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The politics of Burden-Sharing : three essays on NATO, Canada, and fair-share

Kunertova, Dominika 08 1900 (has links)
No description available.
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La diplomatie énergétique de la Fédération de Russie: forces et limites / Energy diplomacy of the Russian Federation: strenghts and limits

Bachkatov, Nina 05 May 2011 (has links)
La diplomatie énergétique russe qui est au cœur de ce travail diffère des politiques industrielles classiques adoptées régulièrement par les États afin de développer leur pays, relancer son économie ou certains secteurs industriels. Elle entend en effet utiliser les ressources naturelles de la Russie, et singulièrement son potentiel énergétique (sachant que la Russie est à la fois producteur, consommateur, pays de transit) afin de retrouver son statut de grande puissance. Ce retour de puissance devant permettre à la Russie de sortir de la période de transition pour redevenir un acteur de premier rang dans un monde global redessiné par la fin de la guerre froide. Il s’agit pour elle de faire entendre sa voix, de participer en qualité de partenaire égal aux décisions et à l’élaboration des nouvelles normes rendues nécessaires par le bouleversement engendré par la fin de la guerre froide.<p><p>La diplomatie énergétique russe s’affirme pendant les années 2003-2004, comme une démarche pragmatique, un moyen opportuniste de rencontrer un projet politique en utilisant un des rares leviers dont dispose ce pays appauvri et affaibli – sa puissance énergétique qu’il s’agit de transformer un outil de puissance politique, raison pour laquelle la politique étrangère russe va être mise au service de ce projet. Le travail fait donc référence aux spécificités internes de la Russie et au contexte international afin d’identifier les faiblesses et les forces de cette diplomatie spécifique.<p><p><p>Russian energy diplomacy, with which this work is uniquely concerned, differs from the classic industrial policies adopted by states in order to re-launch their economies or certain industrial sectors. It has consisted of putting Russia’s natural resources and particularly its energy potential (as a producer, a consumer, and a transit country) to the practical purpose of restoring its status as a great power. For Russia, the return to power would permit the country to emerge from its period of transition and become a leading actor in the world reshaped by the ending of the cold war. It is a matter of making its voice heard, as an equal partner in international decisions and the formulation of the new political norms necessitated by post-cold war upheaval. <p><p>In 2002-2004 Russia developed this energy diplomacy as a pragmatic and opportunistic means of attaining a political objective with one of the few levers at the disposal of an impoverished and enfeebled country – that is to say, its energy potential, which it turned into a political tool. To this effect, Russian foreign policy has been made to serve the same project. Consequently this work deals with internal specificities and the international energy context, in order to probe both the weakness and the strength of this particular form of diplomacy. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'Eglise orthodoxe et l'Etat communiste roumain, 1948-1989: étude de l'idéologie de l'Eglise orthodoxe :entre traditions byzantines et national-communisme

Gillet, Olivier 02 March 1995 (has links)
Dans quelle mesure les traditions de l’Église orthodoxe, héritière d’un modèle byzantin imprégné de césaropapisme qui ignorait donc la séparation des pouvoirs temporels et spirituels, ont-elles influencé les comportements démocratiques dans les pays d’Europe où elle est dominante ?Le cas particulier de la Roumanie depuis 1948. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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En temps de guerre comme en temps de paix, gouvernement manquant, gouvernance manquée : la protection civile au Canada, 1938-1988

Lamalice, André January 2011 (has links)
À travers l'étude des cinquante premières années de l'histoire de la protection civile au Canada, le présent travail discute de la capacité et de la volonté politique de gouvernements nationaux successifs d'assurer la sécurité de la population en temps de crises et d'urgences. Cette thèse soutient qu'à l'exclusion d'un bref intermède au plus fort de la Guerre froide, la fonction de protection civile ne parviendra pas à s'imposer au nombre des priorités de la gouvernance canadienne au cours de cette période. Entre la création administrative d'un sous-comité sur les précautions contre les raids aériens à la veille de la Seconde Guerre mondiale, qui marque les débuts de la fonction de protection civile au Canada, et l'adoption en 1988 de la Loi sur la protection civile, un demi-siècle s'écoule. L'histoire de cette fonction se développe en réaction à l'évolution du contexte international et au gré des impératifs politiques, économiques et sociaux nationaux qui marquent la seconde moitié du XXe siècle. Sa généalogie emprunte à la défense nationale à la fois le vocabulaire et la structure. Longtemps confondue dans la forme et dans le fond à la défense civile, la protection civile en arrive tard dans le siècle à se défaire de ses origines imposées et à se forger une personnalité propre orientée vers la gestion des urgences. Néanmoins, comme le démontre le présent travail, son évolution est marquée par d'importantes failles de gouvernance qui se traduisent inter alia par une mise en oeuvre aléatoire du système canadien de protection civile, l'absence continue d'un cadre législatif national, le développement de politiques fédérales inconsistantes, voire même à certaines périodes incohérentes, un financement trop souvent déficient et une direction indécise qu'exprime une série quasi ininterrompue de transferts administratifs et de réorganisations successives. Le présent travail en conclut que ces failles de gouvernance ont empêché l'atteinte d'un état de préparation national à la hauteur du mandat premier du gouvernement qui est d'assurer la sécurité de ses citoyens en temps de guerre comme en temps de paix.
