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L'émergence de violence domestique comme rubrique du discours institutionnel : le cas du Conseil de l'EuropeNugara, Silvia 18 March 2011 (has links) (PDF)
Notre thèse a pour thème l'émergence de l'objet social " violence domestique " et sa nomination dans le discours du Conseil de l'Europe en français. L'analyse est menée sur un corpus de textes officiels et préparatoires rédigés entre 1985, date de la première recommandation sur la violence au sein de la famille, et 2008, année d'achèvement de la Campagne pour combattre la violence à l'égard des femmes, y compris la violence domestique. La nomination est appréhendée comme une pratique à la fois reflétant la réalité sociale et contribuant à la construire. La valeur sociale et institutionnelle de violence domestique est analysée à partir d'une comparaison avec l'usage et la distribution des fréquences d'autres désignations très fréquentes en corpus [violence au sein de la famille et violence conjugale]. Désignations et définitions construisent discursivement la " violence domestique " en tenant compte des contraintes d'une organisation universaliste, dont l'objectif est de diffuser le respect des droits humains aussi bien dans la sphère publique que dans la sphère privée en dépassant les particularismes culturels ou géographiques de ses États membres. Le discours du Conseil de l'Europe est aussi traversé par la mémoire du discours militant féministe qui a permis de dévoiler la violence privée comme étant un des effets de la domination masculine sur les femmes. Au carrefour entre sémantique lexicale et analyse du discours, l'émergence de violence domestique en 1998 et sa diffusion comme dénomination officielle entre 2002 et 2008 sont observées comme relevant de son caractère vague et inclusif mais aussi des effets d'interférence de l'anglais sur le français dans le cadre du discours des institutions internationales.
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L’émergence de violence domestique comme rubrique du discours institutionnel : le cas du Conseil de l’Europe / The emergence of violence domestique as a category of institutional discourse : the case of the Council of EuropeNugara, Silvia 18 March 2011 (has links)
Notre thèse a pour thème l'émergence de l`objet social « violence domestique » et sa nomination dans le discours du Conseil de l`Europe en français. L'analyse est menée sur un corpus de textes officiels et préparatoires rédigés entre 1985, date de la première recommandation sur la violence au sein de la famille, et 2008, année d'achèvement de la Campagne pour combattre la violence à l`égard des femmes, y compris la violence domestique. La nomination est appréhendée comme une pratique à la fois reflétant la réalité sociale et contribuant à la construire. La valeur sociale et institutionnelle de violence domestique est analysée à partir d`une comparaison avec l`usage et la distribution des fréquences d`autres désignations très fréquentes en corpus [violence au sein de la famille et violence conjugale]. Désignations et définitions construisent discursivement la « violence domestique » en tenant compte des contraintes d`une organisation universaliste, dont l'objectif est de diffuser le respect des droits humains aussi bien dans la sphère publique que dans la sphère privée en dépassant les particularismes culturels ou géographiques de ses États membres. Le discours du Conseil de l`Europe est aussi traversé par la mémoire du discours militant féministe qui a permis de dévoiler la violence privée comme étant un des effets de la domination masculine sur les femmes. Au carrefour entre sémantique lexicale et analyse du discours, l`émergence de violence domestique en 1998 et sa diffusion comme dénomination officielle entre 2002 et 2008 sont observées comme relevant de son caractère vague et inclusif mais aussi des effets d`interférence de l`anglais sur le français dans le cadre du discours des institutions internationales. / Our thesis deals with the emergence and the naming of the social object domestic violence within the discourse of the Council of Europe. The analysis is carried out on a corpus of French versions of official and preparatory documents ranging from 1985's first recommendation on family violence to the end of 2006-2008's Campaign to Combat Violence Against Women, Including Domestic Violence. Naming is apprehended as an activity of both reflection and construction of social reality. The social and institutional value of names is analyzed on the basis of a comparison between the uses and the distribution of frequencies of violence domestique and of other most frequent items such as violence au sein de la famille and violence conjugale.Names and definitions discursively construct domestic violenceŗ according to the role and the constraints of a universalistic international organization whose aim is to institute an area of respect of human rights both in the public and in the private sphere by going beyond the cultural and geographic specificities of each of its member states. The discourse of the Council of Europe is also influenced by the discursive memory of feminist discourses which first unveiled private violence as a consequence of masculine dominance over women.By intersecting lexical semantics and discourse analysis, the emergence of violence domestique in 1998 and its spreading as an official denomination between 2002 and 2008 are observed as a result of semantic features such as its vagueness and inclusiveness but also as an effect of linguistic interference of English over French which often occurs in the discourse of international organizations.
