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La réalité virtuelle pour l'apprentissage des langues : l'influence de l'immersion, de l'interaction et de la présence sur la communication en langue étrangère : une étude exploratoire auprès d'adolescents apprenant le français ou l'allemand / Virtual reality for language learning : influence of immersion, interaction and presence on communication in a foreign language : an empirical study on pupils learning French or German

Roy, Mickaël 28 November 2016 (has links)
Cette thèse aborde la réalité virtuelle pour l’apprentissage médiatisé du français ou de l’allemand langue étrangère. L’étude analyse comment l’immersion et l’interaction en réalité virtuelle peuvent faire émerger un sentiment de présence dans l’environnement virtuel, et ainsi contribuer à contextualiser la situation d’apprentissage. Une centaine de lycéens français et allemands ont expérimenté trois environnements virtuels, développés par le projet européen EVEIL-3D. À l’issue d'un jeu sérieux immersif en langue cible, ils ont témoigné de leur expérience. L’analyse de ce corpus souligne la subjectivité de l’expérience en réalité virtuelle. En étudiant la production en langue cible, les stratégies d’usage de la langue, l’interactivité, l’engagement corporel et l’accompagnement de l’apprenant pendant l’immersion, la recherche montre les apports et les limites de la réalité virtuelle comme dispositif d’apprentissage des langues médiatisé par les technologies numériques. / This doctoral thesis explores virtual reality as a digital environment for language learning, specifically for French or German as a foreign language. The study examines how immersion and interaction in virtual reality generate a sense of presence in the virtual environment and thus contribute to a contextualization of the learning situation.Approximately one hundred pupils from French and German secondary schools tested three immersive environments of the European project EVEIL-3D. After using a foreign language in an immersive serious game, pupils were surveyed on their virtual reality experience. Results show the importance of subjectivity of the experience. This research additionally investigates speaking in the foreign language, language usage strategies, interactivity, physical engagement and how to support the pupils during immersion. Finally, it points out both the drawbacks and opportunities of using virtual reality as a digital environment for language learning.
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Raison, délire et critique : psychanalyse et critique de la raison chez Adorno et Horkheimer / Reason, madness and critique : psychoanalysis and Critique of Reason by Adorno and Horkheimer / Vernunft, Wahn und Kritik : Psychoanalyse und Vernunftkritik bei Adorno und Horkheimer

Grivaux, Agnès 11 June 2018 (has links)
Nous proposons dans ce travail une interprétation de la référence à la psychanalyse chez Adorno et Horkheimer, en partant de son usage dans un champ inattendu, quoique central : la critique de la rationalité. Adorno et Horkheimer affirment, notamment dans la Dialectique de la raison, que la raison, concept à la fois central et structurant pour la société moderne capitaliste, entre en conflit avec elle-même jusqu'à son autodestruction, qui doit être comprise comme passage dans la folie. Nous entendons soutenir que cette affirmation peut être comprise de manière non-métaphorique par le recours à la psychanalyse, à partir d’une double lecture de leurs écrits, à la fois génétique et micrologique. Nous situons la genèse du croisement entre psychanalyse et critique de la rationalité dans leurs premiers travaux, au moment de traiter du rapport entre psychologie et théorie de la connaissance, d’abord dans une perspective philosophique néokantienne, puis dans le cadre du programme de recherches interdisciplinaires des années trente. Ce croisement précoce conduit Adorno et Horkheimer à s’intéresser tant à la part inconsciente qui travaille les processus de connaissance, qu’à la logique des phénomènes apparemment les plus irrationnels. Nous réinterprétons ainsi les travaux des années trente et quarante comme la mise au jour d’une conjonction de formes spécifiques de rationalisation sociale avec la montée de phénomènes sociaux particulièrement irrationnels, notamment liés à l’émergence du fascisme. Cette conjonction mène alors à la thématisation psychanalytique de l’autodestruction de la raison. Notre thèse est que la mise au jour de ce paradigme critique singulier – qui associe approche psychanalytique, critique de la raison et théorie de la connaissance – révèle de façon cohérente et globale la fonction attribuée à la psychanalyse par ces auteurs : rendre compte de la déraison comme effet de la logique contradictoire que la société moderne capitaliste établit entre nature et histoire. Nous pouvons ainsi conclure notre travail en analysant à quelle condition une théorie de la connaissance dialectique et critique est susceptible de ne pas reconduire l’écueil que la psychanalyse a permis d’identifier au niveau social, à savoir la réduction du rapport entre histoire et nature à un rapport de domination. Nous entendons ainsi montrer les potentialités critiques de ce paradigme dans le cadre des débats contemporains sur les pathologies de la raison. / In this study, we will propose an interpretation of the psychoanalytic references in the works of Adorno and Horkheimer, by starting from the way they are used in an unexpected, and yet central, field: the critique of rationality. Especially in Dialectics of Enlightenment, Adorno and Horkheimer affirm that reason, a