• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 200
  • 15
  • 13
  • 11
  • 4
  • 3
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 287
  • 101
  • 48
  • 44
  • 39
  • 37
  • 26
  • 25
  • 25
  • 22
  • 22
  • 22
  • 21
  • 20
  • 19
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

La mise en scène du sens à la Renaissance : du "Ters livre" au "Moyen de parvenir" / The Author as Director : Figures and Meaning from "Le Tiers Livre" to "Le Moyen de Parvenir"

Perona, Blandine 22 November 2008 (has links)
Cette étude interroge les raisons et les fins de l’organisation particulière des œuvres de la Renaissance. Pourquoi préférer, à la transparence, l’opacité d’une "écriture entre les lignes" qui passe par l’abondance des citations, l’obscurité du plan, une tendance à la polyphonie ? Ce travail soumet l’hypothèse suivante : les auteurs désirent atteindre leur destinataire au travers du livre, afin qu’il vive la lecture comme une relation personnelle avec l’auteur. Leur recherche passe par un questionnement sémiotique et une réponse rhétorique. Ils inventent une scénographie textuelle qui concilie le désir que le livre soit présence vivante de l’auteur et les limites du signe qu’est le mot. La prosopopée et l’éloge paradoxal en sont les figures fondamentales. Ces procédés sophistiques rappellent au lecteur que le langage est à la fois médiateur et écran et le contraignent à supposer les intentions masquées de l’auteur. / This study questions the reasons and purposes of the special structure of Renais-sance’s litteray works. Why, to transparency, prefer the opacity of a "between the lines" writing - which implies a wealth of quotes, a tendency to polyphony and the refusal to give an easily legible sequence to the books ? This work propounds the following hypothesis: the authors wish to reach out to their reader through the book, in order to have him experience the act of reading as a personal relationship with the writer. Their quest involves a semiotic query and a rhetorical answer. They invent a textual scenography which reconciles the wish that the book be the writer’s living presence with the limitations of the sign, which the word is. Prosopopeia and paradoxical praise are the basic figures of this scenography. These sophistical devices remind the reader that language is at once mediator and filter and compel him to guess at the author’s hidden designs.
12

Code structures and transgressive strategies in film

Nasta, Dominique January 1989 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
13

Pluralité des concepts liées aux unités de mesure : liens entre histoire des sciences et didactique, le cas de l’aire du carré dans une sélection de textes anciens / Plurality of concepts related to units of measurement : links between history of science and education research, the case of the area of the square in a selection of ancient texts

De Varent, Charlotte 27 October 2018 (has links)
Cette thèse traite des apports réciproques de la recherche en histoire des mathématiques anciennes (Cunéiforme, Chinois, Sanskrit) et de la recherche en didactique ; sur le sujet des unités de mesure. Une analyse historique de tablettes paléo-babyloniennes de Nippur est proposée, s’appuyant sur des outils de didactique. Une analyse historico-épistémologique autour de textes anciens traitant des unités de mesure dans l’aire du carré et du rectangle est menée, et mise en lien avec les travaux de didactique de référence. Une analyse de manuels scolaires de CM2 ainsi qu’une expérimentation en classe de seconde utilisant l’histoire sont proposées, dans le cadre d’une ingénierie didactique / This PHD thesis deals with reciprocal contributions of research in the history of ancient mathematics (Cuneiform, Chinese, Sanskrit) and in education research; on the subject of units of measurement. A historical analysis of a selection of paleo-Babylonian tablets from Nippur is proposed, with the help of didactic tools. An epistemological analysis around ancient texts dealing with units of measurement in area of the square and rectangle is conducted, and related to the didactic reference research work. An analysis of fifth grade textbooks as well as a classroom experiment in tenth grade using history are proposed, in the framework of a didactic engineering
14

