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Mentalisation in Anorexia Nervosa and disordered eating

Watkins, Hannah January 2016 (has links)
Background: It is posited that attachment difficulties in infancy may result in reduced mentalisation capacity (understanding self and others’ subjective thoughts/mental processes), leading to potentially deleterious psychopathological outcomes such as eating disorders. The exact nature of the relationship between mentalisation and eating disorders/disordered eating is unclear however. Objectives: A systemic review examined whether those with Anorexia Nervosa (AN) experience mentalisation deficits compared to those without EDs. An empirical study, examining the link between mentalisation and disordered eating (DE) in an adolescent sample, was conducted to assess whether borderline trait features mediated the relationship between the two constructs. Method: A systematic search of 6 databases was conducted, and articles were assessed against predetermined inclusion/exclusion criteria. Included articles were assessed against 14 quality criteria and study findings were reported. For the empirical study, 162 participants aged 12-18 completed a questionnaire pack including mentalisation, borderline traits, impulsivity, emotion dysregulation and depression scales, and sociodemographic questions. Results: Results from 10 articles indicated those with AN may experience subtle mentalisation deficits, particularly in recognising negative emotions in others. Mentalisation ability may also vary according to interpersonal context. Mediation analyses found mentalisation ability exerted a significant effect on DE indirectly through borderline trait features, and partially through emotion dysregulation, but not impulsivity. Conclusion: More robust empirical studies are required in order to assess the relationship between mentalisation and AN. Findings regarding the link between mentalisation, borderline traits and DE may further aid psychological assessment/treatment. Therapies where the main focus is improving mentalisation capacity may be useful.
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Mentalisation, empathie et comportements extériorisés chez des enfants hébergés en centre jeunesse

Dubé, Geneviève January 2017 (has links)
De nombreuses études démontrent que les enfants ayant vécu des abus physiques ou sexuels, de la négligence ou des mauvais traitements psychologiques présentent des comportements extériorisés (English et al., 2005; DuRoss, Fallon, Black, & Allan, 2010; Hukkanen, Sourander, Bergroth, & Piha, 1999a; Lawrence, Carlson, & Egeland, 2006; Nadeau, Nolin, & Chartrand, 2013; Turmel, 2003). Au Québec, les enfants ayant vécu de tels événements, qui risquent de compromettre leur sécurité ou leur développement, sont pris en charge par la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ). En centres jeunesse, plus de 50 % des éducateurs rapportent subir de la violence physique de la part des jeunes qu’ils supervisent, et ils sont encore plus à risque s’ils travaillent avec des enfants qu’avec des adolescents (Geoffrion & Ouellet, 2013). Dans ce contexte, la présente thèse propose d’avoir recours aux concepts de mentalisation et d’empathie pour comprendre l’expression des comportements extériorisés des enfants hébergés en unités de réadaptation en centres jeunesse. En effet, ces deux capacités, qui font référence respectivement à la faculté de percevoir et d’interpréter ses comportements et ceux des autres en termes d’états mentaux (Allen, Fonagy, & Bateman, 2008) et à comprendre et s’accorder à l’émotion d’une autre personne (Decety & Jackson, 2006), pourraient permettre la régulation des comportements extériorisés. Ainsi, cette étude à caractère exploratoire propose deux articles visant à examiner les liens entre la capacité de mentalisation (CM), la capacité d’empathie et les comportements extériorisés chez les enfants hébergés en unités de réadaptation. Le premier article, à travers une revue de la documentation scientifique, explore les rapports entre la mentalisation et l’empathie, notamment en lien avec l’impact des traumas complexes sur le développement normal et pathologique de ces deux capacités. Il recense également les résultats d’études empiriques portant sur la CM, l’empathie et les comportements extériorisés auprès d’enfants et d’adolescents. Le second article présente les résultats d’une étude portant sur la capacité et les biais de mentalisation, l’empathie et les comportements extériorisés de 16 enfants âgés entre 7 et 11 ans hébergés en unités de réadaptation. Les résultats confirment la présence importante de comportements extériorisés, de même que des déficits au niveau de la CM et de l’empathie, ceux-ci étant plus marqués chez les garçons que chez les filles de l’échantillon. Des liens significatifs entre la CM, les biais de mentalisation et l’empathie ont été trouvés, mais aucun lien entre ces variables et les comportements extériorisés n’a été démontré. Les limites de l’étude et des pistes de recherche futures sont soulevées. Cette thèse permet de poursuivre l’élaboration théorique entre les notions de mentalisation et d’empathie, en plus de dresser un premier portait des enfants québécois hébergés en unités de réadaptation en termes de CM, de biais de mentalisation, d’empathie et de comportements extériorisés. Les résultats appuient la nécessité de développer des interventions visant à augmenter les capacités de mentalisation et d’empathie des enfants hébergés en centres jeunesse, afin de les aider à mieux décoder et interpréter les intentions et émotions qui les habitent, et qu’ils perçoivent chez les autres.
