6.404, as of December 15, 1976. Since 1976, the normative framework for the protection of investors in the Brazilian capital market has been developed based on such original main lines and incorporating the lessons learned with the turbulences and euphoria lived by the national economy. This current normative framework in place since 1976 has been inspired by the contributions of the federal US law and such contributions have been consciously captured in Brazil by the legislator and the national legal community. The following precepts of the protection of investors in the capital market have diffused from the US to Brazil, namely, the existence of one regulatory body in charge of capital markets, the disclosure of information relevant to investment decisions, the functional regulation of the agents of the capital markets and the prohibition of frauds with securities.
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Mapas de precificação de ativos no mercado de capitais : uma análise do poder prescritivo da behavioral financeNunes, Bernardo Fonseca January 2008 (has links)
O objetivo deste trabalho é analisar o poder prescritivo da Behavioral Finance (Shleifer, 2000) para a gestão de ativos financeiros no mercado de capitais, contrastando-a com as implicações da Hipótese dos Mercados Eficientes (FAMA, 1970). A meta específica é identificar quais conjuntos de técnicas são apropriados para a precificação de títulos ou ações levando-se em conta a interação dos respectivos modelos teóricos com a evidência empírica do comportamento dos investidores. A presente análise será feita através do mapeamento dos processos decisórios dos investidores segundo a Hipótese dos Mercados Eficientes (HME) e a Behavioral Finance (BF), identificando os pressupostos dos aludidos modelos e suas implicações e confrontando-os com a evidência obtida através de experimentos em laboratório que testem determinadas hipóteses sobre o comportamento de investidores. Discute-se a contribuição positiva de uma linha de pesquisa, a BF, que explora a racionalidade limitada dos agentes individuais em suas escolhas e os efeitos que os investidores experimentam ao tomarem decisões de investimentos. Metodologicamente, a BF absorve as conclusões sobre o mundo real obtidas a partir da observação experimental (DAVIS & HOLT, 1993; SMITH, 1987, 1994; MILLER, 2002) para daí elaborar modelos descritivos, contrapondo-se assim ao método econômico dedutivista lógico (POPPER, 1959). Há uma tensão não resolvida acerca da gestão de ativos que envolve a escolha entre dois métodos: a gestão ativa ou a gestão passiva; e isto depende diretamente da possibilidade (ou não) de assegurarmos a HME como base fidedigna e única para a construção das técnicas apropriadas. Além da introdução, o trabalho conta com mais três capítulos. No capítulo 2, abordamos a gestão científica dos investimentos e as proposições do CAPM dentro do paradigma da eficiência de mercado e da precificação de ações e títulos mobiliários. Também se aborda as implicações da BF para a administração de ativos no mercado de capitais. O capítulo 3 apresenta a metodologia experimental que capta a influência da análise técnica (grafista) sobre a avaliação de ativos financeiros. Para isto, replica-se um dos tratamentos experimentais de Mussweiler e Schneller (2003) com uma amostra de estudantes de economia com baixo nível de experiência em investimentos. Também, como forma de analisar a aplicabilidade da análise fundamentalista, utiliza-se os resultados experimentais obtidos por Haruvy, Lahav e Noussair (2007) e do referencial teórico de Camerer e Fehr (2006) e Lo (2004, 2005). O poder prescritivo da teoria financeira é refinado ao incorporar os fenômenos explicados pela pesquisa comportamental na precificação e gestão de ativos. A análise técnica é descrita através dos efeitos dos vieses cognitivos presentes na natureza comparativa humana (KAHNEMAN & MILLER, 1983; MUSSWEILLER, 2003). A análise fundamentalista é justificada pela existência dos graus de antecipação da hierarquia cognitiva (CAMERER, HO & CHONG, 2004). O fenômeno da existência de uma ampla prática de gestão ativa é explicado pela observação de um processo adaptativo de convergência dos preços de mercado aos valores fundamentais dos ativos. A Hipótese dos Mercados Adaptativos proposta por Lo (2004, 2005) concilia a HME com o poder prescritivo da BF estabelecendo a primeira como um caso extremo que serve de referencial para a mensuração da eficiência relativa de determinado mercado. Além disso, a BF permite que a teoria financeira explique um maior número de fenômenos com poucos pressupostos adicionais e sem necessitar a auto-exclusão e a independência dos programas de pesquisa. / The goal of this work is to analyze the prescriptive power of Behavioral Finance (SHLEIFER, 2000) for asset management in capital market, contrasting it with Efficient Markets Hypothesis implications (FAMA, 1970). Specifically, we seek to identify what techniques are appropriate in asset pricing, taking into account the interaction between empirical evidence obtained from empirical data and respective theoretical models. We map investors’ decision process in accordance with Efficient Markets Hypothesis (EMH) and Behavioral Finance (BF), identifying the assumptions and implications, and confront them with laboratorial experimental evidence, which test hypothesis about investors’ behavior. We discuss the positive contribution of Behavioral Finance’s research program, which explores bounded rationality in human choices and the effects experimented by investors in their decision making. Methodologically, Behavioral Finance absorbs the conclusions about real world obtained from lab experiments (DAVIS & HOLT, 1993; SMITH, 1987, 1994; MILLER, 2002) in order to create descriptive models, opposing, in this way, to the logical deductivism (POPPER, 1959) of conventional economics. Asset management has an unresolved tension which involves deciding between two methods: active or passive portfolio management; and this answer depends directly on the possibility (or not) for us to assume EMH as the strongest and only source to build appropriate strategies. Besides the introduction content, the work has three more chapters. In chapter 2, we explore scientific asset management and CAPM (SHARPE, 1964) propositions about market efficiency and security analysis paradigm. We also discuss the BF implications in asset management. Chapter 3 presents the experimental methodology which identifies technical analysis (chartist) influence in valuation process of financial assets. For this, we replicate an experimental treatment presented in Mussweiller and Schneller (2003) in a sample of low experienced Economics students. For the applicability of fundamentalist analysis, we use experimental results obtained by Haruvy, Lahav and Noussair (2007) and Camerer and Fehr (2006) and Lo (2004, 2005) qualitative approaches. The prescriptive power of financial theory is refined when it includes the phenomena explained by behavioral research in asset pricing and portolio managing. Technical analysis can be described using the cognitive bias effects present in human comparative nature (KAHNEMAN & MILLER, 1983; MUSSWEILLER, 2003). Fundamentalist analysis is justified by the cognitive hierarchy degrees of anticipation (CAMERER, HO & CHONG, 2004). The existence of series of active portfolio management practices is explained by the experimental observation that market prices converge to fundamental values in an adaptive process. Adaptive Markets Hypothesis (AMH) proposed by Lo (2004, 2005) reconciles BF with EMH, understanding the former as an extreme case which serves as reference point for measuring relative efficiency of a specific market. Besides, BF provides financial theory explanations about a greater range of phenomena, adding few new assumptions and with no need to understand it as an independent and self-excluding approach.
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