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Machiavel et la redéfinition de la virtù : comparaison des arts de gouverner entre Cicéron et Machiavel

Bois, Pierre-Olivier January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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“Ta forme veille et mes yeux sont ouverts” : crise de fondements du poème et poétique de la contingence chez Mallarmé, Valéry et Reverdy / “Ta forme veille et mes yeux sont ouverts” : poem's foundations crisis and contingency poetics in Mallarmé, Valéry and Reverdy

Monginot, Benoît 14 December 2012 (has links)
Cette thèse essaie d’établir dans un premier temps que Mallarmé, Valéry et Reverdy accomplissent exemplairement la critique théorique des fondations romantiques (à la fois ontologiques et rhétoriques) de la littérature ; que cette critique conduit à une crise de légitimité, qui, sans donner lieu à une rupture violente avec la tradition (à la différence de ce qu’implique par exemple l'ethos dominant des avant-gardes), témoigne cependant d’une lucidité sans concession. On montre alors que cette lucidité s'inscrit dans l'écriture même des poèmes selon une poétique a-théologique et par le réinvestissement de formes (l’allégorie, l’écriture moraliste) susceptibles d'indiquer, contre la considération idolâtre d’une autonomie sans autre de l’œuvre, une transitivité rhétorique et non résolutoire de celle-ci. On explique ainsi que l'écroulement de la métaphysique romantique ouvre la voie, chez ces auteurs, à une reconnaissance de la discursivité de l'œuvre, à sa considération tout à la fois poétique et rhétorique. De cela on conclut à l’éviction d’un paradigme esthétique de la poésie et de ses implications indissociablement politiques et communicationnelles, au profit d’une reconnaissance des contingences rhétorique et factuelle du discours littéraire, celles-ci définissant, sans dogmatisme, une inquiétude humaniste. / This thesis first aims at establishing that Mallarmé, Valéry and Reverdy build up a strong theoretical criticism of Literature’s romantic foundations (which are both ontological and rhetorical); it also points out that this criticism leads to a legitimacy crisis. This crisis, though it does not express itself through a violent break from tradition (unlike the main ethos of the avant-garde), bears witness to an uncompromising sense of lucidity. We then demonstrate that this lucidity shapes the very writing of the poems through a-theological poetics and by reinvesting traditional forms (such as allegory or moralist writing) which can convey, though in a problematic way, a certain rhetorical transitivity. We thus throw light on the fact that the wrecking of romantic metaphysics makes these authors acknowledge the discursive nature of the poem, its poetical and rhetorical aspects. We finally conclude on the overcoming of both the aesthetic paradigm of literature and its political and communicational implications to the benefit of an acknowledgement of factual and rhetorical contingencies of the literary discourse. This defines, without any dogmatism, a humanistic disquiet.
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L'apologétique conciliatrice française et le dialogue de l'Aufklärung chrétienne avec le "parti philosophique" / French catholic apologetic, and the dialogue of the christian Aufklärung and the "philosophical party."

Brun, Emmanuelle 23 January 2014 (has links)
Le XVIIIème siècle consacra en France la disjonction idéologique, intellectuelle et spirituelle entre la raison critique et empirique du philosophe et l’anthropologie chrétienne des défenseurs de l’orthodoxie. Toutefois, l’intuition et l’intention d’un syncrétisme humaniste aspirant à voir collaborer l’intelligence scientifique et l’intelligence de la foi survécut à la Renaissance et au Grand siècle pour soutenir la réflexion de littérateurs catholiques reconnus, les abbés Morellet, Coyer, Yvon, Bergier et Raynal. Ces théoriciens de la médiation incarnaient une frange modérée de l’apologétique catholique, une apologétique de la conciliation qui soulève maintes interrogations quant à sa nature et sa portée : parvint-elle à arrimer les valeurs chrétiennes aux idées forces des Lumières rationnelles, proposa-t-elle une voie médiane entre les partis antagonistes des « philosophes » et des « dévots » ? L’exploration analytique et la mise en perspective comparative des termes de l’alliance de la raison et de la foi révèlent une conciliation plurielle ; véritable nébuleuse idéologique élevée sur l’humanisme théologique du molinisme jésuite, elle se confronte à des difficultés externes d’ordre conjoncturel, partisanes notamment, se heurte aux antagonismes de la certitude du christianisme et du doute méthodique, se soumet aux exigences de la dualité de la « raison » - philosophique et scientifique -, mais subit également les retombées de ses propres ambiguïtés et carences conceptuelles. In