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Sens et portée du rôle du législateur chez Jean-Jacques Rousseau

St-Amand, Antoine 09 1900 (has links)
La figure du législateur demeure matière à controverse dans la pensée politique de Jean-Jacques Rousseau. Son rôle, consistant à « transformer » la nature humaine en vue de réaliser la vertu civique, a porté certains interprètes à voir dans sa pensée une forme d’autoritarisme. L'erreur de cette interprétation nous apparaît être dans le sens et la portée attribués à l'idée de transformation morale. Cette dernière n'implique pas une transformation radicale des mœurs, mais bien leur parachèvement. Circonscrire cette portée nécessite de concevoir les mœurs comme une matière donnée et qui ne saurait être façonnée indéfiniment, car ses potentialités sont déterminées par son développement historique. Ce caractère décisif attribué par Rousseau au développement historique peut se comprendre à la lumière de sa conception pessimiste de l’évolution des mœurs. D’après cette conception, les mœurs, essentiellement corruptibles, atteignent un stade historique de corruption où elles ne sauraient être parachevées en vertu. Il s’ensuit que seul un peuple dont les mœurs sont non corrompues par le progrès historique a la potentialité d'atteindre la vertu. Ainsi, la tâche du législateur d'effectuer une transformation morale de l'homme doit être entendue non comme celle de créer ex nihilo une nouvelle nature humaine, mais comme celle de parachever les virtualités propres aux mœurs saines. / The status of the legislator remains a matter of controversy in the political philosophy of Jean-Jacques Rousseau. His role, which consist in transforming human nature in order to realize civic virtue, has lead some interpreters to see in Rousseau’s thought a form of autocratic process. This error of interpretation seems related to the meaning and the range attributed to the idea of moral transformation. For Rousseau, the latter does not imply a radical transformation of morals (moeurs), but rather a process for perfecting or improving them. To circumscribe this task requires interpreting morals as a given matter that is not indefinitely malleable since its potential is determined by its historical development. This decisive character attributed to historical development by Rousseau can be understood in the light of his pessimistic conception of the evolution of morals. According to this conception, morals are essentially corruptible, and reach an historical stage of decadence such that they cannot be reformed into virtue. It follows that only a people whose morals are not corrupted by historical progress have the potential to reach virtue. Accordingly, the legislator, whose task is to carry out a moral transformation of man, must not be understood as one that creates ex nihilo a new human nature but rather as one that completes the potentiality inherent to healthy morals.
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Determinants of public support for European Enlargement : a comparative analysis of public attitudes toward the accession of Turkey and Poland

Ilter, Ilker January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le roi, l'église et la guerre : la prédication à Montréal au moment de la conquête (1750-1766)

Décary, Simon January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Représentation de la révolution grecque dans la presse écrite du Bas-Canada (1821-1831)

Tzournavelis, Constant January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Débat privé, enjeu public? : comment les citoyens ordinaires construisent des opinions sur le problème de l’énergie / Private debate, public issue? : how ordinary citizens construct their opinions on the energy public problem

