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Approche différentielle de la structure de personnalité des auteurs d'agressions sexuelles sur des mineurs : comparaison de sujets structurés sur le mode pervers et de sujets ayant des traits pervers / Differential approach of the personality structure of sexual aggressions perpetrators on young people under 15 : comparisons between individuals who are structured on the perverted mode and individuals who have perverted traits

Stumpel, Véronique 12 December 2008 (has links)
Notre recherche est une approche clinique projective qualitative de la structure de personnalité des auteurs d’agressions sexuelles de mineurs appartenant au champ des états-limites. Nous avons comparé deux groupes, l’un d’individus structurés sur le mode de la perversion, l’autre de sujets ayant des traits pervers en fonction d’éléments, communs ou divergents, relatifs à leur personnalité, issus de notre revue de la littérature. Nous avons, au préalable, défini 6 critères, devant être cumulés pour conclure au diagnostic de perversion sexuelle, puis nous avons vérifié que les individus structurés sur le mode de la perversion se situent en deçà de ceux ayant des traits pervers pour la majorité des caractéristiques retenues (en particulier la fragilité narcissique et la problématique oedipienne). Nous avons, de fait, défendu l’idée de l’existence d’un continuum allant de la perversité (au sens de Balier), proche de la psychose (à laquelle, selon nous, certains points, présentés comme communs aux auteurs d’agressions sexuelles, semblent au contraire se référer spécifiquement), en passant par la perversion sexuelle jusqu’aux sujets ayant des traits pervers, les moins éloignés de la lignée névrotique. Il ressort ainsi de notre étude que la grande variabilité structurelle de ces individus, classiquement mise en avant, pourrait être relativisée grâce à une démarche différentielle. Nous avons aussi construit un outil utile au diagnostic, fondé sur l’analyse de l’emprise dans la relation transféro-contre-transférentielle, vis-à-vis de laquelle il favorise une distanciation. Enfin, nous avons proposé quelques pistes de prises en charge différenciées en fonction du diagnostic. / Our study is a projective and qualitative clinical approach of the personality structure of sexual aggressions perpetrators on young people under 15 belonging to the borderline field. We have compared two groups: one with individuals who are structured on the perverted mode and the other with individuals who have perverted traits; this comparison has been established according to elements, common and different, related to their personalities and that have been mentioned in our literature. Beforehand, we have defined six criteria that have to be jointly found in individuals in order to diagnose sexual perversion; then, as far as these selected criteria were concerned (and more specifically narcissistic fragility and oedipal problematic) we made sure that the individuals structured on the perversion mode were standing below the individuals with perverted traits. In fact, we maintain that there is a continuum going from perversity (as Balier has defined it), which is close to psychosis, (some aspects of psychosis have been thought to be common to sexual aggressions perpetrators whereas we do think that they are specific) going from sexual perversity to individuals with perverted traits, close to the neurotic tradition. Our study underline that these individuals' great structural variability, which is usually brought up, could be put into perspective thanks to a differential process. We have also created a tool that can help make a diagnosis and that is based on a transference counter-transference dynamics and facilitate distanciation. Finally we have suggested some differentiated treatments according to diagnoses.
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Économie de la perversité baudelairienne. Une lecture de Donner le temps de Jacques Derrida

Cotton Lizotte, Nicholas 08 1900 (has links)
Jacques Derrida n’a écrit qu’un seul ouvrage sur Baudelaire : Donner le temps I. La fausse monnaie (1991). Dans cette étude, il s’agit de préciser, notamment autour de la question de la perversité, les liens unissant le poète au philosophe en accordant une attention particulière aux textes « Le mauvais vitrier » (Baudelaire), « The Imp of the Perverse » (Edgar Poe), « La fausse monnaie » (Baudelaire) et Mémoires d’aveugle (Derrida). Imbriquées dans une logique de l’événement, les deux notions de perversité et de don peuvent s’éclairer mutuellement et ont des répercussions jusque dans les textes et pour la littérature elle-même. / Jacques Derrida only wrote one book on Baudelaire, entitled Given Time: I. Counterfeit Money (1991). With special focus on a number of other texts, including “The Bad Glazier” (Baudelaire), The Imp of the Perverse (Edgar Allan Poe), “Counterfeit Money” (Baudelaire) and Memoirs of the Blind (Derrida), this analysis clarifies the relations linking the poet to the philosopher, particularly with regard to the question of perversity, or rather, in Poe’s words, perverseness. Bound up in event logic, the two notions of perversity and gift can explain one another and their repercussions are far-reaching both in the texts and in literature itself.
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Économie de la perversité baudelairienne. Une lecture de Donner le temps de Jacques Derrida

