• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 85
  • 4
  • 3
  • 1
  • Tagged with
  • 108
  • 62
  • 39
  • 35
  • 26
  • 24
  • 23
  • 20
  • 18
  • 18
  • 17
  • 17
  • 17
  • 16
  • 16
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Génocide via les ondes : reconsidération de l'effet radiophonique au Rwanda, 1994

Vinet-Thibault, Julie January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
12

Woodrow Wilson et les philanthropes américains face à la question ottomane : une manifestation méconnue du wilsonisme

Leclair, Zacharie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
13

Survivre au génocide des Tutsi : défi de refaire confiance en Dieu et en l'humanité

Gakwisi, Jean-Bosco January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
14

Le génocide des tutsi au Rwanda dans les productions littéraires et cinématogaphiques : construction, transmission et médiatisation de la mémoire face aux enjeux contemporains de la représentation de l’événement / The Tutsi genocide in Rwanda in literary and cinematic work : construction, transmission and media coverage of memory in the throes of the contemporary stakes of the event representation

Brinker, Virginie 10 December 2011 (has links)
Des auteurs africains subsahariens francophones de l’opération « Rwanda : écrire par devoir de mémoire », au réalisateur haïtien Raoul Peck, en passant par nombre d’auteurs belges ou québécois, le génocide des Tutsi du Rwanda est devenu, en une quinzaine d’années, un véritable objet de création littéraire et cinématographique, et le centre d’œuvres qui construisent, perpétuent mais aussi questionnent sans fin sa mémoire. En effet, souvent considéré comme le premier génocide « télévisé », une mémoire médiatique du génocide de 1994 préexiste à ce travail de l’écriture et a contribué à « informer » les cadres collectifs de sa représentation, une représentation souvent tronquée et partielle. Il s’agit donc de questionner, d’un point de vue éthique et esthétique, les rapports à la construction et à la transmission de la mémoire que peuvent entretenir la littérature et les images médiatiques. Il s’agit surtout de produire une théorie littéraire de la transmission résolument contemporaine, de mettre à jour une poétique de la transmission propre à la littérature et à ses enjeux dans notre monde de l’image, en prenant le génocide des Tutsi au Rwanda comme champ d’analyse emblématique. Cette théorie met à jour deux concepts majeurs : la médiation et la passation de la mémoire dans leurs enjeux éthiques, esthétiques et proprement stylistiques. C’est ainsi en se faisant agent de la traversée de l’espace, du temps, des frontières entre auteur et lecteur, autrui et moi, visible et invisible, conscience et inconscient, c’est-à-dire passeur, que le médiateur-scripteur parachève l’entreprise de transmission et redonne à la littérature sa place de choix dans la société contemporaine. / For at least the last fifteen years, the Tutsi genocide which happened in Rwanda triggered a wide array of literary and cinematographic works, ranging from the francophone African Sub-Saharan writers who took part in the initiative “Rwanda: writing out of the duty of remembrance” to the Haitian director Raoul Peck and numerous authors from Belgium and Quebec. All these works construct, transmit and also endlessly challenge the memory of the genocide. Indeed, the genocide in Rwanda being often considered as the first “TV live” genocide, the media-staged memory of the 1994 events comes before the literary work and has greatly impacted the collective framing of its – often biased and partial – depiction. Subsequently it matters to question, from an ethical and aesthetical point of view, the dynamics of memory construction and transmission which are at stake between literature and images from the media. More importantly, it matters to define a contemporary literary theory of transmission that particularly addresses the poetics of literary transmission at the age of the media ineluctability: the case of the Tutsi genocide in Rwanda will help articulate this theory. The latter relies on two major concepts: the mediation and the passation of memory from ethical, aesthetic and stylistic perspectives. By building a bridge crossing space and time, beyond the frontier between authorship and readership, the other and I, the visible and the invisible, consciousness and unconsciousness, by becoming a passeur, the mediator and scriptwriter brings his contribution to the project of transmission and associates literature with a mission of its own in the throes of current issues.
15

Enquête, Histoire et Fiction : Jean Hatzfeld au prisme de l'écriture. / Investigation, history and fiction : the writing of the track in Jean Hatzfeld's trilogy on the Rwandan genocide.

