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Le design thinking, levier d'innovation et de création de connaissances organisationnelles en contexte muséal : le cas de PRISME, laboratoire d'innovation numérique du Musée des beaux-arts de Montréal

Guyard, Raphaël 28 January 2022 (has links)
Cette recherche vise à explorer les apports du design thinking dans sa capacité à catalyser la création de nouvelles connaissances organisationnelles pour le secteur des musées. Sont ainsi abordées et décrites les dynamiques sociales perceptibles au travers du processus collaboratif de conception mené dans les cellules d'innovation de PRISME afin de révéler la contribution des activités de design dans l'organisation et création de nouvelles connaissances. PRISME, le laboratoire d'innovation en médiation numérique du Musée des beaux-arts de Montréal voit le jour en 2019 avec le soutien du Plan Culturel Numérique du Québec. Sa mission consiste en la création de nouvelles connaissances en médiation muséale avec le numérique afin de stimuler l'innovation dans ce secteur. Pour atteindre ses objectifs, PRISME conduit une série d'activités diverses, parmi lesquelles on compte la création de projets d'innovation numérique menés par des équipes de travail multidisciplinaires, aussi appelées cellules d'innovation. Ces cellules d'innovation mobilisent des acteurs de l'écosystème bâti par le laboratoire, qui compte plus de 300 collaborateurs issus, dans leur majorité, du milieu muséal, du milieu de l'entrepreneuriat technologique et du milieu de la recherche. Au travers de ses deux premières années d'existence, le laboratoire a développé un processus caractéristique de gestion de projets en innovation numérique en s'inspirant de l'approche méthodologique dite design thinking. Ce processus est décrit et analysé dans ce mémoire. La recherche présente dans ce mémoire décrit et analyse cette approche, à travers une étude de cas menée au sein de deux cellules d'innovation du laboratoire PRISME. L'étude de cas repose sur de l'observation participante, de l'observation non participante réalisée lors d'un stage de recherche MITACS d'une durée de 06 mois, complétée par 7 entrevues semi-dirigées. / This research aims to explore the contributions of design thinking in its ability to catalyze creation of new organizational knowledge for the museum sector. The social dynamics perceptible through the collaborative design process carried out in the PRISME innovation cells are addressed and described in order to reveal the contribution of design activities in the creation of new knowledge within it. PRISME, the digital mediation innovation laboratory of the Montreal Museum of Fine Arts was created in 2019 with the support of the Plan Culturel Numérique du Québec. Its mission is to create new knowledge regarding practices of museum mediation with digital technologies in order to stimulate innovation in this sector. To achieve its objectives, PRISME conducts cultiple activities, including the creation of digital innovation projects led by multidisciplinary teams, also known at its innovation cells. These innovation cells mobilize stakeholders from an ecosystem built by the laboratory which has more than 300 potential contributors, the majority of whom come from museums, technological entrepreneurship and as well as from the research community. Throughout its first two years of existence, the laboratory has developed a unique approach for the managing digital innovation projects, drawing inspiration from the methodological approach known as design thinking. The process applied by PRISME is described and analyzed in this research through a case study carried out within two innovation cells. The case study is based on participant observation, non-participant observation carried out during a 06-month MITACS research internship, supplemented by 7 semi-structured interviews.
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Étude sur les reconstitutions historiques en tant que stratégie expographique : la muséologie d'espace