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La dynamique du traitement de l'excitation à l'adolescence : étude comparative de deux groupes d'âge : éclairage de la clinique projective / The treatment of excitation dynamic during adolescence : a comparative study of two age groups

Halley, Clara 17 November 2017 (has links)
L'adolescence, marquée par l'éclosion de la puberté et la résurgence des pulsions sexuelles et agressives, engage, un travail interne lié aux transformations psychiques et à l'émergence de la sexualité génitale. La puberté peut alors faire intrusion et trauma, blessant le sujet qui est plus ou moins prêt à supporter la contrainte au changement induit par le processus pubertaire. En référence au modèle théorique psychanalytique, nous nous intéressons dans cette étude à la manière dont les adolescents font face aux afflux d'excitations, tant externes qu'internes, selon un traitement psychique, par un travail de mentalisation et de symbolisation, ou bien comportemental ou somatique, par le langage du corps ou le recours à la sensorialité. En effet, quelles que soient les capacités d'élaboration mentale de l'adolescent, une vulnérabilité transitoire de l'appareil mental est attendue à cet âge de la vie. Notre travail se propose ainsi d'explorer le traitement de l'excitation à l'adolescence, mis en évidence par l'étude de la qualité de quatre mouvements psychiques : le narcissisme, le système pare-excitation, le recours au corps par la sensorialité et le langage du corps, ainsi que les processus de pensée à travers l'étude de la mentalisation et de la symbolisation. Notre objet de recherche questionne ainsi la qualité du traitement de l'excitation, à travers la mise en perspective de ces différentes dimensions conceptuelles, susceptible d'exposer une meilleure approche processuelle de l'adolescence. Partant de l'hypothèse principale selon laquelle le traitement de l'excitation est multifactoriel, l'objectif de cette étude est de dégager la manière dont l'articulation des différents concepts étudiés est à même de rendre compte, de manière plus sensible, du traitement de l'excitation à l'adolescence. La méthodologie projective a été choisie pour mettre à l'épreuve cette hypothèse à l'aide de grilles référées aux quatre dimensions précitées. Nous avons rencontré 17 adolescents tout-venants âgés de 14 à 18 ans auxquels nous avons proposé le Rorschach et le TAT. Dans une approche comparative, nous avons étudié le traitement de l'excitation auprès de deux groupes d'âge (14-16 ans et 16-18 ans). Les résultats mettent en avant des différences dans le traitement de l'excitation à l'adolescence entre les deux groupes d'âge, les plus jeunes ayant préférentiellement recours à l'inhibition, les plus âgés étant davantage en mesure de mentaliser et symboliser l'excitation. Conformément à notre hypothèse générale, l'analyse projective des quatre dimensions de notre travail permet une approche plus fine pour chaque adolescent des spécificités du traitement de l'excitation. / Adolescence, marked by the emergence of puberty and the resurgence of sexual and aggressive drives, engages an internal work linked to psychic transformations and to the emergence of genital sexuality. Puberty can therefore intrude and cause trauma, hurting the subject who is more or less ready to bear the constraint to change induced by the pubertal process. In reference to the theoretical psychoanalytic model, we are interested in the study of the way in which adolescents are confronted with the influx of excitations, both external and internal, through a psychic treatment, by a work of mentalisation and symbolisation, or behavioural, or somatic, by the language of the body or the use of sensoriality. Indeed, whatever the mental capacity of the adolescent, a transient vulnerability of the mental apparatus is expected at this age of life. Our work thus proposes to explore the treatment of excitation in adolescence, evidenced by the study of the quality of several psychic movements: narcissism, protective-shield system, sensoriality and body language, as well as the processes of thought through the study of mentalisation and symbolisation. Our research object