concept that is both central and structuring to the modern capitalist society, comes into conflit with itself to the point of its self-destruction, which should be understood as a passage to madness. We intend to defend that this affirmation can be understood, by having recourse to psychoanalysis, in a non-metaphorical manner, starting from a double reading, both genetic and micrologic, of their writings. We situate the genesis of the intersection between psychoanalysis and the critique of rationality in their early works, when they were dealing with the relationship between psychology and the theory of knowledge, at first in a neo-Kantian perspective, then within the framework of the program of interdisciplinary research in the thirties. This precocious intersection led them to become interested as much in the unconscious part which works through the process of knowledge, as in the logic of phenomena which are apparently the most irrational. We therefore interpret their works from the thirties and forties as the unveiling of a conjunction of specific forms of social rationalization with the rising of particularly irrational phenomena, especially related to the emergence of fascism. This conjunction then leads to the psychoanalytical thematisation of reason’s self destruction. Our thesis is that by disclosing this singular critical paradigm – which links together the psychoanalytical approach, the critique of reason, and the theory of knowledge – the function attributed to psychoanalysis by these authors can be revealed in a global and coherent fashion: accounting for unreason as an effect of the contradictory logic that the modern capitalist society establishes between nature and history. We can therefore conclude our work by analyzing on what condition a dialectical and critical theory of knowledge is likely to avoid the pitfall that psychoanalysis has allowed to identify at the social level, i.e. the reduction of the relation between history and nature to a relation of domination. In this way, the critical potentials of this paradigm within the framework of contemporary debates on the pathologies of reason can be brought to light.
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La communauté luthérienne de Lyon (1685-2007) : (d'une église étrangère à une église lyonnaise ouverte aux étrangers) / The Lutheran community of Lyons (1685-2007) : (from a foreign church to a« lyonnaise”church opened to the world)

Briand-Barralon, Alain 03 February 2014 (has links)
Une petite communauté luthérienne, originaire surtout d’Allemagne, existe depuis le XVIe siècle à Lyon. Elle bénéficie d’une Église, installée à Genève, à partir de 1707. Il s’agit surtout de négociants, qui se rendent à Genève quatre fois par an pour la Cène. Mais, à partir de 1770, quand les réformés lyonnais ont enfin un pasteur, les luthériens participent de plus en plus à l’Église réformée de Lyon et délaissent Genève.Pendant près de 75 ans, les luthériens lyonnais disparaissent de l’histoire lyonnaise. Au tournant des 18e et 19e siècles, la communauté luthérienne vit sa vie à l’ombre de la communauté réformée. Entre 1800 et 1850, le mouvement d’immigration de suisses, allemands, alsaciens s’accélère. En 1851, après plusieurs tentatives infructueuses pendant les cinquante années précédentes, le pasteur luthérien Georges Mayer crée une église évangélique allemande qui rapidement se rattache à l’Eglise de la confession d’Augsbourg.La communauté allemande dirige cette église pendant une trentaine d’année jusqu’à l’installation du premier pasteur luthérien français de Lyon. S’ensuivront près de trente années de relations houleuses entre les communautés allemande et française La première guerre mondiale signe l’arrêt de mort de la paroisse allemande. L’église française survit difficilement entre 1914 et 1938. La renaissance aura lieu grâce à deux pasteurs à la personnalité exceptionnelle : André Desbaumes et Henry Bruston. L’église luthérienne devient une pièce incontournable de l’œcuménisme lyonnais et s’ouvre sur le monde. L’année 2007 marque le début du rapprochement entre les églises réformée et luthérienne. Une nouvelle histoire commence. / A small lutheran community coming from Germany exists in Lyon from the 16 century. This group owned a church, settled in Geneva from 1707.It was mostly composed of traders who went to Geneva four times a year for the holy communion. But, from 1770 onward, when the Calvinists from Lyons got their priest, the Lutherans went more and more to that church, letting down Geneva.For about 75 years, the Lutherans disappeared from Lyons. At the turn of the eighteen and nineteen centuries, the community spent her life in the shade of the Calvinist church. Between 1800 and 1850, the immigration movement of swiss, germans and Alsatians was quickening.In 1851, after multiples fruitless tries during the last fifty years, the Lutheran reverend Georges Mayer create an evangelic german church which is quickly linked with the Augsburg Confession.The german community managed the church for nearly 30 years until the arrival of the first French vicar in Lyons .For another 30 years, the relations were stormies between the two communities.The first world war marked the death of the german parish. The French church survived with difficulties during the twenties and thirties. The “renaissance” was due to two extraordinary personalities: André Desbaumes and Henry Bruston The Lutheran church became an inescapable part of the Lyons’s oecumenism and opened itself to the world.2007 marked the beginning of the merger between the Calvinist and Lutheran churches. A new story began.
