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Die invloed van die Plautiniese klug op die moderne klugPonelis, Karlien 12 1900 (has links)
Thesis (MPhil)--Stellenbosch University, 2001. / ENGLISH ABSTRACT: The present thesis deals with the impact of the ancient Greek farce on modem
literature with specific reference to the play Kinkels innie Kabel (1971) by the
contemporary Afrikaans author André P. Brink. This play is loosely based on
Shakespeare's The Comedy of Errors, which in tum derives from Plautus'
Menaechmi. Brink's play thus resonates with an entire European tradition.
The relationship between the modem and the ancient farce is studied with reference to
the concept of comedy. Comic effects, the difference between comedy and tragedy in
respect of the handling of vital issues and the comic vision of the playwright are all
taken into account. The analysis of the development of Athenian Old Comedy to the
Roman Comedy refers to the contribution of Plautus and Terence to the continuation
and revitalisation of Greek New Comedy. A comparison of these two playwrights
reveals the characteristics of the farce and the difference between farce and comedy.
The modem relevance of the farce is studied on the basis of Brink's text. For this
purpose Plautus' original plot, the Shakespearian version and Brink's rendition are
discussed and compared. On the basis of the similarities and differences in plot,
caricaturisation, misidentifications, politics, fantasy, coincidence, irony, farcical
violence, mechanical structure, temporal structure and linguistic register, the influence
of the ancient farce on its modem counterpart is demonstrated. In addition to farce,
Brink employs the classical devices of satire and parody to drive home his (political)
message. Finally it is shown that the farcical in Plautus, Shakespeare and Brink serves
a significant and serious thematic purpose. / AFRIKAANSE OPSOMMING: Hierdie verhandeling handel oor die impak van 'n antieke Griekse
komedievorm, die klug, op moderne werke en denke. A.P. Brink se verhoogstuk
Kinkels innie Kabel (1971) is 'n vrye verwerking van William Shakespeare se
The Comedy of Errors. Laasgenoemde werk is weer op sy beurt gebaseer op
Plautus se Menaechmi. In sy verwerking van Plautus en Shakespeare laat A.P.
Brink die hele Europese tradisie deurklink.
Die verhouding tussen die moderne klug en die antieke klug word bestudeer
deur te fokus op die term komedie: die verhouding daarvan met lag en hoe die
komedie van die tragedie verskil ten opsigte van die hantering van
lewensproblematiek en komiese visie van die komedieskrywer, maak deel uit
van hierdie bespreking. Die komedie se herkoms en ontwikkeling vanaf die Ou
Komedie tot die Romeinse Komedie, val ook onder die soeklig. In aansluiting
hiermee word Plautus en Terentius bespreek as twee komedieskrywers wat 'n
rol gespeel het in die oorlewering en verlewendiging van die Griekse Nuwe
Komedie. Hierdie twee skrywers word ook met mekaar vergelyk sodat die
eienskappe van die klug geïllustreer word, en hoe dit in wese verskil van
komedie.
Die relevansie van die klug in moderne denke word bestudeer aan die hand van
Brink se teks. In hierdie verband word daar 'n uiteensetting gegee van die
oorspronklike Plautiniese verhaal, die Shakespeariaanse weergawe en die
Brinkiaanse teks. Aan die hand van die ooreenkomste en verskille in intrige,
karikaturisering, identiteitsvergissings, politiek, die fantasie-element, toeval,
ironie, klugtige geweld, die meganiese struktuur, die tydstruktuur en taalregister
word die invloed van die antieke klug op die moderne klug geïllustreer.
Benewens die klug word Brink se werk ook verder beïnvloed deur twee
klassieke middele, met name satire en parodie. Hiermee bring Brink sy
(politieke) boodskap tuis. Ten slotte word die dieperliggende temas in Plautus,
Shakespeare en Brink se werk bespreek deur aan te toon dat die werk nie net om
die klugtige gaan nie, maar ook die meer ernstige.
