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La question du sens de l'action dans les opérations extérieures : décision politique, soutien public et motivation militaire dans le cadre de la participation française à la FIAS et à la FINUL renforcée

Mathieu, Ilinca 18 September 2014 (has links)
De nombreuses études concluent à la supériorité des démocraties dans la guerre. A travers notre analyse des relations unissant aujourd’hui les piliers de la trinité clausewitzienne classique – pouvoir politique, peuple et armée – notre recherche s’attache à mettre en évidence l’importance, à cet égard, de la définition du « sens de l’action ». Complexe à conceptualiser, cet objet naît de l’interaction des trois piliers de la trinité qui contribuent à le construire. Cette dynamique prend son origine dans le sens conféré, par le discours politique,à la décision de recourir à la force. Ce sens politique repose sur les intérêts nationaux tels qu’appréhendés par les décideurs, mais également, du fait de la contrainte démocratique, sur les préférences de l’opinion publique telles que perçues par le politique. Le soutien public apparaît essentiel pour alimenter la volonté politique dans le conflit, mais influence aussi le moral des militaires déployés en opérations. Notre étude s’attache donc, en second lieu, à analyser les composantes du sens conféré par les militaires à la mission qu’ils exécutent, afin de déterminer dans quelle mesure un sens politique insuffisamment clair peut influencer le soutien public et, in fine, une éventuelle perte de sens chez les soldats. Cette analyse multiscalaire cherche en définitive à répondre à la question de savoir pourquoi l’on se bat, en approfondissant deux cas d’étude : la participation de l’Armée de terre française à la FIAS, en Afghanistan, et à la FINUL renforcée, au Liban. Elle peut s’inscrire, plus largement, dans le courant d’analyse cherchant à déterminer les facteurs d’efficacité dans la guerre, en esquissant l’idée que les démocraties peuvent, du fait des contraintes qui leur sont propres, présenter une faiblesse à cet égard. / Many studies have determined that democracies perform better in war. Through our analysis of the relationship that links the pillars of today’s clasewitzian trinity – political leaders, people and soldiers – our study seeks to highlight the importance, to this regard, of defining the « meaning of the action ». In spite of a complex conceptualization, this object can be apprehended by analyzing the interactions of the three pillars, within the frame of a military intervention abroad. This interactional dynamic’s origin lies in the meaning given by the political discourse to the decision to use force. This political meaning leans on national interests (as perceived by policymakers), but also on public preferences (as perceived by policymakers), due to democratic constraint. Public support appears essential to underpin the political will during a conflict, but it also affects soldiers’ morale in the field. Secondly, our study thus seeks to analyse the components of the meaning given by soldiers to their mission,in order to determine to what extent an uncleared or blurred political meaning might affect public support and ultimately provoke a loss of meaning among the military. This multiscale approach aims to answer to the ultimate question of knowing why are we fighting, by deepening two case studies : the French Army contribution to ISAF (in Afghanistan) and UNIFIL II (in Lebanon). It can more broadly come within the framework of previous researchs studying strategic and battlefield effectiveness, by underlying that democracies might have a weakness in this regard.
