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L'histoire chez Hegel et chez Nietzsche

Senay, Sébastien January 2000 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Vérité et historicité chez G.F.W. Hegel

Gauvin, François 13 November 2021 (has links)
Depuis le XIXe siècle, la polarité inscrite entre les concepts de vérité et d'historicité constitue un des piliers majeurs de la préoccupation philosophique. On attribue généralement à Hegel le mérite d'avoir le premier mis à découvert les liens étroits qui relient toute vérité philosophique à son histoire. Toutefois, dans son système proprement dit. Hegel n'évoque jamais la question de l'historicité de la vérité philosophique, vérité que ce système est censé présenter. Quand, invariablement en dehors du système, le philosophe se penche sur le caractère historique de la vérité, il semble vaciller entre une version rigoureusement absolue de la vérité et une autre, plus souple, plus historique. De nombreuses interprétations contradictoires prennent racine dans cette apparente hésitation. Le texte qui suit interroge, comme elle se montre, l'apparence d'une contradiction dans le discours de Hesel. Nous y soutenons que la contradiction n'est visible que dans l'optique d'une conception de la vérité que le système hégélien tâche justement de dépasser, à savoir la conception traditionnelle de la vérité comme adéquation de la pensée et de la chose.
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Genèse et signification du concept de Praxis chez le jeune Marx

Murray, William 23 February 2022 (has links)
Selon Michel Henry, l'objection de Marx à la figure hégéliennne de l'Idée absolue délimiterait chez ce dernier une ontologie de la praxis. Ce travail se veut une interprétation du concept de praxis chez le jeune Marx (1842-1845). Il retrace la genèse de ce concept à travers la critique de l'ontologie hégélienne, caractérisée ici comme ontologie du savoir. Il soutient que l'ontologie de la praxis servirait de fondement principiel (implicite) à toute l'œuvre de Marx. Tout en questionnant son interprétation henrienne, nous montrons l'incidence de cette ontologie dans les aspects épistémologique et éthique qui s'avèrent (explicitement) inhérents au concept marxien de praxis. Nous démontrons que seule l'acception ontologique de ce concept permet 1) de saisir la cohérence dans son usage chez l'auteur et 2) d'éclairer les fondements d'une philosophie reale qui prétendrait, paradoxalement, récuser le paradigme même de l'ontologie .
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Savoir ce que l'on fait. L'héritage hégélien de la bildung dans la philosophie de la culture de John Dewey

Gagnon, Mathieu 08 February 2022 (has links)
En 1951, dans une ultime réintroduction à Expérience et nature , John Dewey proposait d'y remplacer le concept d'expérience par celui de culture, ce dernier constituant un socle solide sur lequel établir sa philosophie. Si cela révèle une certaine in fluence de l'anthropologie culturelle , cette thèse vient démontrer que ce socle sur lequel Dewey édifie sa philosophie, et notamment sa philosophie politique, est la philosophie de la culture de Hegel. Centrée autour de son concept de Bildung, la philosophie hégélienne de la culture est ancrée dans un naturalisme et un historicisme que Dewey reprend à sa manière et dans son contexte, non sans avoir adressé quelques critiques à Hegel et à la philosophie en général. La critique de Dewey est d'abord et avant tout celle de l'absolutisme qui a pour corrélat la critique d'un certain brutalisme politique hégélien, mais le pragmatiste états-unien, n'a nié Hegel que pour mieux le conserver. Cette thèse reconstruit ainsi le fil d'une philosophie de la culture portée par Hegel, puis Dewey, explicitant les rapports de l'esprit à la culture et de la culture à la nature qu'énoncent leurs philosophies. Cette thèse expose ensuite la conception deweyenne du politique et de la démocratie afin de montrer comment celui-ci pense l'interaction de la culture et du politique dans le but infiniment reconduit de savoir ce que l'on fait. / In 1951, John Dewey wrote a re-introduction to Experience and Nature, explicitly saying he should replace the concept of experience by the concept of culture, on which his philosophy should be based. If this choice reveals the influence of cultural anthropology over John Dewey, the current thesis demonstrates how Dewey's philosophy, and especially his political philosophy, was actually based on Hegel's philosophy of culture. Built on the concept of Bildung, Hegel's philosophy of culture is rooted in naturalism and historicism, two features that characterize Dewey's philosophy in its own way, although it also contains criticisms addressed to Hegel, and to philosophy in general. Focusing on absolutism and what he calls Hegel's political brutalism, Dewey's criticisms negate Hegel's philosophy only to better preserve it. This thesis intends to reconstruct a philosophy of culture that goes from Hegel to Dewey, making explicit the link between spirit and culture and between culture and nature as found in them. We then expose Dewey's political philosophy and his conception of democracy to show how he thinks the interaction of culture and politics in the ever-renewing goal of knowing what we do.
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Historicité et absoluité de l'esprit chez Hegel

