• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 257
  • 38
  • 32
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 349
  • 192
  • 104
  • 92
  • 90
  • 82
  • 35
  • 32
  • 30
  • 28
  • 27
  • 25
  • 24
  • 22
  • 20
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
221

Étude des œstrogènes sur la repolarisation cardiaque et de la grossesse sur l’électrocardiographie chez la souris

El Gebeily, Gracia 10 1900 (has links)
Le tamoxifène, un modulateur sélectif des récepteurs oestrogéniques, est un médicament largement utilisé depuis plus de vingt ans pour le traitement et la prévention du cancer du sein. Plusieurs études ont rapporté que l’administration aiguë du tamoxifène pouvait réduire certains courants K+ cardiaques. Cette observation suggère que les femmes traitées de façon chronique avec le tamoxifène risquent d’avoir une prolongation de leur intervalle QT, favorisant ainsi le développement de torsades de pointes. Puisque in vivo, le tamoxifène est largement métabolisé et son effet est attribué à celui du 4hydroxy-tamoxifène (4OH-tamoxifène), nous avons d'abord vérifié si les effets du tamoxifène sur la repolarisation pouvaient être dus au 4OH-tamoxifène. À l'aide de la méthode de patch-clamp, nous avons étudié l’effet aigu du 4OH-tamoxifène sur les courants K+ présents au niveau ventriculaire chez la souris femelle. En premier lieu, nous avons démontré que les souris traitées avec le 4OH-tamoxifène présentaient une diminution des courants K+ comparativement aux souris intactes. Fait intéressant, le prétraitement des myocytes avec l’antagoniste des récepteurs oestrogéniques, le ICI 182,780, ou l’inhibiteur de la synthèse protéique, l'actinomycine D, n’a pas modifié les effets du 4OH-tamoxifène. Ces résultats suggéraient que les effets du 4OH-tamoxifène sur les courants potassiques ne soient pas liés à la transcription génomique et n’implique pas les récepteurs aux œstrogènes. Bien que l’administration aiguë du 4OH-tamoxifène diminue les courants K+ cardiaques, l’absence de troubles au niveau du rythme cardiaque chez les femmes traitées à long terme exclu la possibilité de conclure que le traitement chronique avec le tamoxifène augmente la durée de l’intervalle QT. L'accès à des souris femelles et des cobayes nous a permis de démontrer que contrairement au traitement en aigu, les courants et les canaux K+ cardiaques sont augmentés en chronique. Les oestrogènes associés à une diminution des courants K+ d’une part et nos résultats obtenus avec le tamoxifène d’autre part suggèrent qu’en bloquant les récepteurs oestrogéniques, le tamoxifène puisse prévenir les effets inhibiteurs des oestrogènes sur les courants K+. Cette association œstrogènes- tamoxifène- récepteurs oestrogéniques et courants K+ nous a encouragées à approfondir encore nos études et vérifier l’influence des hormones sexuelles féminines sur la repolarisation ventriculaire. Une troisième étude a été ainsi réalisée chez des souris femelles ovariectomisées et des souris déficientes en récepteurs oestrogéniques α ou β afin de vérifier le rôle des oestrogènes et des récepteurs oestrogéniques sur la repolarisation ventriculaire. Nos résultats ont révélé clairement que l’absence des oestrogènes entraîne une augmentation de la densité du courant K+ transitoire indépendant du Ca2+ (Ito) et de l’expression du canal Kv4.3 et ces effets sont médiés par les REα. Ces données soutiennent davantage notre conclusion que l’inhibition des récepteurs oestrogéniques est responsable de l’augmentation des courants/canaux K+ et suggèrent fortement qu’ils jouent un rôle dans la régulation de la repolarisation ventriculaire. Elles soulignent aussi l'importance de vérifier le statut hormonal des animaux utilisés pour des études touchant l'électrophysiologie cardiaque. Dans la dernière partie de cette thèse nous avons vérifié les effets de la grossesse et du système