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La formation médiatisée du citoyen en Italie pendant la transition vers la deuxième République / Citizens Media Education in Italy during Transition to Second Republic

Repetto, Federico 01 December 2011 (has links)
Le premier chapitre résume et anticipe une grande partie des thèmes de la recherche. Le §.1 et le 2 montrent la surprise et l’égarement de certains autorisés intellectuels libéraux démocratiques face à la victoire de Berlusconi en 1994, qui, avec les transformations de la loi électorale en 1993, marquerait, selon l’opinion courante, le passage à la « deuxième République ». Ma recherche suggère plutôt que 1994 a été le retour à une culture antipolitique longtemps refoulée, que Berlusconi a bien su interpréter et représenter, tant dans ses télévisions que dans sa propagande politique directe. En revanche à mon avis c’est la défaite des référendums de 1995 pour l’abrogation du duopole télévisuel et pour la limitation de la publicité (§.3) qui montre des indices bien plus forts de son hégémonie en tant que personnage public et « commanager » (« communication manager » - P. Musso), mais les politiciens traditionnels ont de graves responsabilités en ce qui concerne les origines du duopole et le développement de son hégémonie télévisuelle (§.4). Dans le §.5,6 et 8 j’expose les deux clefs d’interprétation de l’histoire de la néo-télévision qui guideront ma recherche surtout dans les ch. 5, 6 et 7 : l’ « effet Meyrowitz » et l’ « l’effet Chomsky » (les guillemets sont nécessaires car je ne prétends pas qu’il s’agisse de théories pouvant être universalisées et formalisées, mais seulement de critères pour l’organisation et l’interprétation des données historiques). La première suggère la possibilité que la néo-télévision en Italie ait stimulé la perte progressive de l’aura, du prestige et de l’autorité des parents, des politiciens et en général des adultes. La théorie de Meyrowitz, inspirée à la sociologie dramaturgique de Goffman, visait à expliquer l’époque des mouvements de la contestation en Amérique par le biais de la diffusion de la télévision parmi les familles américaines (50% environ d’entre elles avaient un poste en 1954). Mais le recours à la paléotélévision ne peut pas donner de contributions importantes à la compréhension de ces mêmes mouvements en Italie : elle y était moins répandue, avait beaucoup moins d’heures d’émission, avait une seule chaîne au début et au maximum deux, etc ; et de toute façon beaucoup d’autres stimulations (la contagion étrangère, p.ex) se sont manifestées. La néotélévision en revanche a constitué un changement rapide qui a concerné tous les aspects (heures d’émission, nombre de chaînes,etc), donc ont peut s’attendre à une ultérieure perte de prestige des adultes, mais dans une forme différente par rapport à la contestation. L’ « effet Chomsky » peut intégrer l’ « effet Meyrowitz ». Selon Chomsky, les médias qui vivent de publicité doivent « produire » (je dirais : attirer, sélectionner, former) leur public, qu’ils devront « vendre aux annonceurs ». Les grilles de la néo-télévision seront donc au service des exigences des ces derniers. Il ne s’agit certes pas d’une idée nouvelle, ni d’une idée de Chomsky seulement, qui l’emploie de façon apodictique dans sa polémique contre les media mainstream : elle est partagée entre autres par A. Pilati avec une intention décidemment apologétique (cf. §.8). Naturellement cet « effet » est encore moins déterminable de manière scientifique, car la formation concerne notamment en tant que telle la longue période, est le résultat de trop de facteurs croisés et ses conséquences sont difficilement prévisibles, sinon carrément imprévisibles. Néanmoins les attitudes des italiens envers la publicité et les marques ont changé depuis de façon si radicale (cf sondages Eurisko) que l’on ne peut que les mettre en relation avec le développement contemporain de la néotélévision. En outre la publicité adressée aux enfants vise à en faire des consommateurs autonomes par rapport à leurs parents. / The first chapter summarises and anticipates most of the research topics. Paragraphs 1 and 2 show the surprise and perplexity of some pre-eminent liberal-democratic intellectuals facing Berlusconi’s victory in 1994, which, along with the transformation of the electoral law in the previous years, mark out the passage to the “second republic” according to the current opinion. My research suggests that 1994 instead marked the return to an anti-political culture which was repressed for a long time and Berlusconi was able to interpret and represent, both in his television channels and in the direct political propaganda. I believe that the defeat of the referendum in 1995 for the repeal of television duopoly and the limitation of advertising (§.3) are, on the other hand, a much clearer clue of his hegemony as public figure and “commanager” (“communication manager” – P. Musso), but traditional politicians are highly responsible for the origin of the duopoly and his achievement of “neotelevision” (Casetti-Odin) hegemony (§.4). In §.5, 6 and 8, I expound the two keys to understand the history of “neotelevision” (Casetti-Odin) which will guide my research especially in chapters 5, 6 and 7: the “Meyrowitz effect” and the “Chomsky effect” (quotation marks are necessary because I do not expect them to be theories which can be formalised and universalised, but they can only be clues for the organization and interpretation of historical data). The first theory suggests the possibility that “neotelevision” in Italy caused the progressive loss of aura, prestige and authority of parents, politicians and adults in general. Meyrowitz theory, inspired by Goffman’s dramaturgical sociology, aimed to explain the rise of protest movements in America with the widespread of television sets among American families (almost half of them had a television set in 1954). Nevertheless “paleotelevision” in Italy cannot significantly explain these same movements: it was less widespread, it had a smaller amount of hours of transmission, it had only one channel at first, then two…; in addition to this many other stimuli (starting from the “contagion” of the movement from abroad) appeared at that time. On the contrary “neotelevision” was a sudden change which concerned all the variables (hours of transmission, channels, etc…), therefore a further loss of adults’ prestige could be expected from it, but in a form different from protest. The “Chomsky effect” can integrate the “Meyrowitz effect”. According to Chomsky, media that lives off advertisement have to “produce” (I would say: attract, select, shape) the public, which then they will have to “sell to advertisers”. Program schedules of “neotelevision” will be, therefore, at complete disposal of the advertisers’ demands. It is certainly not a new idea, nor an idea had only by Chomsky, who uses it in an apodictic way against media mainstream: among others Antonio Pilati shares this idea, but with an apologetic intent (cf. §.8). Of course this “effect” is even less scientifically definable, because the educational process itself requires a long period of time, it is the result of too many crossed factors and its consequences are considered to be hardly predictable, or even unpredictable. Nevertheless, from those years, Italians’ attitude towards advertising and brands has gone through changes so drastic (as evidenced by Eurisko researches) that we cannot avoid relating them to the contemporary development of “neotelevision”. Moreover advertising targeting children and youngsters aims to make them consumers that are independent from their parents and to some extent it reinforces the “Meyrovitz effect”. Both the “effects” aim to develop television as independent educational curriculum.