Sémiotique et théorie de l'écriture : le cas du système d'écriture japonais

Bricteux, Gwennaël January 2007 (has links) (PDF)
Le but de ce mémoire est de déterminer quelle pourrait être la portée de la sémiotique philosophique de Charles Sanders Peirce sur la théorie de l'écriture, en prenant pour cas d'étude le système d'écriture japonais. Le mémoire questionne ainsi la légitimité de l'application de la sémiotique comme théorie générale des signes aux sciences spéciales, tout en éclairant, par converse, l'étude de l'écriture japonaise en tant que système graphique. Il est structuré en deux chapitres principaux, portant sur: 1) les principes de la sémiotique philosophique, et 2) le lien entre la sémiotique et la théorie de l'écriture. Dans le premier chapitre, la méthodologie du mémoire est tout d'abord établie par l'examen du pragmatisme de Peirce, considéré comme une doctrine méthodeutique ayant pour principe directeur la croissance. La sémiotique et la logique, de même que la linguistique et l'étude de l'écriture, sont situées dans le système piercéen des sciences. Les principes de la phanéroscopie et de la sémiotique sont également exposés. La philosophie de la notation logique de l'auteur est ensuite prise comme point de départ pour une étude de l'écriture du point de vue sémiotique. Dans le second chapitre, une synthèse des théories linguistiques de l'écriture japonaise est proposée, puis une théorie générale de l'écriture comme signe est élaborée à partir de la sémiotique peircéenne. La théorie sémiotique est appliquée plus spécifiquement au système d'écriture japonais et à l'analyse de ses transformations actuelles. Le retour réflexif et critique sur l'analyse effectuée permet par la suite de juger de l'adéquation des concepts sémiotiques dans leur application à l'étude de l'écriture japonaise. Le mémoire se conclut par une considération des liens que la sémiotique de l'écriture entretient avec les autres sciences philosophiques normatives, soit l'éthique et l'esthétique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sémiotique, Philosophie du langage, Philosophie des sciences, Écriture (système graphique), Japonais (Langue), Charles S. Peirce (Charles Sanders, 1839-1914).
15

Vie ou mort de l'homme-signe dans La pornographie de Witold Gombrowicz et Le naufragé de Thomas Bernhard

Desrosiers, Israël January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire se présente comme une réflexion qui vise à démontrer que le développement de la conscience, qui est analogue à l'avancement du signe peircien, nécessite la participation de l'altérité sous peine de conduire au dépérissement de l'identité. L'altérité amène à la conscience un non-dit qui, une fois rendu présent, entraîne l'altération et la disparition de l'identité ou, au contraire, l'amène à se développer indéfiniment. Tel est l'enjeu des personnages principaux des romans La pornographie de Witold Gombrowicz et Le naufragé de Thomas Bernhard, en l'occurrence le narrateur Witold Gombrowicz et le narrateur anonyme. L'ensemble de ma réflexion se déroule en trois temps. Le premier chapitre, Pour une sémiotique du récit de soi, reconstitue les événements marquants qui ont fondé les enjeux des oeuvres littéraires étudiées qui sont fondamentaux pour la présente recherche, à savoir, pour Gombrowicz, l'expérience de l'altérité apportée par l'exil, et pour Bernhard, l'isolement et la résistance à l'intérieur de la culture autrichienne. Les difficultés inhérentes à leurs expériences illustrent comment chez ces auteurs le sujet perçoit le monde et comment il essaie de se définir à l'intérieur de cette représentation. Au second chapitre, Écriture de l'altérité, la théorie du signe de C.S. Peirce permet d'analyser La pornographie et Le naufragé afin de saisir les actions et les modalités reliées à l'acceptation et au rejet de l'altérité chez les deux narrateurs. Le troisième chapitre, L'icône, lieu de la relance ou de l'entropie du signe, examine de façon comparative le développement diégétique des deux romans par la notion peircienne de l'icône face à l'acceptation ou le rejet de l'expérience de l'altérité qui modifie rétroactivement la perception et l'identité des narrateurs des deux romans. La notion de l'icône permet de comprendre pourquoi le récit de l'un s'inscrit comme une promesse d'ouverture alors que celui de l'autre traduit un échec et une fermeture de la conscience. Au terme de la présente réflexion, il est permis d'affirmer que l'acceptation ou le rejet de l'altérité provoque d'importants changements chez les narrateurs, tant sur le plan de la perception et de la représentation du monde que de l'identité. Le personnage narrateur de Gombrowicz assume l'expérience de l'altérité y trouvant une opportunité de se confronter à la réalité et de reconstruire son identité; au contraire, celui de Bernhard s'engage dans une tentative de résistance pour protéger son individualité en s'acharnant à épurer sa perception du monde de tous changements possibles issus de l'altérité, combat à la fois ardu et fatal puisqu'il conduit inévitablement à la figure du suicide. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Altérité, Icône, Identité, Sémiotique, Signe.
16

Al di qua del quadro, la strada : Attraversamenti urbani e arti del quotidiano / En deçà du tableau, la rue : Traversées urbaines et art du quotidien / On the hither side of the picture, the street : Urban crossings and everyday art