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L'institutionnalisation du Conseil européen: étude des processus de codification de l'ordre politique européen

Rittelmeyer, Yann Sven 07 November 2012 (has links)
Cette thèse de doctorat s’articule autour d’une question dont l’apparente simplicité masque une réelle complexité :Comment le Conseil européen est-il devenu une institution ?En effet, alors qu’il existait déjà depuis plusieurs décennies, le Conseil européen n’a été formellement considéré comme une institution européenne que depuis l’entrée en vigueur du traité de Lisbonne, le 1er décembre 2009. Ce constat juridique attire l’attention sur les raisons de cette consécration tardive, mais soulève de nombreuses questions aussi bien pour ce qui concerne les institutions dans l’Union européenne (UE) que pour l’ordre politique européen dont elles font partie.<p>Le dépassement du seul critère juridique et la prise en compte du temps long remettent clairement en question l’idée que le Conseil européen ne soit devenu une institution qu’avec le traité de Lisbonne et interrogent, entre autres, sur ce que signifie « être une institution » dans l’UE. Plusieurs questions de pouvoir fondamentales sont soulevées :Comment les institutions sont-elles crées et développées dans l’UE ?Le Conseil européen est-il une institution « supranationale intergouvernementale » ?L’ordre politique européen est-il un ordre politique autonome ?<p><p>Le développement de la recherche a procédé en 3 phases, pour lesquels les répertoires de codification juridique, politique et symbolique ont servi de grille d’analyse. En premier lieu, le temps de l’instituant, temps court posant les bases du temps long dans lequel se développe l’institutionnalisation, a été étudié. Il correspond au moment de l’incursion directe et explicite des Etats dans la sphère européenne. Puis, les évolutions et trajectoires respectives des différents processus de codification du Conseil européen ont été examinées, tout au long de son existence dans l’ordre politique européen. Enfin, l’omniprésence de l’interaction national-européen a conduit à observer les processus suivis par les « sous-institutions » du Conseil européen, dans la mesure où ils permettent d’expliquer son institutionnalisation dans l’ordre politique européen. Le couple franco-allemand et la présidence du Conseil européen ont ainsi fait l’objet de processus d’institutionnalisation propres, mais intrinsèquement liés à ceux suivis par le Conseil européen, et ont servis à déterminer les interactions entre les ordres politiques nationaux et l’ordre politique européen.<p><p>Cette recherche a notamment mis en évidence le fait que l’institutionnalisation du Conseil européen a principalement été réalisée sur le plan politique (au travers des actions des acteurs, des rôles qu’ils ont façonné et investi, de la stabilité qu’ils ont instauré par la répétition de pratiques, de convergences de vues facilitées par la pression du groupe, ou encore du respect de l’échelon national par la dimension supranationale), en étant partiellement soutenue sur le plan symbolique, tandis que le droit n’a très longtemps fait que suivre ces processus et n’est vraiment intervenu que pour reconnaître l’existant ou dresser un état des lieux du consensus en vigueur au moment où les circonstances appelaient des reconfigurations substantielles. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Étude des voyelles antérieures non-arrondies en allemand, français et finnois, et applications en vue d'une didactique de la prononciation. / Study of the front non-rounded vowels in German, French and Finnish and applications in the perspective of pronunciation teaching

Ibarrondo, Ludovic 26 November 2013 (has links)
Cette thèse s’inscrit dans une réflexion sur les apports potentiels de la phonétique expérimentale à la didactique et à l’enseignement de la prononciation. Son objectif est d’examiner les préférences perceptives des locuteurs du finnois, de l’allemand et du français, pour les voyelles antérieures non-arrondies /i e ɛ/ ; et de prolonger cette démarche dans le cadre de l’enseignement de la prononciation du français, en s’interrogeant sur la nécessité de continuer à considérer le contraste existant entre les voyelles moyennes /e/ et /ɛ/. La première partie de ce travail dresse un portrait des trois langues concernées, et introduit les principales hypothèses de processus cognitifs impliqués dans la perception. La deuxième partie de ce travail aborde la perception des voyelles /i e ɛ/, à travers trois tests de perception permettant 1) de définir les prototypes privilégiés par chacune des populations, 2) de mesurer l’effet d’un aimant perceptif spécifique à la langue, et 3) d’évaluer l’importance accordée à l’abaissement de la mandibule pour le choix des exemplaires de chacune des catégories concernées. L’analyse d’un corpus de parole spontanée nous permet enfin d’examiner la robustesse du contraste /e/~/ɛ/, et de mesurer l’intérêt didactique d’enseigner la différenciation et l’acquisition du timbre ouvert et du timbre fermé de ces voyelles en français langue étrangère. La troisième partie de ce travail s’intéresse enfin à la place accordée à la phonétique dans l’enseignement des langues, et offre une revue des principales tendances méthodologiques qui ont contribué à sa diffusion. L’intérêt d’investir différents outils issus de la phonétique expérimentale, du support multimédia, ou de disciplines non-linguistiques, y est discuté. / This work has its place within the context of reflection on the potential input of experimental phonetics to pronunciation teaching. Its aim is to compare the perceptual preferences of native speakers of Finnish, German, and French, for the front non-rounded vowels /i e ɛ/ ; and to extend this approach to