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Le malaise du médecin dans la relation médecin-malade postmoderne

Hanson, Bernard 12 December 2005 (has links)
En partant d’une description des nombreux changements de la pratique médicale depuis quelques décennies, la thèse étudie divers aspects constitutifs du malaise du médecin. L’accroissement de la puissance médicale qu’a permis la technoscience est analysée et remise dans un contexte plus large où les technologies de l’information ont une grande place. L’augmentation considérable des connaissances pose un problème de maîtrise de la science médicale. La multiplicité des observations fait qu’il y a discordance de certaines d’entre elles avec les théories médicales largement acceptées. De cette manière, le gain d’efficacité est associé à une perte de la cohérence du discours médical. Le rôle du médecin disparaît derrière la technique, qui semble pouvoir, seule, rendre tous les progrès accessibles. Le médecin devient alors un simple distributeur de services et, à ce titre, développe parfois des offres de pratiques sans fondement, voire dangereuses.<p>Le pouvoir du médecin est évoqué, et se ramène in fine à la fourniture d’un diagnostic et d’une explication de sa maladie au patient. Le rôle des explications particulières que donne le médecin au malade est exploré à la lumière d’une conception narrative et évolutive de la vie humaine. Le rôle du médecin apparaît alors comme d’aider le patient à réécrire a posteriori le fil d’une histoire qui apparaît initialement comme interrompue par la maladie.<p>Le rôle social de maintien de l’ordre de la pratique médicale est alors évoqué. Ensuite, par une approche descriptive du phénomène religieux, on montre que la médecine du XXIe siècle a les caractéristiques d’un tel phénomène. Entités extrahumaines, mythes, rites, tabous, prétention à bâtir une morale, accompagnement de la vie et de la mort, miracles, promesse de salut, temples, officiants sont identifiés dans la médecine « classique » contemporaine. Seule la fonction de divination de l’avenir d’un homme précis est devenue brumeuse, la technoscience permettant régulièrement du « tout ou rien » là où auparavant un pronostic précis (et souvent défavorable) pouvait être affirmé.<p> L’hypothèse que la médecine est devenue une religion du XXIe siècle est confrontée à des textes de S. Freud, M. Gauchet et P. Boyer. Non seulement ces textes n’invalident pas l’hypothèse, mais la renforcent même. Il apparaît que le fonctionnement de l’esprit humain favorise l’éclosion de religions et donc la prise de voile de la médecine. La dynamique générale de la démocratisation de la société montre que la médecine est une forme de religion non seulement compatible avec une société démocratique, mais est peut-être une des formes accomplies de celle-ci, où chaque individu écrit lui-même sa propre histoire.<p>Le danger qu’il y a, pour le patient comme pour le médecin, si ce dernier accepte de jouer un rôle de prêtre, est ensuite développé. Enfin, la remise dans le cadre plus général de l’existence humaine, l’évocation de la dimension de révolte de la médecine, de son essentielle incomplétude, l’acceptation d’une cohérence imparfaite permettent au médecin de retrouver des sources de joie afin de, peut-être, ne tomber ni dans un désinvestissement blasé, ni dans un cynisme blessant.<p><p>From a description of the many changes medical practice has undergone for a few decades, the work goes on to study many sides of the modern doctor’s malaise. The gain of power made possible by technoscience is put on a larger stage where information technologies play a major role. The abundance of knowledge makes health literacy more difficult. the great number of observations makes discrepancies with general theories more frequent. The gain in power is associated with a loss of coherence of the medical speech. The doctor’s role vanishes behind technology that seems to be the only access to all medical progresses. Doctors becomes mere service providers and go on to offer unvalidated or even harmful services on the market.