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L'abus dans les relations de droit privé /

Moracchini-Zeidenberg, Stéphanie, January 2004 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Droit--Bordeaux 3, 2002. / Bibliogr. p. 427-465. Index.
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L'identité face aux concepts de mauvaise foi et d'authenticité et ses répercussions morales

Verret, Charles January 2012 (has links)
Le point de départ de notre recherche était d'étudier la notion d'identité ouverte sur le terrain d'une philosophie anti-fondationnalisme, celle de Sartre, pour voir les conséquences d'une telle prise de position, surtout en lien avec la morale. Ce point de départ nous a amené [i.e. amenés] à nous interroger sur des questions telles que, comment agir si nous n'avons aucune base objective pour nous guider entre le bien et le mal? Qu'est-ce qui me fais [i.e. fait] choisir d'agir de telle façon? Comment atteindre l'authenticité s'il n'y a pas de base objective donné [i.e. donnée] d'avance pour guider notre conduite? Ne tombons-nous pas dans un relativisme où tout se vaut? Comment donner une valeur à quoi que ce soit si le point de départ est la subjectivité de la conscience? Dans la première partie de notre recherche nous avons posé les bases de la philosophie sartrienne afin de pouvoir dans la deuxième partie questionner l'aspect morale [i.e. moral] et voir la cohérence de celle-ci avec l'ontologie. Nous avons commencé par expliquer, qu'est-ce que le néant et montré que comme l'humain n'est pas un plein d'être, c'est-à-dire qu'il a la capacité de se renouveler, de changer de position, de rectifier une attitude, de se créer en sommes [i.e. somme]. Ceci nous amène à penser qu'il y a choix et donc liberté. La liberté sartrienne est cependant toujours située, c'est une liberté qui s'incarne dans le choix que je vais faire parmi les possibles qui s'offrent à moi dans telle situation. À partir de cette conception de la liberté, Sartre va développer le concept de mauvaise foi. Une personne de mauvaise foi serait par exemple une personne qui choisi [i.e. choisit] d'ignorer sa liberté pour se laisser guider par les préceptes de la bible ou par ce que lui aurait révélé son horoscope et ainsi ne pas avoir à choisir, ce qui lui permet de se décharger de la responsabilité de son action. Pourtant, ne pourrions-nous pas imaginer quelqu'un qui choisi [i.e. choisit] librement de suivre les préceptes de la bible? En ce cas, il n'ignorerait pas sa liberté, mais l'affirmerais [i.e. affirmerait]. Cependant pour Sartre, quelqu'un qui choisirais [i.e. choisirait] librement de se laisser guider par des principes immuables, choisirais [i.e. choisirait] en même temps l'inauthenticité, puisqu'il fuirait volontairement l'étoffe dont il est pétri. Sartre lui, reste convaincu qu'on doit toujours remettre en question nos choix à chaque instant, puisque comme nous le verrons un peu plus loin, ceux-ci sont producteurs de valeurs. Toutefois, si l'être est liberté et transcendance dans des situations contingentes, que devient l'égo? Quelle forme prend-t-il? L'égo pour Sartre n'est pas un objet fixe, c'est un objet transcendantal. L'ego n'est jamais inachevé et totale [i.e. total] sauf au moment de la mort. Dans le monde, l'égo se redéfinie [i.e. redéfinit] à chaque action en fonction des choix et des possibilités qui s'offrent à lui. C'est en choisissant que l'égo se crée. Il n'est pas donné d'avance comme un objet qui influencerait nos choix par une structure préprogrammé [i.e. préprogrammée]. Cependant, il reste difficile d'être toujours critique et ne jamais tomber dans un fanatisme ou dans le réflexe pour agir, mais Sartre a le mérite de nous demander l'impossible pour tirer le meilleur de nous. Il nous dessine un idéal critique vers lequel il croit que nous devons tendre.
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Le "regard" chez Sartre pur duel de violence ou solidarité généreuse?