Viti, Silvia 24 September 2015 (has links)
L’enjeu et la motivation de cette recherche est de rendre une dignité théorique à toutes ces pratiques qui revendiquent une appropriation, ne serait-ce que exclusivement sémiotique, de l’espace urbain. En consonance avec la démarche de Michel De Certeau, même le concept d’art a été analysé en tant que forme d’expression quotidienne. La street art a été interrogée en tant que pratique de traversée de l’espace et en tant que style de spatialisation : le produit c’est toujours un certain effet-espace qui sous-tend un certain effet de présence. L’exigence de ce travail c’était de faire un portrait de la ville à partir de micros narrations créatives qui la racontent comme par exemple l’intervention de Banksy sur la West Bank Barrier en Palestine, les inscriptions des pixadores brésiliens, les traversées des traceurs du Parkour, et les portraits affichés par JR. La street art c’est une narration possible de la ville, qui, comme un tatou sur la peau, en racontent les moments difficiles, en célèbrent les éléments d’identification, en souvient l’histoire (même celle des villes lointaines) dans une dialectique continue entre soi et Autre. D’un point de vue méthodologique, nous sommes partis de l’analyse des cas pour interroger certaines problématiques sémiotiques à l’aide de la réflexion sur les interactions et les styles de vie d’Éric Landowski, celle sur les pratiques et les formes de vie de Jacques Fontanille et celle sur l’ethno-sémiotique de Francesco Marsciani. L’analyse du phénomène a été nourri par la contribution des autres sciences sociales ayant déjà réfléchi sur l’espace et sa représentation artistique, et tout particulièrement l’anthropologie. / The issue and the motivation of this research is to give a theoretical dignity to all these practices that claim an appropriation of the urban space, even out of its semiotic meaning. In consonance with Michel De Certeau approach, even the concept of art has been analyzed as an everyday form of expression. The street art has been examined either as a space-crossing practice either as a style of spatialization: the altogether product is a space-effect which underlies a certain effect of presence. The goal of this work is to obtain a portrait of the city from a series of creative micro-narrations that illustrate it, as, for example, Banksy’s intervention on the West Bank Barrier in Palestine, the inscriptions of the Brazilian pixadores, Parkour tracers’ city crossings, the portraits posted up in the city by JR. The street art is a possible way of narration of the city, as a tattoo on the skin, it tells the hard moments, celebrates the identification elements, recollects the history (even for the far cities) with a continuous dialogue between itself and the Other. From a methodological point of view, we started from case analyses to question certain semiotic issues with the help of Eric Landowski’s thoughts about interactions and lifestyles, Jacques Fontanille’s ones about life practices and forms, Francesco Marsciani’s reflections on ethno-semiotics. The analysis of the phenomenon has been enriched by the contribution of other social sciences which had already pondered on the concept of space and its artistic representation, anthropology among the others.
17

Analyse sémiotique de la représentation des noirs dans les publicités du magazine Rolling Stone de 2001 à 2004

Cambrone, Agathe January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
18

L'écriture du génocide dans le roman africain : comment témoigner de l'indicible?

Gasengayire, Monique January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
19

Undo the math : Managerial and organizational cognition theoretical and practical implications of cross-cultural and cross-disciplinary semiotic gaps / Implications théoriques et pratiques des fossés sémiotiques entre disciplines ou cultures sur la cognition managériale et organisationnelle

