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Huit cent mille : blague de bébé mort, suivi de Le silence dans la dramaturgie de la guerre chez W. Mouawad et A. Farhoud

Gaudet, Renée January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire et écriture des génocides turc et nazi dans les œuvres de Grigoris Balakian, Vahram Dadrian, Abraham Hartunian, Papken Injarabian, Robert Antelme, Primo Levi et Jorge Semprun / Remembrance and testimony of the turkish and nazi's genocides in Grigoris Balakian's, Vahram Dadrian's, Abraham Hartunian's, Papken Injarabian's, Robert Antelme's, Primo Levi's and Jorge Semprun's works

Carbonnel-Prentice, Pruneline 19 February 2010 (has links)
Au crépuscule d'une expérience génocidaire comme la catastrophe arménienne ou la Shoah, les témoins font face à la gageure d'une reconstruction, tant physique que morale, dans une société humaine aux contours éthiques brisés : tout sens et tout repère semblent ruinés. Chacun affronte un ardu retour à l'humanité et à une identité niée par les bourreaux. Cet itinéraire de reconstruction, qui mène de l'inhumain à l'humain, met en évidence une posture difficile entre parole et silence, qui frappent sur l'écueil de l'indicible. Du caractère indicible de l'expérience génocidaire découle le dilemme invalidant vécu par le témoin tiraillé entre une mémoire sclérosante et un nécessaire devoir de mémoire. L'indicibilité du crime masque plutôt une incommunicabilité : l'expérience est tellement hors de toute limité qu'elle semble annihiler toute possibilité de compréhension d'un tiers. Les survivants optent alors pour une échappatoire scripturaire qui n'est pas sans entraîner une refondation des concepts de réception, et une tentative ou tentation de poser les bases d'une esthétique littéraire inédite, propre aux témoignages issus de génocide, par delà les paradoxes, la littérature servant la vérité. Les rescapés arméniens, confrontés à la négation de la catastrophe, refusent ce recours à la littérature et condamnent malgré eux leurs témoignages à la confidentialité. Seule la culture et le jeu de ses références, lien entre le déporté et le tiers récepteur, parvient à dépasser la barrière éthique que s'imposent les survivants arméniens. La culture, mise à mal et révélée par les génocides, s'avère une force à même de sublimer l'existence la plus abjecte et l'écriture la plus improbable. / At the end of a genocidal experience like the armenian catastrophe or the holocaust, witnesses have to reconstruct themselves, both physically and morally, in a society that has lost its ethical foundations: all meanings or references seem ruined. each deportee has to find a way to get his humanity and his identity (denied by his torturers) back. this reconstruction, from inhuman to human, shows a difficult behaviour between speaking and silence, and bring to the fore the inexpressible nature of the genocidal experience. witnesses experience moreover the dilemma between a disabling memory and an essential obligation to remember. it appears that the crime is more unreportable than indescribable: the experience is so extreme that it seems to annihilate all chance of understanding from a third party. then, the survivors choose to write down their experiences, modifying receipt concepts, and trying to build the new foundations of an original literary esthetics, in which art, imagination and truth can coexist. the armenian survivors, having to deal with the denial of the turkish genocide, refuse to write literary testimony and seem to censure their own works and limit, in spite of themselves, the impact they should encounter. only culture and its references, last link between the deportee and a third party, manages to go beyond the ethical limit that armenian survivors assert themselves. culture, subjected to doubt and revealed because of genocides, is confirmed as a power able to sublimate the most awful existence and the most unlikely writing.
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L'interprétation de la destruction inhérente à l'intention génocidaire en droit international

