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La dimension intersensorielle dans la pratique de l 'espace urbain : une approche méthodologiquepluridisciplinaire

Couic, Marie-Christine 18 January 2000 (has links) (PDF)
La ville est un espace sensible, construit notamment par des architectes et des urbanistes. Ceux-ci modèlent l'espace en n'utilisant souvent qu'une modalité sensorielle de base pour leur travail : la modalité visuelle. Or notre perception d'un espace ne se fait pas uniquement par cette modalité, ni de façon disjointe entre nos différents sens : il existe des interactions entre les sens ; notre perception est une perception intersensorielle. L'objectif de cette recherche est d'appréhender des perceptions intersensorielles situées dans l'espace urbain et de comprendre les bases de leur articulation. Deux démarches ont été adoptées pour appréhender la nature de ces perceptions intersensorielles : 1/ les travaux scientifiques ont été consultés, et 2/ une approche située permettant de relever des perceptions intersensorielles sur un site urbain a été élaborée et testée. Cette méthodologie utilise des comptes rendus de perception d'usagers, des observations ainsi que des mesures physiques réalisés sur site. Les principaux résultats sont les suivants : 1/ les ambiances peuvent être observées d'un point de vue intersensoriel ; 2/ cette observation permet d'élaborer des modes perceptifs révélés par l'interaction existant entre les sens, le langage, la motricité et les modalités de l'être ; 3/ ces modes perceptifs correspondent à trois échelles différentes : profils perceptifs (échelle urbaine), attitudes perceptives (échelle du piéton en mouvement), effets intersensoriels (échelle du dispositif architectural) ; 4/ l'interprétation de ces modes perceptifs fait appel à la motricité ; 5/ les mesures physiques confirment souvent les mesures perceptives et nous en concluons que l'observation des perceptions par le biais du langage est pertinente. Cette recherche contribue à la définition de la notion d'espace public urbain à partir de ses composantes sensibles et à l'élaboration d'un schéma d'intelligibilité des ambiances urbaines basé sur des perceptions situées.
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Le baladeur dans l'espace public urbain : essai sur l'instrumentation sensorielle de l'interaction sociale

Thibaud, Jean-Paul 01 February 1992 (has links) (PDF)
L'usage du baladeur musical en milieu urbain relève d'une nouvelle forme de mobilité qui questionne les catégories habituelles de notre entendement. En prêtant son corps aux voix du walkman, l'auditeur-baladeur adopte des pratiques spatio-phoniques qui jouent des interférences complexes entre conduites spatiales, conduites perceptives et conduites sociales. Son expérience du public peut être lue de différentes manières : en termes de discrimination de l'environnement sonore, de recomposition des seuils du public et de déstabilisation des situations sociales. En outre, l'écoute au casque opère un dérèglement de l'appareil perceptif de l'auditeur, instrumente une disjonction entre le visible et l'audible et conduit à une instabilité des formes perçues et exprimées. Cette pratique singulière participe d'une "sociabilité publicative" et permet de poser la question : comment du social peut-il être du sensible ?
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L'événement urbain festif : vers une " gestion de site exploratoire " sur lespace public ? : les cas de Nantes et de Bordeaux