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Plaute et Térence en France aux XVIe et XVIIe siècles / Plautus and Terence in France in the 16th and 17th centuriesEnomoto, Keiko 14 January 2011 (has links)
Aux XVIe et XVIIe siècles, Plaute et Térence furent considérés comme les maîtres de la langue latine, et surtout comme ceux de la comédie. Ils furent cependant évalués et hiérarchisés en fonction d’une conception tout à fait spécifique, qui ne correspondait pas toujours à leurs propres comédies. Les deux auteurs possédaient en effet un statut préconstruit, incontesté, qui les maintenait pourtant dans une image imprécise. Afin d’éclaircir leur statut au XVIIe siècle, nous examinons leur place dans les programmes et la pratique théâtrale scolaires, au sein des différents cadres d’enseignement. Nous étudions également leur présence dans l’art de la traduction, car les versions françaises de Plaute et de Térence qui jalonnent les XVIe et XVIIe siècles contribuèrent non seulement à la naissance d’une théorie de la traduction, mais aussi à une réflexion sur l’art dramatique et la naissance de la « comédie française ». Nous questionnons enfin ce que ces deux dramaturges représentent, et ce qu’être jugé digne de leur succéder pouvait signifier. Enfin, nous tentons de savoir comment Molière a réussi, aux yeux de ses contemporains et successeurs, à synthétiser et à surpasser les qualités de Plaute et de Térence jusqu’à se substituer à eux dans leur rôle de référence. On espère, par cette analyse des multiples enjeux liés aux deux dramaturges latins, apporter une nouvelle contribution aux études sur le XVIIe siècle. / In the 16th and 17th centuries, Plautus and Terence were regarded as the masters of the Latin language, and above all as the masters of comedy. They were, however, judged and rated according to a very specific concept, not always consistent with their own comedies. The two authors enjoyed a preconceived and undisputed status which, however, maintained them inside a vague image. In order to cast light on their status in the 17th century, this thesis examines their place in curriculums and theatre practice in schools, within different teaching contexts. Their presence in the art of translation is reviewed, as the French versions of Plautus and Terence that punctuate the 16th and 17th centuries contributed not only to the emergence of a theory of translation, but also to a reflection on dramatic art and to the birth of the “comédie française”. The thesis then looks at what those two playwrights represent and what it might have meant to be considered their worthy successor. Finally, an investigation of how Molière managed, in the eyes of his peers and successors, to combine and surpass the qualities of Plautus and Terence to even take their place as a standard is undertaken. With the thesis, it is intended to make a new contribution to the 17th century, through this analysis of the multiple issues related to the two Latin playwrights.
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Mentir à Rome: mentiri ou mendacium dicere ?L'inhospitalité des sources juridiquesVassart, Patrick 19 March 2012 (has links)
Un paradoxe a suscité la recherche entreprise :en dépit de leur aspect intrinsèquement normatif, les notions rendues en langue française par le substantif ‘mensonge’ et le verbe ‘mentir’ apparaissent très rarement dans les textes de droit positif des systèmes juridiques d’inspiration romano-germanique et, dans leur dimension élémentaire de ‘propos sciemment inexact formulé dans l’intention d’induire en erreur’, ne correspondent à aucun terme technique du lexique juridique. Elles participent certes de certaines figures juridiques complexes – telles que celles de ‘faux’ ou de ‘dol’ – mais, au titre d’éléments, demeurent en-deçà du seuil d’incrimination propre auxdites notions complexes :ainsi leur faut-il entrer en composition avec d’autres éléments pour entraîner la condamnation juridique que leur condamnation morale uniforme paraissait appeler a priori. Réduites à leur dimension élémentaire, elles révèlent ainsi une contradiction entre un principe moral de prohibition et un principe juridique de tolérance. Une tentative d’élucidation de cette contradiction emprunte la voie de l’examen des sources romaines des normes qui en dérivent historiquement. Tant les sources juridiques proprement dites que les sources littéraires latines antiques en général :il s’est imposé d’interroger les secondes en raison du faible nombre d’occurrences du verbe 'mentiri' et du substantif 'mendacium' dans les premières.<p><p>Une première partie de l’essai s’attache à identifier la terminologie latine du mensonge. La tradition nous a légué les définitions et acceptions rigoureuses retenues par saint Augustin, sans égard à une subtile distinction qu’Aulu-Gelle avait puisée chez Nigidius Figulus :'mentiri' et 'mendacium' empruntent leurs étymologies distinctes respectivement à la pensée (racine *men-) et à l’erreur ('mendum' ou 'menda'), mais l’absence de parenté étymologique n’a guère affecté une étroite alliance sémantique dans l’usage, et ce aussi loin que remontent nos sources, en l’espèce l’œuvre du dramaturge Plaute, œuvre où abondent ces deux mots qu’aucun écrit antérieur n’atteste.