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La vallée de la Loire à l’époque de Jean Fouquet : la carrière de trois enlumineurs actifs entre 1460 et 1480 / The Loire Valley at the time of Jean Fouquet : the career of three illuminatorS between 1460 and 1480

Gras, Samuel 18 November 2016 (has links)
Cette thèse s’attache à mettre en lumière plusieurs peintres ayant mené carrière à l’époque de Jean Fouquet (vers 1415/20-1478/81), peintre et enlumineur actif durant le troisième quart du XVe siècle ayant passé la plus grande partie de sa carrière dans la vallée de la Loire, à Tours, au temps des rois de France Charles VII (1403-1461) et Louis XI (1423-1483). Une attention particulière a été portée sur les manuscrits rassemblés autour d’un maître anonyme dénommé tantôt le Maître du Mamerot de Vienne, tantôt le Maître du missel de Yale, tantôt encore le Maître de Christophe de Champagne depuis le premier regroupement effectué en 1974 par Otto Pächt et Dagmar Thoss. Ainsi, le corpus est désormais redistribué entre trois enlumineurs : le Maître de Jeanne de France et le Maître de Macé Prestesaille, dont les carrières inédites prennent forme pour la première fois, et le Maître du Mamerot de Vienne / Maître du missel de Yale / Maître de Christophe de Champagne, que nous proposons d’identifier à Guillaume Piqueau, enlumineur tourangeau connu par deux documents d’archives. L’objectif est de proposer de nouveaux regroupements de manuscrits qui font émerger trois carrières d’enlumineurs aux profils bien distincts, dans une volonté de mieux comprendre leur travail et plus globalement le métier de peintre à Tours entre les années 1460 et 1480. Un exemplaire Des cas des nobles hommes et femmes permet de baptiser un des enlumineurs le « Maître de Jeanne de France », du nom de la commanditaire. Une douzaine de manuscrits, réalisés vers le milieu des années 1460 jusqu’à la fin des années 1470, jalonnent très précisément la carrière de ce peintre. Sa trajectoire est des plus intéressantes dans la compréhension des relations professionnelles qui s’établissent entre certains ateliers d’enluminures du Centre-Ouest de la France. Un deuxième enlumineur peut être dénommé le « Maître de Macé Prestesaille » d’après un manuscrit exécuté en 1475 pour la famille Prestesaille, basée en Touraine. Au style plus sobre, il apparaît comme un peintre secondaire dans le panorama artistique tourangeau mais se rattache pleinement à la peinture de Tours au cours des années 1470-1480 comme en témoignent les sept manuscrits retrouvés qui donnent un aperçu de la production de son atelier. Un peu plus d’une vingtaine de manuscrits s’ancrent aujourd’hui autour des noms d’emprunt du Maître du Mamerot de Vienne / Maître du missel de Yale / Maître de Christophe de Champagne. Un réseau d’indices me conduiront, dans le présent mémoire, à identifier ces peintres comme étant Guillaume Piqueau, connu pour avoir enluminé en 1482 une Vita Christi destinée à la reine Charlotte de Savoie. Au cours de la seconde moitié du XVe siècle, la vallée de la Loire est le fief d’une production artistique importante. Des ramifications complexes et multiples se tissent au sein des ateliers d’enluminure. L’analyse de la production de ces artistes, dévoilée par l’étude d’une quarantaine de manuscrits, permet de mieux la comprendre. Elle fait se poser de nombreuses questions. Qui étaient ces enlumineurs ? Qu’ont-ils produit et que nous reste-t-il à voir ? Pour qui et comment ont-ils travaillé ? S’agissait-il de peintres d’atelier ou d’artistes indépendants dont la collaboration était davantage liée à des intérêts marchands plutôt qu’à une véritable organisation professionnelle ? La mise en lumière des trois carrières apporte de nouveaux éléments de réflexions et des points de vue inédits sur des peintres ayant connu l’œuvre, voire côtoyé, les plus illustres ateliers d’enluminures de la vallée de la Loire dont ceux du Maître de Jouvenel et de Jean Fouquet. Il s’agit de replacer dans le temps et dans l’espace ces peintres, de comprendre leur mode de fonctionnement et leur organisation interne dans la distribution du travail et dans les sources iconographiques. / This thesis deals with the career of some painters active during the peak of fame of Jean Fouquet (1415/20 - 1478/81), painter and illuminator active during the third quarter of the fifteenth century who spent most of his career in the Loire Valley, Tours, during the time of Charles