Gélinas, Dominique 24 April 2018 (has links)
L’engouement pour la mise en valeur du patrimoine par la modélisation virtuelle en 3D ramène les reconstitutions historiques à l’avant-plan des études muséales. Pourtant, le musée utilise depuis longtemps ce dispositif comme stratégie expographique. Nous assistons désormais à une véritable transformation, induite par les technologies, au sein du dispositif et des savoir-faire des expographes. Ayant été utilisée en continu par le musée, la reconstitution historique constitue un indicateur pour mesurer l’impact de la progression des technologies dans l’expographie. À partir d’une grille typologique, une revue de seize dispositifs de reconstitution a été effectuée. On remarque alors que l’introduction de la non-linéarité crée un changement de situation en imposant le parcours comme maître d’œuvre de l’expérience muséale au lieu du discours en tant que récit patrimonial. Trois terrains d’enquête viennent corroborer cette idée : l’exposition permanente de la Maison Chapais à Saint-Denis-De La Bouteillerie (Québec), la visite autonome avec tablette numérique de la même Maison Chapais et le modèle virtuel interactif en 3D du Monastère des Ursulines de Québec (Canada). Le premier terrain révèle que le parcours est le résultat du déplacement du visiteur et du traitement de l’espace et qu’il induit le discours. Dans le deuxième cas, la reconstitution mixte, les technologies s’ajoutent à cette équation comme une parenthèse bien articulée, tandis que dans le troisième cas, la reconstitution virtuelle, les technologies ont tellement envahi le dispositif que toutes les composantes sont régies par elles. En effet, on remarque que les composantes du dispositif se transforment, certaines gagnent en importance, mais également que ces mutations s’opèrent dans la gestion de projet. Ces bouleversements favorisent une nouvelle approche conceptuelle expographique que nous nommons « la muséologie d’espace ». Néanmoins, cette pratique émergente n’est pas encore maîtrisée par les professionnels. Toutefois, elle témoigne de l’adaptation nécessaire dont le musée doit faire preuve dans la société actuelle. MOTS CLÉS : Expographie, reconstitution historique, conceptualisation, muséologie d’espace, intégration technologique. / Enthusiasm for cultural heritage through virtual 3D modelling brings historical reconstitution back to the forefront of museum studies. Yet, museums have been using this technique as an exhibition strategy for a long time. We are currently experiencing a real transformation, driven by technology, of the manner in which exhibition project managers work. Having been used extensively by museums, historical reconstitutions are good indicators for measuring the impact of technological advances in exhibitions. To this end, using a typological grid, a review of sixteen historical reconstitutions was conducted. The review revealed that when non-linearity was incorporated into exhibition delivery, a shift occurred; the museum visit focused on the journey as experience rather than as an account of a heritage story. Three study cases support this finding: the permanent exhibition at Maison Chapais in Saint-Denis-De La Bouteillerie (Québec), the self-guided tour using a digital tablet of the same Maison Chapais and the interactive virtual 3D model of the Québec Ursuline Convent (Canada). The first case reveals that the journey, a combination of the visitor’s movements and the treatment of the space, creates the account. In the second case, mixed reconstitution, technology is added to the equation as a well-articulated supplement and thirdly, a full virtual reconstitution, technology has so overtaken the display that it governs all components. Indeed, not only are all the elements of the display transformed - with some aspects increasing in importance - but that these changes also occur in the conception and management of projects. These upheavals nurture a new exhibition approach that can be described as “spatial museology”. Nevertheless, professionals have not yet mastered this emerging practice; however, it signals a critical way in which museums must adapt in today’s society. KEYWORDS: Exhibition, historical reconstitution, conceptualization, spatial museology, technological integration
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CyberPowWow : discours chronopolitiques autour des arts et muséographies numériques autochtones

L'Heureux, Isabelle 08 1900 (has links)
No description available.
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Les relations entre les musées d'ethnographie et les marchés de l'art africain et océanien en France, en Suisse et en Belgique : construire la valeur et s'approprier l'altérité / Relations between ethnographic museums and African and Oceanic art markets in France, Switzerland and Belgium : building value(s) and appropriating otherness