Robert, Rémi January 2007 (has links)
Intitulé"Le regard chez Jean-Paul Sartr e: pur duel de violence entre consciences libres, ou solidarité généreuse?" ce mémoire a pour but d'analyser la conversion de la conscience chez le second Sartre des «Cahiers pour une morale». Dans ce livre, le philosophe redéfinit la notion de la liberté après avoir constaté l'impasse et l'échec vers lesquels menait l'ontologie. Nous voulons décortiquer minutieusement la violence dans le concept du"Regard" afin de savoir si la conversion de la conscience provient de la responsabilité et si elle entraîne manifestement une complicité des libertés? Ainsi nous démontrerons que l'ontologie sartrienne de"L'être et le néant" (1943) était vouée à un cul-de-sac, d'où la métamorphose obligée de l'auteur en 1947 qui a abordé la liberté sous un nouvel angle : la responsabilité. Le premier chapitre portera sur la réduction des consciences, le rapport à"Autrui" et les relations adoptées à son égard. Le second chapitre portera sur"Les carnets de la drôle de guerre", oeuvre par laquelle nous montrerons que Sartre était déjà visionnaire de la conversion de la conscience lorsqu'il ébauchait son existentialisme athée lors de la mobilisation en septembre 1939. Quant à eux, les"Cahiers pour une morale" s'intéresseront à la notion de responsabilité et aborderont la nature et le fondement, les motifs et les enjeux de la conversion de la conscience. Cette oeuvre propose une nouvelle définition de la liberté, basée sur la solidarité intersubjective. La liberté du second Sartre, qui vise à inclure"Autrui" et non plus à l'exclure catégoriquement est plus authentique puisqu'elle permet une solidarité des"Pour- Soi", tout en marquant le début d'une éthique existentielle.
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L'unité du projet moral chez Jean-Paul Sartre et la question des méthodes

Caprio Leite De Castro, Fabio 02 April 2010 (has links)
Notre thèse constitue une remise en question de la conception morale dans luvre de Jean-Paul Sartre. La tâche fondamentale de notre travail est de définir, de conceptualiser et dexpliciter la problématique morale chez Sartre, en suivant la ligne progressive de sa pensée. La difficulté de cette tâche consiste en ce que Sartre lui-même na pas accompli et publié de son vivant un essai sur la morale. Les Cahiers pour une Morale, inachevés, ont connu une parution posthume (1983). La Conférence de Cornell (Morale et Histoire) a été publiée récemment (2005) sans toutefois avoir été beaucoup commentée. La Conférence de Rome reste inédite. Notre but est ainsi de montrer à partir de luvre de Sartre, à partir des éditions posthumes et même à partir de ses manuscrits (en particulier, de la Conférence de Rome et de LIdiot de la Famille), que nous pouvons entreprendre (1) une analyse du problème moral, (2) une critique des morales aliénantes et (3) la construction dune morale de la liberté. La thèse se développe en deux temps : le premier est destiné à déterminer les méthodes philosophiques adoptées par Sartre ; le second, à approfondir les conceptions morales qui se constituent à partir de chaque méthode. Dans la première partie, nous présentons les trois méthodes sartriennes à partir dune étude progressive de sa pensée : méthode phénoménologique ; psychanalyse existentielle (à partir de lontologie phénoménologique) et méthode progressive-régressive. Nous montrons en outre que les questions morales dun côté, antérieures à la phénoménologie ; dun autre, affirmées dans les derniers entretiens de Sartre peuvent être envisagées à partir de ces méthodes. Cette démarche nous permet dinterpréter LIdiot de la Famille comme une uvre de synthèse et didentifier les questions morales selon chaque méthode. Dans la seconde partie, nous mettons en avant les problématiques morales rapportées à la phénoménologie de limage, à lontologie phénoménologique et à la dialectique de lhistoire. Nous entreprenons à chaque fois une analyse des questions morales et une tentative de synthèse. Finalement, nous menons une analyse critique de trois concepts fondamentaux de la morale sartrienne la valeur, limpératif et le droit.
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La duperie de soi et le problème de l'irrationalité / Self-deception and the problem of irrationality

Saragoça Nunes Correia, Vasco 19 May 2008 (has links)
Le problème de la duperie de soi constitue un défi majeur pour toute théorie de la rationalité, attendu que le sujet qui se dupe lui-même semble adhérer à une croyance illusoire tout en étant conscient de son caractère illusoire. C’est en tout cas ce que prétend la tradition « intentionnaliste » qui domine parmi les philosophes (Sartre, Davidson, Pears, Talbott, Scott-Kakures, Bermudez), qui tend à décrire la duperie de soi comme un acte intentionnel dont l’agent serait entièrement responsable. Nous soutenons au contraire une conception dite « émotionnaliste » selon laquelle la duperie de soi est un phénomène sub-intentionnel et involontaire d’illusion cognitive qui trouve son explication dans l’influence des émotions sur notre faculté de juger. Cela nous amène à développer une théorie « cognitivo-hédonique » des émotions qui vise à rendre compte du rôle que jouent ces dernières non seulement dans la naissance des croyances irrationnelles, mais même des actions irrationnelles (acrasia). / Self-deception poses a notable challenge for any theory of rationality, given that the self-deceiver appears to embrace a deceptive belief knowing of it’s deceptive nature. This is at least what is claimed by those who hold an « intentionalist » account (Sartre, Davidson, Pears, Talbott, Scott-Kakures, Bermudez), who tend to portray self-deception as an intentional act for which the self-deceiver should be held accountable. Instead, I hold a so-called « emotionalist » account according to which self-deception is a sub-intentional and involuntary process of cognitive illusion which stems from the influence our emotions may insidiously exert on our cognitive faculties, and thereby on our judgments. That leads me to develop a « cognitive-hedonic » theory of emotions with the purpose of showing how exactly our emotions are capable of inducing not only irrational beliefs, but even irrational actions (acrasia).
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De la magie au magique. Conscience, réalité-humaine et être-dans-le-monde chez Sartre (1927-1948). / From magic to the magical. Consciousness, human reality and being-in-the-world in Sartre (1927-1948).