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Étude du livre de Daniel Lerner "The passing of traditional society : modernizing the Middle East" et de sa réception par la communauté scientifique

Jafary, Maziar 24 April 2018 (has links)
Cette étude a pour but de mettre en contexte la thèse de la modernisation psychique de Daniel Lerner, de faire une analyse interne de l'ouvrage et d'étudier sa réception par les sociologues de l'époque. Comme démarche de recherche, dans un premier temps, nous replacerons l'ouvrage dans la situation historique des deux premières décennies de la guerre froide (les années 50 et 60). Ce faisant, nous tenterons de comprendre la logique de la politique de développement des États-Unis à l'endroit des pays en voie de développement et la place des recherches universitaires dans la politique coloniale américaine. L'approche du développement exogène a largement inspiré les politiques étrangères des pays occidentaux et leurs efforts pour lancer le développement des pays plus nécessiteux. C'est pour cela que Lerner se concentre sur l'effet des médias américains, et surtout du Voice of America, pour analyser le rôle que ceux-ci jouent dans le processus de transformation de la personnalité. Pour aborder cette étape de la recherche, nous devrons comprendre davantage le contexte de l'ouvrage et mieux analyser la relation entre les facteurs externes et les éléments internes qui ont influencé la formation de l'ouvrage. Dans un deuxième temps, nous étudierons l'ouvrage de Lerner et nous discuterons des différents aspects relatifs aux changements sociaux que l'ouvrage a examinés. Dans notre analyse de l'ouvrage, nous critiquerons divers aspects de la pensée sociologique de Lerner et sa manière d'interpréter les faits sociaux et les statistiques. Dans un troisième temps, nous réviserons la réception de l'ouvrage par la communauté scientifique de son époque pour obtenir une large vision de la place de l'oeuvre dans l'histoire de la pensée sociologique américaine du développement. Nous établirons une catégorisation des recensions de l'ouvrage portant sur l'approche sociologique de Lerner et nous mettrons ces recensions dans l'éclairage des champs de recherches universitaires américaines. Nous nous concentrerons sur la réception de cette théorie chez les sociologues de l'époque pour comprendre la dialectique entre la thèse qui y est défendue et la société. Ce faisant, nous éviterons de nous éloigner de la sociologie comme étant la discipline de l'étude des liens sociaux et des interactions symboliques et nous éviterons de réduire notre démarche sociologique à une simple étude historique des idées. En gros, nous discuterons de la vision sociologique de l'auteur, de la façon dont son ouvrage a été formé au fil du temps et comment il a été influencé par l'esprit de son époque. De plus, nous verrons comment l'écrivain s'est nourri des théories sociologiques et à quel point il a influencé la pensée sociologique de son temps. Tout cela, en parallèle à l'analyse interne de l'ouvrage, nous permettra de saisir la place de «The Passing of Traditional Society» dans la pensée sociologique américaine. Cette recherche nous aidera à mieux comprendre la vision américaine de l'empathie en tant qu'un élément modernisateur, par rapport à la question du développement dans le contexte historique de l'époque. Cette compréhension nous mènera à approfondir notre analyse des programmes de développement des États-Unis dans le monde en voie du développement. Cette étude nous amènera aussi à élargir notre vision quant aux idées construites et formées dans leur contexte historique (en général) et à découvrir comment la communauté scientifique reste toujours en parti prisonnière de son contexte historique. Cette étude nous permettra de mieux voir les idées (le texte) en relation avec la société, ce qui est vital pour ne pas tomber dans la réduction des idées seulement au texte ou seulement au contexte. En outre, elle nous aidera à comprendre davantage la façon dont la société intervient dans la formation des idées et comment en retour les idées influencent la société.