Doyen, Audrey 29 November 2018 (has links)
Cette recherche interroge le champ des objets ethnographiques au prisme de leur circulation entre deux médiateurs situés entre leur production et leur réception : les musées d’ethnographie et les marchés de l’art. Aucune recherche scientifique ne s’est jusqu’à maintenant penchée en profondeur sur les relations entretenues entre ces deux intermédiaires dans le champ de l’art africain et océanien, si ce n’est pour décrire ou critiquer le cas précis de la fondation du Musée du quai Branly-Jacques Chirac.Mobilisant l’anthropologie et la muséologie, ma recherche est basée sur un travail de terrain intensif auprès des galeries, des maisons de ventes aux enchères et des musées en Suisse, en France et en Belgique entre 20013 et 2017. L’analyse, fondamentalement compréhensive, montre les enjeux territoriaux à l’œuvre et souligne l’impact d’une montée de l’événementiel tant du côté des musées que des marchés. Ma recherche dresse un portrait du marché, de son fonctionnement et de ses hiérarchies à l’heure actuelle et propose une typologie des différentes relations et acteurs afin de comprendre le processus de fixation de la valeur des objets. Sur un marché où domine la spéculation et une grande part d’arbitraire, je montre que cette valeur est intimement liée à la maîtrise de l’information. Finalement, l’analyse met en évidence les « prêts-à-penser » et processus développés par l’entier des acteurs du champ pour rationaliser une partie de ces pratiques spéculatives. J’espère souligner dans cette recherche les formes nouvelles de production, d’appropriation, de consommation et de valorisation de l’altérité par notre société aujourd’hui. / This PhD thesis presents the valuation of ethnographic object through the prism of their circulation between two stakeholders : art markets and ethnographic museums. No scientific research has so far looked in depth at the relation between this two actors in the tribal art’s field, except to describe or criticise the specific case of the Musée du quai Branly-Jacques Chirac’s foundation.My research mobilising anthropology and museology is based on intensive fieldwork with galleries, auction houses and museums in Switzerland, France and Belgium between 2013 and 2017. The comprehensive analysis shows the territorial issues between this different stakeholders and highlights the increase in events both in museums and markets. My research also draws a portrait of the market, its functionning and its hierarchies and proposes a typology of the different relations and actors. The main objective was to understand the process of fixing an object’s value. In a market dominated by speculation and a lot of arbitrariness, I highlight that this value is intrinsically linked to the control of information. Finally, the analysis shows the « how-to-think » and processes developped by all the actors in the field to rationalise some of these speculative practices. I hope I have emphasised in this work the new forms of production, appropriation, consumption and the valorisation of otherness by our society today.
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Politique culturelle patrimoniale de l'Algérie indépendante (1962-2010) : état des lieux, institutionnalisation, pratiques et stratégies / Cultural policy of independent Algeria heritage (1962-2010) : assessment, intitutionalization, practices and strategies

Beghdadi, Ymouna 23 May 2013 (has links)
Dès l'indépendance, l'Algérie traça une politique culturelle visant la prise en charge globale de son patrimoine culturel. L'état des lieux montra des conditions de développement culturel déplorables, héritées de l'époque coloniale. Une politique d'institutionnalisation des différents aspects du patrimoine national fut progressivement mise en œuvre, accompagnée d'un dispositif juridique important. Les débuts de l'archéologie algérienne se singularisent par des pratiques empiriques, eu égard aux carences en ressources humaines qualifiées, à l'absence de savoir-faire dans le domaine des métiers du patrimoine. Une attention particulière fut accordée à l'archéologie musulmane eu égard au retard accusé par rapport à l'époque antique. Cependant, des difficultés inhérentes aux approches et stratégies mises en œuvre (mode de gestion centralisée, carence en formation, insuffisance de moyens,...) ont contribué à maintenir le développement du secteur patrimonial à un cap qui n'eut pas l'ampleur souhaitée par les acteurs de la culture. Une étude de cas porte sur deux musées de sites, les musées archéologiques de Cherchel ; l'un est de conception et de création coloniale ; l'autre est de programmation algérienne. Cette étude de cas met en exergue les stratégies, les approches et les pratiques muséologiques algériennes. / After the independence, Algeria developed a cultural policy for the overall management of its cultural heritage. An assessment of the former indicated deplorable cultural development conditions which were inherited from the colonial era. A policy of institutionalization of the different aspects of the national heritage was implemented gradually, accompanied by the implementation of important laws. The beginnings of Algerian archeology were characterized by empirical practices that typically arose from the lack of qualified human resources. A special attention was given to the Islamic archeology with regard to the significant delay that occurred in the ancient times. However, the difficulties inherent to the implementation of training, insufficient resources, etc...) have contributed to maintain the development of the heritage sector, unfortunately no to the desired extent. A case study that focuses on two the museums, the archeological museums of Cherchel ; the first site museum is of colonial design and creation and the second one is of an Algerian design. This case study highlights the strategies, approaches and practices of the Algerian museums.
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La mise en valeur de l'archéologie sur la côte nord du Pérou : le cas de Chan Chan et de Huacas de Moche

Poirier-Vannier, Estelle 04 1900 (has links)
No description available.
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La communication scientifique muséale au prisme de l'action en présentiel : le cas du Pavillon des Sciences / Scientific communication in museums through presential mediation : Case study le Pavillon des Sciences