Bouillet, Jérémy 12 September 2017 (has links)
L’énergie apparaît comme un problème public majeur, dans la résolution duquel les pouvoirs publics s’engagent régulièrement. Mais, à l’autre bout de cette chaîne, comment les individus ordinaires s’approprient-ils le problème public de l’énergie ? Dans les mesures classiques de l’opinion publique, les questions énergétiques et environnementales sont souvent loin d’occuper les premières places dans la hiérarchie des priorités. Or, pour réduire la pression engendrée par nos modes de consommation sur les écosystèmes, le changement des comportements et des attitudes de consommation est présenté comme un levier majeur. La question énergétique est-elle alors un enjeu politique pour tous mais un problème pour personne ? Pour répondre à cette question nous nous interrogeons sur la fabrique des opinions ordinaires et nous proposons de considérer ces dernières comme des énoncés discursifs testés dans des situations sociales plus ou moins complexes, conflictuelles et publiques. En amont, bon nombre d'acteurs ayant accès à l'espace public contribue à orienter et promouvoir certaines injonctions normatives pour définir la « bonne » pratique. Mais ces injonctions ne sont ni stables, ni homogènes : elles font l'objet de controverses et donnent lieu à des reformulations discursives parfois dissonantes. Entre enjeux technologiques, économiques, écologiques, sociétaux, etc. l’énergie comme problème public est alors soumise à un cadrage par des ordres normatifs dynamiques définissant certaines déviances et se voit proposer des solutions reconnues comme légitimes sous l’effet, entre autres, de l’action publique. Mais, ce niveau de description fait l’économie de la parole des citoyens « ordinaires », couvrant ainsi un présupposé instrumental commun qui estime que les citoyens dotés de la « bonne » information agissent « correctement ». Ce présupposé est contestable. Certes, une majorité écrasante d’enquêtés souligne son accord de principe aux économies d’énergie, témoignant ainsi de sa connaissance – même partielle – de l’existence d’un « problème public de l’énergie » et d’un engagement – même limité – aux injonctions à la modération en termes de consommation énergétique. Mais cet accord tacite se heurte à d’autres injonctions, à la compétition des problèmes, des pratiques sociales et à la mise en œuvre pratique des solutions. Ni surcompétents, ni incompétents, les citoyens ordinaires construisent donc du sens à travers des ordres normatifs concurrentiels et cherchent à le rendre compatible avec leurs modes de vie. Pour ce faire, la confrontation de leurs opinions et l’ajustement collectif de leurs représentations sont nécessaires. En reprenant certaines notions du pragmatisme, nous interrogeons la manière dont les perceptions du problème de l’énergie varient selon les scènes sociales où il est discuté, leur publicité ou encore le degré de conflictualité qu’il génère, et nous montrons que des communautés locales interprétatives d’un problème – et éventuellement de solutions – peuvent émerger et contribuer à alimenter la légitimité du problème dans l’espace public. Par ce biais, nous soulignons qu’il existe des espaces adossés au politique mais qui ne répondent pas toujours aux critères de conflictualisation et montée en généralité. Ces espaces illustrent l’intérêt de prendre en compte l’ambivalence et la labilité des opinions dans l’appropriation d’un problème public et la normalisation de ses solutions. / Energy appears to be a major public problem, in which the public authorities regularly commit. But at the other end of this chain, how do ordinary individuals appropriate the public problem of energy? In the classical measures of public opinion, energy and environmental issues are often far from the top of the hierarchy of priorities. However, to reduce the pressure generated by our consumption patterns on ecosystems, the change in consumer behavior and attitudes is presented as a major lever. Is the energy issue then a political issue for all but a problem for no one? In order to answer this question, we question the fabric of ordinary opinions and propose to consider them as discursive statements tested in more or less complex, conflicting and public social situations.Upstream, many actors with access to public space help to guide and promote certain normative injunctions to define "good" practice. But these injunctions are neither stable nor homogeneous: they are the subject of controversies and give rise to discursive reformulations, sometimes dissonant. Between technological, economic, ecological, societal, etc. energy as a public problem is then subjected to a framing by dynamic normative orders defining certain deviations and is offered solutions recognized as legitimate under the influence of, inter alia, public action.But this level of description does not take "ordinary" citizens into account, and covers a common instrumental presupposition that citizens with "good" information act "correctly". This presupposition is questionable. Admittedly, an overwhelming majority of respondents stressed their agreement in principle to energy savings, thus demonstrating their knowledge - even partial - of the existence of a "public energy problem" and a commitment - even limited - to injunctions to moderate their energy consumption. But this tacit agreement comes up against other injunctions, competition between problems, social practices and the practical implementation of solutions.Neither overcompetent nor incompetent, ordinary citizens construct meaning through competitive normative norms and seek to make it compatible with their lifestyles. To do this, the confrontation of their opinions and the collective adjustment of their representations are necessary. By taking up some of the notions of pragmatism, we examine how the perceptions of the energy problem vary according to the social scenes in which it is discussed, their publicity or the degree of conflict that they generate, and we show that local communities with a common interpretation of a problem - and possibly solutions - can emerge and help fuel the legitimacy of the problem in public space. In this way, we emphasize that there are more or less public spaces but which do not always meet the criteria of conflictualization and rise in generality. These spaces illustrate the importance of taking into account the ambivalence and the lability of opinions in the appropriation of a public problem and the standardization of its solutions.
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Des temps de paix aux temps de guerre : les parcours des travailleurs étrangers de l'Est et du Sud-Est de la France (1871-1918) / From war times to peace times : the immigrants workers of east and southeast of France (1871-1918)

Kronenberger, Stéphane 20 March 2014 (has links)
Cette thèse propose d’abord une relecture des migrations des travailleurs étrangers séjournant dans l’Est et le Sud-Est de la France entre 1871 et 1914. Il ne s’agit pas de comparer les espaces précités, mais de démontrer, qu’au-delà de la distance séparant espaces d’origine et d’accueil ou des déterminants de nature trop strictement économique, les parcours des individus concernés relèvent de logiques plus complexes. Ces dernières font, en effet, toute leur place aux réseaux, aux liens interpersonnels forgés sur la longue durée, et aux dynamiques de formation et de qualification. Ces trajectoires d’étrangers occupés dans l’agriculture, l’industrie ou l’artisanat et le petit commerce permettent également de prendre en compte les sociétés d’origine à leur juste valeur. En s’appuyant sur ces premiers résultats, a ensuite été mis en exergue le fait que la Grande Guerre est loin de constituer, du point de vue migratoire, une rupture totale avec la période antérieure. Des départs d’étrangers résidant en France se produisent certes dès le déclenchement des hostilités, mais d’autres allogènes obtiennent un permis de séjour ou sont rapidement placés dans des camps d’internement. Par ailleurs, la nécessité d’amplifier l’effort de guerre engendre des retours et de nouvelles arrivées, qui découlent en partie de la réactivation de flux et de mécanismes d’interconnaissance. Le contrôle à distance de ces travailleurs venus d’ailleurs se renforce néanmoins, avec comme laboratoire privilégié la zone des Armées, et on constate parallèlement une certaine inflexion de leurs rapports avec l’opinion française, y compris lorsque ces étrangers n’appartiennent pas aux puissances ennemies. / This thesis proposes a second reading of the foreign workers living in the East and South-East of France between 1871 and 1914.
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Les cultures stratégiques canadiennes et l’opinion publique : une étude de la représentativité du gouvernement libéral de 2015 à 2017