Robitaille, Mathieu 13 April 2021 (has links)
Le but de ce mémoire est de montrer comment Hegel a pu affirmer à la fois l’absoluité et L’historicité de l’Esprit. Comment Hegel a-t-il en effet pu prétendre que l’Esprit est historique, pour autant qu’il s’engage dans le temps et se manifeste dans et comme histoire, et, simultanément, qu’il peut dépasser sa condition historique, en s’élevant, comme esprit absolu, au savoir infini de lui-même ? En explicitant ces notions d’historicité et d’absoluité, il apparaîtra qu’elles renvoient essentiellement l’une à l’autre et forment une unité dialectique. Elles désignent conjointement, mais suivant deux angles différents, cette processualité de la réflexion en soi au sein de l’altérité caractéristique de la subjectivité ou de l’Esprit. La conclusion est que l’historicité et l’absoluité nomment ensemble le mode d ’être fondamental de l’Esprit. L’Esprit est aussi bien historique qu’absolu, parce que son essence réside dans l’activité de devenir historiquement lui-même au sein de l’altérité temporelle.
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Autoréflexivité du concept et de l'être : recherches sur le sens du spéculatif chez Hegel

Anderson, Thomas 13 February 2020 (has links)
L’objectif de ce mémoire est de répondre à la question : Pourquoi la philosophie doit-elle nécessairement être spéculative, pour Hegel? Notre recherche interroge la manière dont la philosophie doit envisager son propre discours afin d’assurer sa scientificité, et de prouver ainsi la nécessité de son contenu. Nous expliquons d’abord que la philosophie ne peut rendre compte de sa légitimité que par un effort pour dé-sédimenter les formes figées de la pensée et mettre en lumière la vie du concept dans son identification dynamique à l’être. Hegel nomme « spéculation » cette connaissance de l’identité du concept et de l’être, le savoir le plus concret à ses yeux. Nous défendons que la spéculation permet d’appréhender l’adéquation interne de la pensée et de son contenu, leur immanence. La pensée n’est dès lors plus suspendue à un être hors de soi : elle devient un mouvement de libre détermination. Nous soutenons par ailleurs que le savoir spéculatif ne serait pas possible sans la « méthode » dialectique qui accompagne la progression de la pensée. Loin de se surajouter extérieurement à son objet, la « méthode » dialectique est le cheminement de la chose même. Le discours exprime ce cheminement par des propositions particulières que nous examinons en dernier lieu : les propositions spéculatives.
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Politique et négativité: la pensée politique de Hegel et ses fondements philosophiques (depuis Iéna jusqu'en 1831)

Roviello, Anne Marie 09 1900 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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A critica de Kierkegaard a cristandade : o individuo e a comunidade