VII (1403-1461) and Louis XI (1423-1483). Particular attention is given on manuscripts attributed to an anonymous master called the Master of the Vienna Mamerot / Master of the Yale Missal or Master of Christophe de Champagne. It is necessary to review the work assigned to this illuminator and to reorganize the corpus now distributed between three illuminators: the Master of Jeanne de France and the Master of Macé Prestesaille, whose careers take shape for the first time, and the Master Mamerot Vienna / Master of the Yale Missal or Master of Christophe de Champagne himself, that we propose to identify as Guillaume Piqueau, an illuminator based in Tours and known by two archives. The aim of this revaluation is to offer new groups of manuscripts which emerge three with distinct illuminator’s profiles. They offer the possibility to better understand their work and more generally the production painting in Tours between 1460 and 1480. A copy of Des cas des nobles hommes et femmes baptizes one of them the Master of Jeanne de France, in relation with the name of the owner. A dozen manuscripts, made between the 1460s until the late 1470s, mark precisely the career of the painter. Its trajectory shows the professional relationships developed between some of western illuminations French workshops. A second illuminator can be called the Master of Macé Prestesaille from a manuscript executed in 1475 for the Prestesaille family, based in Touraine. He appears as a secondary painter in Tours by a more sober style but his career can be highlighted by seven manuscripts that provide an overview of his production. More than twenty manuscripts are linked to the Master of the Vienna Mamerot / Master of the Yale Missal or Master of Christophe de Champagne. We propose to identify these unknown painters as Guillaume Piqueau, a painter based in Tours known to have illuminated a Vita Christi for Queen Charlotte de Savoie in 1482.
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Chants orphiques européens : Valéry, Rilke, Trakl, Apollinaire, Campana et Goll, entre mythe et poétique / Orphic Songs in Europe : Valéry, Rilke, Trakl, Apollinaire, Campana and Goll, between Myth and Poetics

Gayraud, Irène 16 November 2013 (has links)
Cette thèse interroge le sens du mythe orphique dans la poésie de six auteurs européens du début du XXe siècle (Valéry, Rilke, Trakl, Apollinaire, Campana, Goll), et le sens de la poésie orphique dans la modernité. En partant du double constat d’une crise de la Weltanschauung signant la désertion de la transcendance et du sens, et d’une crise du langage héritée de Mallarmé, cette thèse définit la poésie orphique comme une tentative de ré-enchantement visant à refonder la place de l’être dans le monde, le sens de la mort et la profondeur ontologique de la poésie. La thèse pose la question de l’unité ou de l’éclatement d’un lyrisme orphique moderne. Elle propose une mise au point historique sur les sources de l’orphisme jusqu’au début du XXe siècle, puis un parcours analysant le passage de la mythologie à des poétiques orphiques parfois opposées dans leur aboutissement (réharmonisation de soi et du monde, catabase sans fin, démembrement du sujet, incarnation par l’orphisme de l’idée d’une poésie parfaitement composée). Cette thèse s’attache aussi à définir l’orphisme dans ses dimensions musicales et picturales, interroge les liens entre orphisme et union des arts, et étudie la langue musicalisée et picturalisée des poètes, ainsi que plusieurs œuvres vocales et plastiques (Honegger, Poulenc, Webern, Weill, Delaunay, Dufy, Klee, De Chirico). Enfin, considérant le mythe selon sa dimension fondatrice d’une manière d’être au monde, cette thèse envisage la poésie orphique du début du XXe siècle comme le signe et le moyen d’un désir de retour à une forme de rapport mythique au monde où l’être, dans le chant, coïnciderait avec le sacré et avec le dicible. / This thesis examines the meaning of the myth of Orpheus in the poetical works of six early twentieth century European poets, and the meaning of Orphic poetry within a context of modernity. Having taken into account a twofold crisis, both of the Weltanschauung – revealing that any sense, or transcendent reference, is missing – and of language (Mallarmé’s legacy), this thesis defines Orphic poetry as an attempt to re-enchant the world, in order to give new roots to the being, a new meaning to death, and a new ground to settle