French pronunciation teaching, by analyzing the contrast between the middle vowels /e/ and /ɛ/. The first part of this dissertation presents a picture of the phonological systems and phonotactics of the three languages and recalls the main theories about the cognitive processes involved in the perception of phonetic categories. Based on this comparison, the second part examines the perception of the vowels /i e ɛ/. Three studies have been conducted, in order to 1) determine the category’s prototypes for the three populations studied, 2) measure the impact of a language-specific perceptual magnet [Kuhl, 1991], and 3) assess the involvement of mouth opening, to ensure the contrast between the categories in the three languages. The robustness of the contrast /e/~/ε/ through the acoustic analysis of 633 occurrences of /E/ in a spontaneous speech corpus by one French native speaker has been evaluated and the interest to systematically distinguish the sounds of these two vowels in French as a foreign language has been assessed. The diverse conditioning factors, as the trends highlighted in our corpus, are compared to a similar study carried out by Léon and Tennant [1990] on 100 occurrences of /E/ taken from television broadcasts of Bernard Pivot. The third part of this work finally deals with the place granted to phonetics in language teaching and provides a review of the main methodological tendencies which have contributed to its diffusion. The potential of applying different tools resulting from experimental phonetics research, multimedia or non-linguistic disciplines is also discussed.
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La pratique théâtrale dans l’Allemagne de la seconde moitié du dix-huitième siècle (1760 – 1805) / Theatre practice in Germany during the second half of the 18th century (1760 – 1805)

Valipour, Valeska 24 January 2011 (has links)
L’Allemagne du dix-huitième siècle est composée de plus de 300 petits pays se différenciant en ce qui concerne la politique, la religion et la langue. S’y ajoutent des territoires qui ne sont pas allemands, mais sous influence de la culture germanophone.Cette étude analyse alors un territoire qui s’étend de l’Alsace jusqu’en Russie et des pays scandinaves jusqu’en Suisse. Embourbés dans des guerres territoriales, les souverains ne montrent que peu d’intérêt pour le théâtre, et si oui, uniquement pour l’opéra italien et le théâtre français. Au début du siècle, le théâtre professionnel allemand est surtout influencé par le théâtre anglais et un peu par la comédie italienne.Le statut social des acteurs est très mauvais. C’est surtout la bourgeoisie qui se méfie d’eux. A partir des années 1730, sous influence du théâtre français, le théâtre allemand s’émancipe. Dans la seconde moitié du siècle, il devient le moteur del’embourgeoisement de la société. Les actrices se sont beaucoup investies dans cette évolution, non malgré, mais en raison de leur statut social particulièrement mauvais. Longtemps, seules les gender studies se sont intéressées à cette période de l’histoire théâtrale. Une de leurs théories de base définit l’homme et la femme comme deux groupes sociologiques distincts. Cette théorie a été reprise, sans en questionner lavalidité pour l’histoire théâtrale. C’est le point de départ de cette étude, qui compare les vies de plus de 400 actrices et acteurs de l’époque. De nombreux aspects de la vie privée et professionnelle y sont abordés : famille, carrière, finances, situation juridiqueet fréquentations. Ce mémoire démontre que le milieu théâtral de l’époque peut effectivement être divisé en deux groupes : les comédiens ayant grandi au théâtre et ceux y étant arrivés plus tard. En effet, la distinction générale de l’homme et de la femme ne peut être appliquée au théâtre allemand qu’à partir de la fin du dix-huitième siècle. / In the 18th century, Germany was composed of more than 300 small states which differed politically, religiously and linguistically. In addition to these, there were non-German territories which were, however, greatly influenced by German culture. As a result, the notion of “Germany” included a territory from Alsace to Russia and from theScandinavian countries to Switzerland. Their rulers were generally preoccupied with battles over dominance. If they devoted any time to theatre it was most likely Italian opera or French theatre. In the beginning of the century, German professional theatre was mainly influenced by English theatre and Italian theatre. The social position of actors was very poor. The bourgeoisie looked on them with particular suspicion.Starting in the 1730s, under French theatre influence, the German theatre started becoming more independent. In the second half of the century, theatre was the driving force behind the embourgeoisement of society. Driven by the desire to improve their low social status, actresses played a leading role in this revolution. For a long time, only gender studies were interested in this part of theatre history. A prominent gender studies theory suggested that men and women were of two different sociological groups. This theory has been accepted without justifying its concurrence with theatre history. That’s the starting point of this work which compares the lives of more than 400 Germana ctresses and actors of the time. Many facets of private and professional life are analysed: family life, career opportunities, finances, legal status and social life. The dissertation shows that the theatrical milieu was already divided into two groups far into the second half of the century: actors who had grown up in theatre and those who came to it later. In fact, the categorical sociological distinction between men and women in German theatre is only justifiable beginning at the end of the 18th century.