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Le New York Times et les débuts de la guerre froide

Hébert, Alexandra 24 April 2018 (has links)
Ce travail constitue l'analyse de la position du prestigieux quotidien américain, le New York Times, dans le cadre des relations extérieures des États-Unis pendant la période du 80e Congrès. Cette époque, 1947 et 1948, est marquée par les débuts de la guerre froide et les événements qui s'y sont déroulés tels la mise en place de la doctrine Truman et du plan Marshall, de même que l'adoption de la résolution menant au traité de l'Atlantique Nord, pour ne nommer que ceux-ci. Notre mémoire vise donc à rendre compte de l'attitude du journal new-yorkais en examinant attentivement le contenu de ses éditoriaux pour la période s'étalant de janvier 1947 au mois de novembre 1948. Cette étude prouve que le journal s'est montré largement favorable à la position internationaliste de l'administration Truman ainsi qu'à la politique d'endiguement prônée par Washington à ce moment, allant jusqu'à encourager celles-ci. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Ceux qui ont dit « Non » Histoire du mouvement des marins chiliens opposés au coup d’État de 1973

Magasich-Airola, Jorge 30 November 2007 (has links)
L’opposition au coup d’État de 1973 au sein des forces armées chiliennes a été significative. En effet, un nombre symptomatique d’officiers, tout comme un nombre considérable des membres de la troupe, ont répondu « Non » à l’ordre de renverser le gouvernement légitime. Ces militaires légitimistes ont été particulièrement actifs dans la Marine, institution qui vit un conflit entre sa structure archaïque et le statut social de technicien acquis par les marins. Ce derniers perçoivent, avant d’autres secteurs de la société, le danger d’un coup d’État et vont tenter de s’organiser, tout d’abord pour informer les autorités et ensuite pour tenter de le faire avorter. Notre objectif est de retracer l’histoire du mouvement des marins légitimistes et notre hypothèse de travail est que le coup d’État de 1973 n’est pas l’œuvre de l’armée mais d’une fraction de celle-ci. Nous avons consulté quatre catégories de sources : 1) La presse : 6 quotidiens et 2 hebdomadaires opposés au gouvernement d’Allende; 4 quotidiens, 2 hebdomadaires et un bimensuel proches du gouvernement ou de gauche. 2) Les essais, documents politiques, témoignages et mémoires, particulièrement les mémoires des quatre amiraux organisateurs du coup d’État. 3) Les procès entamés contre les marins dès la fin du gouvernement d’Allende, dont les 6.000 pages du célèbre procès 3926 contre les marins de la flotte. 4) Nous avons interviewé 30 marins, ce qui correspond à environ un tiers des marins condamnés par les tribunaux navals sous la dictature. En outre, nous avons interviewé, des militants, des avocats, un procureur, un général de l’aviation opposé au coup d’État, un officier de la Marine opposé au coup d’État et un officier de la Marine favorable au coup d’État. Au total 52 interviews qui totalisent un bon millier de pages. L’introduction présente le sujet et explique sa pertinence : les réunions entre les marins et les dirigeants politiques restent un événement souvent cité dans l’historiographie qui justifie le coup d’État. Le ch. I est un travail de compilation sur l’histoire des révoltes de marins au XXe siècle, pour identifier les éléments communs entre elles. Le ch. II tente de situer la Marine chilienne dans son contexte historique et social, rappelant les conflits qui ont secoué la force navale et sa réorganisation lors du début de la Guerre froide et décrivant le contenu de l’enseignement donné à l’École navale des officiers. Le ch. III décrit la vie sociale dans la Marine de 1970 –l’année de l’élection présidentielle– surtout les relations difficiles entre la troupe et les officiers. Celles-ci se manifestent à travers des réactions contradictoires au résultat de l’élection. Pendant les premiers mois du gouvernement d’Allende, un nombre croissant d’officiers manifeste son opposition, alors que des « hommes de mer » (la troupe) s’organisent pour le défendre. Les ch. IV et V couvrent la période qui va de 1971 jusqu’à la première tentative de coup d’État le 29 juin 1973 (el Tanquetazo). Elle est marquée d’une part par l’adhésion de la plupart des officiers aux thèses putschistes, et d’autre part, par un notable développement des groupes de marins antiputschistes. Nous décrivons les relations structurelles entre les officiers et civils conjurés et l’établissement des relations entre des groupes de marins et certains