<p>Modern medical power resumes into the explanations and diagnosis given to the patient. The role of medical explanations is explored through an evolutive and narrative vision of human life. The duty of the doctors then appears to allow a new narration of the self that bridges the gap disease introduced into the patient’s life.<p>The role of medicine in maintaining social order is mentioned. Through a sociological approach of the religious phenomenon, one can see that XXIst century medicine is such a phenomenon. Medicine knows of extrahuman entities, myths, rites, taboos, miracles, temples; priests are present in modern mainstream medicine. Some want to derive objective moral values from medicine, and it brings companionship to man from birth to death. The only departure from old religions was the weakened ability to predict the future of an individual patient: for some diseases for which survival was known to be very poor, the possibilities are now long-term survival with cure, or early death from the treatment. <p>The hypothesis that medicine is a religion is confronted to texts from Freud S. Gauchet M. and Boyer P. Not only do they not invalidate the hypothesis, but they bring enrichment to it. Brain/mind dynamics is such that the appearance of religions is frequent, and makes the transformation of medicine into a religion easier. Society’s democratisation confronted to religion’s history shows that medicine is the most compatible form of religion within a truly democratic society, where each individual writes his own story.<p>To become a priest brings some dangers for the patient, but also for the doctor. These dangers are discussed. This discussion is put into the larger context of human life. The revolt dimension of medicine is discussed, as is its never-ending task. Their acceptance, as that of a lack of total logical coherence can open the possibility for the doctor to enjoy his work, without being neither unfeeling nor cynical.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation bioéthique / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Stravinski et les exégètes: positions critiques et stratégies discursives, 1910-1940

Dufour, Valérie 16 December 2004 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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The Economics of electoral systems

Verardi, Vincenzo January 2003 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le défi de l’enracinement napoléonien entre Rhin et Meuse (1810-1814). Étude transnationale de l’opinion publique dans les départements de la Roër (Allemagne), de l’Ourthe (Belgique), des Forêts (Luxembourg) et de la Moselle (France) / The Challenge of the Napoleonic Implantation between Rhine and Maas (1810-1814). Transnational Study of Public Opinion in the Napoleonic Departments Roer (Germany), Ourthe (Belgium), Forests (Luxembourg) and Moselle (France) / Die Herausforderung der napoleonischen Verwurzelung zwischen Rhein und Maas (1810-1814). Transanationale Studie zur öffentlichen Meinung im Roer- (Deutschland), Ourthe- (Belgien), Wälder- (Luxemburg) und Moseldepartement (Frankreich)

Horn, Pierre 16 December 2013 (has links)
Posant la question de l’enracinement napoléonien entre Rhin et Meuse (1810-1814), ce travail est, du fait de sa nature franco-allemande, différent des nombreuses études consacrées, depuis le XIXe siècle, au traitement de l’opinion publique. Il l’est également dans la mesure où il se fixe pour objectif de répondre, de manière comparative et dans un cadre transnational (France, Allemagne, Belgique, Luxembourg), à la question du rôle joué par l’opinion publique dans l’apogée du régime napoléonien (1810), puis dans son effondrement (1814). Au moyen de l’approche prônée par l’Histoire croisée, nous avons dégagé un certain nombre d’indices qui, sous l’Empire, nous semblent avoir été autant de pommes de discorde. De cette étude, il ressort tout d’abord qu’il existait des éléments structurels constituant, indépendamment de la conjoncture économique et de la politique napoléonienne, un frein à l’enracinement du nouveau régime. Il s’agit du fossé culturel et du souvenir des dominations d’Ancien Régime (Prusse, Autriche). Ensuite, les éléments relatifs à la politique (centralisation, ordre social, système