nerveux autonome sur les différents paramètres électrocardiographiques et plus particulièrement sur le rythme cardiaque chez la souris. Nos données ont montré que, comme chez la femme enceinte, la grossesse est associée à une augmentation du rythme cardiaque. De plus, l'augmentation des niveaux des hormones féminines pourrait affecter l’automatisme et l’activité électrique cardiaque. Ces différentes études ont augmenté les connaissances sur la régulation hormonale de l'électrophysiologie cardiaque et aideront aux avancements des recherches chez les femmes. / Tamoxifen is a selective estrogen receptor modulator widely used in the treatment and prevention of breast cancer from more than 20 years. Other studies have reported that acute exposure to tamoxifen can reduce cardiac K+ currents. However, in vivo tamoxifen is largely metabolized and most of its activity is attributable to its major metabolite, 4- hydroxytamoxifen (4OH-tamoxifen). In our first study, we investigated the acute effects of 4OH-tamoxifen on cardiac K+ currents in mice. Using the patch-clamp technique, we found that, as with tamoxifen, short-term exposure to 4OH-tamoxifen reduced K+ currents in the mouse ventricle even in the presence of the selective oestrogen receptor antagonist, ICI-182,780, or the inhibitor of RNA synthesis, actinomycin D. These results suggest an inhibition independent of the intracellular oestrogen receptor and the protein synthesis. However, women receiving long-term tamoxifen therapy do not experience cardiac arrhythmias although acute perfusion of tamoxifen has been shown to inhibit cardiac K+ currents. This observation suggests that chronic tamoxifen treatment does not negatively modulate cardiac K+ currents. Therefore, in order to investigate the absence of cardiac arrhythmias in women, we examined the effects of long term tamoxifen therapy associated with low level of estrogen on ventricular K+ currents and channels expressed in mouse and guinea pig heart. Female mice and guinea pigs were treated with placebo or tamoxifen pellets for 60 days. Our results show an increase of the densities of K+ currents and the expression of their channels. Conditions with high oestrogen levels are associated with reduced K+ currents both in the heart and the uterus. Thus, conceivably, tamoxifen might prevent the inhibitory effects of oestrogen on K+ channels by blocking the oestrogen receptors, which would explain the reported increase in K+ currents. These findings could contribute to explain the absence of cardiac arrhythmia with long-term tamoxifen therapy. These association estrogen- tamoxifen and estrogen receptor lead us to study the influence of estrogens and estrogen receptors on ventricular repolarization. Accordingly, we assessed the involvement of estrogens and ER on K+ currents in mouse using ovariectomised (OVX), ER-knockout (ERKOα) or ERβ-knockout (ERKOβ) female mice. These experiments show that the absence of estrogen is associated with an increase of the density of the Ca2+-independent transient outward, Ito, the mRNA and protein expression of Kv4.3. These results vi obtained with ERKO mice suggest that estrogens regulate ventricular repolarization and ER mediates this effect. The last part of this thesis was to determine whether pregnancy elicits a change in the heart rate in mice and whether pregnancy-related changes are due to the cardiac conduction system rather than a change in autonomic tone. Our results revealed that pregnancy accelerates the resting heart rate and the AV node conduction time in the presence and absence of autonomic nervous system input suggesting an intrinsic mechanism. Moreover, Hormonal changes that occur during pregnancy are likely to be involved in these adaptations of the heart to pregnancy. These studies provide a new insight to understand the hormonal regulation of cardiac electrophysiology.
222