poetry’s ontological depth. The thesis tries to determine if such a lyricism is unique or manifold. It makes a historical mise au point from the sources of Orphism up to the twentieth century; then, it tries to describe the transformation of mythological elements into poetical principles – from which may even have issued contradictory achievements (setting back harmonious links between the world and the self; endless katabasis; dismemberment of the I; Orphic embodiment of a perfect poetry). Our thesis also tries to describe how Orphism is conveyed through music and painting: it questions the link between Orphism and the union of the arts, and studies the poet’s music-like and picture-like language, as well as some vocal or painted works (Honegger, Poulenc, Webern, Weill, Delaunay, Dufy, Klee, De Chirico). At last, as it considers myth as the settling of a new way of being-in-the-world, this thesis pictures early 20th century Orphic poetry both as the symptom and the way of a desire to get back some kind of mythical relationship to the world, in which the being, the sacred and the sayable, through the poetical song, would prove coextensive.
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Robert de Sorbon et son oeuvre (1201-1274) / Robert Sorbon and his opus

Gabriel, Denis 18 June 2011 (has links)
Ce travail a pour objectif de faire le point sur les connaissances concernant Robert de Sorbon. Le cursus scolaire du personnage peut admettre de nouvelles filières par le constat d'une fréquente présence de l'ordre de Prémontré autour du village de Sorbon. La seule date qui soit vraiment assurée est l'année de sa mort en 1274, la tradition de fixer sa naissance en 1201 remontant au XVIIe siècle. La plus grande partie de sa vie reste dans l'ombre jusqu'en 1249. Robert de Sorbon n'est pas d'origine paysanne malgré la remarque de Joinville. L'étude des actes du cartulaire permet de comprendre les méthodes et les personnes soutenant la fondation de la Sorbonne. Celle-ci n'est pas, dans les premiers documents (actes et statuts), décrite comme une institution charitable, mais comme une maison de formation pour Séculiers, répondant aux attentes des chanoines des chapitres du nord du royaume, concurrencés alors par les succès des ordres mendiants au sortir de la polémique universitaire. Les écrits pénitentiels de Robert sont connus depuis plusieurs siècles et un regain d'intérêt récent a multiplié les éditions et surtout des sermons : un premier inventaire de ses écrits était donc nécessaire. On étudie ensuite quelques textes des manuscrits de la collection de l'auteur et une version inédite de son traité le plus connu, le De Conscientia pour repérer les techniques utilisées par Robert de Sorbon, sa langue, ses idées, les exempla utilisés et les liens entre les différentes œuvres. Ainsi, sont mises en évidence les différentes facettes d'une même personnalité qui accompagne la croissance de l'Université parisienne. / This work aims to gather knowledge concerning Robert de Sorbon. Thus the curriculum of character can admit new ways by finding frequent presence on the order of Premontre around the village of Sorbon. The only guaranteed date is the year of his death in 1274, while the habit of fixing his birth in 1201 did not appear until the seventeenth century. Much of his life is rather obscure until 1249. Robert de Sorbon is defenitly not of peasant origin whatever said Joinville. Studying acts of the cartulary helps to understand the methods used and also to know the people supporting the foundation of the Sorbonne. At the beginning, the domus is not described as a charitable institution but as a formation House for Secular and it links up the expectations of the canons of chapters from the northern kingdom of France, then competed for the success of the mendicant orders after the university polemic. The pentiential writings of Robert are knomn for centuries but a recent surge of interest has multiplied editions of texts and especially sermons : an initial inventory of his works was necessary. We study thereafter some texts of the personal collection of sermons and a manuscript known to contain a new version of its best-known treaty, De Conscientia to understand the techniques used by Robert de Sorbon, language, ideas, exempla used and the links between different works. So, are highlighted the different facets of the same personality during the growth of the parisian University.
