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La représentation sociale de l'école chez les élèves, travailleurs ruraux /Cotrim da Silva, Edilma, January 1900 (has links)
Thèse (M.Ed.) -- Université du Québec à Chicoutimi, en association avec Universidade do Estado da Bahia, 2004. / Bibliogr.: f. 80-82. Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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La chapelle du Saint-Esprit de Rue, Picardie : étude historique, architecturale et iconographique d'un monument de la fin du Moyen Âge /Labrecque, Claire. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (Ph. D.))--Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. 280-305. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Les besoins des jeunes en situation d'itinérance /Paquette, Marie-Claude, January 2004 (has links)
Thèse (M. Serv. soc.)--Université Laval, 2004. / Bibliogr.: f. 105-111. Publié aussi en version électronique.
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Sortir l'enfant de la rue n'est pas sortir la rue de l'enfant : analyse de l'itinérance juvénile à Dakar, SénégalGilbert, Véronique January 2012 (has links)
Au Sénégal, des milliers d’enfants, victimes de maltraitance de leur tuteur ou au sein leur famille, s’enfuient et se retrouvent à vivre en petits groupes de jeunes, de manière autonome, dans les rues de Dakar et sa banlieue. Certains de ces enfants en situation de rue grandissent dans les rues, tandis que pour d’autres, la vie de rue représente une transition, une étape de vie. Comment et pourquoi certains enfants de la rue réussissent-ils à sortir de ce milieu, tandis que d’autres y grandissent et deviennent des adultes de la rue? Peut-on penser à des facteurs qui favoriseraient la sortie de rue? Comment se déroule la sortie de rue? Pour les enfants hébergés au Samusocial Sénégal, organisme au sein duquel la recherche terrain a été effectuée, le processus de sortie de rue commence par une demande d’appui de l’enfant lui-même. Ce désir peut avoir été engendré par des facteurs à la fois push out et pull out : du côté des facteurs qui poussent l’enfant hors de la rue, on retrouve la violence continuelle, les agressions sexuelles, et les ennuis de santé, tandis que les facteurs qui tirent l’enfant hors de la rue semblent être la présence active et le travail de terrain des institutions de prise en charge, les relations familiales, et des événements ponctuels inopinés. Accueilli au centre d’hébergement du Samusocial Sénégal, dont le fonctionnement rappelle la structure familiale, l’enfant réapprend graduellement à manger, dormir, jouer, apprendre, faire confiance et se comporter selon les normes sociales sénégalaises, et non selon la culture de la rue, dans le but d’être réunifié avec sa famille (nucléaire ou élargie) ou d’entreprendre une formation professionnelle. Or, ce processus ne se fait pas sans heurts, et toutes les sorties de rue ne suivent pas une trajectoire linéaire : en fait, la plupart des enfants éprouvent une grande difficulté à se réadapter à un milieu de vie structuré et encadré par des règles de vie. Toutefois, une prise en charge holistique et une intervention culturellement adaptée à l’enfant et à sa famille favorisent la résilience de la cellule familiale et la pérennité de la sortie de rue.
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La prostitution masculine dans la rue : isolement, dissonances, vicissitudes et mécanismes de survieTruchon, Jean-François 08 1900 (has links) (PDF)
Dans le cadre de ce mémoire de maîtrise en sexologie, une recherche qualitative a été menée auprès de dix jeunes hommes prostitués de la rue âgés de 18 à 30 ans. Cette étude vise à mieux comprendre le vécu affectif et sexuel des jeunes hommes prostitués dans le quartier Centre-Sud de Montréal. La réalité des jeunes de la rue s'adonnant à la prostitution est préoccupante. Les constats qualitatifs principaux auxquels nous aboutissons sont les suivants : une désaffiliation de la famille et des difficultés personnelles d'adaptation; vie sexuelle personnelle absente dans un contexte de sexe pour survivre; l'orientation sexuelle sous le signe de l'ambivalence et de l'homophobie; visions négatives de la prostitution; omniprésence de la toxicomanie; pour l'argent avant tout et pour certains, des limites qui s'imposent; des sentiments mitigés et contradictoires à l'égard des clients de la prostitution; les souteneurs : un phénomène plutôt rare en prostitution masculine, mais surtout présent auprès des plus jeunes; polyvalence des lieux et types de pratiques. À partir de ces constats, nous procédons à une comparaison entre les résultats de notre analyse et ceux d'autres études sur un même thème. Somme toute, selon les témoignages des jeunes que nous avons rencontrés, il nous apparaît que ce qui prédomine dans leurs conditions de vie sont surtout de l'ordre de la souffrance et de l'isolement. Ces différents constats nous amènent à réfléchir sur la nécessité de privilégier des interventions spécifiques, comme la conception d'un programme d'éducation sexuelle destiné exclusivement aux prostitués, pour aider ces jeunes à avoir un meilleur bien-être affectif et sexuel.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : prostitution masculine, itinérance, difficultés sexuelles et affectives, orientation sexuelle, toxicomanie, exploitation.