Savard, Catherine 25 March 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 7 août 2023) / En droit international, le génocide se caractérise par une intention spécifique de détruire, en tout ou en partie, un groupe protégé. Cette intention spécifique a été au cœur de controverses importantes depuis la genèse du concept de génocide. Ce débat est particulièrement actuel de nos jours, alors que les notions de « génocide » et de « génocide culturel » sont invoquées notamment par plusieurs groupes autochtones afin de décrire les expériences vécues dans le contexte de sociétés coloniales. Le présent ouvrage questionne la nature de la destruction inhérente à l'intention génocidaire en droit international. En d'autres termes, cette destruction s'entend-elle strictement d'une destruction physique et biologique du groupe, comme le soutient une partie substantielle de la doctrine et de la jurisprudence, ou englobe-t-elle une forme plus large de destruction? En tenant compte des sources pertinentes du droit international en ce qui a trait à l'interprétation des traités, cet ouvrage conclut que la destruction inhérente à l'intention génocidaire s'entend non seulement d'une destruction physique et biologique, mais également de la destruction du groupe en tant qu'unité sociale. En effet, cette approche apparaît parfaitement cohérente avec le cadre interprétatif applicable en vertu de la Convention de Vienne sur le droit des traités. Nous soutenons également qu'une telle interprétation n'entraîne aucune violation du principe de la légalité. Enfin, une interprétation de la destruction inhérente à l'intention génocidaire qui inclut la destruction du groupe en tant qu'unité sociale a le potentiel de contribuer à une certaine décolonisation du droit international, dans la mesure où elle s'inscrit à contre-courant par rapport aux considérations hégémoniques et coloniales ayant présidé au développement du système juridique international moderne. / In international law, genocide is characterized by a specific intent to destroy, in whole or in part, a protected group. This specific intent has been at the heart of significant controversy since the genesis of the concept of genocide. This debate is particularly relevant today, as the notions of "genocide" and "cultural genocide" have been invoked by indigenous groups to describe their experiences within colonial societies. This thesis questions the nature of the destruction inherent in genocidal intent in international law. In other words, does this destruction refer strictly to the physical and biological destruction of the group, as a substantial part of the doctrine and jurisprudence argues, or does it encompass a broader form of destruction? Taking into account the relevant sources of international law relating to treaty interpretation, this thesis concludes that the destruction that is inherent to genocidal intent includes not only physical and biological destruction, but also the destruction of the group as a social unit. Indeed, this approach appears perfectly consistent with the interpretative framework provided for by the Vienna Convention on the Law of Treaties. Further, it is argued that such an interpretation does not entail any violation of the principle of legality. Finally, an interpretation of the destruction that includes the destruction of the group as a social unit has the potential to contribute to a decolonization of international law, insofar as it runs counter to the hegemonic and colonial considerations that have governed the development of the modern international legal system.
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La France et la question arménienne (1915-1923)

Vallée, J.-Louis 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La mémoire de la violence dans le roman africain contemporain

Ndagijimana, Étienne January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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De l'indépendance à la reconnaissance du génocide : le (re)cadrage des actions collectives de la diaspora tamoule depuis 2009

Labelle, Alexie 08 1900 (has links)
Alors que la mobilisation de la diaspora tamoule pendant la guerre civile sri lankaise (1983-2009) a été amplement discutée et analysée, peu de chercheurs se sont penchés sur la mobilisation de la diaspora tamoule après 2009. Pourtant, cette mobilisation d’après-guerre présente une rupture importante avec le discours d’indépendance du Liberation Tigers of Tamil Eelam (LTTE) prédominant pendant la guerre civile sri lankaise, rupture qui s’illustre, entre autres, par l’émergence d’un discours de reconnaissance du génocide. Comment expliquer ce changement de discours? L’objectif de ce mémoire est d’exposer le recadrage des actions collectives de la diaspora tamoule depuis 2009, pour ensuite expliquer comment et pourquoi nous l’observons. Pour ce faire, nous retraçons le discours de cinq acteurs collectifs en matière d’indépendance et de génocide, tel que rapporté par le site web diasporique, Tamilnet.com. Les acteurs collectifs à l’étude sont les suivants : le Liberation Tigers of Tamil Eelam (LTTE), le Global Tamil Forum (GTF), le Transnational Government of Tamil Eelam (TGTE), Tamils Against Genocide (TAG) et le National Council of Canadian Tamils (NCCT). Notre démarche, qui consiste en une analyse de cadrage, à la fois quantitative et qualitative, nous amène à remettre en question la relation causale entre la fenêtre d’opportunité et le recadrage. En revanche, nous démontrons que le recadrage des actions collectives de la diaspora tamoule depuis 2009 s’explique par l’émergence de nouveaux acteurs collectifs, eux-mêmes porteurs d’un nouveau discours. L’apparition de ces nouveaux acteurs collectifs médiate ainsi la relation entre la fenêtre d’opportunité et le recadrage. / While previous studies have focused on Tamil diaspora mobilization during Sri Lanka’s civil war (1983-2009), post-war Tamil mobilization within the diaspora remains largely understudied. However, this post-war mobilization is characterized by the emergence of a new discourse on the recognition of the Tamil genocide and represents a major break with the Liberation Tigers of Tamil Eelam (LTTE)’s discourse on Tamil Eelam independence. How can we explain this shift in discourse? This research outlines the reframing of collective actions organized within the Tamil diaspora since 2009 and provides an explanation as to why such reframing is taking place. We focus on five collective actors, namely the Liberation Tigers of Tamil Eelam (LTTE), the Global Tamil Forum (GTF), the Transnational Governement of Tamil Eelam (TGTE), Tamils Against Genocide (TAG) and the National Council of Canadian Tamils (NCCT). We deconstruct their discourse pertaining to Tamil independence and Tamil genocide using Tamilnet.com, an online news portal. Using a quantitative and qualitative frame analysis approach, we challenge the causal relationship between opportunity window and reframing. Conversely, our results show that the reframing of Tamil collective actions in the diaspora since 2009 is due to the emergence of new collective actors, bearers of a new discourse on the recognition of genocide. We then suggest that the emergence of new collective actors mediates the relationship between opportunity window and reframing.
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Rwanda, de l'archive à la représentation : La photographie et le cinéma à l'épreuve du génocide des Tutsi (1994-2012)