Effets de l'activité physique durant la grossesse sur le cerveau de la mère et de l'enfant

Labonté-LeMoyne, Élise 02 1900 (has links)
La grossesse est un moment charnière de la vie où la femme reconsidère les bienfaits de chacune de ses habitudes de vie. Il est bien connu que l'activité physique apporte des bénéfices pour la cognition des enfants et des adultes, mais est-ce aussi le cas des femmes enceintes? Et qu'en est-il de l'enfant à naitre? L’objectif général de cette thèse était d’examiner l'effet de l'interaction entre l'activité physique et la grossesse sur les fonctions cognitives de la mère et de l'enfant. Une première étude démontre que la cognition de la femme enceinte diminue lors du troisième trimestre sans effet de condition physique. Une seconde étude présente les effets d'une séance d'activité physique sur plusieurs habiletés cognitives des femmes enceintes. On retrouve chez elles une diminution de la mémoire de travail et de la capacité d'attention soutenue alors qu'il n'y a pas d'effet chez la femme non enceinte. Enfin, une dernière étude présente l'impact de l'activité physique pratiquée tout au long de la grossesse sur le cerveau du nouveau-né. Cette étude démontre que les nouveau-nés de mères actives présentent des réponses neurophysiologiques plus matures que les enfants de mères sédentaires. L'ensemble de ces résultats démontre que la grossesse entraine des déficits cognitifs. De plus, les fonctions cognitives de la femme enceinte seront réduites à la suite d'une séance d'activité physique. Il serait donc préférable pour elle de ne pas prévoir son activité physique avant une activité qui nécessite ses capacités cognitives. Elle devrait tout de même effectuer de l'activité physique tout au long de sa grossesse afin d'offrir le meilleur départ possible dans la vie à son enfant. / Pregnancy is a pivotal moment in life when a woman reconsiders the value of each of her lifestyle choices. It is well known that physical activity brings benefits for cognition in children and adults, but is this also the case for pregnant women? What about their children? The overall objective of this thesis was to examine the effect of the interaction between physical activity and pregnancy on the cognitive functions of the mother and of the child. A first study shows that the cognition of pregnant women decreases during the third trimester and is not affected by their fitness level. A second study shows the effects of an exercise session on several cognitive abilities of pregnant women. We observed that pregnant women's self-monitoring ability is poorer than that of control women and that pregnant women's self-monitoring and sustained attention diminish after a bout of acute cardiovascular exercise. Finally, a third study shows the impact of physical activity performed throughout pregnancy on the brain of the newborn. This study demonstrates that newborns of active mothers have more mature neurophysiological responses than children of sedentary mothers. Taken together, these results demonstrate that pregnancy induces cognitive deficits. In addition, the cognitive functions of pregnant women are impaired as a result of an exercise session. Thus, they should not plan to exercise before a cognitively demanding activity. Nonetheless, women should still exercise regularly during pregnancy to provide the best possible start in life for their child.
223

Connaissances et perceptions des infirmières de la femme obèse qui donne naissance

Bertrand, Véronique 26 April 2013 (has links)
Depuis les 25 dernières années, la prévalence de l’obésité augmente considérablement chez les personnes de tous les âges. Cette tendance inquiétante s’accentue chez les femmes en âge de procréer. Une femme obèse enceinte se prédispose et expose son fœtus à des facteurs de risque importants. En tant qu’infirmière, la possibilité d’avoir à intervenir, auprès de femmes enceintes obèses ou en surplus de poids se présente de plus en plus fréquemment. Cependant, le domaine de recherche sur les connaissances et les perceptions des infirmières sur la femme obèse et son nouveau-né est peu développé. Un devis de recherche quantitative de type descriptif a été utilisé afin d’identifier les connaissances erronées et/ou manquantes des infirmières. Ceci, dans le but de formuler des recommandations visant à améliorer la formation des infirmières en périnatalité. La collecte de données a été réalisée auprès de 76 infirmières qui ont répondu à un questionnaire structuré selon trois des quatre savoirs infirmiers de Carper (1975); soit le savoir empirique, le savoir personnel et le savoir éthique. Les résultats montrent que les infirmières ont davantage de lacunes dans le savoir-science. Au terme de cette recherche, on apprend que les infirmières ne prennent pas suffisamment en considération les complications et les risques possibles lorsqu’elles interviennent auprès des patientes obèses et de leurs nouveaux nés. Par contre, comparativement aux quelques auteurs qui se sont penchés sur les perceptions des infirmières quant à l’obésité, les infirmières de l’échantillon posent tout de même un regard positif sur leurs patientes obèses. Les résultats de cette étude représentent une contribution importante à l’approfondissement des connaissances au sujet des perceptions et des savoirs des infirmières de la femme obèse qui donne naissance. Les recommandations qui en découlent permettront d’améliorer la formation des infirmières en périnatalité et la qualité des soins offerts à ces patientes.
224

On the diagnosis of folic acid deficiency; a methodological and clinical study with special reference to the incidence and etiology of megaloblastic anaemias in pregnancy and puerperium,