Urbas, Boris 19 September 2014 (has links)
Dans les institutions muséales dévolues à la communication scientifique publique, la médiation dite « présentielle », plaçant en coprésence des objets, un public et un médiateur dans un environnement dédié, reste méconnue. Du point de vue des SIC, l’analyse de situations concrètes permet de dépasser le seul cadre d’une transmission d’informations, pour s’interroger sur l’importance des formes du tiers dans le contexte de construction du sens. La communication présentielle est éphémère et repose sur les paroles et les gestes d’un tiers incarné. Elle offre une plus grande potentialité d’échanges dans la situation, à la différence d’autres médias, comme l’exposition. L’objectif de cette recherche est d’interroger la place de ces spécificités dans les dispositifs de médiation du Pavillon des sciences, un Centre de Culture Scientifique, Technique et Industrielle. Menée en immersion et à partir de méthodes qualitatives (observations, entretiens), elle a permis d’observer le déroulement de situations de médiation, d’adopter le point de vue du public et celui des animateurs. Les animateurs scientifiques proposent au public des formes d’accès aux savoirs scientifiques basées sur l’articulation d’un propos et d’une mise en scène de l’approche expérimentale. Ces résultats permettent de mettre au jour une forme de communication sui generis, hybride entre médiation muséale et animation, et mettant à disposition une diversité de signifiants. / In science museums and science centers, "presential" mediation positioning a mediator and the public in the co-presence of objects within a dedicated environment, remains relatively unknown. From a Communication Science perspective, analyzing actual situations transcends the simple provision of information, and focuses on the significance of third party forms within the construction of meaning. Presential communication is transient and centered on the words and gestures of an embodied third party. It provides a greater potential for interactions around practical situations, unlike other media (i.e. an exhibition). The purpose of this research is to question the rightful place of these specificities within mediation processes in the Pavillon des Sciences, a french science center. Using qualitative methods and an immersive approach (observations, interviews), this research has enabled the analysis of mediation situations and adopted the viewpoint of both the explainers and the public. Scientific mediators propose different forms of access to scientific knowledge to the public, based on the exploration of a theme and presentation of an experimental approach. These results renew a hybrid form of sui generis communication, between museal interpretation and sociocultural activities, through the presentation of a variety of signifiers.
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Représentations des aborigènes de Taïwan au musée : entre art et ethnographie dans un contexte post-colonial / Representation of the aborigines of Taiwan in the Museum : between art and ethnography in a post-colonial context