Miranda, Monica 22 November 2010 (has links) (PDF)
Les événements urbains festifs (EUF) s'imposent non seulement comme de nouvelles pratiques sociales, mais aussi en tant qu'action urbaine et objet d'analyse de la recherche urbaine. Ils agissent sur l'espace public suivant des logiques distinctes éphémères, cycliques, immatérielles des actions urbaines " traditionnelles " et des modalités actuelles de gestion de tels espaces. Aussi, cette recherche vise à appréhender si les logiques de gestion des EUF ouvrent de nouvelles perspectives pour la gestion des espaces publics. Pour répondre à ce questionnement, le cadre théorique de la " Gestion de site " a été mobilisé. Ce dernier décrit et permet d'appréhender les modalités de gestion de quatre sites urbains (gares multimodales, centres-villes, centres commerciaux, résidences privées avec services) complexes (du point de vue de la coexistence de fonctions, de services urbains, d'usages et d'intérêts sectoriels, spécifiques), permanents, de natures distinctes et proposant des ambiances particulières à leurs usagers.Il est apparu que ce cadre théorique permettait bien d'appréhender les modalités de gestion d'autres sites urbains aussi complexes que ceux analysés par la " Gestion de site ", et pourtant de nature éphémères : les sites de déroulement des EUF. Ce cadre théorique a donc été confronté à deux EUF se déroulant sur des sites éphémères : " Bordeaux-fête-le-vin " et les " Rendez-vous de l'Erdre " à Nantes. Ce choix est motivé principalement par le fait que ces EUF sont mis en place précisément sur des sites composés par une série d'espaces publics dont la gestion quotidienne et événementielle est complexe : les " espaces publics fluviaux ". L'analyse de la gestion de ces deux EUF par le prisme de la " Gestion de site " met en évidence des enseignements sur la gestion de l'événementiel qui, d'une part, nourrissent la réflexion autour de la gestion des espaces publics complexes et, d'autre part, enrichissent la " Gestion de site " en apportant des éléments inédits à ce cadre théorique nouveau
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Dynamique des accès et des usages du téléphone et d'Internet à Dakar : quels liens avec l'aménagement urbain ?

Sary, Ousmane 05 July 2012 (has links) (PDF)
En ce début de siècle, l'information a pris une dimension capitale grâce aux nouvelles technologies. On parle de la société mondiale de l'information, réduisant la planète en un " village global ". Cependant, les pays des Suds, à la périphérie de ce processus, souffrent de la fracture numérique. Néanmoins, une dynamique des Tic s'y développe à travers des modèles d'accès adaptés aux réalités socio-économiques. A Dakar, ces modèles populaires ont permis une appropriation profonde du mobile alors qu'Internet, l'élément essentiel de cette révolution numérique, tarde à s'ancrer dans l'espace urbain. Dakar, ville primatiale est marquée par une forte polarisation des activités au niveau du centre historique. Cette répartition déséquilibrée est à l'origine des dysfonctionnements territoriaux quotidiens. Le caractère immatériel de la manifestation des nouvelles technologies semble représenter alors un moyen pour atténuer les effets de la question cruciale de la déficience de l'aménagement du territoire, notamment en termes de mobilités. Ainsi, grâce aux usages d'Internet, quelques pratiques urbaines dans divers domaines d'activités se déroulent sur le cyberespace. Mais en raison de leurs impacts peu conséquents sur les territoires réels, les attentes parfois exagérés des acteurs gouvernementaux, la société civile et les opérateurs, tardent à se concrétiser. En effet, malgré la bonne connexion du pays à la dorsale internationale, le taux de pénétration d'Internet au Sénégal ne permet pas pour le moment d'infléchir les dysfonctionnements. En réalité, sur le web sénégalais, la dynamique des usages associés aux pratiques urbaines n'a pas fait émerger de véritables liens entre Internet et l'aménagement territorial urbain à Dakar
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Incidences du contexte urbain et du rapport au cadre de vie sur la mobilité de loisir