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La prostitution de survie chez de jeunes femmes en situation de rue à Montréal (Québec, Canada) : une analyse qualitative de leurs représentations et trajectoiresProvencher, Marie-Andrée 02 1900 (has links) (PDF)
Les jeunes femmes en situation de rue sont nombreuses à recourir à la prostitution comme stratégies de survie dans la rue. Pourtant, elles sont sous-représentées, voire absentes, des études sur le sujet. L'objectif de cette étude est d'explorer l'expérience de ces jeunes femmes avec la prostitution de survie en plus d'explorer, pour les jeunes femmes concernées, les impacts de cette expérience sur leurs représentations de l'amour et de la sexualité. Ce projet de mémoire s'inscrit à l'intérieur d'un projet de recherche sur les conditions de vie amoureuse et sexuelle auprès de jeunes en situation de rue à Montréal. Des analyses qualitatives ont été effectuées à partir de 16 entrevues de jeunes femmes (âge moyen = 21,7 ans) pour lesquelles il était possible de déterminer si elles s'étaient déjà ou non engagées dans la prostitution de survie (9 engagées, 7 non-engagées). Une analyse qualitative comparative a été réalisée entre ces deux groupes de jeunes femmes. Les principaux constats permettent de soulever l'hypothèse selon laquelle les trajectoires d'entrée dans la prostitution de survie sont étroitement liées aux trajectoires d'entrée dans la rue, aux conditions de vie dans la rue ainsi qu'aux relations interpersonnelles. Cette étude permet aussi d'illustrer que la trajectoire de sortie de la prostitution est associée, d'une part, à une rupture avec les conditions et les motivations qui les y ont projetés et, d'autre part, est favorisée par le soutien d'un partenaire amoureux. De plus, quel que soit leur degré d'engagement envers la prostitution, la majorité des jeunes femmes endossent des représentations négatives de ces pratiques. Alors que ces jeunes femmes sont arrivées dans la rue avec des représentations d'elles-mêmes, de l'amour et de la sexualité déjà entachées par des expériences passées, l'expérience de la prostitution aura tout de même eu des impacts dans leur vie intime et sexuelle. Enfin, des pistes de prévention à l'entrée des jeunes femmes dans la prostitution de survie et des pistes d'intervention pour les accompagner dans leur vécu et leur sortie ont été dégagées.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : jeunes femmes en situation de rue, prostitution de survie, trajectoires, stratégie de survie, sexualité.
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Vers une formation "signifiante" pour le travail de ruePoliquin, Monic 12 April 2018 (has links)
Le travail de rue s'exerce au Québec depuis une quarantaine d'années. Les travailleurs sont engagés sur la base de leur parcours académique ou de leur cheminement expérientiel. Pour favoriser l'élaboration d'un cadre de formation mieux approprié à cette pratique, nous avons cherché à identifier les contenus et les processus d'apprentissage signifiants du domaine auprès de travailleurs de rue d'une région du Québec et d'un groupe de coordonnateurs, superviseurs et formateurs de cette même région. Une recension des écrits pertinents a aussi été effectuée. L'analyse des données a été faite au regard de la définition du savoir signifiant proposée par Gagnon (1996). En conclusion, les travailleurs de rue peuvent rendre compte d'une partie des savoirs signifiants de leur pratique, principalement les attitudes et les habiletés personnelles requises qu'ils considèrent plus importants qu'une formation académique pertinente qu'ils ne négligent pas pour autant. Plusieurs recommandations sont également faites.