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« – wo ich also lesen, wo ich vor- mit- und nachlesen kann – ». Paul Celan lecteur d’allemand aux Écoles normales supérieures de Saint-Cloud et de la Rue d’Ulm / “– wo ich also lesen, wo ich vor- mit- und nachlesen kann –”. Paul Celan as a teacher at the Écoles normales supérieures Saint-Cloud and Rue d’Ulm / „– wo ich also lesen, wo ich vor- mitund nachlesen kann –“ Paul Celans Lehrtätigkeit an den Écoles normales supérieures von Saint-Cloud und der Rue d’Ulm

Difour, Patrick 21 November 2011 (has links)
Le poète-traducteur Paul Celan compte parmi le nombre d’écrivains qui ont exercé une activité professionnelle. En s’appuyant sur des documents d’archives inédits et des témoignages d’anciens élèves, le présent travail aborde un champ de recherche quasi inexploré en se proposant de retracer et d’analyser son activité de lecteur d’allemand en relation avec son œuvre poétique. A partir d’une mise en perspective biographique, institutionnelle et sociale de la fonction assumée en 1956/57 et de nouveau entre 1959 et 1970, il se concentre sur l’enseignement de la littérature allemande et de la traduction. On y voit que, en étudiant Kafka, Büchner et d'autres auteurs, l’intérêt de Celan se porte surtout sur des questions relatives à la figure du poète, à l’individu et à la langue, et que sa méthode didactique garde une certaine distance à l’égard des pratiques universitaires. Il en va de même des exercices de thème allemand que plusieurs anciens élèves ne se rappellent pas uniquement en termes de préparation aux examens du concours, mais avant tout comme des séances de « réécriture », où l’accent était mis sur la « poésie » des textes abordés. L’« anthologie professionnelle » de Celan qui réunit plus de 150 extraits laisse supposer que cet enseignement, au-delà de l’approfondissement linguistique, révèle, entre autres, sa dimension anthropologique en engageant une réflexion critique sur les temps présents. En somme la thèse, tout en mettant à la disposition de la recherche littéraire des documents jusque-là inédits, met en évidence la portée de l’enseignement de Celan pour faire voir le poète et l’homme derrière le lecteur d’allemand. / The poet and translator Paul Celan belongs to the writers who have exercised a professional activity. The present study examines his largely unknown work as a language instructor in Parisian elite universities. It presents and analyses unpublished material from Celan’s estate as well as accounts of his former students and establishes relationships with his poetry. In the light of a biographical, institutional and social contextualisation of Celan’s work in 1956/57 and, again, from 1959 to 1970, the study concentrates especially on Celan’s literature and translation teaching. This shows that his reception of Kafka, Büchner or Heine in a didactic context is strongly linked to poetologically relevant questions such as that of the poet, the individual or language and that it must not be understood as systematically subordinate to conventional academic constraints. Similarly, several “anciens élèves” recall the translation classes (“thème allemand”) as not only a preparation for the “agrégation” examination, but also as involving poetic “réécriture”. Celan’s “work anthology” for the ENS, which contains more than 150 passages, suggests that these classes were not only aimed at the consolidation of linguistic proficiency but that they became a scene of engagement with terminology relating to the natural sciences, with contemporary developments and other poetic figures, and with aesthetic and anthropological issues. Thus, the examination of hitherto unknown original material which sheds light on an important part of Celan’s intellectual biography elucidates the way in which his academic teaching was shaped by questions and motifs which refer to the poet and the person. / Der Dichter und literarische Übersetzer Paul Celan zählt zu denjenigenSchriftstellern, die einem bürgerlichen Beruf nachgegangen sind. Seine in der Forschung bislang nur unzureichend bekannteTätigkeit als Deutschlektor an Pariser Elitehochschulen wird in der vorliegenden Untersuchung unter Rückgriff auf bislangunveröffentlichte Nachlassmaterialien und Berichte seiner ehemaligen Studierenden aufgearbeitet, analysiert und insVerhältnis zu seinem dichterischen Werk gesetzt. Vor dem Hintergrund einer biographischen, institutionellen und sozialenEinordnung der im Jahre 1956/57 und erneut von 1959 bis 1970 ausgeübten Funktion rücken dabei vor allem der LiteraturundÜbersetzungsunterricht in den Mittelpunkt, den Celan mit den normalien-ne-s abgehalten hat. Dabei kann gezeigt werden,dass seine im didaktischen Rahmen erfolgende Auseinandersetzung mit Franz Kafka, Georg Büchner, dem deutschenVolksliedgut, Thomas Mann oder Heinrich Heine nicht zuletzt auf poetologisch relevante Fragen wie die nach dem Dichter,dem Individuum und der Sprache rekurrierte und sich dabei auch den hergebrachten akademischen Gepflogenheiten nichtbedingungslos unterordnete. Ähnliches gilt für das thème allemand, das verschiedene ancien-ne-s élèves nicht nur alsVorbereitung auf das Staatsexamen, sondern insbesondere auch als eine letztlich dichterische „réécriture“ erinnern. Celansmehr als 150 Textausschnitte umfassende Arbeitsanthologie für die ENS lässt darauf schließen, dass dieser Unterricht jenseitsder Vertiefung sprachpraktischer Fertigkeiten zu einem Ort der Auseinandersetzung nicht nur mit naturkundlichemFachvokabular, sondern auch mit Zeitkritik und Dichterfiguren sowie mit ästhetischen und anthropologischen Fragestellungenwurde. Im Zuge der Erschließung bislang unbekannter Originaldokumente, die Aufschluss über einen nicht unerheblichen Teilvon Celans intellektueller Biographie geben, wird somit insgesamt deutlich, dass seine akademische Lehre nicht zuletzt vonFragen und Motiven geprägt war, die auch auf den Dichter und den Menschen verweisen.