Nessi, Hélène 30 November 2012 (has links)
Le périurbain est régulièrement stigmatisé au titre de la surmobilité (notamment automobile) qu'il entraîne. Dans ce travail de doctorat, nous avons pris au sérieux cette critique et l'avons mise à l'épreuve en explorant les liens entre le cadre de vie et la mobilité de loisir. De fait, si certains travaux ont porté exclusivement sur l'influence des variables socioéconomiques des ménages pour expliquer leur mobilité, d'autres ont mis en évidence l'influence du contexte urbain. Nous nous appuyons sur ces travaux, mais en opérant un double déplacement. D'une part, nous ne prenons pas seulement en compte le contexte urbain commun à un ensemble de ménages, mais aussi le cadre de vie propre à chaque ménage. D'autre part, nous faisons l'hypothèse que les pratiques spatiales des ménages (tant au sein de leur cadre de vie qu'en dehors) reposent également sur leur " rapport à leur cadre de vie ". Notre travail a consisté à tester empiriquement les hypothèses de l'influence du contexte urbain et du rapport au cadre de vie sur la mobilité de loisir. Les agglomérations francilienne et romaine, qui présentent des structures urbaines et des modèles de périurbanisations contrastés, constituent nos terrains d'étude. Pour notre échantillon nous avons retenu des familles et avons mené des enquêtes dans 9 quartiers, se distinguant par leur situation géographiques et leur niveau de desserte en transport collectif. Notre travail empirique combine trois approches complémentaires : une approche contextuelle dans laquelle nous décrivons les caractéristiques fonctionnelles, sensibles et sociales des terrains d'étude, une approche qualitative comprenant 81 entretiens semi-directifs et une approche quantitative reposant sur 2250 entretiens téléphoniques. Une grille d'analyse a permis de traiter les entretiens et de classer les ménages selon 5 profils de " rapport au cadre de vie " à partir de leurs représentations et de leurs pratiques dans les registres fonctionnel, sensible et social. Nos résultats statistiques confirment la forte influence du revenu et de la position socioéconomique sur la mobilité de loisirs mais relèvent également l'influence non négligeable de deux autres variables qui agissent séparément et en interaction : le rapport au cadre de vie et le contexte urbain. Par ailleurs en neutralisant l'effet revenu et l'effet de la position socioéconomique, les résultats confirment bien une influence statistiquement significative de la localisation géographique. Les résidents du centre parcourent toujours davantage de kilomètres pour la mobilité de loisir que les péricentraux et les périurbains et leur mobilité globale (travail + loisir) est quasi équivalente à celle des périurbains et des péricentraux. L'analyse à l'échelle du quartier permet de vérifier l'hypothèse d'une mobilité de compensation et de préciser quels sont concrètement les éléments contextuels décisifs dans le choix des motifs de loisir. L'analyse du contexte à différentes échelles confirme l'influence d'éléments importants qui expliquent une part importante de mobilité de loisir en termes kilométriques tels que le manque de calme, d'espaces verts et d'intensité des tissus associatifs et sociaux et la localisation de l'offre de loisir dans l'agglomération. On observe ensuite l'influence de l'offre de transports ferroviaires, de la densité et du statut d'occupation du logement. Le type de logement (maison individuelle ou immeuble) n'a, en revanche, pas d'influence sur la mobilité de loisir. Les résultats obtenus montrent le rôle du rapport au cadre de vie dans la construction d'un mode de vie sur lequel se fonde la mobilité de loisir. L'attention portée à la relation entre le ménage et son cadre de vie permet de montrer que la mobilité de loisir dépend notamment de la représentation que le ménage se construit de son cadre de viede vie.
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Développement d'un modèle d'estimation des variables de trafic urbain basé sur l'utilisation des technologies de géolocalisation

Hofleitner, Aude 04 December 2012 (has links) (PDF)
Face à l'augmentation de la mobilité, les politiques de développement durable cherchent à optimiser l'utilisation des infrastructures de transport existantes. En particulier, les systèmes d'information du trafic à large échelle ont le potentiel d'optimiser l'utilisation du réseau de transport. Ils doivent fournir aux usagers une information fiable en temps réel leur permettant d'optimiser leurs choix d'itinéraires. Ils peuvent également servir d'outils d'aide à la décision pour les gestionnaires du réseau. La thèse étudie comment l'émergence des services Internet sur les téléphones portables et la rapide prolifération des systèmes de géolocalisation permet le développement de nouveaux services d'estimation et d'information des conditions de trafic en réseau urbain. L'utilisation des données provenant de véhicules traceurs nécessite le développement de modèles et d'algorithmes spécifiques, afin d'extraire l'information de ces données qui ne sont envoyées, jusqu'à présent, que par une faible proportion des véhicules circulant sur le réseau et avec une fréquence faible. La variabilité des conditions de circulations, due à la présence de feux de signalisation, motive une approche statistique de la dynamique du trafic, tout en intégrant les principes physiques hydrodynamiques (formation et dissolution de files d'attentes horizontales). Ce modèle statistique permet d'intégrer de façon robuste les données bruitées envoyées par les véhicules traceurs, d'estimer les paramètres physiques caractérisant la dynamique du trafic et d'obtenir l'expression paramétrique de la loi de probabilité des temps de parcours entre deux points quelconques du réseau. La thèse s'appuie sur les données et les infrastructures développées par le projet Mobile Millennium à l'Université de Californie, Berkeley pour valider les modèles et algorithmes proposés. Les résultats soulignent l'importance du développement de modèles statistiques et d'algorithmes adaptés aux données disponibles pour développer un système opérationnel d'estimation du trafic à large échelle
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Les Villes-Santé en Bretagne : quels choix de gestion et d'aménagement des espaces ?