Hansen, Harald A. January 1900 (has links)
Thesis--Gothenburg. / Without thesis statement. Bibliography: p. 169-175.
225

On the diagnosis of folic acid deficiency; a methodological and clinical study with special reference to the incidence and etiology of megaloblastic anaemias in pregnancy and puerperium,

Hansen, Harald A. January 1900 (has links)
Thesis--Gothenburg. / Without thesis statement. Bibliography: p. 169-175.
226

Stress parental et lien mère-enfant: impact sur le développement de l’enfant âgé d’un an

Karam, Fatiha 05 1900 (has links)
No description available.
227

Grossesse à l’adolescence et consommation de substances psychoactives : points de vue de jeunes mères sur leur expérience de recherche d’aide et de recours aux services

Collard, Sophie 11 1900 (has links)
No description available.
228

Breast cancer in young women: impact of pregnancy on biology and outcome / Cancer du sein chez la jeune femme: impact de la grossesse sur la biologie et le résultats.

Abdel Azim, Hatem Hamdy 14 November 2014 (has links)
In this work, we found that proliferation-related prognostic gene signatures could aid treatment decision-making independent of age. This is clinically relevant for the younger breast cancer population given the potential long-term side effects of adjuvant systemic chemotherapy and hence the need to identify patients who are less likely to benefit adjuvant chemotherapy. In addition, it was clear that young age at diagnosis adds extra biological complexity, which is independent of differences in breast cancer subtype distribution. This includes enrichment with known breast cancer targets like RANKL. Whilst these results require further validation, either experimentally or in other clinical data sets, it suggests that separate therapeutic approaches may need to be specifically designed in order to improve outcomes for breast cancer arising in young women. In this regard, and based on our results and supportive evidence from other studies, we initiated a proof-of-concept prospective phase II neoadjuvant study investigating the role of denosumab, a RANKL inhibitor on modulating tumor biology in young premenopausal breast cancer patients. <p>We found that diagnosis during pregnancy does not significantly influence the classic pathological features or the prevalence of breast cancer subtypes. We also did not find obvious differences in the distribution of PIK3CA mutations. However, we found that tumors diagnosed during pregnancy have activated serotonin receptor signaling and high expression of potential breast cancer targets; of particular interest IGF1, and PDL1. Such differences appeared to be reflected in the normal pregnant breast underscoring the potential role of the pregnant breast microenvironment on the tumor transcriptome. We were not able to associate these genes with prognosis, which could be partly due to lack of statistical power. Of note, we cannot confirm whether any of these aberrations are key drivers of the biology of tumors diagnosed during pregnancy. Nevertheless, this remains the first study to look into the biology of this relatively rare disease and hence we believe it would serve as a very valuable resource for future research in this field. We are planning to perform targeted gene sequencing to further refine our understanding of the potential effect of pregnancy on the biology of these tumors. <p>In the last part of this work addressing the safety of pregnancy following breast cancer diagnosis, we identified that available studies suffered major limitations related to study design including selection bias and lack of information on patients with history of an ER-positive disease. This has resulted in advising against pregnancy in women with prior history of breast cancer. Our subsequent study has robustly addressed most of the limitations in older studies and clearly showed that pregnancy following breast cancer is safe even in women with a history of ER-positive disease. Hence, this study would provide a very important resource for the oncology community, which would aid adequate fertility counseling for young breast cancer survivors. This work is currently serving as the basis for a new prospective study by the IBCSG to test the safety of early interruption of tamoxifen in young women with early breast cancer seeking subsequent pregnancy. <p> / Doctorat en Sciences biomédicales et pharmaceutiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
229

La prise de médicaments antiasthmatiques pendant la grossesse et le risque de diabète gestationnel