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Les apprentissages et le développement de jeunes en situation de marginalité dans un projet artistiqueDion, Marie January 2008 (has links)
Dans un contexte où l'insertion socioprofessionnelle et culturelle des jeunes représente un enjeu majeur, il est opportun de considérer des interventions visant à aider des jeunes adultes qui vivent en situation de précarité. De fait, cette recherche vise à mieux comprendre comment l'apprentissage expérientiel réalisé dans un projet d'éducation non formelle, centré sur les arts et s'adressant à des jeunes en situation de précarité, peut contribuer au développement des participants. L'apport particulier de notre enquête se situe dans l'intérêt porté aux liens entre l'expérience vécue, les apprentissages et le développement des participants. Au plan méthodologique, quelques années après la fin du projet, nous avons rencontré des anciens participants du projet Artéflux dans le cadre d'entretiens semi-directifs. Leur témoignage constitue la pierre angulaire des résultats de recherche que nous avons étudiés en effectuant une analyse thématique. Les résultats nous indiquent que plusieurs apprentissages signifiants ont été amorcés durant le projet Artéflux.
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La consommation de crack chez les jeunes de la rue de Montréal méfaits de la consommation et facteurs de risque du premier usagePaquette, Camille January 2009 (has links)
La consommation de crack serait en augmentation au Canada. On observe entre autres ce changement chez les usagers de drogues du centre-ville de Montréal. On ne connaît pas très bien l'ampleur du phénomène chez les jeunes de la rue, qui sont très vulnérables aux conséquences de l'usage de substances psychoactives (SPA). Cette forme de cocaïne serait associée à divers comportements à risque d'infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS). Cela pourrait donc avoir un impact majeur sur le fardeau de morbidité et de mortalité que supportent déjà les jeunes de la rue. Par ailleurs, on ignore quels sont les facteurs de risque d'une première consommation de crack chez ces jeunes. Objectifs. (1) Estimer la prévalence à vie et récente de la consommation de crack chez les jeunes de la rue de Montréal; (2) Estimer le taux d'incidence de la consommation de crack chez les jeunes de la rue de Montréal; (3) Évaluer la présence d'association entre l'usage de crack et certaines conduites à risque d'ITSS concomitantes; (4) Identifier les facteurs de risque liés à la première consommation de crack chez ces jeunes. Méthode. Des analyses secondaires ont été réalisées à partir de données collectées lors d'une étude de cohorte portant sur l'incidence du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et de l'hépatite C chez les jeunes de la rue de Montréal. De juillet 2001 à décembre 2005, des jeunes âgés de 14 à 23 ans (n=858) ont été vus en entrevue aux six mois. Le questionnaire administré portait sur les caractéristiques sociodémographiques, les comportements sexuels et de consommation de drogues. On a estimé la prévalence d'usage du crack à partir des données collectées à l'entrée dans l'étude. Le taux d'incidence a été estimé pour (a) l'ensemble des jeunes qui n'avaient jamais consommé de crack au recrutement et parmi eux, pour (b) ceux qui avaient prisé de la cocaïne auparavant. On a évalué l'association entre l'usage de crack et certaines conduites concomitantes de consommation de SPA et sexuelles par régression logistique multiple. Les facteurs de risque d'initiation au crack ont été déterminés par régression de Cox multivariée. Résultats. La prévalence d'usage de crack à vie était de 66,6% intervalle de confiance à 95% [63,4-69,8] ; celle d'usage récent était de 38,0% [34,7-41,3]. Les taux d'incidence d'usage du crack étaient de (a) 136,6/1000 personnes-années (p-a) [104,5-175,5]) et de (b) 205,8/1000 p-a [150,2-275,3]. Après ajustement, les jeunes de la rue consommant du crack étaient plus à risque de manifester les conduites sexuelles suivantes: se prostituer, avoir plus de deux partenaires sexuels et avoir un partenaire sexuel à risque (ayant le VIH, étant un homme ou une femme qui se prostitue, étant un homme ayant des relations homosexuelles). Ils étaient aussi plus à risque d'avoir bu de l'alcool dans le dernier mois, de s'être injecté des drogues et d'avoir consommé plus d'une SPA. Le nombre de types de drogues consommés dans les six mois précédant l'entrevue augmentait le risque de s'initier au crack (ratio de risque ajusté (RRA)=1,84 [1,55-2,18]), alors que le fait d'avoir un parent ayant une consommation problématique de substances diminuait ce risque (RRA=0,48 [0,26-0,89]). Les facteurs de risque étaient identiques chez les jeunes qui avaient prisé de la cocaïne auparavant. Conclusion. L'usage de crack est répandu chez les jeunes de la rue de Montréal et l'initiation est très fréquente. Les jeunes en consommant ont davantage de conduites à risque et s'exposent davantage au VIH et à l'hépatite C. Il est difficile pour l'instant d'identifier les jeunes plus à risque de s'initier au crack. Il serait important d'approfondir le phénomène d'initiation si l'on souhaite développer des mesures préventives ciblées et efficaces pour ces jeunes.