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Le droit international localement pour et par les femmes indiennes : la protection contre la violence domestique à Mumbai, IndeBourgeois, Isabelle 12 1900 (has links)
Le droit international véhicule des principes de droits des femmes dits universels. Pourtant, ces droits prennent un tout autre sens lorsque confrontés aux réalités locales. En Inde, le droit hindou entretient la notion de devoirs par opposition aux droits individuels. Ainsi, la femme est définie selon ses relations à la famille et au mariage plutôt que selon ses libertés sociales. Toute dérogation dans les devoirs de la femme envers sa famille ou son mari est une raison valable pour punir la délinquance et discipliner.
Cette étude s’intéresse aux tensions entre les standards internationaux et locaux à partir de l’étude de la Protection of Women against Domestic Violence Act de 2005 (PWDVA). Cette loi se trouve au confluent de l’universalisme du droit international des droits humains et du pluralisme culturel en Inde. La PWDVA semble remettre en question le statut de la femme et de la famille dans la société. Les idéaux du droit peuvent-ils être adaptés aux diverses réalités nationales et locales? Comment les organisations non gouvernementales (ONG) s’inscrivent-elles dans la conjugaison du droit vivant et du droit international pour contrer la violence domestique?
Cette recherche étudie le rôle des ONG dans l’adaptation et la traduction des normes internationales dans le contexte culturel et social indien. Une analyse approfondie de documents théoriques et juridiques, des observations participatives et des entrevues au sein d'une ONG à Mumbai en 2013 ont permis d’observer la transition des normes internationales vers le local. Un tel séjour de recherche fut possible à l’aide d'une méthodologie suivant le cadre théorique du féminisme postmoderne et de l’anthropologie juridique. L’analyse des résultats a mené à la conclusion que les ONG jouent un rôle de médiateur entre les normes appartenant au droit international, au droit national indien et au droit vivant. Celles-ci doivent interpréter les droits humains intégrés à la PWDVA en reconnaissant ce qui est idéaliste et ce qui est réaliste à la lumière des réalités locales, faisant ainsi l’équilibre entre le besoin de transformations des communautés et le respect des valeurs à préserver. Cette recherche offre donc une ouverture quant aux solutions possibles pour contrer les tensions entre droits des femmes et droits culturels dans un contexte de développement international. / International law carries principles of women’s rights that are called universal. However, those rights take on a whole new meaning when confronted to local realities. In India, Hindu law embodies notion of duty rather than individual rights. Thereby, a woman is defined through her relations towards her family and husband at the expense of social freedoms. In her duties towards her family and husband, any deviation will justify punishment and discipline.
This research focuses on the tensions between international and local standards through the study of the 2005 Protection of Women against Domestic Violence Act (PWDVA). This law is at the conjunction of the universality of human rights law and the Indian cultural pluralism. The PWDVA seems to question the status of woman and family in India. Can legal ideals be adapted within diverse national and local realities? How do non-governmental organizations (NGOs) get involved in the conjugation of living law and international law to counter domestic violence?
This thesis studies the NGOs’ role in the adaptation and the translation of international norms into Indian cultural and social context. A depth analysis of theoretical and legal literature, participative observations and interviews without an NGO in Mumbai in 2013 helped to show the transition of international norms to local justice. The field study was possible through the methodology related to postmodern feminism and legal anthropology. The data analysis led to the conclusion that NGOs play a mediating role between norms for international, national and living law. They have to interpret the PWDVA and the human rights imbedded in it while recognizing different idealistic and realistic components in local realities. They strive to establish a balance between communities’ need of change and observance of values to be preserved. This research provides an overview of local solutions to counter those tensions between women’s rights and cultural rights in an international development context.