Cotton Lizotte, Nicholas 08 1900 (has links)
Jacques Derrida n’a écrit qu’un seul ouvrage sur Baudelaire : Donner le temps I. La fausse monnaie (1991). Dans cette étude, il s’agit de préciser, notamment autour de la question de la perversité, les liens unissant le poète au philosophe en accordant une attention particulière aux textes « Le mauvais vitrier » (Baudelaire), « The Imp of the Perverse » (Edgar Poe), « La fausse monnaie » (Baudelaire) et Mémoires d’aveugle (Derrida). Imbriquées dans une logique de l’événement, les deux notions de perversité et de don peuvent s’éclairer mutuellement et ont des répercussions jusque dans les textes et pour la littérature elle-même. / Jacques Derrida only wrote one book on Baudelaire, entitled Given Time: I. Counterfeit Money (1991). With special focus on a number of other texts, including “The Bad Glazier” (Baudelaire), The Imp of the Perverse (Edgar Allan Poe), “Counterfeit Money” (Baudelaire) and Memoirs of the Blind (Derrida), this analysis clarifies the relations linking the poet to the philosopher, particularly with regard to the question of perversity, or rather, in Poe’s words, perverseness. Bound up in event logic, the two notions of perversity and gift can explain one another and their repercussions are far-reaching both in the texts and in literature itself.
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Penser la «pervertibilité» : incidences et réitérations de la question du pervertible dans l’œuvre de Jacques Derrida

Cotton Lizotte, Nicholas 10 1900 (has links)
Bien qu’elle n’ait jamais été abordée de front par Jacques Derrida, la question du pervertible se conçoit à maintes reprises dans son œuvre sous l’angle de paradoxes et par le biais de questions comme celles de l’hospitalité ou de la promesse. Cette thèse explore ainsi les limites et la portée de la notion protéiforme de pervertibilité, ses enjeux et ses manifestations, de même que son rapport au langage et au sens. Pluridisciplinaire, elle se penche sur les concepts philosophiques et sur les dispositifs textuels et littéraires témoignant de cette pervertibilité en acte dans l’ensemble du corpus derridien. / Although Jacques Derrida never addressed it head-on, the problem of pervertibility is often conceptualized in his work by way of paradoxes and questions, such as those of hospitality and the promise. This doctoral thesis explores the limits and scope of the protean notion of pervertibility, its stakes and its manifestations, as well as its relationship with language and meaning. Multidisciplinary in nature, it simultaneously focuses on philosophical concepts and on the textual and literary devices that bespeak this pervertibility, operative throughout Derrida’s entire body of work.
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Penser le mal moral, une généalogie de la volonté moderne / Thought about evil a genealogy of modern will