thus questions the quality of the treatment of excitation, through the putting into perspective of these four conceptual dimensions, likely to expose a better process approach of adolescence. On the basis of the main hypothesis that the processing of the excitation is multifactorial, the objective of this study is to determine how the articulation of the different concepts studied is able to account more sensibly for the treatment of excitation in adolescence. The projective methodology was chosen to test this hypothesis using grids referred to the above four dimensions. We met 17 teenagers aged 14 to 18 years old who passed the Rorschach and TAT. In a comparative approach, we studied the treatment of excitation with two age groups (14-16 years and 16-18 years). The results highlight differences in the treatment of adolescent arousal between the two age groups, with the younger ones preferring inhibition, the older age groups being more able to mentalise and symbolize the excitation. According to our general hypothesis, the projective analysis of the four dimensions of our work allows a finer approach for each adolescent to the specificities of the treatment of excitation.
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The impact of the antenatal class "Baby World" on the caregiver-infant relationship : a pilot study

Casale, Laura Elizabeth January 2012 (has links)
Research suggests that the relationship between caregivers and their infants has a significant effect on development and well-being across the lifespan. There is a significant body of research into psychological interventions which focus on this relationship. However, there is only limited research into the impact of antenatal interventions which aim to promote the caregiver-foetus relationship, thus preventing later difficulties in the caregiver-infant relationship. Findings so far suggest that such interventions could be effective, and recommendations have been made for further studies exploring the effect antenatal interventions on the caregiver-foetus relationship. This pilot study explored the impact of a newly developed psychoeducational intervention entitled “Baby World” on the caregiver-foetal relationship. Seventy-nine females and 26 males who were expecting their first child were recruited from an NHS midwife service in London. They were randomly allocated to experimental or control groups. All participants completed questionnaires measuring antenatal attachment, mental health and childhood experiences of caregiving at baseline. Those in the experimental group then attended the Baby World class. All participants then completed the questionnaires for a second time, and then attended the standard antenatal classes. Following attendance at these classes, participants completed the questionnaires for a third time and gave anonymous responses to qualitative questions. Statistical analyses of the quantitative data indicated that the intervention did not have an impact on antenatal attachment. Results did show that antenatal attachment increased over time, whilst anxiety decreased. A significant correlation was found between recollections of maternal caring and antenatal attachment. Qualitative analysis suggested that the intervention did have an impact on aspects of the relationship. In the qualitative responses, the majority of participants wrote that the class had been a positive experience for them, and that it had increased their confidence about being a caregiver. Many of the responses indicated that the class had positively affected their skills in reflective functioning, caregiver sensitivity and attunement, and changed their perspective on how to interact with their infant. The results add to the literature regarding the impact of antenatal interventions on the caregiver-foetus relationship. Further research is needed to explore the impact of the intervention on the relationship more closely, in particular to understand which aspects of the relationship may be affected. There are several limitations of the study, in particular the small sample size and the limited number of expectant fathers who participated. Reasons for these limitations are discussed.
