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L'Einfühlung chez Husserl et Edith Stein : la constitution intersubjective du sujet

Morin, Dominic 08 1900 (has links)
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Perspectives critiques sur la laideur : possibilités esthétiques et artistiques

Toupin, Gabriel 08 1900 (has links)
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La question de la traduction dans les pensées herméneutiques de Gadamer et de Ricœur

Marques da Silva Campos, Flavia M. 08 1900 (has links)
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La réaction de Gorgias au Poème de Parménide : élaboration d'une rhétorique comme fuite de l'ontologie

Côté-Remy, François-Julien 08 1900 (has links)
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L'aperception pure ou la distance de l'objet : une étude sur la subjectivité dans la Critique de la raison pure

Radbooei, Azadeh 01 1900 (has links)
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Le cynisme et le christianisme, un rapport de proximité et de distance

Innocent, Paulin 09 1900 (has links)
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Critique de la religion positive d'Emmanuel Kant

Benhabra, Mehdi 01 1900 (has links)
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Le cartésianisme et les fondements du Dieu de Spinoza

Riel, Alexandre 12 1900 (has links)
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Le défi de l'altérité à l'époque de la technique moderne chez Alain Finkielkraut

Santarossa, David 06 1900 (has links)
Mémoire court / Ce mémoire aborde le défi de l’altérité à l’époque de la technique moderne chez Alain Finkielkraut en trois chapitres. Le premier présente la conception de l’altérité chez Finkielkraut qui se définit par son indisponibilité. Dans La sagesse de l’amour (1984), Finkielkraut désire réhabiliter l’amour pour penser le rapport originel à autrui. Selon lui, ce concept aurait été déconsidéré depuis les Temps modernes, car identifié au besoin « impérialiste » d’agir sur l’Autre et de le posséder. Or, Finkielkraut le conçoit tout autrement. L’amour repose selon lui sur une présence qui ne se laisse pas enclore. Où il y a amour, l’altérité prend toute la place. Dans la relation amoureuse, l’Autre s’installe en nous et nous reste étranger, c’est-à-dire qu’il nous est indisponible. Pour le dire tautologiquement, l’Autre est autre. Finkielkraut pense donc le rapport originel à autrui par l’amour qui, lui, se caractérise plus fondamentalement par l’indisponibilité. Au second chapitre, on s’intéresse à la dialectique entre culture et technique dans Nous autres, modernes (2005). Anciennement, les arts voyaient dans les manifestations particulières de l’être l’opportunité de toucher l’universel alors que la technique tend à uniformiser le monde par son regard. La conclusion importante de ce chapitre est que ce regard technique s’est instauré partout, y compris dans les sciences sociales, ces sciences qui traiteraient des mêmes sujets que les humanités, mais avec la rigueur des sciences naturelles. Dans le dernier chapitre, on verra que les Temps modernes, avec l’instauration de la rigueur du calcul et de la technique, ont affecté la conception de l’altérité. Pour comprendre ce changement, Finkielkraut dans « Peut-on ne pas être heideggérien? » (2015), reprend les grands pans de l’analyse de Martin Heidegger dans ses textes sur la technique moderne. Finkielkraut estime que nous serions rendus à l’époque où l’homme verrait tout, y compris lui-même, comme un fonds disponible. Aux yeux de Finkielkraut, tout devient interchangeable (les lieux, le sexe, les cultures, les populations, etc.) parce que tout devient disponible à l’époque de la technique moderne. Finkielkraut écrira que « nulle altérité ne résiste à l’arraisonnement ». Notre mémoire s’intéressera aux nombreuses conséquences qui découlent de cette disponibilité de l’altérité, notamment la victoire sur la différence et un monde de plus en plus homogène. / To address the challenge of otherness in the age of modern technology in Alain Finkielkraut’s philosophy, three chapters are necessary. The first one presents the conception of otherness in Finkielkraut’s philosophy, which defines otherness by its unavailability. In the Wisdom of Love (1984), he wants to rehabilitate love to think the original relation to the other. For him, this concept would have been dismissed in Modern Times because it was identified with the « imperial » need to act on the Other and to possess him. Finkielkraut conceives love otherwise. Love is a presence that can not be enclosed. Where there is love, otherness takes the entire place. In the love relationship, the Other sets up in ourselves and is a foreigner, which means it is unavailable. To say it in a tautology, the Other is other. Finkielkraut thinks the original relation to the other with love that is defined fundamentally by its unavailability. In the second chapter, our interest will be on the dialectic between culture and technology in Nous autres, modernes (2005). It used to be the casethat the particular manifestations of being that the humanities studied was the opportunity to touch the universal while technology tended to standardize the world by its gaze. The important conclusion of this chapter is that the imprint of technology is now established everywhere, including in the social sciences, who understand themselves as the sciences that treat the same subjects as the humanities but with the same rigor as the natural sciences. In the last chapter, we will see that in Modern Times the urge of calculation and technology have affected the conception of the otherness. To understand this change, Finkielkraut in « Peut-on ne pas être heideggérien? » (2015) draws on large sections of the analysis of the question regarding technology by Martin Heidegger. Finkielkraut thinks that we are living at a time when the human being sees everything, including himself, as available funds (Bestand). In the eyes of Finkielkraut, everything is now interchangeable (places, sex and gender, cultures, populations, etc.) because everything is avaible at the time of modern technology. Finkielkraut writes that « no otherness will resist the arraignment (Gestell)». In this study, we will strive to sort out the consequences that follow from this availability of the other, especially the victory on the difference and a homogeneous world.
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Une exigence de réalité en perception