économique) révèlent en quoi, indépendamment des structures et de la conjoncture, le régime napoléonien parvenait ou non à se faire progressivement accepter aussi bien des « anciens Français » que des « nouveaux Français » vivant dans les départements réunis. Enfin, les éléments conjoncturels se devaient également d’être abordés, indépendamment des précédents. Dans l’optique que soit définitivement tournée la page exagérée des histoires nationalistes, nous nous sommes attachés à écrire ce que l’on pourrait finalement considérer comme une Histoire ouest-européenne de l’opinion publique à l’époque napoléonienne. / Owing to its Franco-German nature, this historical study, which analyses the Napoleonic system’s implantation between Rhine and Maas (1810-1814), differs from the numerous studies devoted to public opinion since the 19th century. It is different in the sense that it innovatively sets out to address, from a comparative angle and within a transnational framework (France, Germany, Belgium and Luxembourg), the question of the part played by public opinion between climax (1810) and fall (1814) of the Napoleonic regime. By means of ‘Histoire croisée’, I have identified a certain number of fields which seem to have been, under the Napoleonic Empire, quite contentious issues. From this study emerges, first of all, that structural elements, independent of economic cycles and Napoleonic policies alike, curbed the new regime’s rooting. Instead, the latter was hampered both by cultural gaps and the memory of the preceding rule of the ‘Ancien Régime’ (Prussia, Austria). Second, the elements concerning the polity (centralisation, social order and economic system) reveal to what extent, independent of both structural elements and the economic situation, the Napoleonic regime succeeded, or failed to succeed, in being progressively accepted by ‘old Frenchmen’ as well as by ‘new Frenchmen’, i.e. those who had become annexed by the Republic and then found themselves being subjects of the Empire. Finally, the economic factors are addresses, independent, once again, of the previous ones. Leaving behind histories traditionally nationalist in tone, the present thesis may be considered as a Western European History on public opinion during the Napoleonic era. / Die vorliegende Arbeit beschäftigt sich mit der Frage nach der napoleonischen Verwurzelung zwischen Rhein und Maas (1810-1814) und unterscheidet sich aufgrund ihrer deutsch-französischen Natur von vielen anderen historischen Studien, die sich seit dem 19. Jahrhundert mit der öffentlichen Meinung beschäftigen. Sie hebt sich auch in der Hinsicht ab, als dass sie eine neue Fragestellung verfolgt, nämlich jene nach der öffentlichen Meinung zwischen dem Höhepunkt (1810) und in dem Zusammenbruch (1814) des napoleonischen Regimes, der mit einem komparativen Ansatz und in einem transnationalen Rahmen (Deutschland, Frankreich, Belgien, Luxemburg) nachgegangen wird. Mithilfe des Ansatzes der Histoire croisée wird eine Reihe Themen untersucht, welche schon unter Napoleons Empire Zankäpfel gewesen zu sein scheinen. Aus dieser Studie geht als Erstes hervor, dass einige Strukturmerkmale unabhängig von der wirtschaftlichen Konjunktur und von der napoleonischen Politik die Verwurzelung des neuen Regimes begrenzten. Hierbei geht es um kulturelle Gräben und um die Erinnerung an die vorangegangene Herrschaft der vorrevolutionären Regime (Preußen, Österreich). Als Zweites wird anhand mehrerer auf die Politik bezogener Parameter (Zentralisierung, soziale Ordnung, Wirtschaftssystem) untersucht, inwieweit es dem napoleonischen Regime gelungen ist, unabhängig von strukturellen und ökonomischen Faktoren, sowohl unter „Altfranzosen“ wie auch unter der durch französische Annektionen zu „Neufranzosen“ gewordenen Bevölkerung Akzeptanz zu finden. Darüber hinaus wurden die konjunkturell bedingten Faktoren analysiert, wiederum unabhängig von den vorigen Elementen. Im Kontrast zur stark nationalistisch geprägten Historiographie des 19. Jahrhunderts wird hier eine Arbeit vorgelegt, die als eine westeuropäische Untersuchung zur öffentlichen Meinung im napoleonischen Zeitalter Napoleons betrachtet werden darf.