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Capacité de mentalisation et jeu de l'enfant : proposition d'une méthode d'évaluation par l'observation du jeu

Chabot, Alexandre January 2014 (has links)
Les enfants qui consultent en pédopsychiatrie présentent des difficultés importantes quant à leur capacité de mentalisation (Fonagy, Target, & Allison, 2008; Schmeets, 2008a; Sharp, Croudace, & Goodyer, 2007), soit l’habileté à comprendre les pensées, croyances, intentions, désirs et affects qui sous-tendent les comportements chez soi et chez l’autre. Dans leur pratique, des thérapeutes oeuvrant en pédopsychiatrie ont pu constater que les interventions psychologiques dites classiques exigent de l’individu qu’il soit en mesure de déployer minimalement une telle capacité afin de pouvoir en bénéficier. Ainsi, face à de telles limites chez ces enfants, le recours à des stratégies et techniques thérapeutiques habituelles semble peu adapté ou du moins, avoir une portée limitée, puisque s’appuyant sur un équipement psychique qu’ils n’ont pas suffisamment développé. Pour améliorer l’efficacité thérapeutique, il s’avère donc nécessaire de développer des outils d’évaluation adaptés au niveau développemental de ces enfants, permettant de mieux décrire et comprendre les défauts et manifestations de leur capacité de mentalisation. Cette recherche vise le développement d’un outil clinique permettant d’évaluer la capacité de mentalisation de l’enfant et tenant compte de sa modalité d’expression privilégiée : le jeu. Ainsi, une grille d’observation applicable à une tâche de jeu structuré (Histoires d’attachement à compléter; Bretherton, Bretherton, Ridgeway, & Cassidy, 1990) a été élaborée à partir de la documentation scientifique sur la mentalisation, le jeu et le développement de l’enfant. Elle a été testée dans le cadre d’une étude exploratoire réalisée auprès d’un échantillon mixte (clinique et non-clinique) de dix enfants âgés de 7 et 8 ans. Les comparaisons avec une mesure narrative validée de la capacité de mentalisation et un questionnaire concernant le comportement de l’enfant soulignent la pertinence de l’outil et justifient la poursuite d’un travail de validation.
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Attachement, émotions, et somatisation

Beauregard, Vickie January 2012 (has links)
La somatisation a une prévalence élevée dans la population. Les médecins n'arrivant pas à bien comprendre les symptômes ni à les traiter, certains facteurs psychologiques sont mis en cause dans le développement et le maintien de cette problématique. Parmi ceux-ci, des déficits au niveau de la régulation émotionnelle et de la mentalisation des états affectifs sont identifiés. Le développement d'un attachement insécurisant (c.-à-d. caractérisé par une élévation à la dimension d'anxiété d'abandon ou d'évitement de l'intimité) est reconnu comme étant impliqué dans ces déficits. Un examen de la documentation scientifique permet de constater que les mécanismes affectifs susceptibles de contribuer à la somatisation n'ont étés explorés que partiellement. Afin de préciser ces mécanismes, nous proposons un modèle original qui distingue deux profils de personnes présentant des symptômes de somatisation en fonction de la dimension d'attachement. Il est postulé que l'évitement de l'intimité implique une inhibition émotionnelle et l'anxiété d'abandon une intensification émotionnelle, et que ces deux profils distinctifs engendrent une plus grande incidence de la somatisation. L'affectivité négative, des déficits au niveau de la mentalisation et l'affectivité positive sont aussi intégrés au modèle; il est attendu que les deux premiers facteurs accroissent la somatisation, alors qu'aucune hypothèse n'est formulée concernant l'affectivité positive. Afin de vérifier ces hypothèses, des questionnaires mesurant ces différentes variables ont étés administrés à des personnes présentant des symptômes qui ne sont pas complètement expliqués médicalement. Les résultats montrent que l'évitement de l'intimité va de pair avec une inhibition émotionnelle, mais contrairement à ce qui était prévu, il n'augmente pas la somatisation via ce style de régulation émotionnelle tel que mesuré dans cette étude. Plutôt, l'évitement de l'intimité accroit la somatisation par le mécanisme de l'anhédonie (faible affectivité positive). L'anxiété d'abandon favorise l'intensification émotionnelle. Elle accroit la somatisation par le biais de l'affectivité négative, qu'elle tend à augmenter directement ou indirectement via l'intensification émotionnelle. L'affectivité négative est le meilleur prédicteur de la