Mimboui Nguema, Ida Paola 15 December 2016 (has links)
Penser l’écriture par rapport à l’histoire c’est mettre en relation deux moments importants de l’activité. On peut considérer que ce qui est écrit, c’est ce qui reste, c’est-à-dire jugé digne d’être transmis. Il en va ainsi des événements historiques qui grâce à l’écriture sont transmis de génération en génération. L’écriture est ainsi une trace, une mémoire de l’histoire. Toutefois, l’histoire semble s’opposer à l’écriture littéraire. Car il est généralement admis qu’on ne trouve guère dans les œuvres littéraires que ce qui s´oppose à la réalité et ce point de vue relèverait de l’imaginaire voire de la simulation. Cette approche du texte littéraire se trouve désormais quelque peu ébranlée, si l’on intègre les témoignages, les biographies, notamment les témoignages de survivants de génocide et même ceux des « assassins ».Cette question est d’autant plus présente que ces dernières décennies on assiste à l’émergence dans le débat critique d’une question, que la poétique n’avait jamais explicitée en tant que telle : celle des frontières de la fiction. Toutes choses qui ont permis de repenser la poétique de l’œuvre littéraire fondée comme l’indique les organisateurs d’un colloque en ligne « sur une prescription de distanciation et de subordination du réel concret ou factuel au profit de la fiction ». Il apparaît donc que c’est dans le déploiement même du texte que la difficulté à définir le statut du texte se dévoile dans toute sa complexité. Loin des approches structuralistes du milieu du XXe siècle qui concevaient encore le texte comme un système de relations clos sur lui-même, la critique contemporaine pense le texte dans son rapport avec le hors texte. Ainsi, on redécouvre la nécessité non seulement d’inclure les sciences humaines dans le travail critique mais aussi de lire les faits historiques et sociologiques à partir du texte littéraire. Comment concilier histoire et écriture ?Ce questionnement général s’applique également à toutes les littératures, notamment aux textes sur le génocide rwandais. Ici se pose identiquement la question de la mise en écriture d’une page tragique de l’Histoire. Comment dire sans totalement sublimer le factuel ? Le langage est-il apte à saisir les horreurs de ce génocide, comment écrire ? Telles sont en quelques mots les questions que pose cette littérature. Dans cette perspective Jean Hatzfeld se présente comme enquêteur qui transmet les résultats d’une profonde expérience sur le génocide du Rwanda. Son texte Une Saison de machettes : La parole des assassins, le deuxième récit d’une trilogie consacrée au génocide Rwandais, révèle un processus de reconstitution des traces de l’histoire à travers le témoignage presque naturel de Hutus ayant participés aux massacre des Tutsi. La particularité de ce texte est la mise en discours du récit des bourreaux. C’est-à-dire ceux-là qui ont pleinement participé aux massacres humains en tant qu’acteurs, meneurs de troupes. Il s’agit pour l’auteur de faire parler des personnes qui ont fait l’expérience du pouvoir de vie ou de mort sur leur semblable. Ici, l’homme est d’abord perçu selon la formule de Thomas Hobbes comme un ‘‘loup pour l’homme.’’ Le voisin ou l’ami d’enfance qui devient cet être diabolique capable des pires atrocités.Nous allons orienter notre analyse vers trois principaux axes de recherche que sont : l’étude du texte, celui du contexte et du métatexte. / To look at writing in relation to history is to link two important moments of the activity. It might be considered that what is written is that which lasts, that is, worthy of being transmitted. It goes the same with historical events which are transmitted through writing from generation to generation. Writing is thus a sign, a memory of history. However, history seems to be opposed to literary writing. It is a common opinion that only the things which are opposed to reality are found in literary works and this idea comes close to being an imagination or even a simulation. This literary text approach is henceforth a little bit rattled if testimonies and biographies are included, especially the testimonies of the genocide survivors and not to say those of the “killers”.This general questioning equally applies to all literatures, notably to the texts about the Rwandan genocide. The issue of the putting down in writing of a tragic page of History identically arises here. How to tell without transcending the factual? Is language capable of grasping the horrors of this genocide, how should one write? These are in few words the issues addressed in this literature. In this regard, Jean Hatzfeld presents himself as an investigator who passes down the results of a profound experience about the Rwandan genocide. His book “Machete Season: The Killers in Rwanda Speak”, a second narrative of a trilogy concerning the Rwandan genocide, reveals a process of reconstituting the traces of history through an almost natural testimony by the Hutus who took part in the massacre of the Tutsi. What makes this text unusual is the setting down in terms of discourse of the executioners’ narrative. That is, those who fully took part in the massacre of humans as actors and troop leaders. To the author, it is a question of getting people to speak, who had the power of life or of death over their fellow. Man is seen here by Thomas Hobbes formula as “a wolf to man”. The neighbour or childhood friend becomes that diabolic being capable of the worst atrocities.Our analysis will be focussed on the following three main aspects: text, context and metatext studies.
16