Baribeau, Véronique 05 1900 (has links)
L’asthme est une maladie respiratoire chronique fréquente pendant la grossesse avec une prévalence de 8 %. Il a été démontré que l’asthme maternel augmente le risque de diabète gestationnel (DG), mais il y a peu d’évidences sur l’impact des médicaments antiasthmatiques d’entretien sur le risque de cette complication de grossesse. Un projet de recherche a été développé afin d’évaluer si le risque de DG est associé à la dose de corticostéroïdes inhalés (CSI) ou l’utilisation de β2-agonistes à longue durée d’action (BALA) chez les femmes enceintes asthmatiques. Pour ce faire, nous avons utilisé un devis cas-témoins niché dans une cohorte de grossesses de femmes asthmatiques qui ont accouché entre 1998 et 2010 reconstruite à partir de deux banques de données administratives de la province de Québec (Canada) : Maintenance et exploitation des données pour l’étude de la clientèle hospitalière (MED-ECHO) et Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ). Le DG était défini par au moins un diagnostic de diabète gestationnel ou mellitus ou une ordonnance remplie d’un médicament antidiabétique après la 20e semaine de grossesse. Chaque cas était apparié à 30 témoins selon l’année calendrier et l’âge gestationnel. Des modèles d’équations d’estimation généralisées ont été utilisés pour estimer les rapports de cotes (aOR) et les intervalles de confiance à 95 % (IC 95 %) de DG ajustés pour la sévérité et la maîtrise de l’asthme et d’autres facteurs de risque de DG. L’association entre le DG et la dose de CSI a été estimé parmi les femmes non exposées aux BALA tandis que l’association avec les BALA a été estimée parmi les femmes exposées aux CSI à la date de survenue de l’issue pour les cas et à la date de sélection pour les témoins. Dans la cohorte de 12 587 grossesses de femmes asthmatiques, 1001 cas de DG (8 %) ont été identifiés. Nous n’avons observé aucun risque accru de DG avec une augmentation des doses de CSI parmi les non-utilisatrices de BALA avec des aOR (IC 95 %) de 0,95 (0,74-1,23) pour les faibles doses (<251 μg en équivalence de fluticasone), 1,14 (0,80-1,64) pour les moyennes doses (251 à 500 μg) et 1,13 (0,71-1,81 pour les hautes doses (>500 μg) de CSI. De plus, le risque de DG n’était pas plus élevé quand un BALA était ajouté à un CSI (aOR=0,99; IC 95 % : 0,69-1,44). Nos résultats ajoutent de l’évidence concernant l’innocuité des BALA et des doses de CSI pendant la grossesse, mais de plus amples études sont nécessaires pour examiner les associations potentielles entre les plus hautes doses de CSI et le risque de DG. / Asthma is a chronic respiratory disease that is frequent in pregnancy with a prevalence of 8%. Maternal asthma is known to increase the risk of gestational diabetes (GD), but the evidence is scarce regarding the impact of asthma controller medications on the risk of this pregnancy complication. A research study was developed to evaluate whether the risk of GD is associated with the dose of inhaled corticosteroids (ICS) or the use of long-acting β2-agonists (LABA) in pregnant women with asthma. To achieve our goals, we used a case-control design nested within a cohort of pregnancies from asthmatic women who delivered between 1998 and 2010 reconstructed from the linkage of two administrative databases from the province of Québec (Canada): Maintenance et exploitation des données pour l’étude de la clientèle hospitalière (MED-ECHO) and Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ). GD was defined as at least one recorded diagnosis of gestational or chronic diabetes or a prescription for an antidiabetic medication filled after week 20 of gestation. Each case was matched to 30 controls according to calendar year and gestational age. Generalized estimating equation models were used to estimate odds ratios (aOR) and 95% confidence interval (95% CI) of GD adjusted for asthma severity and control and other risk factors of GD. The association between GD and ICS doses was estimated among women unexposed to LABA, while the association with LABA was estimated among women exposed to ICS at the date of the outcome for cases and the date of selection for controls. The cohort included 12 587 pregnancies from asthmatic woman and 1001 cases of GD (8.0%) were identified. The risk of GD showed no trend towards a higher risk with increasing dose of ICS among non-users of LABA with aOR (95% CI) of 0.95 (0.74 to 1.23) for low doses (<251 μg in fluticasone propionate equivalents), 1.14 (0.80 to 1.64) for medium doses (251 to 500 μg), and 1.13 (0.71 to 1.81) for high doses (>500 µg) of ICS. Moreover, the risk did not increase when LABA was added to an ICS (aOR=0.99; 95% CI: 0.69 to 1.44). Our results provide further evidence for the safety of LABA and ICS doses during pregnancy, but more studies are needed to examine the potential association between higher ICS doses and the risk of GD.
230