Gohier Drolet, Laurent 12 1900 (has links)
Pour Edmund Husserl et Maurice Merleau-Ponty, la perception est une voie d’accès fiable à la réalité. Confrontés à certains problèmes qui pourraient remettre en doute la fiabilité de la perception, ils argumentent en faveur de solutions en apparence analogues. En retraçant le détail de leurs solutions à deux de ces problèmes – la transcendance de l’objet et la possibilité de l’illusion –, l’objectif de ce mémoire sera de démontrer qu’il existe, en dépit de leur accord apparent, une opposition fondamentale dans leur manière d’envisager la perception. En effet, pour Husserl, la perception d’un objet réel et la perception d’un objet illusoire sont intrinsèquement indiscernables, et seule une différence contextuelle permet donc de les départager. Nous argumenterons qu’en adoptant cette position, c’est-à-dire en réduisant la différence entre l’illusion et la perception véridique à une simple différence contextuelle, Husserl révoque le privilège ontologique de l’acte perceptif : la perception n’est pas une voie d’accès fiable à la réalité, parce qu’elle est toujours, au final, potentiellement illusoire. Nous verrons cependant que Merleau-Ponty permet de sortir de cette impasse en expliquant qu’il y a une bel et bien une différence intrinsèque entre l’illusion et la perception véridique. Ce faisant, Merleau-Ponty parvient à démontrer la primauté ontologique de l’acte perceptif. Mieux que Husserl, Merleau-Ponty est dès lors à même de montrer en quoi et comment la perception est une voie d’accès fiable à la réalité. / According to Edmund Husserl and Maurice Merleau-Ponty, perception is a reliable path to reality. Confronted with various problems challenging perception’s reliability, they argue toward similar solutions. By comparing their solutions for two problems, namely the possibility of illusion and object transcendence, this Master’s thesis argues that, in spite of their apparent agreement on how to solve the above issues, Husserl and Merleau-Ponty defend fundamentally incompatible views concerning perception. Notably, according to Husserl, genuine and illusory perceptions are fundamentally (intrinsically) indistinguishable. Il follows that only a contextual difference allows the subject to distinguish them. We will argue that, in admitting only a contextual difference between illusion and genuine perception, Husserl revokes perception’s ontological privilege : perception is not a reliable path to reality, since it is always potentially illusory. By way of contrast, Merleau-Ponty avoids such a conclusion, since his account admits a fundamental difference between illusion and genuine perception. Merleau-Ponty can then argue for the ontological primacy of perception, which, in turn, allows him to demonstrate better than Husserl why and how perception is a reliable path to reality.

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