La parole pulvérisée : émergence et singularité d’une littérature de témoignage sur le génocide du Rwanda / The dramatic change in Rwandan expression : the newness and singularity of a "witness literature" about the Rwandan genocide

Talayssat, Anne-Sophie 19 June 2017 (has links)
Dès 1997, des témoins rwandais rescapés d'un des événements les plus sombres du XXème siècle ont témoigné de leur expérience au cœur du génocide Tutsi survenu trois ans auparavant. La nécessité de mettre en récit l’horreur traversée a fait naître, en langue française, une littérature d’« un genre nouveau » qui n’existait pas dans le pays. En analysant seize récits rwandais de témoins directs du génocide, la thèse discute l’obstacle présupposé de leur co-écriture et met en évidence l’émergence et la singularité de cette littérature de témoignage : sa naissance dans la déchirure ; son mode spécifique d’élaboration ; sa poéticité ; sa rhétorique de la pulvérisation inhérente au traumatisme et, spécificité remarquable dans une culture où l’expression du « moi » n’est guère encouragée, son hybridation entre témoignage et autobiographie. Au confluent de l’histoire personnelle et de l’Histoire collective, certains témoins rescapés ont en effet exploré la voie d’une narration intime afin de reconstruire ce que le génocide a fait voler en éclats : le rapport à soi-même et à une communauté qui, après les avoir niés en tant qu’êtres humains, a tardé à les reconnaître en tant que victimes. Ce projet testimonial constitue tout autant une tentative de résilience qu’une quête de justice, un acte conclusif du deuil et une difficile progression de la survie vers la vie. Cette thèse inscrit de plein droit dans la littérature des œuvres essentielles et irremplaçables pour approcher au plus près la vérité du traumatisme et des faits génocidaires endurés. / Since 1997 Rwandan witnesses who have survived the Tutsi genocide in Rwanda in 1994 have related their dreadful experience of one of the worst events of the 20th century. The urge to write about this terrible event was the starting point of a new genre of writing in French in the country. By analysing sixteen direct witnesses' accounts this thesis examines the assumption that the need to resort to another person to transcribe their oral testimonies could present an obstacle. It reveals the newness and singularity of this " witness literature " : a dramatic break from all traditional artistic forms, the specific technique with a note of poetry, the way it describes the devastation caused by the traumatic events. Moreover what is remarkable in a culture in which self- expression is not encouraged is how it combines testimony and autobiography. Indeed where personal history and collective history meet, by telling their private accounts some surviving witnesses have been able to rebuild what the genocide had destroyed, that is to say introspection and the relationship with the community which not only had not considered them as human beings but had also delayed recognising them as victims. This " testimony project" is an attempt at resilience and a demand for justice as well, a way of coming out of mourning in order to be able to go on living. This thesis intends to fully acknowledge the literary quality of these very important, essential writings and to understand the intensity of the trauma caused by the criminal acts they had to endure during the genocide.
17