Idelson, Marc 14 September 2011 (has links)
Dans une étude critique, s'appuyant sur l'analyse aristotélicienne du langage (Aristote, 2000a; Benveniste, 1966), sur l'émergence historique de ce que (Crosby, 1997) appelle la mentalité pentamétrique de la société moderne, sur l'exposé anthropologique de (Jorion, 2009) de l'invention par l'Occident des concepts de Vérité et de Réalité (objective), et, s’inspirant, sur un plan plus limité, des incursions dans la pensée chinoise du philosophe helléniste Jullien (Jullien, 1995, 2009), il est démontré que les nombres, l'espace et le temps sont des constructions sociales sémiotiques ; et exposé que les méthodes philologiques, en révélant les fossés sémiotiques (Cruse, 2004; Lyon, 1995), apportent un éclairage absent des études multiculturelles traditionnelles (Hofstede, 1983; Maison, Hanges, Javidan, Dorfman, et Gupta, 2006). De là, sont mis en avant les bien-fondé de (a) l'exercice du doute de soi, de l'ouverture d'esprit, et de la capacité de désapprendre dans les contextes interculturels et interdisciplinaires, et de (b) la prise de conscience des fossés sémiotiques entre cultures et entre disciplines et leur impact sur la cognition des individus, des équipes, des groupes et des organisations. Ancré épistémologiquement dans la réfutabilité poppérienne (Popper, 2002) et le paradigme kuhnien du progrès scientifique (Kuhn, 1996), partant du traité sociologique sur la confiance sociétale en les nombres (Porter, 1995), l’auteur se joint au débat sur la nature des sciences sociales. Ces constats empiriques éclairent l’activité de modélisation dans les sciences sociales. Exposant que la qualité de construction sociale des mathématiques (Berger & Luckmann, 1966b; Jorion, 2009) est en pratique ignorée à la fois par les chercheurs en sciences sociales et les praticiens des affaires, sont évoquées (a) la façon dont la théorie physique post-newtonienne avance en construisant de nouvelles algèbres, et (b) les alternatives théoriquement licites à l'arithmétique de Péano et la géométrie euclidienne qui n'ont pas été explicitement rejetées ou considérées dans les modélisations sociales. Des tentatives indépendantes et superficiellement paradoxales de théorisation des organisations avec divers outils mathématiques —en particulier (Bitbol, 2009; Donaldson, 2010)— sont ensuite conciliées. Puis, des principes de développement d’un corpus mathématique phénoménologiquement fondé et spécifique aux sciences sociales sont exprimés. Ensuite, est exposé comment une double perspective de réseaux sociaux, appliquée conjointement aux niveaux sémantique et culturel, peut utilement étendre l'analyse qualitative de discours. Pour illustrer les implications pratiques de cette thèse, un terrain fertile est retenu ; une méthodologie d’intégration post-fusion de la connaissance organisationnelle sans perte d'information, proposée. Jouant du rôle particulier des énumérations, des informations spatiales, et des informations temporelles dans le discours et la langue occidentaux (Aristote, 2000a; Benveniste, 1966), une méthodologie, qui s'appuie à la fois sur la normalisation de base de données du domaine des systèmes d’information (Codd, 1970, 1972, 1974; Date, Darwen, & Lorentzos, 2003; Fagin, 1977, 1979, 1981) et du modèle dynamique de création de connaissances SECI (Nonaka, 1994) du domaine de la gestion des connaissances en sciences de gestion, est décrite. Cette méthodologie, baptisée Archinormalisation par l’auteur, introduit le concept sociologiquement ancré d’Entité sans Attribut.Enfin, de nouvelles voies de recherche sont évoquées / In a critical management study, drawing on Aristotelian analysis of language (Aristotle, 2000; Benveniste, 1966), (Crosby, 1997)’s historical analysis of the emergence of what he coins modern society’s pentametric mentalité, (Jorion, 2009)’s anthropological exposition of the West’s invention of Truth and (objective) Reality, and following, albeit with a much more limited scope, in the footsteps of Hellenist philosopher Jullien’s forays into Chinese thought (Jullien, 1995, 2009), numbers, space and time are revealed as semiotically-grounded social constructs and philological methods —revealing semiotic gaps (Cruse, 2004; Lyons, 1995)— shed light unmatched by past multicultural surveys (Hofstede, 1983; House, Hanges, Javidan, Dorfman, & Gupta, 2006).From this, are defended the merits of exercising self-doubt, open-mindedness, and unlearning capability, whilst in cross-cultural and crossdisciplinary contexts, and awareness of cross-cultural and cross-disciplinary cognitive gaps at the individual, team, group and organizational levels.Anchored epistemologically in Popperian falsifiability (Popper, 2002), Kuhnian scientific progress (Kuhn, 1996) and Porter’s sociologicaltreatise on our trust in numbers (Porter, 1995), the author joins the debate on the nature of social science. What this thesis’ empirical findings reveal in the context of mathematically supported model-building in the realm of social science is explored; that social scientists and business practitioners model-building is blindsided to the socially constructed nature of mathematics (Berger & Luckmann, 1966; Jorion, 2009) is pondered; how post-Newtonian theoretical physics builds new theory by building new math is evoked; mathematically sound alternatives to Peano arithmetic and Euclidean geometry that have not been explicitly dismissed or considered by social scientists is exposed; independent and superficially paradoxical attempts to theorize organizations with various bodies ofmathematics are reconciled —notably (Bitbol, 2009; Donaldson, 2010); and development principles towards a phenomenologicallygrounded mathematics corpus are yielded. Next, how a social network perspective applied conjointly at the semantic and cultural levels of analysis may usefully extend and bring insights to standard qualitative content analysis is put forward. To illustrate the practical implications of this thesis, one fertile ground is focused upon and a loss-less method to merge indwelled information systems is posited. Empirically illustrating the Aristotelian breakdown of language into its component parts (and the special role numbers, space, and time play in Western discourse and language), a methodology is described for nonloss post-merger integration of organizational knowledge that builds both on (Codd, 1970, 1972, 1974; Date et al., 2003; Fagin, 1977, 1979, 1981) database normalization from the field of Information Management in Computer Science, and on (Nonaka, 1994)’s SECI dynamic model of knowledge creation fromthe field of Knowledge Management in Business Administration Studies. This methodology, coined Archnormalization by the author,introduces the sociologically-grounded concept of Attribute-free Entities. Finally, further avenues of research are outlined that ultimately lie beyond the scope of this thesis.
20