Tauty, Anne-Charlotte 20 September 2016 (has links)
Le mal est par sa nature un scandale car il se définit par ce qui ne devrait pas être à l’opposé du bien qui se présente comme ce qui doit être. Cette affirmation, qui relève de la tautologie, marque la réalité éprouvée face au mal. Il a d’abord été une évidence criante : comment réagir face aux maux de l’existence humaine ? Ainsi le mal est inscrit dans l’histoire de la pensée et commence pour notre travail avec le platonisme. Avant la conceptualisation platonicienne, le mal est une donnée factuelle de la vie avec laquelle il faut composer. Les figures divines sont ambivalentes à l’image des hommes et alternent vices et vertus. Platon postule une entité divine unique, omnisciente, omnipotente et bienveillante. Ce dieu devient intelligence, calcul et raison : le monde devient une création parfaite, belle et ordonnée et non plus le théâtre d’un affrontement entre les diverses passions des dieux. Le mal se transforme alors en un enjeu métaphysique : comment concilier cette perfection avec l’émergence du mal ? Il faut désormais expliquer et tenter de justifier la violence et les crimes. S’il est possible de proposer une théodicée qui rende le mal physique et métaphysique nécessaire, légitimer la méchanceté se révèle plus ardu. Les penseurs du platonisme, du néoplatonisme et du stoïcisme vont tenter d’apporter une première réponse au mal moral. Dans leur sillage, une rupture conceptuelle advient et révolutionne le concept : le christianisme invente le péché. En devenant péché, le mal se retrouve désormais sous la responsabilité de l’homme coupable. Le mal entre dans le giron de la liberté : il est voulu, consenti. A la suite des penseurs chrétiens, certains philosophes continueront ce travail d’élucidation de la volonté du mal. L’objectif est de retracer l’histoire de ces systèmes conceptuels qui s’entremêlent et se répondent les uns aux autres. Le mal moral se construit dans cette progression qui a des conséquences anthropologiques importantes : l’homme se pense à travers le mal. La méchanceté n’est donc pas seulement un problème à résoudre, elle devient le paradigme à travers lequel définir l’homme. Notre problématique est de montrer comment la question de la méchanceté est à la base du problème de la morale et comment elle conditionne notre représentation de la nature de la volonté humaine. Cette évolution s’est nouée lors d’étapes clés de la pensée philosophique. En effet, si dans toute philosophie morale, le concept du mal est évoqué, il n’est pas en général le centre de l’argumentaire. Le premier moment est celui de la pensée antique. Platon fait naître Dieu et le monde dans l’histoire des concepts puis se retrouve face l’énigme de nos crimes. La théodicée mise en place et qui sera reprise par Plotin et les Stoïciens ne cessera de nier l’existence d’un instinct pervers. Le mal voulu est une absurdité. L’irruption de la faute chrétienne bouleverse la donne. Saint Augustin en sera le théoricien le plus investi affectivement. Ayant expérimenté une double conversion dans sa vie spirituelle, il théorise une méchanceté issue de notre faiblesse, de notre faute première. Le mal est voulu car il n’est plus possible de vouloir autre chose. Saint Anselme reprend également le dogme de la chute mais lui apporte une dimension logique et sémantique en proposant une méchanceté égoïste. Le mal est certes voulu mais par dédain du bien. Notre dernière étape est kantienne. Le mal radical est le concept qui permet enfin de penser une volonté normale qui voudrait le mal simplement parce qu’elle a en elle cette possibilité et la liberté fondamentale de le choisir. Nous pourrons donc constater le chemin parcouru entre notre point de départ et notre point d’arrivée et comment cette problématisation du mal fait apparaître une généalogie de la volonté. Au fil de la pensée, elle passe de l’ombre à la lumière, n’étant jamais aussi présente que quand elle se retrouve confrontée aux obstacles. Penser le mal moral c’est faire l’archéologie de la volonté. / Evil provokes scandal by nature because it is what it should not be unlike good which is what it has to be. This tautological assertion expresses our feelings toward evil. It was first perfectly obvious : how must we face human pain ? Evil is a part of thinking’s history : our study starts with Platonism. Before his work, evil is just a fact of life you have to live with. The gods of Antiquity are like men : good or bad. The God of Plato is the one, omniscient, all-powerful and kindly. God is just intelligence, calculation and reason : the world he created is beautiful, ordered and perfect and it is no longer the place for the vices of ancient gods. Evils turns into a metaphysical issue : how can be the world perfect despite evil ? We have now to explain, to justify violence and crimes. Theodicy can justify pain and illness. It does not work with wickedness. Platonism, Neo-Platonism and Stoicism tried to answer this question. Following them, a conceptual break happens : Christendom invented sin. When evil became sin, man became liable and guilty. It is now a matter of liberty : man wants evil. After them, some philosophers will keep to work on the subject of the bad will. Our purpose is to find the story of these concepts and to connect thoughts between themselves. Evil has been made by this story and brings many anthropological consequences : man understands himself through evil. Wickedness is not just a matter to solve, wickedness becomes a way to define mankind. We want to show that wickedness issue is the foundations of morality and how it makes us see and think human will. Several stages occurred in this philosophical evolution. Every ethic deals with evil, not all put it at the heart of their system. Our first stage is Antiquity. Plato brings the ideas of God and perfect world in philosophy but faces the riddle of our crimes. His theodicy adopted by Plotinus and Stoics will always refuse pervert instinct in man. A man who want evil is nonsense. Christian sin appearance changes everything. Augustine will be his strongest defender. By living a double spiritual conversion, he understands wickedness as weakness due to original sin. Man want evil because he is no longer able to will something else. Anselmus follows the dogma of the fall but puts logical and semantic dimension in it and presents a self-interested wickedness. Man wants evil not for itself, man does not want enough good. Our last stage is Kant. Radical will is the first concept which allows to conceive a normal bad will which would evil just because it is one of his options and it has the liberty to do so. We can see the difference between our starting point and our arrival. We see now how the concept of will has grew up and changed. Little by little, will comes from darkness to light. The more will faces obstacles, the more it is obvious. Thinking on evil is the archaeology of the will.
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" Histoire de la perversion sexuelle. Émergence et transformations du concept de perversion sexuelle dans la psychiatrie de 1797 à 1912 ".

Mazaleigue-Labaste, Julie 01 December 2010 (has links) (PDF)
Si l'histoire des sexualités marginales est bien abordée du point de vue de l'histoire culturelle depuis les années 1970, peu de travaux philosophiques s'attachent aujourd'hui à fournir une élucidation épistémologique critique du concept de perversion sexuelle. Ce dernier est pourtant un objet tout à fait étrange. C'est une catégorie médico-psychologique présente depuis plus d'un siècle et demi dans l'univers psychopathologique. Elle présente cependant des aspects indéniablement moraux, dont il semble que la simple présence aurait du la disqualifier depuis longtemps aux yeux des savoirs de l'esprit malade. Comment rendre compte de la stabilité historique et épistémologique d'un concept au sein duquel convergent deux dimensions en apparence contradictoires ? Cette thèse se propose d'explorer cette articulation du discours moral et du discours psychopathologique sur la sexualité, à travers la généalogie du concept de perversion sexuelle dans la psychiatrie française durant le long XIXème siècle (1797-1912). Deux questions traversent l'histoire de cette catégorie : quelle est la relation de la perversion sexuelle avec les écarts individuels aux normes morales, sociales, et juridiques, c'est à dire à la déviance ? Et quelles sont les images de la relation du sexe et du mal produites par le discours psychopathologique ? Ces deux problématiques engagent alors un questionnement plus large sur la fonction et les effets politiques du concept de perversion sexuelle, interrogation relative à la gestion sécuritaire des écarts sociaux, mais aussi à la place de la jouissance dans la civilisation occidentale contemporaine.

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