Le Goff, Erwan 04 December 2012 (has links) (PDF)
Le programme Ville-Santé de l'OMS est une référence sur laquelle les acteurs ayant compétence à agir sur les espaces de vie des populations peuvent s'appuyer pour intervenir stratégiquement, de manière globale, intersectorielle, partenariale et participative en faveur de la santé des populations. Du point de vue de l'aménagement et la gouvernance des territoires, la thèse s'inscrit dans la démarche d'analyse a posteriori de la construction locale de la santé publique. Du point de vue géographique, l'un des aspects les plus intéressants de Ville-Santé est de voir comment les villes adhérentes cherchent à promouvoir des initiatives dans des lieux et configurations spatiales spécifiques et comment ces lieux et ces initiatives localisées contribuent à la santé et au bien-être.En définissant la santé comme " un état de complet bien-être physique, mental, social ", l'OMS a contribué à diffuser un modèle des déterminants de la santé qui accorde une importance significative aux facteurs liés aux environnements physiques et sociaux. Le programme Villes-Santé a été lancé en 1986 afin de reconnaître le rôle des acteurs de l'urbain dans la promotion de villes susceptibles de concourir à l'épanouissement et la santé pour Tous. Au-delà de l'analyse des modalités d'adhésion de chacune des villes bretonnes concernées au réseau, la thèse évalue l'élargissement de la prise en compte de la santé dans les priorités locales, en s'intéressant plus particulièrement aux choix en matière de gestion et d'aménagement des espaces urbains
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Pratiques et stratégies d'appropriation spatiale des groupes de femmes montréalais

Béchard, Clotilde January 2008 (has links) (PDF)
La présente recherche vise à mettre en lumière les pratiques et les stratégies d'appropriation spatiale des groupes de femmes montréalais dans les dimensions matérielle, idéelle et sociopolitique du territoire urbain. Partant de la prémisse voulant que les femmes aient un rapport différencié à l'espace, suscitant des besoins et des intérêts spécifiques, est avancée l'idée que les groupes de femmes investissent de plus en plus la sphère municipale. Perçue comme espace de pouvoir crucial dans l'amélioration des conditions de vie des femmes et dans l'atteinte de l'égalité entre les femmes et les hommes, la ville serait un territoire à l'intérieur duquel les groupes de femmes et les femmes participent à sa définition. Une dizaine d'entretiens ont été menés avec des répondantes provenant des groupes de femmes, de leurs instances de concertation et des institutions féministes. Ainsi, quelques-unes des pratiques et stratégies mises de l'avant par les groupes de femmes afin de s'approprier la ville dans ses dimensions idéelle, matérielle et sociopolitique, ont été dévoilées. Par ailleurs, la question de l'adaptation des actions des groupes de femmes au nouveau contexte découlant de la réorganisation municipale, procédant d'une reconfiguration des institutions aux différentes échelles, est soulevée. Préconisant le développement d'alliances et d'une concertation au sein du mouvement des femmes montréalais, les groupes de femmes misent sur des stratégies de représentation aux échelles locales et municipales, favorisant une plus grande. implication dans leur quartier et leur arrondissement. Néanmoins, les nombreux obstacles rencontrés par les groupes de femmes lèvent le voile sur la persistance d'une discrimination systémique à l'égard des besoins et des intérêts des femmes par leurs interlocuteurs locaux et municipaux. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Groupes de femmes, Appropriation spatiale, Discrimination systémique, Rapport différencié à l'espace, Réforme municipale, Montréal.
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Herméneutique de la forme urbaine : le cas de la place Saint-Henri et du Square Jacques-Cartier