Paula, Marcio Gimenes de 16 May 2005 (has links)
Orientador : Oswaldo Giacoia Junior / Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciencias Humanas / Made available in DSpace on 2018-08-04T06:20:19Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Paula_MarcioGimenesde_D.pdf: 686730 bytes, checksum: 2ad1ca2ae3bb70d249830b23d3371324 (MD5) Previous issue date: 2005 / Resumo: O objetivo deste trabalho é analisar a questão do indivíduo e da comunidade no interior da crítica de Kierkegaard (1813-1855) à cristandade. Tal polêmica revela uma face religiosa ou teológica, mas antes reflete uma crítica filosófica, que pode ser melhor observada pela perspectiva da filosofia da religião. O autor dinamarquês caracteriza-se por ser essencialmente um pós-hegeliano, tanto em sua cronologia quanto em sua temática. Dessa forma, pretende-se abordá-lo aqui enquanto tal, ainda que guardando delimitações específicas. As considerações introdutórias fornecem, notadamente a partir da interpretação de Karl Löwith, o ambiente filosófico e histórico dos pós-hegelianos críticos da cristandade (e do cristianismo). Dentre esses pensadores, destaca-se a figura de Kierkegaard. O primeiro capítulo tem por meta analisar o problema da verdade objetiva no cristianismo. Para tanto, será especialmente analisada a primeira parte da obra kierkegaardiana Post-Scriptum às Migalhas Filosóficas, uma vez que nela tal problema é proposto. O segundo capítulo analisará a questão do indivíduo e do universal dentro da obra kierkegaardiana. A obra selecionada como principal foco de tal análise é o Livro sobre Adler. Como encadeamento orgânico dessa temática, o terceiro capítulo coloca, a propósito da dialética entre o indivíduo e o comunitário na obra de Kierkegaard, questões centrais do cristianismo como: martírio, apostolado, genialidade e heroísmo. Tais questões serão analisadas especialmente através de uma leitura e interpretação dos Dois pequenos tratados ético-religiosos e do discurso As preocupações dos pagãos. O quarto capítulo pretende avaliar a polêmica kierkegaardiana contra a cristandade propriamente dita. Aborda-se aqui especialmente os artigos de A Pátria, O Instante e o discurso A imutabilidade de Deus. O intuito é demonstrar o quanto a polêmica kierkegaardiana contra a cristandade foi preparada no decorrer de toda a obra e dotada de uma teleologia própria e específica. Por fim, as relações dialéticas entre a comunidade e o indivíduo na obra kierkegaardiana são retomadas nas considerações finais, que pretendem ser uma análise organizada das idéias de Kierkegaard, notadamente em matéria de crítica da cristandade e em filosofia da religião / Abstract: The purpose of this research is to study the question concerning the individual and the community in Kierkegaard¿s works (1813-1855), specially in his criticism of Christendom. There is in this polemic a religiosous and theological face, but there is a philosophical criticism too, that can be better analysed second the perspective of philosophy of religion. The danish author is a post hegelian in his cronology and thematic. In this way, his interpretion is researched here, with these previous delimitations. The introduction give, second Karl Löwith¿s interpretation, the philosophical and historical context of the post hegelianism and his criticism on the question of Christendom (and Christianity). Kierkegaard is one of these thinkers. The first chapter analyses the problem concerning objective true in Christianity. This question is researched in the first part of Concluding Unscientific Post-Scriptum to Philosophical Fragments, where it is firstly proposed. The second chapter studies the question concerning the individual and the universal in Kierkegaard¿s works. The work analyses specially for this question is The Book on Adler. In the same way and thematic, the third chapter studies, in this discussion between individual and comunity in Kierkegaard¿s works, central questions of the Christianity: questions like martyr, apostle, genius and heroi. These problems will be analyses specially in Two Minor Ethico-religious essays and in the discurse The worries of the heathen. The fourth chapter analyses the polemic against the Christendom. The works specially researched here are the articles of The Fatherland, The Moment and the discourse The changelessness of God. The aim is to prove that the kierkegaardian polemic with the Christendom was a specially objective. This research is concluded, with the analyses of the dialetical relations between community and individual in Kierkegaard¿s works. Many Kierkegaard¿s works was used here. Otherwise, the aim of this research is to study in an organizated form, the Kierkegaard¿s conceptions, specially about his Christendom cristicism and his philosophy of religion / Doutorado / Filosofia / Doutor em Filosofia
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La Rosa en la Cruz del presente

Vergara Letelier, Francisco Alberto January 2014 (has links)
Memoria (licenciado en ciencias jurídicas y sociales) / Esta tesis presenta el lenguaje propio de la ética del bien poder; luego analiza algunos conceptos fundamentales del sistema filosófico hegeliano que resultan provechosos para el pluralismo valorativo como antecedentes teóricos: racionalidad, concepto, existencia, realidad, Espíritu, negatividad, autoconciencia, sustancia ética, instituciones, alienación, voluntad, derecho abstracto, conciencia individual, moralidad, vida ética, familia, sociedad civil y Estado
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Transcendência intramundana : duas atualizações da crítica hegeliana