fine, l’enjeu de ces ambitions syncrétiques ne repose plus tant sur le diptyque foi-raison que que sur les interactions entre le sentiment de foi, la nature et la science. / The XVIIIth century, in France, sanctioned the ideological, intellectual and spiritual separation between the critical and empirical reason of the philosopher and the christian anthropology of the orthodoxy partisans. However, intuition and intent of a humanist syncretism aiming at the collaboration of both scientific and faith intelligence lived through Renaissance and XVIIIth century, to maintain the thought of famous Catholic litterateurs, abbots Morellet, Coyer, Yvon, Bergier and Raynal. Those mediation theoreticians personified a moderated minority of catholic apologetics, an apologetic of conciliation calling to mind about its nature and its significance: did it manage to tie up the christian values to the strong ideas related to the rational Enlightenment; did it offer a medial path between the antagonistic parties of the “philosophers” and the “devout persons”? A pluralist conciliation can be revealed by analytical exploration and by putting into perspective comparatively the terms of the union between reason and faith. Deemed as a true ideological nebula rose on the theological humanism of Jesuit molinism, this conciliation was constrained by cyclical external difficulties, was torn apart between Christianity certainty and methodical doubt, was faced to the requirements of the duality of the philosophical and scientific “reason”, but was also submitted to the consequences of its own ambiguities and conceptual lacks. In fine, the stake of these syncretic ambitions lied less on the faith-reason diptych than on the harmonization of the feeling of faith, nature and science.
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LʼIntime littéraire et photographique / The Literary and Photographic Intimate

Mouret, Magali 13 January 2012 (has links)
Cette thèse présente sur un plan sémantique la notion de lʼintime en tentant de circonscrire son champ dʼaction. Elle explique comment les acceptions du mot « intime » fluctuent historiquement, déplaçant les limites et les enjeux de lʼopposition entre sphère publique et sphère privée, entre lʼindividuel et le collectif, entre le personnel et lʼuniversel.Cette mise au point théorique a pour but dʼenvisager ensuite comment lʼintime devient lʼorigine et lʼobjet dʼun art. Les oeuvres dʼAnnie Ernaux et de Chloé Delaume ici analysées permettent de comprendre comment lʼintime modélise un texte littéraire ; les travaux de Sophie Calle et de Nan Goldin font apparaître la relation particulière entre lʼintime, le texte parfois et la photographie. Le langage verbal et le langage iconique sont interrogés afin de déterminer comment le style de lʼoeuvre sʼimprègne de la dimension intime. Au-delà du risque ou de la provocation, lʼon voit comment lʼoeuvre intime sʼancre profondément dans le temps, dans un rapport privilégié à la mémoire. Il est aussi question de montrer combien lʼart intime relève dʼune lutte pour exister, se faire reconnaître en tant quʼart. Les notions de valeur et dʼeffet, dans le cadre dʼune théorie de la réception, éclairent cette dimension polémique. Enfin, cette thèse sʼintéresse àdécouvrir dans quelle mesure lʼart de lʼintime sʼinscrit contre une ancienne éthique et en faveur dʼune nouvelle. Il sʼagit également de définir les grandes lignes dʼune esthétique de lʼintime, ravivant les questions du réalisme, de la beauté,du sublime. / This thesis presents a semantic notion of the intimate attempting to limit its scope. It explains how the meanings of theword "intimate" fluctuate throughout history, thereby moving the boundaries and challenging the opposition between thepublic and private spheres, between the individual and the collective, and between the personal and the universal. Thistheoretical development is intended to consider how the intimate is both the source and purpose of art. The works ofAnnie Ernaux and Chloe Delaume analyzed here can illustrate how the intimate shapes a literary text ; the works ofSophie Calle and Nan Goldin show the special relationship between the intimate, sometimes the text, and photography.The verbal and the iconic languages are examined to determine how the style of the work is imbued with the intimatesphere. Beyond the risk or provocation it entails, we see how the work intimate is deeply rooted in time with a specialrelationship with memory. It is also about showing how the intimate art is a struggle for existence, for being recognizedas art. The concepts of value and effect as part of a theory of reception, illuminate this debate. Finally, this thesis isinterested in discovering how the art of the intimate severs from former ethics to build a new one. The purpose of thisstudy is also to define the outline of an aesthetics of intimacy, rekindling issues of realism, beauty, and the sublime.