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Exploitation et enrichissement fonciers chez un procureur au parlement de Toulouse à la fin du XVIe siècle : l'exemple de Guillaume Palarin

Fraser, Mathieu 11 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / Guillaume Palarin, un procureur au parlement de Toulouse au XVIe siècle, édifie un patrimoine foncier considérable dont sa descendance pourra amplement bénéficier. Il sait flairer les bonnes occasions d'affaires et attend patiemment les opportunités qui s'offrent à lui. La terre constitue pour lui une source de profit et d'enrichissement, davantage qu'une source de notabilité. Peu importe que sa métairie prenne place à proximité de la ville ou encore à une distance de 20 kilomètres, il voit à tout pour que ses exploitants ne négligent pas les moindres besognes nécessaires au bon rendement de ses terres. Dans un contexte où les campagnes subissent les ravages des guerres de religion et où les aléas du climat font craindre le pire à une population encore fortement dépendante de l'agriculture, le cas de Palarin fournit un exemple palpable d'une mentalité qui cherche à tirer profit au maximum de la terre.
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Perspective vol. 1 no. 1 (Dec 1967)

Northrop, Wilma, Olthuis, John A. 31 December 1967 (has links)
No description available.
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Les discours sur le roman français de 1734 à 1755 : analyse générique et rhétorique (Lenglet-Dufresnoy, Bougeant, Porée, Jacquin)

Voyer, Kevin 08 1900 (has links)
Cette étude examine comment différents textes du XVIIIe siècle traitent du roman. L’hypothèse est la suivante : le genre choisi pour parler du roman participe de manière intrinsèque à la critique ou à l’apologie véhiculée dans l’œuvre. Le corpus est composé de quatre textes plus ou moins (re)connus par les historiens de la littérature narrative : De l’Usage des romans (1734) de Lenglet-Dufresnoy, le Voyage merveilleux du Prince Fan-Férédin dans la Romancie (1735) du père Bougeant, De Libris qui vulgò dicuntur Romanenses (1736) du père Porée et les Entretiens sur les romans (1755) du père Jacquin. À l’aide d’une méthode hybride d’analyse générique et d’analyse rhétorique du discours, cette étude s’intéresse aux genres employés par les auteurs du corpus (le traité, le roman, le discours académique et l’entretien) de même qu’à trois thématiques argumentatives reliées au roman (le poison, l’amour et la femme). / This study examines how different texts dealing with the 18th century novel. The hypothesis is that the literary genre chosen to speak of the novel plays an intrinsic role in the criticism or the apology conveyed in the work. The corpus is composed of four texts more or less known by historians of narrative literature: De l’Usage des romans (1734) by Lenglet-Dufresnoy, Le Voyage merveilleux du Prince Fan-Férédin dans la Romancie (1735) by father Bougeant, De Libris qui vulgò dicuntur Romanenses (1736) by father Porée and Entretiens sur les romans (1755) by father Jacquin. Using a hybrid method of generic analysis and rhetorical analysis of discourse, this study focuses on the genres used by the authors of the corpus (the treaty, the novel, the academic discourse and the dialog) as well as three argumentative themes related to the novel (poison, love and woman).