Longoni, Lucas Schönhofen January 2018 (has links)
Quais os potenciais de transformação a Teoria Crítica poderia ainda suscitar em tempos de esvaziamento da ideia de proletariado? A teoria normativa precisa pressupor um ideal (expectacional) para amparar a prática emancipatória. Esse ideal precisaria, não obstante, para comportar certa dinâmica transformativa incluente da práxis, comprometer-se com a negação do campo das expectativas normativas, isto é, do plano da justificação das demandas por uma “vida boa”. Analisando essa dificuldade, própria de uma crítica com exigências de transcendência intramundana, especialmente pelo prisma da teoria do reconhecimento de Axel Honneth, verificamos que o autor buscaria juntar tanto a essencialidade dos conflitos como a ideia de normatividade na Luta por Reconhecimento a fim de poder fazer uma leitura racional e ainda fiel ao projeto de modernidade da sociedade. Verificamos assim que Honneth, apesar de agregar o conflito e a dinâmica de demandas possivelmente indeterminadas como questões para a teoria do reconhecimento e do processo de emancipação social, não se afasta plenamente do projeto de defesa da razão moderna como sustentáculo e princípio maior para amparar o progresso social seguro, tal como Habermas o sustenta na versão de uma ética do discurso. Para pôr esse projeto em perspectiva com o seu arquétipo de crítica, isto é, com o modelo que revela a necessidade de uma transcendência intramundana, buscamos interpretar o conceito de Pöbel (plebe) na Filosofia do Direito de Hegel. Esse conceito nos permite diferenciar dois tipos ideais no modo como se realiza e se ampara um juízo racional que tem por base a liberdade como chave de leitura do progresso. Com essa diferenciação tornamos mais claro o problema que envolve a relação entre teoria e práxis na efetividade da crítica social, pois os dois tipos ideais comportariam riscos assim como teriam seus benefícios, caso adotados em particular e em exclusão um do outro. A partir dessa identificação, procuramos elucidar que uma ética do reconhecimento deveria comportar uma meta-ética que lhe abrisse para momentos de questionamento do próprio conteúdo racional nas expectativas de justiça, dado que se abre a uma leitura em que a experiência tem primazia sobre a consciência, isso ao menos da perspectiva da “política”. Logo, sabendo que “a coruja de Minerva só alça voo ao entardecer”, não podendo assim ser guia último e absoluto do homem, o conceito de reconhecimento, caso queira ser base não só de uma ética, mas de uma política, necessitaria incluir um momento de “indeterminação produtiva” nos momentos lógicos que explicam sua dinâmica social. / What potential transformations could the Critical Theory still give rise to in times of emptying of the idea of the proletariat? Normative theory needs to presuppose an ideal (expectation) to support emancipatory practice. This ideal, however, would need to include some transformative dynamics of praxis, to be committed to the negation of the field of normative expectations, that is, of the plane of justification of the demands for a "good life." Analyzing this difficulty, typical of a critique with demands of intramundane transcendence, especially from the prism of Axel Honneth's recognition theory, we verified that the author sought to combine both the essentiality of the conflicts and the idea of normativity in the Struggle for Recognition, to do a rational and still faithful reading to the project of modernity of society. We thus find that Honneth, while adding the conflict and the dynamics of possibly indeterminate demands as questions to the theory of recognition and the process of social emancipation, does not depart fully from the project of defense of modern reason as a support and major principle to support the secure social progress, as Habermas maintains in the version of a discourse ethics In order to put this project in perspective with its critical archetype, that is, with the model that reveals the need for intramundane transcendence, we seek to interpret the concept of Pöbel (plebs) in Hegel's Philosophy of Right. This concept allows us to differentiate between two ideal types in the way how is realized and supported a rational judgment that is based on freedom as a key to reading of progress. With this differentiation we make clearer the problem of the relationship between theory and praxis in the effectiveness of social critique, since the two ideal types would entail risks as well as their benefits, if adopted in particular and in exclusion of one another. From this identification, we try to elucidate that an ethics of recognition should entail a meta-ethic that opens it to moments of questioning the rational content itself in the expectations of justice, given that Hegelianism opens to a reading in which experience takes precedence over consciousness, at least from the perspective of "politics". Therefore, knowing that "Minerva's owl only takes flight at dusk," and thus cannot be the ultimate and absolute guide of man, the concept of recognition, if it were to be based not only on an ethic but on a policy, would need to include a moment of "productive indetermination" in the logical moments that explain its social dynamics.

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