Dassonneville, Gautier 10 February 2016 (has links)
Notre recherche interroge la philosophie existentielle du premier Sartre en la replaçant dans le paysage de la philosophie française post-comtienne du début du XXe siècle et en restituant un moment anthropologique où le problème de la magie traverse les sciences psychologiques et sociales. En suivant les différentes voies du transfert de conceptualité par lequel la notion de magie devient chez Sartre le magique, nous étudions trois pôles de l'ontologie phénoménologique sartrienne, à savoir la conscience intentionnelle, la réalité-humaine et l'être-dans-le-monde. Notre hypothèse est que, selon différentes modalités allant de la thématisation à l'effacement, le magique joue un rôle déterminant dans l'élaboration de l'existentialisme dont nous retraçons la genèse à partir des premiers travaux philosophiques et écrits littéraires de 1927. Face à l'héritage d'une anthropologie positiviste à la méthodologie analytique, Sartre privilégie une approche synthétique et conçoit la conscience dans ses dimensions affective et irrationnelle. Les figures de la pensée magique sont alors mobilisées pour penser l'ouverture au monde de la conscience ainsi que ses rapports à soi et aux autres dans les termes d'une spontanéité irréfléchie et absolue. Nous faisons ensuite retour sur l'anthropologie sartrienne telle qu'elle conçoit la réalité-humaine à partir de ses attitudes et de ses conduites, et notamment à travers la manière dont elle affronte sa propre liberté, fondamentalement et irrémédiablement exposée à la contradiction. Cette structure de la réalité-humaine comme projet existentiel conduit Sartre à repenser l'être-dans-le-monde à partir de ce que nous appelons la dépossession originaire par laquelle l'ontologie est ramenée au magique. / This research deals with Sartre's early existential philosophy by resituating it in the field of French post-Comtian philosophy in the early twentieth century and by re-establishing an anthropological moment in which the issue of magic is explored in the psychological and social sciences. Following the different paths of the conceptual exchange through which the notion of magic becomes that the magical in Sartre's view, we study three poles of sartrian phenomenological ontology : intentional consciousness, human reality and being-in-the-world. The hypothesis advanced by this thesis is that the magical, according to different modes ranging from topicalization through obliteration, plays a determining role in the elaboration of existentialism whose genesis is traced here from Sartre's very first writings in 1927.Faced with the legacy of a positivist anthropology in terms of an analytical methodology, Sartre privileges a synthetic approach and conceives consciousness in its affective and irrational aspects. Images of magical thought are called upon for rethinking openness to the world of consciousness and its relationship to itself and to Others. Returning to Sartrian anthropology, we question how consciousness can be grasped as an irreflexive and absolute spontaneity and how human reality is interpreted through its attitudes and behaviours; in particular through the way it faces its own freedom which is fundamentally and irremediably exposed to contradiction. This structure of human reality as existential project leads Sartre to reconsider being-in-the-world as based in originary dispossession through which ontology is brought back to the magical.
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Penser le mal moral, une généalogie de la volonté moderne / Thought about evil a genealogy of modern will