de La Rochelle Renaud, Guillaume 05 1900 (has links)
No description available.
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Le Transportation Plan, aspects et représentations : une histoire des bombardements aériens alliés sur la France en 1944 / The Transportation plan, facts and opinions : a survey of allied airial bombing of France in 1944

Foucrier, Jean-Charles 28 November 2015 (has links)
Au printemps 1944, les bombardements aériens alliés sur la France atteignent leur intensité maximale depuis le début de la Seconde Guerre mondiale. Près de deux années après les grands tournants de l’année 1942, la situation militaire est à présent largement en faveur des Alliés. La défaite finale du Troisième Reich semble désormais inéluctable. La préparation d’Overlord, le retour en force à grande échelle sur le continent européen, se heurte à des difficultés stratégiques et techniques inédites. Un scientifique peu connu, Solly Zuckerman, brillant zoologiste mais aussi civil inconnu des cercles militaires, réussit à persuader le haut-commandement allié de l’intérêt de son plan aérien. Son Transportation Plan se propose de frapper décisivement le système ferroviaire français, de manière à bouleverser le flux de renforts ennemis vers la tête de pont alliée lors de l’exécution du débarquement. Audacieux par son innovation stratégique, risqué par la menace évidente pesant sur les civils français, le plan de Zuckerman se heurte immédiatement à la susceptibilité des grands chefs du bombardement stratégique, engagés dans une campagne aérienne presque « privée » sur l’Allemagne. La question des pertes civiles secoue brutalement les milieux politiques avec notamment Winston Churchill, et remonte in fine jusqu’à Franklin Roosevelt. Méconnu de l’historiographie, le Transportation Plan représente pourtant une histoire fascinante de la préparation du débarquement de Normandie. / In spring 1944, Allied bombing of France was to reach its maximum intensity since the beginning of World War II. Nearly two years after the great turning points in 1942, the military situation was now largely in favour of the Allies. The final defeat of the Third Reich now appeared inevitable. The preparation of OVERLORD, the renewed application of large-scale power on the European continent, faced strategic challenges and required novel techniques. A little-known scientist, Solly Zuckerman, a brilliant zoologist but also a civilian unknown in military circles, persuaded the Allied high command of the validity of his air plan. This “Transportation Plan” proposed to strike decisively at the French railway system in order to disrupt the flow of enemy reinforcements to the Allied beachhead during the landings. Daring by strategic innovation, risky by the obvious threat to French civilians, Zuckerman's plan ran immediately into the hostile scrutiny of the great chiefs of strategic bombing, who were engaged in their almost "private" air campaign against Germany. The issue of civilian casualties brutally shook politicians including Winston Churchill, and ultimately went back to Franklin Roosevelt. Unknown in historiography, the “Transportation Plan” represents a fascinating history of the preparation of the Normandy landings.
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Leçon d'histoire pour une droite dans l'opposition ? : les mobilisations de droite contre le Cartel des gauches dans la France des années Vingt. / A history lesson for a right-wing in political opposition? : the right-wing mobilizations against the Cartel des gauches in France in the 1920s