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Rupture et continuité : étude comparative du clergé anglo-saxon du Xe siècle issu de la Regularis Concordia avec le clergé anglo-normand des XIe et XIIe siècles

Simard, Joël 04 1900 (has links)
Ce mémoire a pour but de comparer l’état du clergé anglo-saxon de la période de la Regularis Concordia du Xe siècle, avec celui du clergé anglo-normand d’après conquête situé entre 1060 et 1150. La base de cette recherche se fera à partir des sources narratives les plus pertinentes pour cette période. Mais celles-ci ne seront utilisées qu’en support puisque l’essentiel de ce mémoire sera basé sur le dépouillement des listes d’archevêques, d’évêques et d’abbés ayant vécu entre 1060 à 1150. Nous détaillerons leurs origines géographiques, les charges qu’ils ont occupées durant leur vie de même que leurs réseaux sociaux. Nous tenterons de démontrer que contrairement à l’idée reçue, il n’y eut pas de véritable réforme du clergé anglo-normand suite à la conquête, mais davantage une mise à jour de ce dernier, et qu’en fait, le modèle de gouvernance qui fut imposé au clergé anglo-normand au tournant du XIIe siècle fut largement inspiré du fonctionnement de l’Église normande. / This thesis aims at comparing the state of the Anglo-Saxon clergy from the Regularis Concordia period of the 10th century with the state of the Anglo-Norman clergy of the post- conquest era from 1060 to 1150. This research will be based on the most relevant narrative sources available for this period. However, they will be used only as support since the main part of the thesis will be based on various listings of archbishops, bishops and abbots, who have lived between 1060 and 1150. We will study in details their geographic origins, the positions they held as well as their social networks. We will try to demonstrate that contrary to preconceived ideas, a true reform of the Anglo-Norman clergy did not occur following the conquest. The Anglo-Norman clergy was simply updated. Also, the governance model, which was imposed to the Anglo-Norman clergy at the turn of the 12th century, was largely inspired by the functioning of the Norman Church.
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Les derniers grands feux (?) d'une maison comtoise et bourguignonne : Guillaume de Vienne, seigneur de Saint-Georges et de Sainte-Croix, 1362-1437 / The last big lights (?) of one house of burgundy (duchy and county) : Guillaume de Vienne, sire of Saint-Georges and Sainte-Croix, 1362-1437

Pelot, Gérard 14 December 2012 (has links)
Le personnage s'inscrit dans l'histoire de la seconde Maison de Vienne (depuis le milieu du XIIIe siècle), issue des comteséponymes, peu étudiée. Les diverses branches furent animées par quelques personnagesprestigieux, comme Jean de Vienne, amiral de France. Trois faits : la mort de l'amiral(Nicopolis, 1396), le fabuleux héritage de son frère Huguenin, et une robuste santé, permirentà Guillaume de s'affirmer comme "chef " de la Maison de Vienne. Il se distingua par unservice multiforme (militaire, diplomatique, de conseil) auprès des ducs de BourgognePhilippe le Hardi, Jean sans Peur et Philippe le Bon, de 1379 à sa mort, et par une gestionavisée de son immense patrimoine terrien, dans le Duché (presque toute la Bresselouhannaise ; Arc-en-Barrois ; sans doute le premier revenu domanial duchois), et dans leComté, auquel il faut ajouter deux hôtels, à Dijon et à Paris. Olivier de La Marche propagea larenommée de Guillaume de Vienne "le Grand" et "le Sage". Ses deux épouses successives lefirent entrer dans des familles prestigieuses : Thoire-Villars (alliée aux comtes de Genève) etles Dauphins d'Auvergne. Sur les champs de bataille et comme diplomate, le "sire de SaintGeorge" connut la gloire et la célébrité : de l'Ecosse à Mahdia (en l'actuelle Tunisie), de laNormandie à Milan, il s'affirma comme un haut cadre de l'Etat bourguignon en gestation.Comblé d'honneurs par les Ducs ( ordre de l'Arbre d'or en 1403, premier nommé chevalier del'ordre de la Toison d'or en 1430), recevant la