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Violência de gênero e Lei Maria da Penha: atuação da Vara Especial de Violência Doméstica e Familiar conta a Mulher da Comarca de São Luís-MA na aplicação das medidas protetivas de urgência / Gender violence and the Maria da Penha Act: the performance of the Special Rod of Domestic and Family Violence tells the Woman of the District of São Luís-MA in the application of emergency protective measuresBARRÊTO, Lilah de Morais 09 August 2017 (has links)
Submitted by Rosivalda Pereira (mrs.pereira@ufma.br) on 2017-09-20T18:17:27Z
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Previous issue date: 2017-08-09 / Cette recherche a pour but d’analyser l’action de la Juridiction Spéciale de Violence
Domestique et familiale contre la Femme de la Municipalité de São Luís-MA à l’application
des Mesures Protectrices d’Urgence prévues à la Loi Maria da Penha, en ce qui concerne la
lutte contre la violence de genre. Elle réalise une approche de la catégorie de genre tout en la
concevant comme une construction historique et discursive, traversée par des relations de
pouvoirs, et envisage la violence domestique familiale contre la femme comme l’une des
expressions de sa structure hiérarchisée et androcentrique. Cette forme de violence, ses
mécanismes de reproduction et ses discours légitimateurs sont traités comme des dispositifs de
pouvoir et de contrôle social sur les femmes, auxquels participent des institutions les plus
diverses, y compris celles de l’appareil policier et judiciaire, les institutions elles-mêmes et
leurs pratiques, celles-ci étant souvent responsables de la constitution de sujets et de sens
relatifs au genre. Cela vient de la façon dont elles signifient et traitent la mémoire discursive
concernant cette matière du genre. On utilise l’analyse du discours française comme fil
méthodologique conducteur pour vérifier les régularités et les ruptures au traitement de la
violence domestique et familiale contre les femmes dans les procès distribués à la juridiction
étudiée constituant le corpus de ce travail. Le dispositif d’analyse employé a pour objectif
d’observer si l’application des instituts légaux caractérise le problème comme une violation aux
Droits de l’Homme et si cette question représente un intérêt pour l’État, ou si, au contraire, cela
obéit à la culture juridique traditionnelle qui le considère comme un problème d’importance
sécondaire et crée une dichotomie entre les espaces publique et privé. Enfin notre recherche
jette un regard sur les dires et les silences inscrits dans le procès, dans le but de voir si ceux-ci
prennent en considération les spécificités de cette forme de violence. / A presente pesquisa visa analisar a atuação da Vara Especial de Violência Doméstica e
Familiar contra a Mulher da Comarca de São Luís-MA na aplicação das Medidas Protetivas de
Urgência previstas na Lei Maria da Penha, na perspectiva de enfrentamento à violência de
gênero. Realiza abordagem da categoria gênero como construção histórica e discursiva,
atravessada por relações de poder, bem como da violência doméstica e familiar contra a mulher
como uma das expressões de sua estrutura hierarquizada e androcêntrica. Essa forma de
violência, seus mecanismos de reprodução e seus discursos legitimadores são compreendidos
como dispositivos de poder a constituir o controle social sobre as mulheres, do qual participam
diversas instituições, inclusive as do aparato policial-judiciário. Isso porque as práticas
institucionais também são responsáveis pela constituição de sujeitos e de sentidos relativos ao
gênero, a depender de como os significam e se remetem à memória discursiva acerca da
matéria. Utiliza-se como metodologia a análise do discurso, de linha francesa, para verificar,
nos processos distribuídos à Vara estudada e que constituem o corpus deste trabalho, as
regularidades e rupturas no tratamento da violência doméstica e familiar contra a mulher. O
dispositivo de análise empregado tem como objetivo observar se a aplicação dos institutos
legais caracteriza o problema como violação aos Direitos Humanos e questão de interesse do
Estado, ou se ainda obedece à tradicional cultura jurídica de subalternização desses conflitos e
dicotomização entre os espaços público e privado, assim como examinar se os dizeres e
silêncios inscritos nos processos enfrentam as especificidades dessa forma de violência.
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La violence domestique envers les femmes au Mexique : une analyse multidimensionnelle et intersectionnelleValle-Fajer, Minea 03 1900 (has links)
En s’inscrivant dans la perspective du féminisme intersectionnelle et en mobilisant des méthodes mixtes, cette recherche tente de mieux comprendre la violence domestique envers les femmes au Mexique, à la fois à travers une analyse du discours des féministes mexicaines et d’une analyse statistique multidimensionnelle de données d’enquête identifiant les facteurs institutionnels, économiques et socioculturels associés au risque de vivre de la violence domestique. Cette thèse se démarque des réflexions féministes traditionnelles faites au Mexique puisqu’elle approche les rapports de genre en lien avec d’autres systèmes d’oppression et de subordination, fondés notamment sur les rapports de classe et l’ethnicité. Ainsi, elle appréhende la violence faite aux femmes en lien avec le patriarcat, sans réduire ce dernier à quelques indicateurs sociodémographiques et comportementaux mesurés au niveau individuel, mais en tenant compte du contexte d’inégalité de genre au niveau régional. Ce faisant, la recherche tente de réconcilier les deux grandes perspectives théoriques qui expliquent la violence conjugale, soit les approches de la violence familiale (qui s’attardent à des facteurs au niveau microsocial) et les approches féministes (qui mettent l’accent sur la structure patriarcale, c’est-à-dire le contexte plus large des inégalités de genre).