somatisation dans le modèle, suivie de près par l'anhédonie. Un déficit au niveau de la capacité à envisager ses propres états mentaux est associé à une augmentation de la somatisation et prédit les préoccupations par rapport à la santé, mais pas les symptômes somatiques et leurs impacts. La capacité à envisager les états mentaux des autres n'ayant pas été mesurée adéquatement, ses relations avec la somatisation n'ont pu être convenablement mises à l'épreuve. Dans l'ensemble, les deux profils, soit évitement de l'intimité-inhibition et anxiété d'abandon-intensification, semblent contribuer à la somatisation. Le profil évitement de l'intimité-inhibition le fait principalement via l'anhédonie, possiblement associée à des mécanismes dépressifs, alors que l'action du profil anxiété d'abandon-intensification s'exerce via l'affectivité négative, sans doute affiliée à des mécanismes anxieux. La mentalisation semble également liée à la somatisation : cette dernière augmenterait en fonction des difficultés vécues sur le plan de la capacité à envisager ses propres états mentaux, en accord avec les hypothèses traditionnelles de la médecine psychosomatique. Mots clés : somatisation, symptômes physiques médicalement inexpliqués, attachement, mentalisation, régulation émotionnelle, affectivité positive, affectivité négative.
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Les déterminants de la qualité du processus de reconversion sportive de haut niveau : approche psychodynamique / Determining factors of high-level sports retirement process's quality : psychodynamic approach

Navel, Aurélie 11 January 2013 (has links)
L'intérêt porté à la fois par les médias et les scientifiques, à la problématique de la retraite sportive de haut niveau et des avatars qui l'accompagnent, se veut relativement récent. Ainsi, si les travaux de recherche se sont multipliés au cours de ces vingt dernières années, entrant dans une aire particulièrement féconde, les tentatives successives de modélisation théorique du processus de reconversion se sont néanmoins heurtées à la difficulté de la spécification de la retraite sportive et laissent en suspens certaines questions.Dans ce contexte, la présente étude se veut novatrice dans sa double composante théorique et méthodologique. En effet, en référence aux champs de la psychanalyse et de la psychodynamique, c'est la problématique du fonctionnement intrapsychique en tant que déterminant de la qualité de la reconversion qui est posée ici.Ainsi, les hypothèses originales développées seront mises à l'épreuve à travers une étude comparative de trois cas cliniques contrastés (reconversion réussie/mitigée/échouée), envisagée dans une double perspective clinique et projective jamais utilisée. Les résultats qui en découlent laissent entrevoir une corrélation entre la qualité des mécanismes intrapsychiques impliqués (mentalisation, espace imaginaire, aménagement défensif) et la qualité de la reconversion. En outre, une seconde variable émerge, de manière inattendue, de cette étude : elle concerne les possibilités d'étayage externe et apparait comme un facteur différenciateur de la qualité de la reconversion envisagée sur un continuum.De telles données, particulièrement novatrices, demandent cependant à être confirmées, généralisées. / The interest of both media and scientists to the topic of high-level sport's retirement and its difficulties is relatively recent. Thus, if researches multiplied in the last twenty years, in a particularly prosper area, successive attempts of reconversion process' theoretical models met nevertheless the difficulty of sport's retirement specificities and cannot answer certain questions.In such a context, this study is new from the two perspectives: theoretical and methodological. Indeed, referring to theoretical fields of psychoanalysis and psychodynamics, it is the question of psychic mechanisms as a determinant of reconversion's quality which is put into question.Thus, original developed hypothesis will be tested through a comparative study of three clinical cases (succeeded/mitigated/failed reconversion), evaluated from a clinical and projective perspective never used before.The results may conclude to a correlation between psychic mechanisms' quality (mentalization, fantasy space, defensive mechanisms) and reconversion's quality.One more, a second variable appeared out of this study, unexpected: it concerns external support's possibilities and it seems that it can be a distinctive factor of the reconversion's quality, such as a continuum.Nevertheless, these brand new results require to be confirmed, generalized.