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Heinrich Zille et sa représentation du «Milljöh» : un exemple de diffusion du «Rinnsteinkunst» opposé à l'académisme artistique wilhelmien

Roy, Anne-Marie 08 1900 (has links)
Berlin, capitale du nouveau Reich allemand, nouvellement déclaré en 1871, est alors une métropole européenne des plus denses et modernes en ce qui a trait aux différentes industries, technologies et transports. Toutefois, tentant d’entretenir l’image hautement glorifiée de son État, l’Empereur à la tête du pays, Guillaume II, impose à l’art son idéal – créant ainsi une politique artistique, une Kunstpolitik – et incite fortement les artistes berlinois à œuvrer dans un style des plus conservateurs. C’est lors d’un discours le 18 décembre 1901, inaugurant l’Allée de la Victoire, située dans le Tiergarten, que l’Empereur exprime ses idées précises quant à un genre artistique idéal, ce qu’est un bon et un mauvais artiste, ainsi qu’un bon ou mauvais art. Tout art divergeant de cet idéal est alors qualifié de « Rinnsteinkunst ». Heinrich Zille, dessinateur-caricaturiste issu du milieu prolétaire, s’engage toute sa carrière à tirer le portrait des gens, du quotidien et de l’environnement de son milieu (le « Milljöh »), et ce, de façon satirique, naturaliste et très crue. Ce mémoire tente donc d’établir un lien direct entre l’idée du « Rinnsteinkunst » de l’Empereur et l’œuvre de Zille, pour ainsi enfin offrir un exemple concret de diffusion de cet art dit de « caniveau » et de montrer comment Zille s’approprie ce genre d’art. Artiste appartenant au mouvement moderniste berlinois, sa principale association étant la Sécession berlinoise, Zille connaît une immense popularité en mettant de l’avant des sujets tabous et proscrits de l’art officiel. On y découvre donc, en de différents formats, médiums et techniques, un côté de Berlin moins connu, bien que plus populeux. Avec les innovations dans l’imprimerie, ainsi que dans le développement de l’intermédialité et des relations artistiques internationales, ses dessins se propagent, donnant ainsi une poussée considérable à l’établissement de l’art moderne à Berlin. / After it was declared capital city of the new Reich in 1871, Berlin was a very dense and very modern European metropolis in regards to different industries, technologies and public transports. However, the Emperor at the head of the country, Wilhelm II (1859-1941), tried to maintain a highly glorified image of his State and imposed his ideal conception of the arts. In so doing, he created an artistic policy, a Kunstpolitik, and strongly urged the Berliner artists of his era to work in a very conservative artistic genre. It is during a famous speech for the inauguration of the Victory Avenue, situated in the Tiergarten in Berlin, on the 18th December 1901, that the Emperor expressed his exact thoughts on what makes a good or a bad artist, and what kind of art is right or wrong. Any art diverging from his ideal would be qualified as “Rinnsteinkunst”. Heinrich Zille (1858-1929), a working-class draftsman and caricaturist, spent his whole career sketching the proletarians and the poor in a satirical, naturalist and blunt way, exposing their everyday lives and their environment, called the “Milljöh”. This thesis attempts to draw the direct relation between the concepts of the “Rinnsteinkunst” and the work of Heinrich Zille, to finally establish a concrete example of what this “gutter art” is about and to demonstrate how Zille used this artistic style. Belonging to the Berlin modernist movement, mainly as part of the Berlin Secession, Zille drew a lot of attention from the public by bringing forward taboo subjects that were banned from official art. His oeuvre, crafted using different formats, mediums, techniques, shows the hidden face of the official imperial Berlin. Innovations in printing techniques, as well as the development of intermediality and international artistic relations allowed for a wide circulation of his drawings, strongly fostering the establishment of modern art in Berlin. / 1871 wurde das deutsche Reich erklärt. Damals war Berlin eine der dichtesten und modernsten europäischen Metropolen, vor allem was Industrie, Technologie und Verkehrssystem betrifft. Vom Kaiser Wilhelm II. (1859-1941), der ein glorifizierendes Bild des Reiches pflegte, wurde allerdings eine die Berliner Künstler in einem konservativem Stil einschränkenden Kunstpolitik angepriesen. Am 18 Dezember 1901, während der Rede zur Enthüllung der am Tiergarten liegenden Siegesallee, hat sich der Kaiser zu seiner Vorstellung eines idealen künstlerischen Genres geäußert. Dabei erklärte er, was seiner Meinung nach gute oder schlechte Künstler bzw. richtige oder falsche Kunst ausmachte. Jede von dieser Richtlinie abweichende Kunst wurde da als „Rinnsteinkunst“ bezeichnet. Der Künstler Heinrich Zille (1858-1929), Zeichner