Évaluation de l’impact de la qualité alimentaire dans le cadre d’une intervention interdisciplinaire pour l’adoption de saines habitudes de vie chez les femmes obèses souffrant d’infertilité / Evaluation of the impact of diet quality on obese women with infertility within an interdisciplinary lifestyle program

Harnois-Leblanc, Soren January 2017 (has links)
Contexte : Une amélioration des habitudes de vie, avec une légère perte pondérale (5 %), augmenterait les chances de concevoir un enfant chez les femmes obèses souffrant d’infertilité. La perte de poids est considérée comme le principal déterminant de la survenue d’une grossesse, mais aucune étude n’a évalué le rôle la qualité alimentaire. Objectif principal : Évaluer l’impact de l’amélioration de la qualité alimentaire sur les chances de survenue d’une grossesse auprès de femmes obèses et infertiles. Méthodologie : Étude prospective s’insérant dans un essai randomisé contrôlé évaluant l'impact d'une intervention interdisciplinaire visant l’amélioration des habitudes de vie sur la fertilité des femmes obèses suivies à la clinique de fertilité du CHUS en comparaison à des femmes ayant accès aux soins standards en fertilité seulement (n = 102). Des visites de recherche ont lieu à l’entrée de l’étude puis aux 6 mois jusqu’à la fin du projet, soit après 18 mois ou jusqu’à l’accouchement. La collecte de données inclut un questionnaire de fréquence alimentaire, des mesures anthropométriques et un test de condition physique. Un index de qualité alimentaire, le Healthy Eating Index modifié (mHEI, 0-100 points), a été calculé. Résultats : Pour l’ensemble des participantes, l’amélioration de la qualité alimentaire n’était pas associée à de meilleures chances de grossesse. À l’aide d’un modèle de régression de Cox, il a été possible d’observer que la qualité alimentaire initiale était un prédicteur important de grossesse au sein des deux groupes confondus (HR (par 10 unités) : 1,24 [1,03 – 1,50], p = 0,027), indépendamment du niveau de condition physique et de l’anthropométrie. De façon similaire, une meilleure qualité alimentaire observée avant conception présentait une association significative indépendante avec les chances de concevoir dans le temps (HR (par 10 unités) : 1,25 [1,04 – 1,49], p = 0,017). Les variables anthropométriques, incluant le poids, n’étaient pas associées à une probabilité accrue de concevoir. Conclusion : Une meilleure qualité alimentaire en préconception augmenterait les chances de grossesse chez les femmes infertiles souffrant d’obésité. / Abstract : Background : Improvement of lifestyle habits, associated with a modest weight loss (5 %), has shown to increase odds of pregnancy in overweight and obese women diagnosed with infertility. Weight loss is considered as the main factor that explains the improvement of fertility, but no study evaluated the specific role of diet quality on fertility in this population. Objective : Evaluate the impact of improving diet quality on odds of pregnancy in obese and infertile women seeking for fertility treatments. Methods : Prospective study nested in a randomized controlled trial evaluating the impact of an interdisciplinary lifestyle intervention on fertility of obese women followed at the fertility clinic of the CHUS, in comparison to standard fertility care only. Research visits take place every 6 months until the end of the project, which is after 18 months or delivery. Data collection include a food frequency questionnaire, anthropometric measurement and a fitness evaluation. A score of diet quality, the modified Healthy Eating Index (mHEI, 0-100 units), was calculated. Results : For all the participants, improvement of diet quality was not associated with the probability of pregnancy. With Cox regression, we observed that the initial diet quality was an important predictor of pregnancy within the two confounded groups (HR (by 10 units) : 1.24 [1.03 – 1.50], p = 0.027), independently of cardiorespiratory fitness and anthropometry. Similarly, the best diet quality observed before conception presented a significant independent association with odds of pregnancy over time (HR (by 10 units) : 1.25 [1.04 – 1.49], p = 0.017). Anthropometric variables, including weight, were not associated with a higher probability of conception. Conclusion : A greater diet quality in preconception seems to increase probability of pregnancy in obese infertile women.

Page generated in 0.0325 seconds