Être enfant d’une survivante et d’un auteur du génocide : la résilience des enfants rwandais nés du viol / Being a child of a survivor and a perpetrator of a genocide : the resilience of Rwandan children born from rape

Nshimiyimana, Jean Damascene 25 June 2018 (has links)
Les résultats de cette thèse qui avait comme objectifs d’analyser la résilience des enfants rwandais nés du viol commis pendant le génocide et d’examiner les facteurs de protection et de risque en jeu, montrent que ces enfants ont le score total moyen à l’échelle de résilience de Wagnild et Young qui les situe à un bas niveau de résilience ; les filles ont un score total moyen de résilience plus élevé que les garçons ; les participants ayant atteint le niveau d’études secondaire ont un score supérieur à celui des enfants qui ont seulement accédé à l’école primaire et à celui des enfants qui ne sont jamais allés à l’école ; les enfants qui sont restés là où le viol de la mère a été perpétré ont un score plus élevé que ceux qui se sont éloignés de cet endroit ; le score des enfants groupés en association est nettement supérieur à celui des enfants sans association. Les participants ont bénéficié de peu de facteurs de protection, de très peu de facteurs de protection familiaux et environnementaux, qu’ils jouissent pourtant de beaucoup de facteurs de protection individuels ; ils ont fait face à un nombre relativement petit de facteurs de risque, à un petit nombre de facteurs de risque individuels et à un grand nombre de facteurs de risque familiaux et environnementaux. Les problèmes les plus évoqués par les participants sont les tentatives d’avortement, les tentatives d’infanticide, l’abandon, le rejet, la haine, la négligence, la maltraitance, la stigmatisation, la honte, la culpabilité et la pauvreté ; et face à ces difficultés, des stratégies d’adaptation comme la maturité précoce, les attitudes familio-centrifuges, l’auto-inhibition, l’humour, les prières, l’opposition, l’abus de drogues, la ségrégation relationnelle, la prostitution et le groupement en associations ont été mises en place. / Results of this thesis, which had as objectives analyzing the resilience of Rwandan children born from rape perpetrated during the genocide and scrutinizing protective and risk factors involved, show that those children have a low level of resilience as proven by their average at the resilience scale of wagnild and young; girls have a higher score of resilience than boys; participants with secondary education scored higher than children who only attended primary school and ones who never went to school; children who remained where the mother's rape was perpetrated have a higher score than those who have moved away from that place; and the score of children grouped in an association is significantly higher than the one of children without association. The participants have benefited from few protective factors, very few family and environmental protective factors, while they enjoy many individual protective factors; they faced a relatively small number of risk factors, a small number of individual risk factors, and a large number of family and environmental risk factors. The most mentioned problems by participants are abortion attempts, infanticide attempts, abandonment, rejection, hatred, neglect, abuse, stigma, shame, guilt and poverty; and coping strategies such as early maturity, familio-centrifugal attitudes, self-inhibition, humor, prayers, opposition, drug abuse, relational segregation, prostitution and the grouping in associations have been set up.
18

Burundi 1972/Rwanda 1994 : l'"efficacité" dramatique d'une reconstruction idéologique du passé par la presse

Pontzeele, Sophie 01 June 2004 (has links) (PDF)
Les représentations de l'histoire du Rwanda et du Burundi, construites durant l'époque coloniale, ont influencé de façon décisive l'évolution de ces deux pays après leur indépendance. La vulgate historique du « conflit séculaire » entre Hutu et Tutsi, réinvestie par les élites locales et transformée en axe majeur du combat politique, s'est matérialisée de façon paroxystique lors de deux génocides : en 1972 au Burundi et en 1994 au Rwanda. Les principaux quotidiens français et belges occultèrent presque le premier génocide dans la région des Grands Lacs : en 1972, ils se contentèrent de mobiliser les poncifs de la lutte tribale en guise d' « analyse ». Vingt ans plus tard, une grille de lecture particulière continue d'être appliquée aux crises africaines. La reconnaissance du génocide des Rwandais tutsi n'a pas empêché, en outre, que prévale un mode de traitement « national » de l'information de la part des organes de presse belges et français.
19

La Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide à l'épreuve du tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie

Benages, Thomas 18 May 2005 (has links) (PDF)
Afin d'observer la question du génocide en ex-Yougoslavie, cette thèse analyse, dans un premier temps quels sont les fondements d'un tel crime. Des lors, l'étude va chercher à comprendre comment des hommes, en ex-Yougoslavie, ont pu être amenés à commettre, ordonner ou bien planifier des actes génocidaires, et quelles idéologies étaient à la base de ces comportements. L'étude observe également sur quels fondement juridiques se fonde la particularité du crime de génocide en ex-Yougoslavie. Dans un second temps cette thèse observe si il existe une réelle volonté du TPIY de juger les personnes accusées du crime de génocide. Les juges du TPIY, qui ont déclaré qu'un génocide avait eu lieu à Srebrenica en 1995 semblent incapables d'aller plus loin dans leurs affirmations. Leurs démarches restent ambiguës, hésitantes et contradictoires. Des lors, cet environnement rend délicat le jugement, ainsi que la condamnation du crime de génocide.
20

La floraison du lotus : communiquer la mémoire du drame cambodgien

Fortin, Michaël January 2006 (has links) (PDF)
Après trente ans de guerre civile, et après un régime qui engendra un génocide de plus du quart de la population, de quoi, et comment, se souvient-on au Cambodge? Si l'oubli à l'échelle des nations de ce génocide est manifeste, il n'en demeure pas moins qu'une mémoire de ce drame, construite dans l'enchevêtrement des mémoires collectives et individuelles, subsiste aujourd"hui au sein de la communauté khmère. Cependant, si l'époque du Kampuchéa Démocratique frappe les esprits, le drame dont il est question dans ces pages recouvre également les difficultés de la vie quotidienne dans un pays qui peine à se remettre sur pied. Il ne s'agit donc pas ici de dresser un inventaire des atrocités commises, mais plutôt de souligner le processus de compréhension et d'appropriation de la notion du drame, en lien avec le travail de mémoire et son ancrage au quotidien. Cette étude se concentre autour de l'approche constructiviste des théoriciens Peter Berger et Thomas Luckmann, au sein de laquelle est recadrée la notion de mémoire, telle qu'entendue par Maurice Halbwachs. L'objet de recherche consiste en la dynamique communicationnelle entre la subjectivité du chercheur et celles des acteurs rencontrés, impliquant ainsi ce qui est rappelé par le recouvrement du souvenir, les réalités subjectives en jeu et les stocks de connaissances qui servent à typifier la réalité. Une dynamique qui se déroule dans un contexte, autour de différents «lieux» symboliques, offrant un aperçu du paysage après la bataille. Ces lieux constituent autant de réalités objectives qui sont subjectivées, tant par le chercheur que par les acteurs. S'intéressant également à la problématique de la transcription, l'ensemble de la démarche révèle de façon transparente la reconstruction du parcours effectué par le chercheur, s'énonçant comme une tentative d'objectivisation de sa subjectivité. Une activité d'écriture qui demeure toutefois au service d'un projet de compréhension du réel, à la recherche d'une solution pour la «floraison» de l'idée de «vivre ensemble» au Cambodge. Il en résulte un texte qui donne au lecteur quelques clés lui permettant d'entamer une réflexion sur une des plus importantes dérives qu'ait connue la modernité, dont le rejet total de ce qui la caractérise constituait l'une des idées-forces des idéologues khmers rouges. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Cambodge, Génocide, Guerre, Khmers Rouges, Constructivisme, Mémoire collective, Communication, Anthropologie, Subjectivité, Transcription ethnographique, Récit de voyage.

Page generated in 0.2822 seconds