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Ecriture fictionnelle et traitement de l'histoire dans l'oeuvre de Laurent Gaudé. / Fiction writing and History in the work of Laurent Gaudé.

Boubaker, Donia 15 December 2017 (has links)
Auteur de l'extrême contemporain, Laurent Gaudé est à l'origine d'une œuvre littéraire riche et hétérogène qui plonge dans l'Histoire des hommes de l'Antiquité à nos jours : personnages historiques illustres (Alexandre le Grand, Frédéric II), conflits et catastrophes humaines (Grande Guerre, guerre d'Algérie, etc.), catastrophes naturelles (séismes, ouragan Katrina) composent ainsi une mosaïque d'(H/h)istoires qui affirment l'importance de l'être et chantent sa résistance à des univers de violence aliénants. Entre tragique et épique, l'œuvre de Laurent Gaudé est, de ce fait, une mise en récit de la crise humaine. Interrogeant l'Autre, l'Ailleurs et l'Autrefois, soulignant également la "fraternité de destins" des personnages gaudéens, le traitement fictionnel de l'Histoire s'inscrit dans une création littéraire humaniste qui redonne toute sa force à la fonction empathique de la littérature. Notre travail de recherche consiste à interroger cette odyssée temporelle, ce voyage à travers le temps et l’espace, pour comprendre les procédés de la mise en fiction de l’Histoire et sa dimension humaniste dans l’œuvre de Laurent Gaudé. / Laurent Gaudé is an author from the Contemporary Extreme period. He creates a rich and diverse literary work which delves into the history of humanity from the Antiquity to these days. It summons famous historical figures like Alexander the Great, human conflicts and disasters (The Great War, Algerian War of Independence, etc.) and natural disasters (earthquakes in Italy and Haïti, hurricane Katrina). All these events draw a mosaic of (hi-)stories that affirms the importance of human beings and sings the resistance to alienating universes of violence. Therefore, the work of the novelist is a storytelling of human crisis which allies epic with tragic. By highlighting the "broterhood of destinies" of gaudeans characters, and questioning in the same time the Other, the Elsewhere and the Old times, fictional treatment of history by Laurent Gaudé is a part of a humanist literary creation which gives to the literature's empathetic function all its power. Our research involves questioning this temporal odyssey, this journey through time and space, to understand the processes of the fictionalization of history and its humanistic dimension in the work of Laurent Gaudé.
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Romam veni. L’humanisme à la fin du Grand Schisme, d’Innocent VII au concile de Constance (1404-1417) / Romam veni. Humanism at the Papal Curia at the end of the Great Schism, from Innocent VII to Council of Constance (1404-1417)

Revest, Clémence 16 June 2012 (has links)
La présente thèse de doctorat consiste en une enquête globale sur le développement de l’humanisme dans le contexte du retour de la cour pontificale en Italie, au moment d’une crise majeure, le Grand Schisme d’Occident. Notre travail se propose, avant toute chose, de nouer les fils de deux histoires généralement conçues comme distinctes et d’en éclairer les interactions. Il s’agit, d’une part, de l’émergence, au tournant du XVe siècle, d’une génération d’intellectuels que l’on considère comme les représentants d’un humanisme arrivé à pleine maturité après un siècle et demi de gestation et, d’autre part, de la réinstallation du pouvoir pontifical à Rome, une entreprise politique dont la première phase fut marquée par une longue et fort complexe lutte pour l’unité et la stabilité. Le propos est organisé en trois parties accompagnées d’une série d’annexes complémentaires (tableaux prosopographiques, typologies des corpus rhétoriques et diplomatiques, éditions de documents d’archives et de pièces littéraires). Y sont successivement étudiées la constitution d’un milieu savant, son insertion dans l’histoire et le fonctionnement de la curie au cours des pontificats d’Innocent VII, Grégoire XII, Alexandre V et Jean XXIII ainsi que durant les conciles de Pise et de Constance, et la composition d’un modèle rhétorique complet mis au service de la propagande pontificale. Les dynamiques socio-institutionnelles et les principes idéologiques et éthiques qui furent à l’origine d’une collaboration féconde entre humanisme et papauté sont particulièrement mis en valeur, de même que les voies de création d’une mémoire et d’une éloquence communes. / This dissertation consists of a comprehensive appraisal of the development of humanism in the context of the return of the pontifical court in Italy at the time of a major crisis, the Great Western Schism. Our work primarily aims at linking two stories, generally conceived as distinct, and enlightening interactions between them. These are, firstly, the emergence of a generation of intellectuals that are considered to be representatives of a humanism that reached its full maturity after a century and a half of gestation and, secondly, the re-establishment of the pontifical power in Rome, a political enterprise whose first phase was characterized by a long and very complex struggle for unity and stability. This thesis is as follows : it examines firstly the construction of a scholarly network, secondly its relationship to historical and institutionnal contexts, namely the operation of the curia during the pontificates of Innocent VII, Gregory XII, Alexander V and John XXIII and the councils of Pisa and Constance. Finallyit it investigates the elaboration of a complete rhetorical model that served the papal propaganda. The socio-institutional dynamics and the ideological and ethical principles that served as the basis of a fruitful collaboration between humanism and papacy are highlighted, as well as ways of creating a memory and a common eloquence. This dissertation includes a series of additional annexes (prosopographical tables, typologies of rhetorical and diplomatic corpus, and editions of archival and literary documents).