Tauty, Anne-Charlotte 20 September 2016 (has links)
Le mal est par sa nature un scandale car il se définit par ce qui ne devrait pas être à l’opposé du bien qui se présente comme ce qui doit être. Cette affirmation, qui relève de la tautologie, marque la réalité éprouvée face au mal. Il a d’abord été une évidence criante : comment réagir face aux maux de l’existence humaine ? Ainsi le mal est inscrit dans l’histoire de la pensée et commence pour notre travail avec le platonisme. Avant la conceptualisation platonicienne, le mal est une donnée factuelle de la vie avec laquelle il faut composer. Les figures divines sont ambivalentes à l’image des hommes et alternent vices et vertus. Platon postule une entité divine unique, omnisciente, omnipotente et bienveillante. Ce dieu devient intelligence, calcul et raison : le monde devient une création parfaite, belle et ordonnée et non plus le théâtre d’un affrontement entre les diverses passions des dieux. Le mal se transforme alors en un enjeu métaphysique : comment concilier cette perfection avec l’émergence du mal ? Il faut désormais expliquer et tenter de justifier la violence et les crimes. S’il est possible de proposer une théodicée qui rende le mal physique et métaphysique nécessaire, légitimer la méchanceté se révèle plus ardu. Les penseurs du platonisme, du néoplatonisme et du stoïcisme vont tenter d’apporter une première réponse au mal moral. Dans leur sillage, une rupture conceptuelle advient et révolutionne le concept : le christianisme invente le péché. En devenant péché, le mal se retrouve désormais sous la responsabilité de l’homme coupable. Le mal entre dans le giron de la liberté : il est voulu, consenti. A la suite des penseurs chrétiens, certains philosophes continueront ce travail d’élucidation de la volonté du mal. L’objectif est de retracer l’histoire de ces systèmes conceptuels qui s’entremêlent et se répondent les uns aux autres. Le mal moral se construit dans cette progression qui a des conséquences anthropologiques importantes : l’homme se pense à travers le mal. La méchanceté n’est donc pas seulement un problème à résoudre, elle devient le paradigme à travers lequel définir l’homme. Notre problématique est de montrer comment la question de la méchanceté est à la base du problème de la morale et comment elle conditionne notre représentation de la nature de la volonté humaine. Cette évolution s’est nouée lors d’étapes clés de la pensée philosophique. En effet, si dans toute philosophie morale, le concept du mal est évoqué, il n’est pas en général le centre de l’argumentaire. Le premier moment est celui de la pensée antique. Platon fait naître Dieu et le monde dans l’histoire des concepts puis se retrouve face l’énigme de nos crimes. La théodicée mise en place et qui sera reprise par Plotin et les Stoïciens ne cessera de nier l’existence d’un instinct pervers. Le mal voulu est une absurdité. L’irruption de la faute chrétienne bouleverse la donne. Saint Augustin en sera le théoricien le plus investi affectivement. Ayant expérimenté une double conversion dans sa vie spirituelle, il théorise une méchanceté issue de notre faiblesse, de notre faute première. Le mal est voulu car il n’est plus possible de vouloir autre chose. Saint Anselme reprend également le dogme de la chute mais lui apporte une dimension logique et sémantique en proposant une méchanceté égoïste. Le mal est certes voulu mais par dédain du bien. Notre dernière étape est kantienne. Le mal radical est le concept qui permet enfin de penser une volonté normale qui voudrait le mal simplement parce qu’elle a en elle cette possibilité et la liberté fondamentale de le choisir. Nous pourrons donc constater le chemin parcouru entre notre point de départ et notre point d’arrivée et comment cette problématisation du mal fait apparaître une généalogie de la volonté. Au fil de la pensée, elle passe de l’ombre à la lumière, n’étant jamais aussi présente que quand elle se retrouve confrontée aux obstacles. Penser le mal moral c’est faire l’archéologie de la volonté. / Evil provokes scandal by nature because it is what it should not be unlike good which is what it has to be. This tautological assertion expresses our feelings toward evil. It was first perfectly obvious : how must we face human pain ? Evil is a part of thinking’s history : our study starts with Platonism. Before his work, evil is just a fact of life you have to live with. The gods of Antiquity are like men : good or bad. The God of Plato is the one, omniscient, all-powerful and kindly. God is just intelligence, calculation and reason : the world he created is beautiful, ordered and perfect and it is no longer the place for the vices of ancient gods. Evils turns into a metaphysical issue : how can be the world perfect despite evil ? We have now to explain, to justify violence and crimes. Theodicy can justify pain and illness. It does not work with wickedness. Platonism, Neo-Platonism and Stoicism tried to answer this question. Following them, a conceptual break happens : Christendom invented sin. When evil became sin, man became liable and guilty. It is now a matter of liberty : man wants evil. After them, some philosophers will keep to work on the subject of the bad will. Our purpose is to find the story of these concepts and to connect thoughts between themselves. Evil has been made by this story and brings many anthropological consequences : man understands himself through evil. Wickedness is not just a matter to solve, wickedness becomes a way to define mankind. We want to show that wickedness issue is the foundations of morality and how it makes us see and think human will. Several stages occurred in this philosophical evolution. Every ethic deals with evil, not all put it at the heart of their system. Our first stage is Antiquity. Plato brings the ideas of God and perfect world in philosophy but faces the riddle of our crimes. His theodicy adopted by Plotinus and Stoics will always refuse pervert instinct in man. A man who want evil is nonsense. Christian sin appearance changes everything. Augustine will be his strongest defender. By living a double spiritual conversion, he understands wickedness as weakness due to original sin. Man want evil because he is no longer able to will something else. Anselmus follows the dogma of the fall but puts logical and semantic dimension in it and presents a self-interested wickedness. Man wants evil not for itself, man does not want enough good. Our last stage is Kant. Radical will is the first concept which allows to conceive a normal bad will which would evil just because it is one of his options and it has the liberty to do so. We can see the difference between our starting point and our arrival. We see now how the concept of will has grew up and changed. Little by little, will comes from darkness to light. The more will faces obstacles, the more it is obvious. Thinking on evil is the archaeology of the will.

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