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Les agrandissements d’Aix et de Marseille (1646-1789) : Droits, espaces et fabrique urbaine à l’époque moderne / The extension plan of Aix and Marseille (1646-1789) : Law, Space and Urban Fabric in Early Modern Period

Puget, Julien 07 March 2015 (has links)
À partir de deux opérations d’agrandissement de ville au XVIIe siècle (Aix en 1646, Marseille en 1666), cette recherche vise à comprendre les modalités concrètes de production de l’espace urbain sous l’Ancien Régime, à la fois au plan humain et matériel. Cette étude débute au ras du sol, à l’échelle la plus fine de la matérialité urbaine, à savoir le parcellaire. À partir d’une réflexion croisée autour des droits du sols et du marche de l’immobilier, l’enjeu ici est de mieux comprendre le poids des structures et des mécanismes juridiques privés dans les processus de fabrique de la ville. Changeant d’échelle d’analyse, un ensemble d’interrogations liées au domaine de l'économie du bâtiment permet de mettre en évidence les modalités économiques, sociales et juridiques qui entourent les chantiers de la construction. Le but ici est à la fois de dégager les règles cadrant l'activité constructive, et de déterminer les contours de la pratique des individus dans ce domaine. Cet axe induit une réflexion autour de la structuration à la fin du XVIIe siècle d’un ordre public constructif. Enfin, cette recherche aborde dans un troisième temps l’espace urbain dans son ensemble le plus vaste, à la fois sur le plan matériel et administratif. À partir des cadres politiques et institutionnels sollicités et déployés pour mener à bien ces opérations, c’est la question de l’intégration et de la gestion de ces nouveaux espaces à l'ordre urbain existant qui nous préoccupe. / From two city expansion operations in the seventeenth century (Aix in 1646, Marseille in 1666), this research aims to understand the practical arrangements for production of urban space under the old regime, both in human terms and equipment.This study begins at ground level at the finest scale of urban materiality, the plot. From a cross-reflection on the rights of the land and property market, the challenge here is to understand the weight of structures and private legal mechanisms in urban process.Changing scale of analysis, a set of questions related to the building of the economy domain allows to highlight the economic, social and legal conditions surrounding the sites of construction. The goal here is both to identify the rules framing constructive activity and to determine the contours of the practice of individuals in this area. This axis induces a reflection on the structuration of a constructive public order at the end of the seventeenth century.Finally, this research addresses urban space in its larger whole, both hardware and administratively. From the institutional and public frameworks to carry out these operations, the issue of integration and management of these new spaces to the existing urban order came up.
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Le vote eurosceptique parmi l'électorat europhile

Houde, Anne-Marie 06 1900 (has links)
No description available.
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Confronter les crimes nazis : les procès militaires alliés et l'opinion publique en Allemagne occupée

Racine, Rosalie 12 1900 (has links)
Ce mémoire de maîtrise analyse les liens entre les premiers procès militaires alliés en Allemagne occupée et l’opinion publique allemande dans l’après-guerre immédiat. Notre mémoire de maîtrise, à travers la présentation de l’analyse du procès de Belsen, organisé par les forces d’occupation britanniques de septembre à novembre 1945, et du procès de Dachau, tenu par le gouvernement militaire américain entre novembre et décembre 1945, cherche à mettre en lumière l’importance que ces derniers revêtaient dans l’établissement de relations cordiales entre occupants et occupés. Ce mémoire démontre donc, par les exemples de Belsen et Dachau, que les procès se situaient à la croisée entre le besoin des Alliés d’établir des relations positives avec les Allemands et leurs programmes de dénazification et de rééducation. Nous remarquons ainsi que, des premières étapes dans l’organisation de ces tribunaux jusqu’à leur achèvement, les Alliés ont pris en considération les différentes réactions des Allemands face aux procédures judiciaires : d’abord, avec l’ancrage des accusations et des procédures judiciaires dans une législation internationale qui précédait le début de la guerre, puis avec l’autorisation d’une défense pour les accusés qui permettait aux Alliés de revendiquer une autorité morale sur leur zone d’occupation. Ce mémoire de maîtrise, en plus d’examiner les procès d’après-guerre et leurs objectifs, propose également une analyse de la couverture journalistique de ces tribunaux et des sondages d’opinion publique menés après les procédures judiciaires. Notre étude établit ainsi que la couverture journalistique des procès était, souvent, une des premières fois où les Allemands se trouvaient confrontés aux atrocités commises dans les camps de concentration nazis. Finalement, avec l’analyse des sondages d’opinion publique, nous argumentons que les procès, en tant qu’outil politique, ont eu un succès mitigé dans l’établissement de relations positives entre les forces d’occupation britanniques et américaines et les Allemands. / This masters’ thesis analyses the connections between the first allied military trials held in postwar Germany and German public opinion toward the British and American occupation forces. Focused on the Belsen trial, held in the British occupation zone from September to November 1945, and the Dachau trial, held by the American military government in the U.S. occupation zone between November and December 1945, this study seeks to highlight the importance both trials held for the British and the Americans in establishing positive relations with the Germans. Using Belsen and Dachau as case studies, it argues that, while they were essential to British and American denazification and re-education programs, they also had to be conducted in a manner that ensured the best possible relationship the German public and the occupation forces in both the American and British occupation zones. I demonstrate that, from the initial steps implemented to set up the trials through their conclusion, both powers took German concerns and reactions to the judiciary procedures into account: first by anchoring the charges and the trials themselves in international law preceding the Second World War; then by providing the right to a defense to the accused. Both factors, the Allies believed, allowed them to claim a moral authority over their occupation zone. The memoir’s examination of the trials and their purpose is complimented by an analysis of the press coverage of the trials and public opinion surveys taken after the trials. This study states that the press coverage was oftentimes one the first instances in which Germans were confronted to the atrocities committed in the concentration camps. Finally, this study argues that, as a part of larger programs, the trials had a limited success as a tool to implement positive relations between the British and American occupation forces and the German population.