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Barthélemy Latomus d'Arlon : un dialecticien humaniste (~1497-1570) / Barthélemy Latomus of Arlon : a humanist dialectician (~1497-1570)

Delvaux, André 09 June 2016 (has links)
Latiniste disciple d’Érasme et docteur en droit civil, Barthélemy Latomus est une figure emblématique d’une époque marquée par les mouvements transversaux de l’Humanisme et de la Réforme. Sa carrière connut deux périodes asymétriques, comme professeur de rhétorique latine et conseiller juridique d’un archevêque électeur de l’empire. Il enseigna à Trèves, Cologne, Louvain et Paris, où il fut choisi le premier comme lecteur en rhétorique latine au Collège fondé par François Ier. Ses recherches sur les fondamentaux de l’art oratoire, conjuguées à celles de Melanchthon dans le sillage de Rodolphe Agricola et de Georges de Trébizonde, aboutirent à l’avènement d’une rhétorique de type humaniste alliant étroitement logique et éloquence. L’objectif premier est de répondre aux besoins concrets des enseignants et des orateurs responsables. Dans ce but, il mit au point une méthode originale en analysant les discours classiques, surtout de Cicéron, non par intérêt archéologique ni en vue d’une vaine imitation, mais pour acquérir les outils d’un savoir-faire personnel. Dans un grand discours sur les « studia humanitatis » il expose le fond de sa pensée : un humanisme civique, reflet d’une anthropologie qui envisage l’homme en tant que membre actif de la société, où la rhétorique tient une place capitale. À Paris, il est l’un des représentants très prisés de l’humanisme du nord qui avait tant contribué à la réforme des programmes d’études universitaires. Devenu conseiller à Trèves après un voyage en Italie, il est amené à approfondir la théologie en vue du dialogue interreligieux. Dans ses controverses, il relaye la doctrine officielle en la fondant sur l’étude des sources bibliques et patristiques; il prône le débat d’idées face aux disputes stériles. À Paris, Latomus était proche du mouvement évangélique français; il maintint des contacts avec des amis luthériens, tels Jean Sturm et Jean Sleidan, et leur fit des ouvertures hardies concernant la structure hiérarchique de l’Église en vue d’un Concile libre. / A pupil of Erasmus, a Latin scholar, and a doctor of civil law, B. Latomus was an emblematic figure of a period marked by the cross-currents of humanism and reformation. His career spanned two asymmetrical periods: starting out as a professor of Latin literature, he ended up as a legal adviser to the Archbishop-Elector of Trier. He taught at Trier, Cologne, Louvain and Paris, where he was the first appointed lecturer of Latin eloquence at the College founded by François Ier. His research into the foundations underlying the art of oratory, together with those of Melanchthon and following upon those of Agricola and George of Trebizond, led to the development of a specifically humanist rhetoric, combining dialectics with eloquence, whose main goal was to cater to the practical needs of teachers and orators holding a post of responsibility. His analysis of classical speeches, above all by Cicero, was more than a mere archeological interest or an empty striving after imitation: Latomus developed an original method allowing him to forge for himself the tools of a highly personal savoir-faire. The essentials of his thoughts are developed in a great speech devoted to the ‘studia humanitatis’: a civic humanism, which is the reflection of an anthropology seeing man as an active member of society, in which rhetoric played a central role. During his Paris years, Latomus was seen as one of the foremost representatives of that brand of Northern humanism that had contributed so much to the shaping of university curricula. After becoming a counselor in Trier on his return from an iter Italicum, he delved into theology. In his controversies, he sided with the official doctrine by firmly basing it on biblical and patristic sources; he preferred the clash of ideas over sterile disputations. Latomus was close to the French evangelical movement; he kept contact with Lutheran friends such as Sturm and Sleidan, to whom he submitted courageous proposals regarding the hierarchical structures of the church, in the hope of having them discussed at a free council.