Réra, Nathan 03 December 2012 (has links)
Au Rwanda, d'avril à juillet 1994, les photographes et les cameramen des agences d'information internationales eurent de grandes difficultés à documenter le génocide des Tutsi, recouvert par la guerre civile entre les Forces armées rwandaises et le Front patriotique rwandais et par l'exil massif des civils Hutu dans les camps de réfugiés des pays voisins. Les reporters rencontrèrent de nombreux obstacles pour prendre, envoyer et diffuser leurs images en Occident : avaries techniques, censure militaire et politique, relative indifférence des rédactions, etc. Après l'événement, quelques photojournalistes et cameramen décidèrent de rompre avec le système des mass-médias. Ils ont ainsi entamé une déconstruction de leurs images par la représentation artistique, plus apte à incarner le génocide et à rendre au spectateur l'autonomie de son regard. En parallèle, d'autres artistes ont entrepris d'élaborer la mémoire du génocide des Tutsi, recueillant les visages et les témoignages des rescapés et des génocidaires, filmant ou photographiant les sites de l'extermination devenus mémoriaux. En l'espace de dix-huit années, la somme des représentations du génocide des Tutsi est donc conséquente. S'inscrivant dans une histoire visuelle dont la Shoah constitue le paradigme, ces œuvres entendent poser les jalons d'une réflexion historique, politique et esthétique sur l'extermination des Tutsi et ses conséquences dans la société rwandaise post-génocide. / In Rwanda, from April to July 1994, photographers and cameramen from international news agencies had big difficulties to document the genocide of the Tutsi, blurred by the civil war between the Armed Forces of Rwanda and the Rwandan Patriotic Front, and by the exile of the Hutu civilians in the refugee camps of the neighboring countries. Reporters found many impediments on their road, to take, to send and to spread their images in the Western world : technical damages, military and political censoring, lack of interest from editors, etc. Soon after the event, some photojournalists and cameramen decided to break with the mass-media system. They began to deconstruct their images by artistic representation, more suited to incarnate the genocide and to help the viewer recover the primacy of his look. Concurrently, other artists undertook to elaborate the memory of the genocide, collecting faces and testimonies of survivors and perpetrators, filming or photographing the places of the killings that became memorials. Within 18 years, the amount of artistic representations of the Tutsi genocide is important. Placed in a visual history which paradigm is the destruction of the Jews, these works show the way of a historical, political and aesthetical reflection on the extermination of the Tutsi and its consequences in the Rwandan society after the genocide.
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Mémoires d'Unionistes et régimes mémoriels en Turquie au 20ème siècle / The Unionists' Memoirs and the Memory Regimes in Turkey during the 20th Century

Tasalp, Duygu 06 November 2018 (has links)
Cette thèse porte sur les mémoires de dirigeants du Comité Union et Progrès, une société secrète formée d’officiers, de bureaucrates et d’intellectuels qui ont tenu les rênes de l’Empire Ottoman de 1913 à 1918. Au-delà des évènements relatés dans ces documents, cette étude explore la construction d’un discours public sur la période du « Deuxième Régime Constitutionnel » (1908-1918) par la publication de ces mémoires en Turquie. L’analyse associe deux dimensions, synchronique et diachronique. D’une part, l’analyse du discours met en lumière trois grands thèmes sur lesquels s’expriment et se reflètent les subjectivités des auteurs – eux-mêmes (le Comité), la révolution et la guerre. D’autre part, des variations sont repérées au sein de ces trois thèmes, et interprétées au moyen d’une contextualisation de l’écriture et de la publication des mémoires. Les ruptures majeures dans les écrits des Unionistes permettent ainsi de considérer l’existence de trois « régimes mémoriels » (Johann Michel) – kémaliste, unioniste, islamiste – apparus successivement en Turquie au cours du vingtième siècle. La thèse met ainsi en évidence la convergence de ces régimes mémoriels sur la négation du génocide arménien de 1915-1916. Au-delà du cas d’étude, elle interroge l’immuabilité et la permanence d’un discours négationniste sur une violence exterminatrice, lorsqu’il est élaboré par les auteurs de cette violence, et le phénomène de pétrification discursive qu’il provoque dans la société qui en est réceptrice. / This dissertation deals with the memoirs of the Union and Progress Committee leaders, a secret society of officers, bureaucrats and intellectuals who ruled over the Ottoman Empire from 1913 to 1918. Going beyond an analysis of the events reported in these documents, this study explores the construction of a public narrative on the “Second Constitutional Era” (1908-1918) by the publication of these memoirs in Turkey. The analysis combines two dimensions, a synchronic one and a diachronic one. On the one hand, the discourse analysis highlights three major themes expressing and reflecting the subjectivities of the authors: themselves (the Committee), the revolution and the war. On the other hand, this analysis identifies variations within these three themes, and interprets them through a contextualization of the writing and publication of the memoirs. The major discontinuities in the Unionists’ writings thus make it possible to consider the existence of three “memorial regimes” (Johann Michel) – Kemalist, Unionist, Islamist – that appeared successively in Turkey during the twentieth century. The thesis highlights the convergence of these memorial regimes on the denial of the 1915-1916 Armenian genocide. Beyond this case study, it questions the immutability and the permanence of a negationist discourse on exterminatory violence, when developed by the perpetrators of this violence, and the phenomenon of paralysis that it provokes at the discursive level in the receiving society.
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Le témoignage en littérature d’un héritage traumatique : le cas du génocide des Arméniens