Les résultats des entretiens réalisés avec des féministes représentant les trois branches du féminisme mexicain (féminisme hégémonique, populaire et autochtone) ont révélé les fractures existantes à l’intérieur du mouvement féministe au Mexique (antagonisme entre l’institutionnalisation et l’autonomie du mouvement féministe). De façon générale, l’analyse des entretiens a montré que l’engagement des féministes envers la cause des femmes est en accord avec les «idéaux types» des trois branches du féminisme mexicain. Les féministes hégémoniques mettent surtout l’accent sur la structure patriarcale de la société mexicaine et sur les inégalités de genre lorsqu’il s’agit de trouver des causes à la violence faite aux femmes. Pour les féministes du secteur populaire, la violence faite aux femmes s’explique autant par les inégalités de genre, que par les effets du système économique capitaliste. Le discours des femmes autochtones semble, quant à lui, tenir davantage compte de l’articulation des rapports de genre, des rapports ethniques, ainsi que des rapports socio-économiques. Néanmoins, nous constatons que les féministes de la branche hégémonique et populaire semblent de plus en plus sensibles à l’entrecroisement de systèmes de domination et d’oppression.
Par ailleurs, l’analyse multiniveau effectuée à partir des données de l’Enquête nationale portant sur la dynamique des relations dans les ménages (2006), a révélé plusieurs résultats importants qui méritent d’être soulignés. D’abord on constate que les différences de prévalence des violences entre les municipalités mexicaines sont en grande partie expliquées par leur composition sociale, c’est-à-dire par des caractéristiques des femmes et de leur couple (niveau micro), plutôt que par des différences entre le niveau des inégalités de genre dans les municipalités mexicaines mesurées par l’ISDH (Indice Sexospécifique du Développement Humain). Les résultats des analyses montrent que les femmes autochtones ont en général des taux de violences moins élevés que les femmes métisses (groupe majoritaire). Enfin, en ce qui a trait à la relation entre le contexte d’inégalité de genre et la violence conjugale, les résultats suggèrent que plus l’ISDH d’une municipalité est élevée, plus il y a de femmes qui subissent les formes de violences. Cela va à l’encontre des postulats habituels des théories féministes et suggèrent que les progrès récents de la situation de la femme en matière de santé, d’éducation et de revenu n’ont pas bouleversé les rapports de genre encore très patriarcales qui continuent à privilégier la suprématie des hommes (Casique, 2004). / By adopting the intersectional feminist approach and mobilizing mixed methods, this research seeks to better understand partner violence in Mexico, both through a discourse analysis of the Mexican feminist movement and a quantitative multidimensional level of analysis by identifying the institutional, economic and socio-cultural factors associated with the risk of experiencing domestic violence. This research differs from the traditional feminist reflections made in Mexico because it takes into consideration gender inequality in interaction with other systems of oppression and subordination, mainly based on social class and ethnicity. Thus, it captures partner violence in relation to patriarchy, without reducing it to sociodemographic and behavioral indicators measured at the individual level, but by taking into account the structural context of gender inequality at the regional level. By integrating individual and contextual factors, this research attempts to reconcile the two major theoretical perspectives that explain partner violence, which are the family violence approach (that linger to factors at the micro level) and feminist approaches (which focus on the patriarchal structure, in other terms the broader context of gender inequality).
The results of the discursive analysis from the interviews with the feminists representing all three branches of the Mexican feminism (hegemonic, popular and indigenous feminism) revealed existing fractures within the feminist movement in Mexico (antagonism between institutionalization and autonomy of the feminist movement). In general, this analysis showed that the feminists’ gender struggle and their demands are consistent with the "ideal types" of the three branches of the Mexican feminism. Hegemonic feminism focuses mainly on the patriarchal structure of Mexican society and gender inequality when it comes to finding the causes of violence against women. For the popular feminism, violence against women is explained by both gender inequalities and the vulnerable economic situation. The discourse of indigenous women emphasizes the articulation of gender, ethnic and socio-economic inequalities. However, we found evidence that hegemonic and popular feminism seem increasingly sensitive to the intersection of systems of domination and oppression.
In addition, multilevel analysis using data from the National Survey of Dynamics of Relationships within Households (2006) revealed several important findings that deserve to be highlighted. Firstly, we show that differences in the prevalence of partner violence among Mexican municipalities are largely explained by their social composition, that is to say, by the characteristics of women and their relationship (micro level), rather than differences between the level of gender inequality in the Mexican municipalities measured by the GDI (gender-Human Development Index). In addition, the results show that indigenous women generally have lower rates of violence that the rest of mestizas Mexican women (majority group). Finally, in regard to the relationship between the context of gender inequality and domestic violence, and contrary with what would be expected, violence is higher in municipalities with higher GDI. This result seems to contradict feminist assumptions. It would seem that despite recent progress in women’s situation in areas such as health, education and income in Mexico, it has not been able to transform the gender order.
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Étude ethnographique des stratégies sociojuridiques des professionnelles oeuvrant auprès des femmes en situation de violence domestique à MumbaiViau-Tassé, Mathilde 04 1900 (has links)
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