<p><p>La deuxième partie de l’essai confronte l’alliance sémantique des deux mots à leur absence dans les textes conservés du droit archaïque, en vue de tenter d’expliquer leur rareté dans les textes ultérieurs. Une œuvre fait l’objet d’un examen approfondi, en raison de la remarquable représentativité de la mentalité d’âge républicain qui doit lui être reconnue :la comédie du Pseudolus de Plaute. La valeur de témoignage de ce texte ne peut cependant être mise en avant qu’en écartant deux préventions :1) l’inattendue irrigation du texte comique par la doctrine épicurienne – la canonique (ou discipline du raisonnement) bien plus que l’éthique – n’y réduit pas la thématique du mensonge à une parodie de la notion du clinamen, notion alors anachronique si l’on s’en tient aux seuls textes attribués à Epicure ;2) il convient de ne prêter au dramaturge aucune intention subversive comparable à celle qui avait peu auparavant valu la censure au poète Naevius. L’analyse du texte, dans sa perspective historique éclairée par les récits de Polybe et de Tite-Live, conduit à relier l’hommage de Plaute aux facultés intellectuelles de discernement qu’il prête aux Romains – alors à l’apogée de leur condition juridique de 'ciuis/miles' ou citoyen/légionnaire – à la promotion politique des vertus du raisonnement et de la circonspection, promotion symbolisée par la dédicace d’un temple à Mens au cours de la deuxième guerre punique. Le droit civil – au sens de droit objectif propre à la cité – apparaît alors, dans la rigueur de son formalisme originel, comme le corollaire, dans les rapports juridiques entre citoyens, de la discipline imposée au légionnaire dans sa confrontation à l’ennemi extérieur ('hostis/inimicus') :un impératif civique d’exercice constant de la vigilance et de la 'prudentia'. Aussi n’est-ce pas la faute morale du menteur qui doit être juridiquement sanctionnée, mais bien la coupable imprudence de l’interlocuteur qui verse dans l’erreur et succombe à l’'animus fallendi' du menteur. Encore l’étymologie retrouve-t-elle ses droits lorsque s’opère une distinction entre, d’une part, la neutralité du substantif 'mendacium' – son aspect ‘métallique’ d’arme susceptible d’être maniée en bien ou en mal selon la qualité civique de l’utilisateur – et, d’autre part, la stigmatisation du verbe déponent de sens médio-passif 'mentiri'. Ce verbe, immédiatement dérivé de la racine *men-, aurait pu ne viser que le fait de ‘penser’ s’il n’avait, comme l’analysera Varron, été réservé par l’usage qu’à une pensée strictement égoïste, excluant comme telle tout partage, donc à l’encontre des devoirs inhérents à la participation aux débats dans les assemblées publiques caractéristiques de la vie républicaine :être animé d’une pensée susceptible de partage se dit 'cogitare'.<p><p>La troisième partie de l’essai s’attache à décrire l’évolution de la mentalité héritée de la deuxième guerre punique à la mesure de l’extension du domaine de l’ancien droit civil à une société cosmopolite, au sein de laquelle les attentes placées dans la figure emblématique du citoyen romain sincère doivent composer avec les nécessités nouvelles de relations juridiques plus complexes, relations que les vertus civiques prêtées au citoyen/légionnaire ne peuvent plus suffire à régir. Evolutions contrastées du 'ius publicum' et du 'ius priuatum' :tandis que, sur la voie du Principat, les rapports de force politiques cantonnent le devoir de sincérité à une morale personnelle bien aléatoire au cours des conflits qui altèrent le dernier siècle de la République, le droit privé s’enrichit du 'ius gentium' pour s’efforcer, dans les 'iudicia bonae fidei', de substituer à la vigilance formaliste une conscience substantielle des devoirs de sincérité des cocontractants. C’est toutefois en vain que Cicéron suggère de transposer à la scène politique l’éthique du droit civil, ou que Virgile (en particulier dans un épisode-clé du deuxième livre de l’Enéide, manifestement inspiré aussi par la canonique épicurienne) tente de ressusciter une éthique collective de la vigilance face au mensonge. Etrangers donc au droit public de l’Empire, les termes mendacium et mentiri n’apparaissent qu’en ordre dispersé dans un nombre restreint de notices du Corpus iuris ciuilis et, faute d’y être érigés en termes techniques, ne participent que de transpositions ponctuelles aux rapports de droit civil de sanctions inspirées par un devoir de sincérité jadis enraciné dans des notions républicaines de la responsabilité personnelle et de la solidarité.