Les tentatives contemporaines de sémantique naturaliste et l'héritage peircien

Marcy, Thomas 29 November 2008 (has links)
Cette thèse aborde un sujet très débattu dans la philosophie de l’esprit et les sciences cognitives contemporaines : la naturalisation de l’intentionnalité en vue d’une théorie générale de la signification exprimable dans les prédicats des sciences naturelles. La première partie expose comment, à partir des années 1960 a évolué le programme collectif de naturalisation, depuis le fonctionnalisme jusqu’à ce qu’on peut appeler le « tournant naturaliste » du début des années 1970 dû à l’essor des sciences cognitives et à une forte remise en cause du fonctionnalisme, notamment en ce qui concerne la prise en compte de l’indexicalité des significations (cf. Kripke 1971, Putnam 1975). La deuxième partie expose les deux types de stratégies qui s’esquissent alors au début des années 1980 : d’une part la voie de la « sémantique informationnelle » (SI) (initiée par Fred Dretske et poursuivie aussi par Jerry Fodor, ce dernier défendant un symbolisme cérébral) où il s’agit de fonder l’intentionnalité sur des rapports nomologiques informatifs. D’autre part la voie de la « téléosémantique » (TS) (initiée par Ruth G. Millikan, suivie notamment par David Papineau) qui consiste à expliquer le développement de l’intentionnalité jusqu’à la cognition conceptuelle à partir de contraintes évolutionnistes. La troisième partie opère un « tournant sémiotique » en examinant la théorie logique et métaphysique des signes chez Charles S. Peirce (1845-1914), dont Millikan déclare s’être initialement inspirée. Il s’agit de montrer que la conception peircienne de l’intentionnalité, qui conçoit celle-ci comme un processus inférentiel réalisé dans des signes fonctionnant de manière iconique, est effectivement la voie permettant de fonder une nouvelle conception de la représentation symbolique qui évite d’avoir à assumer les présupposés métaphysiques du cognitivisme computationnel propres à la SI ; cela en développant une notion de signe naturel qui rend compte des faits découverts par les sciences cognitives sans tomber pour autant dans le psychologisme. La quatrième partie constitue alors l’ébauche de ce que pourrait être une philosophie de l’esprit élaborée à partir du concept écologique de signe cognitif, celui-ci comportant une dimension logique (une relation triadique, au sens où l’entend la logique des relatifs de Peirce) et une dimension proprement comportementale (également triadique, mais dépourvue d’auto-contrôle : ce pour quoi on crée le concept d’Image comportementale). Un examen sur la question de l’indexicalité montre que la bonne appréhension du problème consiste en effet à bien penser l’articulation entre les fonctions indexicales et iconiques du signe, qui ne prend la forme d’un rapport contrôlé d’intentionnalité seconde que dans le cadre d’un système symbolique régi par des conventions syntaxiques / The subject of this thesis is the naturalizing project of intentionality, i.e. a theory of meaning expressible in natural sciences predicates. Part I expose the functionalist program in the 1960’ and its calling into question during the 1970’ by the development of cognitive sciences and indexicality problem (Kripke 1971, Putnam 1975). Part II is devoted to the alternative strategies developed since the beginning of the 1980’. In one hand : the “information semantics”, i.e. a nomic grounded semantics initiated by Fred Dretske (followed by Jerry Fodor). On the other hand: the “teleosemantics” of Ruth G. Millikan (followed by David Papineau) which seeks to found the theory of cognition on evolutionary constraints. Part III proceeds to a “semeiotic turn” by analyzing the logical and metaphysical theory of signs of Charles S. Peirce (1845-1914), one of the most prominent sources of Millikan’s thesis. Indeed, Peirce’s conception of cognition as an inferential process grounded in iconic signs is the very way of a naturalistic theory of symbols which symmetrically avoids the metaphysical prejudices of computational cognitivism and psychologism. Then Part IV try to sketch out the project of an ecological theory of mind based on the concept of a multi-functional intentional sign (a sign of which the inferential function of self-control is not reducible to the simpler behavioural functions). In this part we argue in favour of a new behavioural concept : the “Image”. A last development concerning the indexicality problem tends to prove that the matter consists in an adequate description of the relations between iconic and indexical functions in the sign, by which it is possible to understand the specificity of syntactical and conventional systems of expression

Page generated in 0.0516 seconds