und Karikaturist aus der Arbeiterklasse, hat sich seine ganze Karriere lang damit beschäftigt, das Gesicht des Proletariats, der armen Leute, ihrem Alltag und ihrer Umgebung – das Milljöh – darzustellen. Diese Arbeit setzt das Konzept der „Rinnsteinkunst“ und Heinrich Zilles „Milljöh“ in Beziehung zueinander, um das erste konkrete Beispiel dieser „Kunst der Gosse“ zu liefern und um zu zeigen, wie er sich dieser Kunst zu eigen macht. Zille, ein Mietglieder der Berliner modernistischen Kunstbewegung, hauptsächlich als Teil der Berliner Secession, war schon zu seiner Zeit sehr berühmt, indem er von der offiziellen Kunstpolitik verpönten Tabuthemen in seiner Kunst darstellte. Durch verschiedene Formate, Medien und Techniken wird in Zilles Kunstwerk die Kehrseite des wilhelminischen Berlins gezeigt. Mithilfe der Innovationen in der Druckerei sowie der Entwicklung der Intermedialitäten und der internationalen künstlerischen Beziehungen wurden seine Zeichnungen weitgehend verbreitet, was zur Errichtung einer Berliner modernen Kunst beachtlich beitrug.
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Weil da so « jakommen Sie mal morgen » : étude discursive et syntaxique du discours rapporté en allemand oral contemporain / Discourse functions and syntactic forms of reported speech in spoken German

Aufray, Antoine 04 December 2010 (has links)
La présente thèse est une étude des fonctions et des formes du discours rapporté (DR) en allemand oral à partir de deux corpus audio : des entretiens biographiques et des spectacles comiques. Après une discussion théorique préliminaire portant sur les conceptualisations classiques du phénomène de DR et les théories modernes, inspirées de Bakhtin/ Vološinov, nous envisageons le DR comme une stratégie dont les emplois sont à appréhender au niveau du discours afin de décrire les formes qu’il prend à l’oral. En nous appuyant sur les théories de syntaxe fonctionnelle, nous partons du principe que le discours oral peut s’analyser en unités de communication identifiées comme des gestes/paragraphes oraux, constitués d’une ou plusieurs propositions réalisant un acte de prédication principal. L’analyse s’effectue à deux niveaux : au niveau global du discours, et à l’intérieur du geste/paragraphe à l’échelle inter- et intra-propositionnelle. Dans un premier temps, une analyse énonciative et rhétorique permet de dégager les valeurs discursives du DR dans les deux corpus. Cette analyse met en évidence l’importance de l’usage figuratif de la stratégie de DR en tant que mise en scène explicite de polyphonie énonciative. Dans un deuxième temps, nous analysons l’intégration discursive et syntaxique du DR dans le geste/paragraphe et au niveau de la proposition, en examinant la démarcation du propos rapporté (ou mis en scène) au sein du geste/paragraphe, son rôle dans l’acte prédicatif, et les éléments lexicaux employés pour le situer et le composer. L’analyse révèle que l’aspect figuratif de nombreux DR explique une bonne part des agencements syntaxiques et de l’usage de lexèmes composant le discours rapporté à l’oral souvent non décrits dans les ouvrages de référence de l’allemand standard. / This study based on two corpora of oral communication (interviews and stand up comedy shows) investigates the functions and forms of reported speech in spoken German. We first present the classical and modern conceptualizations of reported speech as found in grammars of the German language, linguistic typology and in the more recent theories of J. Authier-Revuz, L. Rosier, and linguists of the interactional sociolinguistics and conversation analysis orientation (D. Vincent, S. Günthner, D. Tannen), all of which can be seen as inspired in some way by the views of Bakhtin/Vološinov. Following their footsteps, we argue that reported speech can be seen as a discourse strategy that explicitly stages polyphony and the layering of voices within discourse and therefore must be investigated with respect to its rhetorical effects. Adopting the perspective of the functional theories of syntax, we see oral discourse as a process whose product can be divided in moves (M) and discourse acts, expressed by propositions as predication units within the move. The study of reported speech must therefore be analyzed on two different levels: at the discourse level we seek to evaluate the rhetorical and pragmatic effects achieved by the use of (mostly direct) reported speech in the two corpora. Then we describe the role played by reported speech in the predication at the inter- and intrapropositional level within the move. As the discourse analysis shows, reported speech in informal oral communication can be a highly figurative device. This aspect of the use of reported speech accounts in part for specific syntactic constructions that have not always been taken into account in the grammars of standard German.