Vosguian, Lelag 08 1900 (has links)
No description available.
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Décolonisation des subjectivités et renaissance africaine : critique et réforme de la modernité chez Scholastique Mukasonga, Ngugi wa Thiong’o et Valentin-Yves Mudimbe / Decolonization of subjectivities and african renaissance : criticism and reform of modernity by Scholastique Mukasonga, Ngugi wa Thiong'o and Valentin-Yves Mudimbe

Boizette, Pierre 21 May 2019 (has links)
L’institutionnalisation des études postcoloniales et l’essor récent du champ décolonial ont mis en évidence la reconnaissance dont bénéficient aujourd’hui les intellectuels issus d’anciens territoires colonisés. Parmi eux, Ngugi wa Thiong’o et Valentin-Yves Mudimbe sont des figures respectées dont les écrits, aussi bien théoriques que fictionnels, cherchent à résoudre les crises générées par l’expérience coloniale. Conscients que celle-ci ne s’est pas achevée avec la vague des indépendances, ils maintiennent éveillé dans leurs œuvres le désir utopique qu’elles avaient vu naître, celui de concevoir un monde nouveau où les relations entre les peuples et les individus seraient renégociées, et ce, malgré les désillusions de la période qui leur succéda. Pourtant, la survenue, en 1994, du génocide des Tutsi du Rwanda aurait bien pu symboliser l’échec de leurs entreprises de détachement épistémique avec la modernité occidentale. Celui-ci consistait en effet en la réitération, sur le continent africain, d’un crime semblable à celui qui avait poussé nombre d’intellectuels à vouloir rompre avec l’ordre dont la Shoah était la conséquence. Néanmoins, bien au contraire, les textes de Scholastique Mukasonga témoignent de la reprise de l’impératif formulé par Ngugi wa Thiong’o et Valentin-Yves Mudimbe, à savoir le besoin de parvenir à une décolonisation des subjectivités pour initier une renaissance africaine. L’étude de chacune de leurs trajectoires a pour ambition de montrer la complémentarité de ces deux processus dans leurs œuvres qui, séparément, ouvrent la voie à de multiples futurs possibles pour l’humanité. / The institutionalization of postcolonial studies and the recent development of decolonial studies have highlighted the recognition that intellectuals from former colonized territories enjoy today. Among them, Ngugi wa Thiong'o and Valentin-Yves Mudimbe are respected figures whose writings, both theoretical and fictional, seek to resolve the crises generated by the colonial experience. Aware that this did not end with the wave of independence, they kept alive in their works the utopian desire, that of conceiving a new world where relations between peoples and individuals would be renegotiated, despite the disappointments of the postcolonial regimes. However, the 1994 genocide of the Tutsis in Rwanda could well have symbolized the failure of their epistemic detachment efforts with Western modernity. This consisted in the repetition, on the African continent, of a crime similar to the one that had pushed many intellectuals to want to break with the order of which the Shoah was the consequence. On the contrary, Scholastique Mukasonga's texts bear witness to the repetition of the imperative formulated by Ngugi wa Thiong'o and Valentin-Yves Mudimbe, namely the need to achieve a decolonization of subjectivities to initiate an African renaissance. The study of each of their trajectories aims to show the complementarity of these two processes in their works which, separately, open the way to multiple possible futures for humanity.

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