partis politiques de gauche. Ce travail décrit la réunion secrète où plusieurs groupes de marins, tentent d’établir une coordination et discutent s’il faut agir avant que le coup d’État ne soit déclenché ou seulement en réaction à celui-ci. Le chapitre VI couvre les cinq « semaines décisives » qui s’écoulent entre la tentative de putsch du 29 juin et l’arrestation des marins de la flotte, le 5 août 1973. Dans la Marine, la préparation du coup d’État arrive à sa phase finale, avec un affairement perceptible. Beaucoup de marins craignent d’être forcés à y participer. Dans ce contexte, le groupe de marins de la flotte formule une ébauche de plan d’occupation des navires et organise des réunions avec des dirigeants de gauche pour tenter une action qui ferait avorter le coup d’État imminent. Nous avons pu retracer ce plan ainsi que les célèbres réunions avec les dirigeants du PS, du MAPU et du MIR, grâce à plusieurs témoignages de marins et de « civils » présents dans ces réunions. Le chapitre VII décrit la période entre l’arrestation des marins et les semaines qui suivent le coup d’État, décrivant les premières tortures, la difficile situation du gouvernement d’Allende, qui attaque en justice les marins « infiltrés », et le débat politique et juridique suscité par les arrestations et tortures, un des derniers débats démocratiques. Le chapitre VIII expose la poursuite des procès sous la dictature. Parmi les avocats pro deo qui se contentent d’une timide défense pour la forme, nous avons trouvé une défense exceptionnelle des marins sur le plan politique : « le devoir de tout militaire est de défendre le gouvernement légitime », affirme l’avocate Lidia Hogtert, une dame de 75 ans, qui, en 1975, ose défier la justice militaire. En 1988, à la fin de la dictature, lorsque l’ancien secrétaire du MAPU Oscar Garretón se présente devant la justice navale, le cas connaît un nouveau retentissement : après plusieurs condamnations par des tribunaux militaires, Garreton obtient une victoire complète à la Cour Suprême. Il est acquitté de toute accusation pour « sédition et mutinerie ».
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Le statut des tribunaux ad hoc en droit international pénal / The status of the ad hoc tribunals in international criminal laws

Hassan, Kamal 30 June 2015 (has links)
Cette thèse a pour objet d’examiner les tribunaux ad hoc en analysant leur définition en droit international public, leurs principes juridiques fondateurs, leur compétence face aux crimes internationaux et leurs objectifs pour déterminer s’il existe un statut international commun pour ces tribunaux. La mise en œuvre des premiers tribunaux ad hoc sur la scène internationale après la Seconde Guerre mondiale, les TMI de Nuremberg et de Tokyo, était due à l’incapacité ou à l’absence de volonté du système judiciaire interne des pays intéressés pour traduire en justice les auteurs des crimes de guerre. Par la suite, neuf tribunaux ad hoc ont été créés (soit unilatéralement par le Conseil de sécurité, soit par un accord international) en vue de juger les crimes internationaux les plus monstrueux, tels que les crimes de génocide, les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre. Nous pouvons dire à cet égard que les tribunaux ad hoc bénéficient de tous les mécanismes nécessaires pour être efficaces, comme la responsabilité pénale individuelle, la primauté sur les juridictions nationales et l'obligation des Etats de coopérer, et ils ont réussi à satisfaire l'objectif de justice. Toutefois, ces tribunaux s'étaient vu attribuer, outre leur fonction naturelle d'assurer la justice, un objectif supplémentaire, à savoir la réalisation de la paix et de la sécurité internationales, objectif qu'ils n'ont pu réaliser, car un organe juridique ne peut pas atteindre un objectif dont les motifs sont politiques. Après avoir étudié le statut des tribunaux ad hoc, et nécessairement avoir analysé tous les textes qui organisent la fonction de ces Tribunaux, nous sommes à même de confirmer que les tribunaux ad hoc ne seront pas remplacés par d'autres types d'organes de justice, tels que la justice transitionnelle et la compétence universelle. En outre, malgré l'entrée en fonction de la CPI en 2002, en tant que Cour permanente, nous assisterons à de nouvelles créations de tribunaux ad hoc, dont les statuts pourront s'inspirer du statut commun et de nos propositions personnelles. / The purpose of this thesis is to examine the ad hoc tribunals by analysing their definition in international public law, their founding legal principles, their jurisdiction over