<p><p>Aux termes extrêmes de nos sources latines antiques, le mensonge, dans sa dimension élémentaire d’affirmation délibérément trompeuse, a été entendu de deux façons apparemment diamétralement opposées :d’un impératif républicain de sanction de la crédulité à la condamnation uniformément rigoureuse prononcée par saint Augustin. Cette opposition se mue cependant en synthèse si l’on veut bien considérer que la conception augustinienne tend à conférer la dimension métaphysique de la Cité de Dieu au devoir romain de sincérité autrefois et autrement promu dans les limites de la seule cité républicaine. Entre deux conceptions absolument fondées sur la norme éthique, la norme juridique romaine, seulement appelée à régir l’altérité avec réalisme, n’a traité qu’avec une parcimonieuse prudence de cette perversion de la pensée qu’est le mensonge. / Doctorat en Sciences juridiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Silencing the Revelry: An Examination of the Moral Panic in 186 BCE and the Political Implications Accompanying the Persecution of the Bacchic Cult in the Roman RepublicMoser, Heather S. 28 April 2014 (has links)
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Dramaturgie et morale dans les comédies de Ménandre et de Plaute. La question de l'axiologie / Dramaturgy and Morals in Menander’s and Plautus’ comedies. The question of axiologyLhostis, Nathalie 29 November 2013 (has links)
Notre étude intitulée « dramaturgie et morale », porte sur la mise en scène des valeurs morales dans les comédies de Ménandre et de Plaute. Notre approche consiste à repérer quelles sont les valeurs mobilisées, à étudier la manière dont elles sont exprimées et articulées entre elles. Il s’agit d’analyser leur traitement et la place qui leur est conférée : sont-elles soumises à réflexion, confirmées, mises à l’épreuve ? Ainsi l’enjeu n’est pas tant de chercher la « morale » des pièces ou le message moral qu’elles délivreraient, mais de décrire l’architectonique des valeurs dans les comédies. Nous nous sommes intéressée plus particulièrement à l’axiologie, c’est-à-dire à la forme que prend l’évaluation morale dans les comédies de Ménandre et de Plaute. Quels sont les critères qui déterminent cette évaluation ? Quel est l’enjeu de cette évaluation ? La valeur, telle qu’elle apparaît dans les comédies de Ménandre et de Plaute, est essentiellement de trois types : matérielle, symbolique et éthique. La question est de comprendre comment elles sont pensées et articulées les unes aux autres dans chacun des deux corpus. Cette perspective rejoint la question du rapport entre l’intérêt particulier et l’intérêt d’autrui, centrale dans les philosophies antiques qui posent la question de savoir dans quelle mesure il est nécessaire pour l’agent éthique de prendre en compte l’intérêt d’autrui pour atteindre son propre bonheur.Une première partie est consacrée aux notions de valeurs et d’échange, autour de deux types d’échange : l’échange marchand et l’échange social, le premier mettant en œuvre une morale de type utilitariste et le second faisant appel à des vertus coopératives. Une seconde partie étudie la notion d’infraction. Il s’agit d’examiner les modalités d’évaluation d’une action singulière. Dans une troisième partie, nous étudions la comédie comme expérimentation éthique. / This study, entitled “dramaturgy and morals”, looks at the dramatization of moral values in the comedies of Menander and Plautus. I employ an approach that identifies which values are evoked and looks at how they are conveyed and structured in relation to one another. The aim is to analyse how they are treated and the place that is accorded to them. Are they subjected to reflection, affirmed, or critiqued? Thus what is at stake is less about finding the “morals” in the plays or their supposed moral message, but rather delineating the architectonics of values in these comedies. This study will focus more specifically on axiology, that is to say the form that moral evaluation takes in the comedies of Menander and Plautus. According to which criteria is this evaluation carried out? What is at stake in this evaluation?The concept of value, as it appears in the comedies of Menander and Plautus, entails essentially three domains: the material, the symbolic, and the ethical. The issue at hand is understanding how they are conceived of and related to one another in the comedies of Menander and Plautus. Such a perspective intersects with the question of the relationship between personal interest and the interests of others, a key concern in Ancient philosophy which seeks to discover to what extent an ethical agent is obliged to take into consideration others in order to achieve happiness. The first section is concerned with the concepts of moral values and trade. It looks at two types of trade: commercial trade, which outlines the primacy of utilitarian morals, and communal trade, which is based on co-operative values. The second section deals with the idea of contravention. It examines the procedures used to judge a particular action. The third section looks at comedy as ethical experimentation.
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