Lin, Yu-Ta 18 December 2017 (has links)
La représentation des aborigènes qu’elle soit due à des artistes aborigènes ou à un regard extérieur fait partie de la construction d’une identité, notamment lorsque l’acte de création est pensé comme un mode de transmission culturelle (afin de retrouver leurs esprits ancestraux), la première étape pour aborder les œuvres des artistes aborigènes consiste à multiplier les points de vue sur la question de l’identité culturelle (la dimension politique d’affirmation de soi) et à remettre en question leur intention d’être artiste. Le fait que l'artiste aborigène se pense comme artiste dénote déjà une tentative d’inscription dans un monde social non aborigène. Cette posture ne va cependant pas sans tensions. Après le tournant ethnographique (tournant contextuel et identitaire), l’artiste aborigène s’est obligé à réfléchir à son statut, à sa manière de créer et au pourquoi de ce choix de devenir un artiste. La voie choisie par les quatre artistes étudiés ici ne les a pas conduits à apprendre des choses (acte de construire ou se construire). Il s’agit plutôt d’un effort de désapprendre, afin d’exprimer la juxtaposition culturelle et la simultanéité de l’Autre dans un monde global et mobile. En conséquence, l’artiste en tant qu’aborigène-voyageur provoque un court-circuit des interprétations. Dans cette perspective, chaque présentation au musée noue une relation avec le visiteur ou le spectateur dans un espace temporaire ou parallèle à l’espace réel.Cette recherche s’appuie à la fois sur l’analyse de la situation socio-culturelle de quatre artistes aborigènes ( Rahic Talif, Walis Labai, Sapud Kacaw et Chang En-Man ), l’analyse esthétique de leurs oeuvres et l’analyse historique du contexte de production, de diffusion et d’exposition des œuvres aborigène en général entre 1895 et 2017. Elle tente de cerner une vision post-coloniale entre l’art et l’ethnographie et de développer une pratique de l’analyse qualitative bâtie sur trois questions fondamentales : comment les oeuvres des artistes aborigènes ont-elles été représentées et « encadrées » dans un discours identitaire ? Comment l’artiste aborigène met-il en lumière la traçabilité de son appartenance (comme identité traçable) à travers sa représentation ? Comment cette représentation introduit-elle un court-circuit des interprétations culturelles dans les modes de réception ? / The representation of the aborigines, whether due to aboriginal artists or based on an outside perspective, is an integral part of the construction of an identity, in particular when the act of creation is conceived as a mode of cultural transmission (in order to find their ancestral spirits). The first step to approaching the works of the aboriginal artists consists of multiplying points of view on the question of the cultural identity (the political dimension of self-affirmation) and the questioning of their intent to be considered an artist. The fact that the aboriginal artist regards himself as an artist, had already been attempted in the non-aboriginal community. However, this position has not been without controversy. After the ethnographical turn (contextual turn into specific identity), the aboriginal artist is obliged to think about his/her status, the way to create and the reason why (s)he would become an artist. The approach chosen by the four artists studied here has not led them to learn anything (act of construction or building of themselves) ; it is rather a question of unlearning, in order to associate with the cultural juxtaposition and the simultaneity of the others in the global and mobile world. Therefore, the artist as an aborigine-traveler causes a short-circuit in the interpretations. In this perspective, each presentation at the museum builds a relationship with the ‘visitor-viewer’ in a temporary or parallel space as it relates to the real space.This research is based at the same time on the analysis of the socio-cultural situation of the four artists (Rahic Talif, Walis Labai, Sapud Kacaw et Chang En-Man), the aesthetic analysis of their works and the historical analysis of the context of production, diffusion and exhibition of the aboriginal works in general between 1895 and 2017. By relying on a sociocultural and artistic representation, our research is designed to build a strategic vision for the post-colonial studies between art and ethnography. Developing a practice of the qualitative analysis, we wish to focus on three fundamental questions : How were the works of the aboriginal artists represented and « framed » in a control of identity discourse? How does the aboriginal artist consider the traceability of his/her feeling of belonging (like a trackable identity) through his/her representation? How does this representation introduce a short circuit of the cultural interpretations in the different modes of expression, perception, evolution and reception?
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Les acquisitions du Musée d'art contemporain de Montréal 1992-2012

Dubreuil, Martine 03 1900 (has links)
Le sujet de notre thèse concerne les acquisitions par achat et par don réalisées au Musée d’art contemporain de Montréal (MACM) entre 1992 et 2012. Nous documentons l’agrandissement de la collection qui est passée de 3000 œuvres à 7500 au cours de ces deux décennies pour déterminer s’il y a présence de sens motivant les acquisitions (collectionnement) ou si au contraire, il s’agit d’une accumulation d’œuvres. Au cours de la période étudiée, nous constatons les difficultés que le MACM rencontre pour maintenir ce sens en raison de certains facteurs : la décision du gouvernement en 1992 d’acheter au nom du MACM la collection corporative Lavalin (1324 œuvres), les années de restriction financières à partir de 1992 et leurs effets sur le budget d’acquisition du Musées, ainsi que les trois changements de direction. Nous examinons aussi les 31 expositions de la collection mises sur pied par les conservateurs du MACM à partir d’œuvres provenant exclusivement de la collection entre 1992 et 2012. Nous considérons l’exposition comme lieu privilégié pour communiquer le sens que le Musée entend donner à sa collection et à cet effet nous y regardons les œuvres présentées, le parcours, les réitérations d’œuvres. Notre enquête montre qu’après vingt ans de présence au centre-ville, les acquisitions sollicitées par achat ou par don qui rejoignent la collection du MACM sont soutenues par une intention double : la mise en avant des étapes de la modernité artistique au Québec, et la présentation de ce qui se fait dans l’actualité. Le sens motivant les acquisitions est parfois confus notamment en ce qui concerne les œuvres de la collection Lavalin dont seul un faible pourcentage (une centaine) remplit les conditions. Notre étude des 31 expositions de la collection met également en évidence l’existence d’une présentation et d’un parcours suivant la double intention du collectionnement, à savoir : l’arrivée de l’abstraction et le cheminement stylistique de l’art contemporain au Québec ainsi que la monstration de l’actualité artistique. Dans ce domaine également, un nombre restreint d’œuvres provenant de la collection Lavalin sont représentées. Finalement, afin d’ouvrir une fenêtre sur d’autres façons de faire nous faisons quelques petits détours. Nous regardons les propositions apportées par la vaste étude sur l’état des musées québécois Entre mémoire et devenir, aussi appelé le Rapport Corbo (2013) pour répondre aux questions de collectionnement, d’engorgement des réserves et de désactualisation de certains corpus de la collection. Nous examinons aussi comment d’autres institutions vouées à l’art contemporain de par le monde répondent à des questions similaires. / The aim of this thesis is to document and examine 20 years of collecting at the Museum of Contemporary art of Montreal between 1992 and 2012, a period during which the collection went from 3300 works of art to more than 7700. We investigate the development of the collection and its representation via exhibitions organized by the Museum. We seek to report what the acquisitions tell us about the institution, the orientation it is giving its collection and the message it seeks to transmit. Our research based on analysis of facts collected in public documentation examines the composition and functioning of the various decision committees responsible for acquisitions, and the financing of the institution. It details acquisitions made via purchase and gift, looks at the style and date of the works selected. It documents the arguments (justifications) brought forward in order to acquire the work and add it to the collection. It observes the image the Museum wants to convey of its collection through its exhibitions. Our study draws a factual portrait of collection during the mandates of the 3 directors in charge of the Museum over a 20 year period and the idea of the collection they tried to communicate via exhibitions.
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Les musées de musique à l’épreuve de leurs visiteurs. Analyse critique des normes muséales et des rapports aux savoirs / Music museums under the scrutiny of their visitors. A critical analysis of museum norms and of the relationship to knowledge