international crimes and their goals to determine wether there is a common international status for these tribunals.The implementation of the first ad hoc tribunals on the international stage after World War II, the IMT of Nuremberg and Tokyo, was due to the inability or unwillingness of the internal judicial system in the countries concerned to bring the perpetrators of war crimes to justice.Subsequently, nine ad hoc tribunals were established (either unilaterally by the Security Council or through an international agreement) with a view to prosecute the most monstrous crimes, such as crimes of genocide, crimes against humanity and war crimes. In this respect, we can say that the ad hoc tribunals benefit from all the mechanisms required to be efficient, such as individual criminal responsibility, primacy over nation courts and the obligation of States to cooperate,and they have succeeded to achieve the purpose of justice.However, in addition to their natural function to ensure justice, these tribunals had been given a further aim : to achieve international peace and security. They were not able to achieve this aim, because a legal body cannot reach a goal whose motives are political.After studying the status of the ad hoc tribunals and thus necessarily analysing all the texts which organise the function of these tribunals, we are in a position to confirm that the ad hoc tribunals will not be replaced by other judicial bodies, such as transitional justice or universal jurisdiction.Moreover, despite the entry into force of the ICC as a permanent court in 2002, new ad hoc tribunals will be established. Their status could be based on the common status and on our proposals.
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Histoire socio-politique du Chili : une interprétation depuis la revue Mensaje entre 1958-1973 / Socio-political history of Chile : an interpretation from the magazine Mensaje’s between 1958-1973 / Historia Socio-política de Chile : una lectura desde la revista Mensaje entre 1958-1973

Salas Aguayo, Francisca Andrea 25 October 2017 (has links)
La présente recherche vise à reconstituer la position de la revue Mensaje, pendant 15 ans d'histoire du Chili (1958-1973). Ainsi, par le biais d’une méthodologie inductive et qualitative, l’étude effectue une analyse de l’interprétation de cette publication. De cette façon, par la codification de tous les articles par sujet ou par thématique, ce travail met en évidence les concepts centraux utilisés par Mensaje, au moyen desquels la revue a analysé la période étudiée. En outre, la recherche établit une relation entre ces concepts et propose un scénario fondé sur un terme transversal, celui de “changement social”, propre à tous les articles. L’étude, est composée de deux sections: «L'importance du changement social» et «Deux modèles de changement social». Ces deux sections sont complémentaires ; les débats et les concepts qui émergent dans la première section sont analysés, approfondis et mis en perspective sur le territoire chilien au cours de la seconde section. Chacune de ces sections est subdivisée en trois chapitres, qui examinent chronologiquement les concepts centraux, commentés par Mensaje.Le premier chapitre de la section initiale « L’importance du changement social » examine le concept de «communisme» et la façon dont la publication présente le « communisme » comme «une urgence» et «un problème» en raison de son «impact croissant». Le magazine Mensaje a interprété cette influence progressive du «communisme» en tant que symptôme d'un problème: «le malaise social en expansion». Dans ce contexte, Mensaje propose en réponse le renforcement des corps intermédiaires et l'application de la théorie du développement économique, en faveur de la modification des structures économiques et sociales. Le deuxième chapitre propose une analyse relationnelle entre la Révolution Cubaine et Alliance for Progress (ALPRO). Les deux événements ont favorisé, mais pas par la même voie, une valeur ajouté pour le «changement social». Le troisième chapitre traite de la mise en place de la «réforme agraire » au Chili comme un signe de l'arrivée du « changement social » sur le territoire. Dans ce contexte, l’analyse porte sur l'influence et l'impact de l'expérience de la répartition et distribution des terres de la hiérarchie de l'Église parmi ses travailleurs, comme un symbole d'approbation d’un modèle spécifique de « changement social ».La deuxième section traite spécifiquement de deux modèles chiliens de «changement social»: le premier revolución en libertad (révolution en