Séguin, Catherine January 2008 (has links) (PDF)
L'existence de la ville de Saint-Henri fut brève, mais sa croissance fulgurante. Au moment de son annexion à la ville de Montréal, l'ensemble formé par la place Saint-Henri et le square Jacques-Cartier domine le paysage en tant que pivot de la vie politique, économique, sociale et culturelle. Mais l'importance de cet ensemble s'est amenuisée au cours du XXe siècle. Ces lieux, qui jadis exprimaient l'importance et les aspirations de Saint-Henri, ont perdu aujourd'hui leur signification originelle. Leur personnalité s'est dissoute dans l'image qu'on attribue à l'ensemble du secteur, celle d'un quartier ouvrier montréalais dont la place et le square illustrent la déshérence et l'abandon plutôt que la richesse et l'effervescence d'autrefois. Les divers projets de rénovation et de revitalisation urbaine menés dans la seconde moitié du XXe siècle ne semblent avoir engendré aucune retombée positive réelle sur l'image du quartier et la place qu'il occupe dans l'imaginaire collectif. Pourquoi et comment sommes-nous arrivés à cet état de fait? L'hypothèse suivante se pose donc: malgré les différents projets de rénovations urbaines réalisés à Saint-Henri, son industrialisation toujours croissante et son annexion à la ville de Montréal ont fait perdre à la Place Saint-Henri et au square Jacques-Cartier leur rôle de pivot et ont simultanément contribué à forger une nouvelle personnalité au quartier qui ne tient pas compte de la mémoire des lieux. Ce mémoire s'attarde à retracer la morphogenèse et la sémiogenèse de la Place Saint-Henri et du square Jacques-Cartier de 1686 à 1981 afin d'en dégager une herméneutique de la forme urbaine qui permet de comprendre les causes ayant mené à la transformation d'une partie de la personnalité de Saint-Henri au XXe siècle et de restituer dans la mémoire collective l'importance de la Place Saint-Henri, du square Jacques-Cartier et, par extension, du quartier Saint-Henri. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Morphogenèse, Sémiogenèse, Herméneutique, Forme urbaine, Représentation, Mémoire collective, Saint-Henri.
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La naturalisation, clé de l'habitabilité urbaine? : le cas de Barcelone

Mayrand, Isabelle January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire interroge la façon dont la nature urbaine interpelle l'esprit de l'homme et guide ses actions dans sa manière d'habiter le territoire tout en participant aux conditions d'équilibre des rapports homme/nature. L'alliance de l'homme et de la nature serait même une condition nécessaire non seulement au bien-être de l'être humain, mais également à la préservation des éléments naturels qui constituent le milieu vital de son existence. Notre réflexion s'appuie sur l'examen de la relation qui se crée entre les citadins et la nature à travers les représentations, les valeurs, les pratiques et les besoins qu'entretient l'être humain face aux conditions naturelles de ses milieux et modes de vie urbains. Afin de vérifier notre hypothèse, nous avons interrogé 40 résidants de la ville de Barcelone, en Espagne. L'analyse des résultats révèle que les citadins entretiennent une relation équivoque avec la nature urbaine, et que, bien qu'une certaine culture urbaine de la nature semble exister, il y a un décalage entre les représentations des individus et leurs pratiques. Dans cette optique, il apparaît nécessaire non seulement d'intégrer la nature dans le paysage urbain, mais surtout de requalifier la naturalité et, partant, le sens donné à ce paysage de telle sorte qu'il puisse favoriser chez les citadins une appropriation sensible sur laquelle reposerait une volonté de restaurer et de conserver des lieux qui suscitent une intradépendance avec la nature. C'est ainsi que la nature urbaine procèderait, selon nous, d'une construction de modes d'habiter urbains plus sereins qui interpelle le rôle de l'habitant dans la production de son milieu de vie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Nature urbaine, Rapport homme/nature, Sécurité environnementale, Mieux-être, Conscience écologique.

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