plus forte pension ( 3000 francs/an), intime deces souverains, il fut aussi un membre actif du Grand conseil royal et gouverneur des deuxBourgognes ; il s'illustra à la croisade (Mahdia, 1390), au service de l'Eglise (familier deClément VII ; chef de l'ambassade bourguignonne au concile de Constance (1415) ;bienfaiteur de Colette de Corbie pour la fondation de plusieurs couvents) et fut le dernierBourguignon auquel s'adressa Jean sans Peur sur le pont de Montereau (1419). Sa secondeépouse lui donna un fils, lui aussi prénommé Guillaume, et seigneur de Saint-Georges et deSainte-Croix à la mort de son père – ce qui a posé problème à plus d'un historien. Cepersonnage, pourvu d'une solide formation, militaire mais aussi intellectuelle (envoyé en"Allemagne" pour y apprendre la langue), connut une foudroyante ascension, du vivant de sonpère, au service de Jean sans Peur puis de Philippe le Bon. Non moins foudroyante fut, dès1440, la dilapidation du patrimoine mobilier et immobilier du "sire de Saint-George" par lenouveau Guillaume de Vienne et son fils Jean, lesquels menèrent, semble-t-il, une viedissolue, et tombèrent dans les rets de multiples profiteurs, au premier chef les "légistes etgens de finances". Marguerite de Vienne, une soeur de Jean, fut bien près d'épouser le comted'Eu, beau-frère de Philippe le Bon. Elle s'unit à Rodolphe de Hochberg, issu d'une puissantefamille de Forêt Noire, et devenu comte de Neuchâtel en succession de son cousin Jean,comte de Fribourg et maréchal de Bourgogne. Marguerite et Rodolphe unirent leurs efforts etparvinrent à reconstituer une bonne partie du patrimoine seigneurial de "Guillaume de Viennele Grand", qu'ils transmirent à leur fils Philippe, célèbre par ses états de service auprès deCharles le Téméraire puis de Louis XI. La fille de Philippe, Jeanne de Hochberg, par sonmariage apporta l'héritage à la famille d'Orléans-Longueville. D'autres branches "Vienne"s'éteignirent, mais une semblable étude permettrait de sortir de l'ombre des personnages decette Maison, comme Guillaume de Vienne, seigneur de Montby et de Montbis (décédé en1471), les Vienne seigneurs de Listenois (Bourbonnais), sans oublier Girard (mort en 1545),seigneur de Commarin, fondateur de la chapelle de Vienne en la Sainte-Chapelle de Dijon. / The character fits into the history of the Second House Vienna (since the mid-thirteenth century), from the countseponymous little studied. The various branches were animated by some famous characterslike Jean de Vienne, admiral of France. Three facts: the death of Admiral (Nicopolis, 1396),the fabulous legacy of his brother Huguenin, and robust health, allowed William to assertitself as "leader" of the House of Vienna. He distinguished himself by service multiforme(military, diplomatic, counseling) from the Dukes of Burgundy, Philip the Bold, John theFearless and Philip the Good, from 1379 to his death, and by careful management of hisimmense estates with the Duchy (almost all Bresse louhannaise; Arc-en-Barrois, probably thefirst Income duchois lands), and the county, which must be added two hotels in Dijon andParis. Olivier de la Marche spread the fame of Guillaume de Vienne "Grand" and "wisdom."His two successive wives brought him into prestigious families: Thoire-Villars (allied to theCounts of Geneva) and Dolphins Auvergne. On the battlefield and as a diplomat, the "lord ofSaint George" achieved fame and stardom: from Scotland to Mahdia (in present-day Tunisia),from Normandy to Milan, he established himself as a high part of the Burgundian State ingestation. Loaded with honors by the Dukes (order of the Golden Tree in 1403, the firstknight of the Order of the Golden Fleece in 1430), receiving the highest pension (3000 francs/ year), intimate the sovereign, he was also an active member of the Grand Council of Royaland Governor of the two Burgundies, he distinguished himself in the Crusades (Mahdia,1390), in the service of the Church (familiar Clement VII head of the embassy Burgundy theCouncil of Constance (1415), benefactor of Colette of Corbie to the founding