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Le pouvoir de l'ombre : l'imaginaire du complot durant la Révolution française (1789-1801)

Münch, Philippe 13 April 2018 (has links)
Cette thèse a pour objectif principal d'analyser les représentations de conspirations véhiculées durant la Révolution française (1789-1801), ce que nous appelons l'imaginaire du complot. Nous définissons le phénomène comme étant un mode d'explication, d'expression et de représentation simpliste, manichéen et dramatisé de la réalité mettant en scène un contre-pouvoir caché qui menace la communauté. Ce type de discours comporte plusieurs fonctions idéologiques : explicative, politique, normative et justificative. Les théories de complot dévoilent un puissant imaginaire du pouvoir, de l'espace public, ainsi que des relations sociales et humaines. Elles sont également construites en fonction de diverses structures : langagière, narrative et archétypale. Un langage codifié autour de substantifs, de verbes et d'adjectifs permet de dire et de parler de cette force qui assaille la communauté politique. La forme narrative rend tangible ce pouvoir de l'ombre en structurant le temps, en mettant en scène les acteurs, puis en agençant les faits et les événements. Les représentations sont aussi structurées autour d'archétypes importants comme l'altérité, la dualité et l'unité. Le conspirateur est un autre qui transgresse les frontières de la condition humaine. Cette altérité radicale, où Vautre est diabolisé et déshumanisé, suppose une vision binaire du monde : il y a nous et eux. Cette représentation fragmentée et divisée n'est finalement que le reflet d'un désir fondamental, mais bafoué, de vivre dans un univers homogène, harmonieux et uni. L'imaginaire du complot entretient une relation étroite avec la violence. Il a un double rapport à la violence populaire. Il est à la fois un moteur d'action et un procédé de légitimation et d'explication. L'idée de complot alimente également la violence politique. C'est une arme redoutable pour conquérir ou garder le pouvoir, en discréditant l'adversaire représenté sous les traits du conspirateur et érigé en contre-modèle sociétal. Elle participe aussi à la mise en oeuvre de la politique de la terreur en alimentant la rhétorique du salut public. Cette thèse vise à établir un pont théorique entre l'école classique et l'école critique en démontrant que la législation et les institutions terroristes sont le résultat d'une double logique : émotionnelle et circonstancielle / politicienne et stratégique. L'imaginaire du complot est également utilisé par les opposants de la Révolution qui puisent dans cette forme de discours pour combattre et expliquer la Révolution, ainsi que pour défendre le Trône et l'Autel. Ils articulent essentiellement leur discours selon trois paradigmes langagiers apparus sous l'Ancien Régime, puis adaptés en fonction de l'événement révolutionnaire : anti-Lumières, antimaçonnique et antiprotestant. Pour analyser le discours sur le complot, nous utilisons une approche plurielle à la croisée de l'histoire des représentations, du discours, de la culture politique et de l'imaginaire. Notre démarche méthodologique s'inspire de l'histoire sérielle non quantitative d'Antoine de Baecque (1993) qui prend en compte la diversité des sources afin de lire et d'interpréter le texte historique.

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