Dubois, Jean-Etienne 11 December 2013 (has links)
Alors que la reconstruction matérielle du pays s’achevait au milieu des années Vingt, il en allait de même pour le champ politique français. A partir de 1924, le retour à une nette bipolarisation entre gauche et droite eut un effet structurant sur le champ politique français, qui n’avait plus connu une telle configuration depuis le début du XXe siècle. Les élections de 1924, marquées par la victoire du Cartel des gauches face au Bloc national, apparaissent comme une césure politique, largement négligée par l’historiographie de l’entre-deux-guerres depuis les travaux de Jean-Noël Jeanneney sur le Cartel des gauches dans les années 1970. De leur passage dans l’opposition en 1924-1926, les droites françaises tirèrent un certain nombre de leçons. La principale était que le verdict des urnes pouvait être renversé en cours de législature : en juillet 1926, la majorité cartelliste, affaiblie par les contradictions entre socialistes et radicaux face à une crise financière et monétaire qui s’aggravait, laissa définitivement place à une majorité d’union nationale, réunie sous l’autorité du principal adversaire des gauches lors de la campagne de 1924, Raymond Poincaré. Pour les droites de nouveau vaincues en 1932 et en 1936, c’était un précédent à retenir. Autre leçon, les mobilisations anticartellistes, dans leur diversité, au sein du champ politique ou du champ social, avaient contribué à affaiblir la majorité radicale et socialiste : l’action militante, politique et sociale, avait une capacité d’influence non négligeable au sein du régime parlementaire de la Troisième République. De 1924 à 1926, les organisations anticartellistes politiques ou associatives, à l’instar de celles entendant représenter les intérêts des catholiques ou des commerçants et artisans, développèrent une culture et des pratiques politiques d’opposition, qu’elles firent rejouer tout au long de l’entre-deux-guerres. Cette expérience démontra également la persistance, dans l’opposition, des divisions structurelles du champ politique des droites, en raison du maintien de clivages tant doctrinaux (sur la laïcité, la politique étrangère ou le parlementarisme), que stratégiques (attitude d’intransigeance ou de conciliation vis-à-vis des radicaux). Dans leur ensemble, ces divisions, mais aussi les débats et les pratiques politiques qui s’épanouirent pendant ces deux années, perdurèrent jusqu’au milieu des années Trente. / In the mid-twenties, France was achieving its reconstruction, both economical and political. In 1924, and for the first time since the beginning of the century, the general election took place in a context of a clear bipolarization between left and right, which had a structuring effect on French political field. The victory of the Cartel des gauches at this election appears as a political break-point, that the historiography about political life during interwar years has rather neglected since Jean-Noël Jeanneney’s studies upon Cartel des gauches in the seventies. The organizations of the right-wing learnt a few important lessons from this period when they were in the parliamentary opposition. The most important one was that the political majority coming out democratic election could be changed in the middle of the parliamentary legislature. Indeed, in July 1926, weakened by the growing divisions between radicals and socialists incapable of giving an answer to the increasing financial and monetary crisis, the cartellist majority fell definitely. Raymond Poincaré, the main opponent of the left in 1924, came back to the Council presidency, leading a new parliamentary majority of national union. When the right had been defeated again in 1932 and 1936, it remembered this precedent. Another lesson was that the various social and political mobilizations against the Cartel des gauches had played a significant role to weaken the socialist and radical majority. The community movements, such as catholic or professional ones, and the political organizations mobilized in this period, built a culture and abilities of being in political opposition, that they have reactivated later during the interwar years. This episode proved also the persistence, in political opposition, of structural divisions of the political field of the French right-wing, due to the permanence of doctrinal and strategic splits (the first ones about questions of secularism, foreign policy or parliamentary nature of institutions; the second ones about the political attitude toward the radicals, between uncompromising attitude and conciliation). These divisions, but also the nature of the political debates and the political practices which were developed during these two years, had lasted until the mid-thirties.
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L’interaction entre l’opinion publique et la diplomatie françaises au moment de la guerre d’Indépendance américaine

Lagrange, Marianne 08 1900 (has links)
Dès les batailles de Lexington et Concord le 19 avril 1775, la guerre d’Indépendance américaine retient l’attention en France, et ce, à la fois des diplomates français, mais également de l’opinion publique française. Parmi les deux groupes, on retrouve des éléments qui tentent de favoriser et de préparer une intervention officielle de la France dans cette guerre. L’objectif de ce mémoire est donc d’étudier l’interaction qui eut alors lieu entre l’opinion publique et la diplomatie. Le premier chapitre étudie comment l’opinion publique crée les conditions opportunes à l’intervention de Beaumarchais auprès du gouvernement français, puis l’impact de cette intervention. Le second chapitre s’intéresse quant à lui aux arguments mis de l’avant par le ministère des Affaires étrangères – par l’entremise de sa propre gazette, les Affaires de l’Angleterre et de l’Amérique – pour convaincre et préparer l’opinion publique à l’intervention de la France dans la guerre d’Indépendance américaine. / As early as the battles of Lexington and Concord, April 19th 1775, the American War of Independence holds the attention in France of both French diplomats as well as French public opinion. Amongst both groups, we find elements trying to favour and prepare an official French intervention in this war. The aim of this thesis is therefore to study the interaction that took place then between public opinion and diplomacy. The first chapter studies how public opinion created the opportune conditions for Beaumarchais’ intervention to the French government and the impact of this intervention. As for the second chapter, it is interested in the arguments put forward by the Ministry of Foreign Affairs – through its own newspaper, the Affaires de l’Angleterre et de l’Amérique – to convince and prepare public opinion to the intervention of France in the American War of Independence.

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