liberté), le deuxième transición al socialismo (transition vers le socialisme). Dans ce scénario, le premier chapitre analyse l'émergence et la consolidation du parti démocrate-chrétien (PDC) dans l'arène politique et sa victoire présidentielle en 1964. Le magazine Mensaje soutiendra le gouvernement d'Eduardo Frei (PDC) et son projet «révolution en liberté» jusqu'à 1967. Le deuxième chapitre étudie la désillusion de la revue concernant le projet PDC, ainsi que l'explication de son échec. Néanmoins, la publication confirme l'existence de transformations dans la société chilienne, mais ceci par la multiplication des mouvements sociaux. La dernière partie de cette section étudie le succès de Unidad Popular (Unité Populaire) - l'union des mouvements et des partis de gauche, certains marxistes - lors des élections présidentielles de 1970. La revue finit par analyser la présence éventuelle d'une «extrême-droite fasciste» au Chili. Enfin, le dernier chapitre, commente directement les trois ans de gouvernement de l'UP et son projet de "transition vers le socialisme", en quatre moments: «Situation continentale», «Construction d'un espace social dominant», «Crise de confiance dans le jeu politique des partis» et enfin «Coup d'état (1973)». / The present research aims to reconstruct the position of the magazine Mensaje throughout fifteen years of Chile’s history (1958-1973). Through an inductive and qualitative methodology, a review on the interpretation of this publication has been reached. In this way, through the codification of all articles by topic, this work introduces the central concepts used by Mensaje, which the journal employed to analyse this historical period. In addition to this, the research proposes a relationship or storyline between these concepts, born from a transversal term throughout the articles: "social change". In regard to the structure of the study, the work is divided into two sections: "the importance of social change" and "two models of social change". Both sections are complementary: while debates and concepts emerge in the first section, the second pursues them and delves into them in Chilean soil. Each one of these sections is subdivided into three chapters, which chronologically examine the central concepts commented by Mensaje.The first chapter of the initial section “the importance of social change” examines the concept of "communism" and how it constitutes “an urgency” and a “problem" for the publication due to its "growth". Mensaje interprets the progressive influence of “communism” as a symptom of a problem: the "expanding social malaise". In this scenario Mensaje proposes the strengthening of intermediary bodies and the application of the theory of economic development in favour of changing the social and economic structures as an answer. The second chapter propose a comparative analysis between the Cuban Revolution and the Alliance for Progress (ALPRO). Both events promoted, although not in the same way, a greater value for "social change". The third chapter deals with the implementation of the "agrarian reform" in Chile, as a sign of the arrival of "social change” to the territory. In this context, we analyse the influence and impact of the experience of the distribution of land owned by the Church’s hierarchy amongst its workers, as a symbol of approval of a specific model of "social change".The second section deals with two specific Chilean models of "social change": the first “revolución en libertad" (revolution in freedom), the second “transición al socialismo” (transition to socialism). In this context, the first chapter analyses the emergence and consolidation of the Christian Democratic Party (PDC) in the political arena, through the gain of the presidency in 1964. The magazine Mensaje explicitly supports the government of Eduardo Frei (PDC) and its project "revolution in freedom". The second chapter studies the magazines disillusionment in respect to the PDC’s political project, and gives an explanation for its failure. Nevertheless, the publication confirms the existence of transformations in Chilean society by the multiplication of social movements. The last part of this section studies the success of “Unidad Popular” (Popular Unity) -a union of left-wing movements and parties, some of them Marxist- in the presidential elections of 1970. The magazine ends by analysing the possible presence of a "fascist right" in Chile. Finally, the last chapter comments directly on the three years of government of the UP and its project to "transit to socialism” in four moments: "continental