Dehail, Judith 08 December 2017 (has links)
Ce travail propose une lecture de la transgression au musée : elle se présente comme un prisme au travers duquel observer l’architecture des normes qui y régissent la conception et l’appréhension des savoirs. Le cas du musée de musique, étudié au travers d’une enquête menée dans deux musées différents (le musée de la Musique à Paris et le Grassi Museum für Musikinstrumente à Leipzig, Allemagne), éclaire la complexité des processus qui sous-tendent la construction de ces normes, et les problèmes qu’ils soulèvent. Les entretiens réalisés auprès de visiteurs ont en effet attiré l’attention sur le paradoxe de la muséalisation d’objets dont la fonction première est de produire de la musique. La première partie de ma thèse s’attache à démêler les diverses épistèmês sur lesquelles le musée d’instruments de musique repose. J’y montre les conceptions des savoirs musicaux autour desquelles les musées d’instruments se sont structurés et qu’ils ont façonnées en retour. Les réactions des visiteurs (parfois transgressives) face à la présentation des savoirs musicaux au musée attirent également l’attention sur les normes qui définissent la place de leurs savoirs dans la conception du musée comme institution. La deuxième partie s’articule ainsi autour d’une analyse de la subsomption de la singularité des visiteurs sous la catégorie de « public de musée » au tournant du 20e siècle. La troisième partie s’intéresse aux normes sensorielles imposées par le dispositif muséal. J’y analyse la conception du sensorium sur laquelle le musée se fonde pour transmettre des savoirs à son public, et y expose la façon dont les transgressions des visiteurs éclairent les limites de cette conception. / This research proposes an interpretation of transgression in the museum: it is understood as a prism through which to look at the architecture of the norms that govern the conceptual structure and apprehension of knowledge. The case of the music museum, observed through fieldwork in two different museums (the musée de la Musique in Paris and the Grassi Museum für Musikinstrumente in Leipzig, Germany), highlights the complexity of the steps undertaken to achieve this architecture and the problems they raise. The interviews held with visitors have indeed drawn attention to the paradox of musealizing objects which are primarily meant to produce music. The first part of my thesis intends to disentangle the multiple epistemes on which the museum of musical instruments is built. I point to the conceptions of musical knowledge around which instrument museums are organized and which they in turn, have helped to shape. The reactions of the visitors (some of them transgressive) when faced with the display of musical knowledge in the museum, also draws attention to the norms which delimit their status, and that of their own knowledge in the organization of the museum as an institution. The second part of the thesis is therefore structured around an analysis of the subsomption of the diversity of the museum visitors under the heading "museum audience" at the turn of the 20th Century. The third part focuses on the sensorial norms imposed by the museum apparatus. I analyze the conception of the sensorium on which the museum relies in order to transmit knowledge to its public and I show how the transgressions of visitors to the music museum shed light on the limits of this conception.

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