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Approche psychodynamique de l’impact de l’épisiotomie : étude longitudinale chez des femmes primipares / Psychodynamic evaluation of the impact of episiotomy : a longitudinal study in primiparous women

Clesse, Christophe 18 November 2018 (has links)
L’épisiotomie est un élargissement chirurgical de l’orifice vaginal réalisé à l’aide d’une incision du périnée au cours de l’accouchement et notamment pendant la dernière étape de l’expulsion. Très souvent étudiée sous un angle somatique, cette pratique chirurgicale a été très peu abordée sous un angle psychologique. Ce manque de donnée est d’autant plus marqué qu’il n’existe aucune étude d’orientation psychodynamique portant sur l’épisiotomie. Le but de ce travail de thèse est d’évaluer l’impact psychique de l’incision du périnée en divisant trois axes d’évaluation : les effets de l’épisiotomie, les facteurs de risques et les facteurs protecteurs inhérents au vécu difficile de l’épisiotomie et enfin le vécu de l’épisiotomie en fonction des caractéristiques individuelles du sujet. Pour ce faire une étude longitudinale comparant l’effet de l’épisiotomie aux autres modes d’accouchement (césarienne, voie basse avec périnée intact ou pseudo-intact et déchirure) a été réalisée sur 43 femmes. Elle s’est appuyée sur une rencontre prénatale 1 mois avant l’accouchement, une évaluation 2 jours et 2 mois après l’accouchement et enfin 3 rencontres post-natales (3 mois, 9mois, 1 an). Chaque rencontre s’est appuyée sur la réalisation d’entretiens (semi-directifs et libres), de questionnaires (SF36, QIC, EPDS, CPQ, WOMBLSQ4, Traumaq) et l’emploi du test de Rorschach. Les principaux résultats montrent que l’épisiotomie implique une satisfaction liée à l’accouchement plus faible 2 mois après l’accouchement. De même, elle est préférentiellement associée à la présence de douleurs, dyspareunies et dépressions 3 mois après l’accouchement. En outre, elle est considérée avec la survenue d’une déchirure comme un des modes d’accouchement les plus difficilement vécus. Notre étude a également montré qu’une qualité de mentalisation effondrée préservait les femmes d’un vécu difficile lié à l’épisiotomie. Enfin, l’analyse qualitative a mis en évidence la présence de dysfonctionnements sexuels et angoisses somatopsychiques spécifiquement liés à l’épisiotomie. Pour finir, nous avons montré que le vécu subjectif personnel colorait la perception de l’épisiotomie notamment au travers de la dynamique transférentielle projetée sur l’équipe médicale mais aussi lors de la reviviscence de traumatismes psychiques. L’ensemble de ces résultats est également commenté en fonction des perspectives théoriques et cliniques soulevées visant à améliorer le bien-être des femmes en salle d’accouchement et en suite de couche / Episiotomy is an enlargement of the vaginal orifice made by a surgical incision of the perineum during the delivery and especially during the last stage of expulsion. Mostly studied in a somatic angle, this surgical practice has been very little studied from a psychological point of view. Moreover, there is no psychodynamic study on episiotomy. The aim of this research is to evaluate the psychical impact of episiotomy with three different types of evaluations: the effects of episiotomy, the risk and protective factors associated with the difficult experience of episiotomy and finally the subjective and individual experiences. We conducted a longitudinal study which was performed on 43 women. It compared the effect of episiotomy with other modes of delivery (caesarean section, vaginal approach with intact or pseudo-intact perineum and perineal injuries). It relied on a prenatal appointment (1 month before delivery), an assessment 2 days and 2 months after the delivery and finally 3 postnatal meetings (3 months, 9 months, 1 year). Each one of them was based on interviews (semi-directive and free), questionnaires (SF36, QIC, EPDS, CPQ, WOMBLSQ4, Traumaq) and the use of the Rorschach test. The main results show that 2 months after delivery, episiotomy implies a lower satisfaction related to childbirth. Perineal incision has stronger correlation with the presence of pain, dyspareunia and depression 3 months after childbirth. In addition, with the perineal injuries group, episiotomy is considered as one of the most difficult ways to give birth. Our study also showed that a low quality of mentalization protect women from a hard experience related to episiotomy. Finally, the qualitative analysis showed that episiotomy is specifically linked to sexual dysfunctions and somatopsychic anxieties. To finish, we have shown that personal subjective experiences influence the perception of episiotomy (particularly through the transferential dynamics projected on the medical team and the revival of psychical traumas). All these results are also commented in a theoretical and clinical point of view which aims to improve the well-being of women in the delivery room and afterwards