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Les symptômes et les troubles intériorisés chez les jeunes contrevenantsMorin, Claudia January 2016 (has links)
Chaque année, des adolescents québécois sont soumis à des sanctions judiciaires en raison de leurs actes de délinquance (Association des centres jeunesse du Québec, 2015). Plusieurs recherches récentes indiquent que ces jeunes sont plus à risque de répondre aux critères diagnostiques d’au moins un trouble mental que les adolescents de la population générale (Fazel, Doll, & Langstrom, 2008; Vermeiren, 2003). Les jeunes contrevenants sont également plus nombreux à présenter des symptômes et des troubles intériorisés (Abram et al., 2014; Skowyra & Cocozza, 2007; Teplin et al., 2006), soit des comportements anxieux, dépressifs, de retrait et des plaintes somatiques (Achenbach & McConaughy, 1992). Cette thèse contribue aux connaissances quant aux symptômes et aux troubles intériorisés chez les jeunes contrevenants en traitant de deux sujets peu étudiés : les problèmes intériorisés des jeunes contrevenants associés aux gangs de rue et l’identification de ces problèmes par les intervenants travaillant auprès d’eux. Le premier article composant la thèse présente une étude descriptive où le nombre de symptômes et de troubles intériorisés a été comparé entre des jeunes contrevenants révélant être ou avoir été associés aux gangs de rue (n = 62) et des jeunes contrevenants n’ayant pas révélé une telle association (n = 41). Les symptômes et les troubles intériorisés ont été mesurés à l’aide d’un questionnaire et d’une entrevue diagnostique semi-structurée. Les résultats indiquent que les jeunes associés aux gangs présentent davantage de symptômes de dépression-anxiété et sont plus nombreux à répondre aux critères diagnostiques d’au moins un trouble anxieux que ceux qui n’y sont pas associés. De plus, près de la moitié des participants, associés ou non aux gangs de rue, répondent aux critères diagnostiques d’au moins un trouble intériorisé. Cette forte prévalence de troubles intériorisés soulève l’importance que ceux-ci soient dépistés par les intervenants travaillant auprès des jeunes contrevenants. En effet, considérant que les troubles mentaux non traités entrainent de la souffrance, nuisent au fonctionnement et sont liés à des taux de tentatives de suicide, d’arrestations et de récidive plus élevés (Abram et al., 2014; Cottle, Lee, & Heilbrun, 2001; Hoeve, McReynolds, & Wasserman, 2013; Schonfeld et al., 1997), leur identification s’avère primordiale afin qu’ils puissent bénéficier des services dont ils auraient besoin. Le deuxième article de cette thèse est une étude exploratoire où sont recensés les symptômes et les troubles intériorisés mentionnés par les intervenants au rapport prédécisionnel (RPD) de 22 participants. La concordance entre ces symptômes et troubles intériorisés et ceux autorapportés par les jeunes contrevenants par un questionnaire et une entrevue semi-structurée est ensuite évaluée. Plusieurs symptômes et troubles intériorisés seraient « sous-identifiés » dans le RPD des jeunes contrevenants en comparaison de ce qui est révélé par les participants. Les résultats de ces deux études laissent croire qu’il serait pertinent d’offrir de la formation aux intervenants quant aux symptômes et aux troubles intériorisés chez les adolescents, d’implanter une procédure de dépistage systématique des troubles mentaux, et d’inclure les symptômes et les troubles intériorisés dans les programmes de prévention et de traitement offerts aux jeunes contrevenants.
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