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Devant l’illisibilité du corps malade : le Woyzeck de Büchner, sur scène et sous observation

Bernier, Camille 08 1900 (has links)
Si un texte ne peut être blessé comme l’est un corps, une lecture peut effectivement avoir cet effet blessant qui se porte sur le corps textuel, et sur celui de la personne qui lit. Le remède s’incarnera autant dans la langue que dans l’attention – comme prélude, et forme de soin – portée à l’humain. Le théâtre et ses scènes sont depuis longtemps le lieu où est accomplie la guérison, à l’aide du langage et des gestes : lieux où les regards médical et littéraire mettent en œuvre leurs méthodes interprétatives respectives. À partir du personnage Woyzeck dans la pièce éponyme (1836) de Georg Büchner, seront comparées ces perspectives de lecture en contexte de soin. Woyzeck, lui-même un patient, vu les troubles indicibles qui l’animent, devient malgré lui la scène d’expérimentations médicales et de jeux de pouvoir qui le rendent de plus en plus « illisible », à lui-même et à qui le lit. Le présent travail est consacré au rôle du lectorat dans le processus herméneutique et sur la valeur que sa résistance à une interprétation pathologisante – qui ne cherche pas de symptômes dans le texte – peut apporter au récit, et au remède. La forme même de la pièce fragmentaire rapproche la position de Woyzeck de celle du lectorat, condamnant ce dernier à errer d’une scène à l’autre, comme le personnage accablé de visions insensées. À chaque lecture le choix s’impose soit de faire avec l’incomplétude du texte, posture nécessaire à l’interprétation littéraire, ou d’en diagnostiquer les absences. Au premier chapitre, il est question du lien opéré par le corps malade comme médium premier qui relie les domaines médicaux et théâtraux : un survol historique de ce rapport vient le complexifier par l’exemple. Au deuxième chapitre, le corps malade et la scène sont considérés ensemble comme lieu de savoir, et le corps défini selon ce que ce lieu permet comme limites et possibilités. Enfin, le troisième chapitre expose l’exercice d’une lecture non-pathologique du cas Woyzeck – le personnage, le texte, les mises en scènes – afin de composer une interprétation qui prenne en compte les multiples langages inhérents au texte. L'hermétisme apparent de la pièce y est excavé en procédant depuis plusieurs perspectives. L’approche intermédiale qui sous-tend cette analyse, à travers la relation du théâtre avec le remède, permet d’éclairer la profondeur de l’influence de la pièce de Büchner sur l’histoire du théâtre, et de la lecture. / If a text cannot be injured as can the body, reading can effectively have an injurious effect that is carried by the text, and by the person who reads it. Its remedy is embodied as much in the language as in the attention – as a prelude, and form of care – carried to the human. Theatre and its stages have long been places of healing, through language and gesture: a place where medical and literary perspectives carry out their respective interpretative methods. From the character Woyzeck in Georg Büchner’s eponymous play (1836), a comparison of these reading perspectives is made in the context of care. Woyzeck, himself a patient, given his ineffable illnesses, becomes despite himself the stage of medical experiments and power games that rend him more and more unreadable, to himself and those who read him. The present study is dedicated to the role of the reader in the hermeneutic process and to the value that one’s resistance to a pathologizing interpretation – that does not look for symptoms in the text – can contribute to the story, and to the remedy. Even the fragmentary form of the play positions Woyzeck close that of the reader, condemning the latter to ramble from one scene to another, as the character who is afflicted with frantic visions. At each reading one must compose with the incompleteness of the text, a posture necessary for literary interpretation, or one must diagnose the gaps in the text. The first chapter concerns the link between the diseased body as the first medium that links the domains of medicine and theatre: a historic review of this link will complexify it through examples. In the second chapter, the diseased body and the stage are considered as a combined space of knowledge, and the body defined according to the limits and possibilities of this site. Finally, the third chapter presents a non-pathologic reading of the case of Woyzeck – the character, text, the staging – in order to compose an interpretation that considers the multiple languages inherent to the text. The apparent hermeticism of the play is excavated by proceeding from several perspectives. The intermedial approach underlying this analysis, through the relation between theatre and healing, illuminates the profound influence of the play of Büchner on the history of theatre, and of reading.

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