situation", "construction of a dominant social area", "crisis of confidence in the political game of parties" and finally "coup d'état (1973)". / La presente investigación tiene como objetivo reconstruir la postura de la revista Mensaje a lo largo de 15 años de la historia de Chile (1958-1973). Así, mediante una metodología inductiva y cualitativa, el presente trabajo analiza el discurso de la publicación en el periodo. De tal modo, el trabajo por medio de la codificación de los artículos por temáticas recoge los conceptos centrales a través de los cuales la revista interpretó los diversos sucesos. Por otra parte, esta reflexión establece una relación entre estos conceptos a partir del término “cambio social”, noción recurrente en los artículos. Respecto a la estructura este estudio se organiza en dos secciones complementarias: “la importancia del cambio social” y “dos modelos de cambio social”. En la primera sección el trabajo relaciona debates y conceptos socio-políticos, mientras que la segunda se aparta de una esfera más teórica para ponerlos a prueba en el contexto chileno. Cada uno de estos apartados se subdividen en tres capítulos que examinan cronológicamente las temáticas comentadas por Mensaje.Así, el primer capítulo de la sección inicial estudia el concepto de “comunismo” y cómo para la publicación este constituyó una “urgencia” y un “problema” debido a su crecimiento, interpretado como síntoma del “creciente malestar social”. Así, Mensaje propone como respuesta el fortalecimiento de los “cuerpos intermedios” y la aplicación de la “teoría del desarrollo” a favor del cambio de la estructura económica y social. El segundo capítulo propone un análisis relacional entre la Revolución Cubana y Alianza para el Progreso (ALPRO). Ambos acontecimientos que promocionaron, aunque no del mismo modo, un mayor valor por el “cambio social”. El tercer capítulo aborda la implementación de la “reforma agraria” en Chile como signo de la llegada del “cambio social” al territorio. En este contexto, se analiza la influencia e impacto que tuvo el reparto de tierras de la jerarquía de la Iglesia Católica entre sus trabajadores como señal de aprobación de modelo específico de “cambio social”. La segunda sección trata específicamente sobre dos modelos chilenos de “cambio social”: “revolución en libertad” y “transición al socialismo”. El primer capítulo considera la consolidación del Partido Demócrata Cristiano (PDC), el cual logra la presidencia en 1964 con el candidato Eduardo Frei y el proyecto “revolución en libertad”, a los que la revista Mensaje apoyó explícitamente. El segundo capítulo expone la desilusión de la revista respecto al proyecto, así como la explicación sobre su fracaso. No obstante, la publicación confirma la existencia de transformaciones en la sociedad chilena por la multiplicación de los movimientos sociales. La última parte de esta sección, estudia el éxito en las elecciones presidenciales de 1970 por la Unidad Popular (UP) –unión de movimientos y partidos de izquierda, algunos marxistas–. La revista termina analizando la posible presencia de una derecha “fascista” en Chile. Finalmente, el último capítulo, analiza, en cuatro momentos, los tres años de gobierno de la UP y su proyecto “tránsito al socialismo”: “situación continental”, “construcción del un área social dominante”, “crisis de confianza en el juego político de partidos” y “golpe de estado (1973)”.
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Ceux qui ont dit "Non": histoire du mouvement des marins chiliens opposés au coup d'Etat de 1973

Magasich-Airola, Jorge 30 November 2007 (has links)
L’opposition au coup d’État de 1973 au sein des forces armées chiliennes a été significative. En effet, un nombre symptomatique d’officiers, tout comme un nombre considérable des membres de la troupe, ont répondu « Non » à l’ordre de renverser le gouvernement légitime. Ces militaires légitimistes ont été particulièrement actifs dans la Marine, institution qui vit un conflit entre sa structure archaïque et le statut social de technicien acquis par les marins. Ce derniers perçoivent, avant d’autres secteurs de la société, le danger d’un coup d’État et vont tenter de s’organiser, tout d’abord pour informer les autorités et ensuite pour tenter de le faire avorter. <p>Notre objectif est de retracer l’histoire du mouvement des marins légitimistes et notre hypothèse de travail est que le coup d’État de 1973 n’est pas l’œuvre de l’armée mais d’une fraction de celle-ci.