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La mentalisation de l’hostilité contre l’autre et contre le soi, les comportements agressifs et d’automutilation, chez une population présentant un état-limite de la personnalité

Riel Lefebvre, Frédérique January 2017 (has links)
La mentalisation est un concept de plus en plus documenté en psychologie. Il suppose que le vécu interne de l’individu doit être psychiquement élaboré pour que celui-ci puisse fonctionner de façon optimale dans le monde et face aux évènements. Fonagy a apporté une contribution importante en proposant une définition étayée de la mentalisation des états mentaux généraux, soit comme une « fonction réflexive » qui s’acquiert dans le développement. Lecours est quant à lui un auteur clé dans la compréhension de la mentalisation des affects et il a proposé un modèle permettant d’évaluer le niveau d’élaboration verbale des affects. Certains écrits empiriques et cliniques se sont par ailleurs penchés sur l’idée que la mentalisation pouvait varier en fonction d’affects spécifiques chez les individus. D’autres appuis scientifiques sont toutefois nécessaires. De nombreuses études ont montré l’impact positif des capacités de mentalisation, soit comme un indice de succès thérapeutique, puis comme liées au fonctionnement global de l’individu et aux symptômes psychopathologiques. Conséquemment, des difficultés de mentalisation seraient associées à des conséquences néfastes pour l’individu (par exemple, de l’automutilation, des passages à l’acte suicidaires). Fonagy et ses collègues ont mis en évidence les difficultés de mentalisation propres aux personnes souffrant d’un trouble de la personnalité limite (tel que décrit dans la classification du DSM). Puisque des études montrent la comorbidité entre les différents troubles de la personnalité du DSM, il est pertinent d’élargir notre définition de la personnalité limite. La théorisation élaborée par Kernberg sur les organisations de la personnalité nous amène un éclairage intéressant pour comprendre le fonctionnement psychique des gens présentant une pathologie de la personnalité, au delà des traits manifestes. La présente étude vise ainsi à évaluer la mentalisation de certains affects spécifiques (hostilité contre l’autre, hostilité contre le soi et culpabilité), chez une population clinique de gens présentant un état-limite de la personnalité, tant sur le plan de l’organisation que de la symptomatologie. Elle vise également à faire des liens entre la mentalisation, la personnalité et les comportements destructeurs. Pour ce faire, 30 participants bénéficiant de services psychiatriques ont passé une entrevue individuelle et ont rempli une batterie de questionnaires. Des analyses de corrélation et de régression ont permis d’établir des liens entre les différentes variables indépendantes et dépendantes à l’étude. Les résultats ciblent l’hostilité contre l’autre comme un vecteur significatif de l’expérience affective; la mauvaise mentalisation explicite de cet affect prédit la gravité de l’organisation de la personnalité limite. Aussi, la gravité de la personnalité limite, tant sur le plan de l’organisation que de la symptomatologie, en combinaison avec des déficits de mentalisation explicite de l’hostilité contre l’autre, prédisent l’agressivité chez les individus. De façon différente, les résultats montrent que la proportion d’affects d’hostilité contre le soi prédit les comportements d’automutilation chez les gens présentant une symptomatologie limite. Par ailleurs, cela met en perspective le rôle de l’hostilité contre le soi chez les TPL, qui se rapporte à une culpabilité plus primitive, plutôt qu’adaptative. Les résultats obtenus permettent de documenter le fonctionnement psychique et les comportements d’individus reconnus comme étant difficiles à traiter. Certaines pistes d’intervention sont suggérées. Cette étude engendre différentes retombées sur le plan scientifique et clinique.