of severalmonasteries) and was the last Bourguignon which John the Fearless spoke on the bridge ofMontereau (1419). His second wife bore him a son, also named William, and lord of Saint-Georges and St. Croix in the death of his father - which was a problem in more than onehistorian. This character provided a solid background, but also military intellectual (sent in"Germany" to learn the language), had a startling rise in the lifetime of his father, in theservice of John the Fearless and Philip the Good. No less startling was from 1440, thesquandering of movable and immovable property of the "Comte de Saint-George" the newGuillaume de Vienne and his son John, who led, it seems, a dissolute life, and fell into thesnares of multiple riders, primarily the "forensic people and finances." Vienna Marguerite,sister of John, was very close to marrying the Count of Eu, brother of Philip the Good. Shejoins Rudolph Hochberg, from a powerful family in the Black Forest, and became Count ofNeuchâtel in succession to his cousin John, Count of Burgundy and Marshal of Fribourg.Marguerite and Rudolf joined forces and managed to rebuild much of the stately heritage"Guillaume Grand Vienna", they transmitted to their son Philippe, famous for his service toCharles the Bold and Louis XI. Philippe's daughter, Jeanne de Hochberg, by his marriagebrought the family legacy of Orleans-Longueville. Other branches "Vienna" went out, butsuch a study would emerge from the shadows of the characters in this House, as Guillaume deVienne, lord of Montby and Montbis (d. 1471), the Vienna lords Listenois (Bourbonnais),without forgetting Girard (d. 1545), lord of Commarin, founder of the Vienna Chapel of theSainte-Chapelle in Dijon
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Perspective vol. 1 no. 1 (Dec 1967) / Perspective: Official Magazine of the A.R.S.S., an Association for the Advancement of Christian Scholarship

Northrop, Wilma, Olthuis, John A. 26 March 2013 (has links)
No description available.
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Les discours sur le roman français de 1734 à 1755 : analyse générique et rhétorique (Lenglet-Dufresnoy, Bougeant, Porée, Jacquin)

Voyer, Kevin 08 1900 (has links)
Cette étude examine comment différents textes du XVIIIe siècle traitent du roman. L’hypothèse est la suivante : le genre choisi pour parler du roman participe de manière intrinsèque à la critique ou à l’apologie véhiculée dans l’œuvre. Le corpus est composé de quatre textes plus ou moins (re)connus par les historiens de la littérature narrative : De l’Usage des romans (1734) de Lenglet-Dufresnoy, le Voyage merveilleux du Prince Fan-Férédin dans la Romancie (1735) du père Bougeant, De Libris qui vulgò dicuntur Romanenses (1736) du père Porée et les Entretiens sur les romans (1755) du père Jacquin. À l’aide d’une méthode hybride d’analyse générique et d’analyse rhétorique du discours, cette étude s’intéresse aux genres employés par les auteurs du corpus (le traité, le roman, le discours académique et l’entretien) de même qu’à trois thématiques argumentatives reliées au roman (le poison, l’amour et la femme). / This study examines how different texts dealing with the 18th century novel. The hypothesis is that the literary genre chosen to speak of the novel plays an intrinsic role in the criticism or the apology conveyed in the work. The corpus is composed of four texts more or less known by historians of narrative literature: De l’Usage des romans (1734) by Lenglet-Dufresnoy, Le Voyage merveilleux du Prince Fan-Férédin dans la Romancie (1735) by father Bougeant, De Libris qui vulgò dicuntur Romanenses (1736) by father Porée and Entretiens sur les romans (1755) by father Jacquin. Using a hybrid method of generic analysis and rhetorical analysis of discourse, this study focuses on the genres used by the authors of the corpus (the treaty, the novel, the academic discourse and the dialog) as well as three argumentative themes related to the novel (poison, love and woman).

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