<p><p>Nous avons consulté quatre catégories de sources :<p>1) La presse :6 quotidiens et 2 hebdomadaires opposés au gouvernement d’Allende; 4 quotidiens, 2 hebdomadaires et un bimensuel proches du gouvernement ou de gauche. <p>2) Les essais, documents politiques, témoignages et mémoires, particulièrement les mémoires des quatre amiraux organisateurs du coup d’État. <p>3) Les procès entamés contre les marins dès la fin du gouvernement d’Allende, dont les 6.000 pages du célèbre procès 3926 contre les marins de la flotte.<p>4) Nous avons interviewé 30 marins, ce qui correspond à environ un tiers des marins condamnés par les tribunaux navals sous la dictature. En outre, nous avons interviewé, des militants, des avocats, un procureur, un général de l’aviation opposé au coup d’État, un officier de la Marine opposé au coup d’État et un officier de la Marine favorable au coup d’État. Au total 52 interviews qui totalisent un bon millier de pages.<p><p>L’introduction présente le sujet et explique sa pertinence :les réunions entre les marins et les dirigeants politiques restent un événement souvent cité dans l’historiographie qui justifie le coup d’État.<p>Le ch. I est un travail de compilation sur l’histoire des révoltes de marins au XXe siècle, pour identifier les éléments communs entre elles.<p>Le ch. II tente de situer la Marine chilienne dans son contexte historique et social, rappelant les conflits qui ont secoué la force navale et sa réorganisation lors du début de la Guerre froide et décrivant le contenu de l’enseignement donné à l’École navale des officiers. <p>Le ch. III décrit la vie sociale dans la Marine de 1970 –l’année de l’élection présidentielle– surtout les relations difficiles entre la troupe et les officiers. Celles-ci se manifestent à travers des réactions contradictoires au résultat de l’élection. Pendant les premiers mois du gouvernement d’Allende, un nombre croissant d’officiers manifeste son opposition, alors que des « hommes de mer » (la troupe) s’organisent pour le défendre.<p>Les ch. IV et V couvrent la période qui va de 1971 jusqu’à la première tentative de coup d’État le 29 juin 1973 (el Tanquetazo). Elle est marquée d’une part par l’adhésion de la plupart des officiers aux thèses putschistes, et d’autre part, par un notable développement des groupes de marins antiputschistes. Nous décrivons les relations structurelles entre les officiers et civils conjurés et l’établissement des relations entre des groupes de marins et certains partis politiques de gauche. Ce travail décrit la réunion secrète où plusieurs groupes de marins, tentent d’établir une coordination et discutent s’il faut agir avant que le coup d’État ne soit déclenché ou seulement en réaction à celui-ci.<p>Le chapitre VI couvre les cinq « semaines décisives » qui s’écoulent entre la tentative de putsch du 29 juin et l’arrestation des marins de la flotte, le 5 août 1973. Dans la Marine, la préparation du coup d’État arrive à sa phase finale, avec un affairement perceptible. Beaucoup de marins craignent d’être forcés à y participer. Dans ce contexte, le groupe de marins de la flotte formule une ébauche de plan d’occupation des navires et organise des réunions avec des dirigeants de gauche pour tenter une action qui ferait avorter le coup d’État imminent. Nous avons pu retracer ce plan ainsi que les célèbres réunions avec les dirigeants du PS, du MAPU et du MIR, grâce à plusieurs témoignages de marins et de « civils » présents dans ces réunions.<p>Le chapitre VII décrit la période entre l’arrestation des marins et les semaines qui suivent le coup d’État, décrivant les premières tortures, la difficile situation du gouvernement d’Allende, qui attaque en justice les marins « infiltrés », et le débat politique et juridique suscité par les arrestations et tortures, un des derniers débats démocratiques. <p>Le chapitre VIII expose la poursuite des procès sous la dictature. Parmi les avocats pro deo qui se contentent d’une timide défense pour la forme, nous avons trouvé une défense exceptionnelle des marins sur le plan politique :« le devoir de tout militaire est de défendre le gouvernement légitime », affirme l’avocate Lidia Hogtert, une dame de 75 ans, qui, en 1975, ose défier la justice militaire. En 1988, à la fin de la dictature, lorsque l’ancien secrétaire du MAPU Oscar Garretón se présente devant la justice navale, le cas connaît un nouveau retentissement :après plusieurs condamnations par des tribunaux militaires, Garreton obtient une victoire complète à la Cour Suprême. Il est acquitté de toute accusation pour « sédition et mutinerie ». / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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