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Mentalizing as a Mediator between Sexual Abuse and PTSD in Adolescents

Wais, Marissa 20 June 2022 (has links)
L'agression sexuelle est un facteur de risque majeur lié au trouble de stress (TSPT) chez les adolescents . La mentalisation, définie posttraumatique comme la capacité d'identifier les états mentaux de soi et des autres, jouerait un rôle dans les manifestations de l'abus sexuel et le TSPT chez l'enfant et l'adulte. Cette contribution n'a toutefois pas été étudié chez l'adolescent. L'objectif de l'étude mentalisation est d'évaluer les relations entre l'agression sexuelle, la n et le TSPT dans un échantillon composé de 421 adolescents âgés 12 à 17 ans dans un contexte clinique. Les participants ont été recrutés dans un hôpital psychiatrique privé pour adolescents. Ils ont complété le Movie for Assessment of Social Cognition (MASC), le Child Attachment Interview (CAI), le Reflective Function Questionnaire for Youth (RFQ Y), le Computerized Diagnostic Interview Schedule for Children (CDISC), le Childhood Trauma Questionnaire (CTQ) et le Trauma Symptom Checklist for Children (TSCC ). Les résultats révèlent une association entre l'agression sexuelle et les symptômes de TSPT. Les participants présentant un historique d'agression sexuelle ont démontré une capacité de mentalisation diminuée en utilisant le MASC et le RFQY, mais ont cependant démontré une capacité de mentalisation élevée en utilisant le CAI. La mentalisation a joué un rôle médiateur dans la relation entre l'agression sexuelle et le TSPT. Ces résultats présentent un soutien empirique préliminaire pour les associations entre la mentalisation, l'agression sexuelle et le TSPT dans un échantillon d'adolescents. / Sexual abuse (SA) is a major risk factor for PTSD in adolescents. Mentalizing, which refers to the capacity to reflect on the mind of the self and others, has been shown to be associated with both SA and PTSD in children and adults, though these associations remain to be tested in an adolescent sample. The aim of this study was to examine associations between mentalizing, SA, and PTSD in a clinical sample of 421 adolescents aged 12 to 17. Participants were recruited from a private inpatient psychiatric hospital for adolescents. Participants completed the Movie for Assessment of Social Cognition (MASC), the Child Attachment Interview (CAI), the Reflective Function Questionnaire for Youth (RFQ-Y), the Computerized Diagnostic Interview Schedule for Children (C-DISC), the Childhood Trauma Questionnaire (CTQ), and the Trauma Symptom Checklist for Children (TSCC). As hypothesized, adolescents with a history of SA reported significantly greater PTSD symptoms and had lower mentalizing scores using the MASC and the RFQ-Y. An unexpected finding was that adolescents with a history of SA also showed higher mentalizing scores using the CAI, possibly due to SA activating mentalizing regarding self and attachment figures during the adolescent period. The main study finding was that mentalizing mediated the relationship between SA and PTSD, providing support for the hypothesis that the relationship between SA and PTSD can be understood through the mediating influence of mentalizing in an adolescent sample.

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