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O conceito de humanismo nas diretrizes curriculares Nacionais para o Ensino Médio /

Santos, Genivaldo de Souza. January 2008 (has links)
Orientador: Alonso Bezerra de Carvalho / Banca: Divino José da Silva / Banca: Maria Silvia Simões Bueno / Resumo: A filosofia nos leva em sua radicalidade ao questionamento do que à primeira vista parece pueril, como criança que frente ao "óbvio" pergunta: o que é isto?! Partindo do pensamento filosófico colocamos a questão: O que é o humanismo? Tocar na questão do humanismo é, ao mesmo tempo, tocar naquilo que confere humanidade ao homem. Como duvidar do homem? Como duvidar da possibilidade humana? Indagações que não fazem sentido para o senso comum - ainda. Nietzsche (1987) ao anunciar a "morte de deus" "abriu" o caminho para que depois Foucault (1966) anunciasse a "morte do homem" e consigo a negação do humanismo e do sujeito. As crises que abalam a estrutura da sociedade contemporânea: crise da família, crise da escola, crise da educação, entre outras, adquire a forma de uma fórmula comum: "crise do homem". Não afirmamos que a educação deva se alinhar ao humanismo ou ao anti-humanismo, mas questionamos a postura do legislador que, de antemão, ao afirmar um humanismo, estabelece "verdades" sem a necessidade de justificativas por se tratar de um assunto óbvio. Mas qual a "obviedade" do humanismo? Assim, a centralidade de nossa pesquisa, repousou sobre a inquietante questão: qual o sentido do humanismo para as Diretrizes Curriculares Nacionais para o Ensino Médio? A volta ao texto das Diretrizes Curriculares Nacionais para o Ensino Médio na tentativa de delinear definições do humanismo e de conceitos próximos a ele, como pessoa humana, sujeito, formação moral foi necessária, bem como o estabelecimento de ligações entre o documento analisado com as Leis de Diretrizes e Bases Nº 9394/96 com a Constituição Federativa do Brasil (1988). Para em seguida percebemos, então, que, quando confrontado com o humanismo da tradição filosófica, via Existencialismo ateu sartreano, a hermenêutica do discurso do humanismo... (Resumo completo, clicar acesso eletrônico abaixo) / Abstract: La Philosophie nous amène à le radicalisme dans leur interrogatoire que, à première vue, sembler puéril, comme les enfants qui face à la 'évidente' question: qu'est-ce que c'est? sur la base de la philosophie de poser la question: qu'est-ce que l'humanisme? Portant sur la question de l'humanisme est à la fois, jouant dans ce qui donne à l'humanité de l'homme. comme l'ombre d'un doute l'homme? comme douter de la possibilité de l'homme? questions qui ne font pas de sens au sens commun - pour le moment. Nietzsche (1987) d'annoncer la «mort de Dieu' ouvert 'le chemin vers ce après Foucault (1966) a annoncé la mort de l'homme' et à la négation de l'humanisme et de l'objet. les crises qui minent la structure de la société contemporaine: la crise familiale, la crise scolaire, crise de l'éducation, entre autres, prend la forme d'une formule commune: «crise de l'humanité». ne pas dire que l'éducation doit être aligné sur celui de l'anti-humanisme ou humanitaire, mais la question de l'attitude du législateur qui, à l'avance, dire à un humanisme, en baisse de 'vérités' sans la nécessité de justifier parce que c'est une question de cours. mais ce que les 'évidence' de l'humanisme? ainsi, la centralité de notre recherche, reste préoccupante sur la question: quel est le sens de l'humanisme à la Curriculum Lignes Directrices pour l'Ecole Secondaire Nationale? Le texte renvoie à la commission nationale des lignes directrices pour la haute école dans une tentative de délimiter les définitions de l'humanisme et de concepts proches de lui, en tant qu'êtres humains, sous réserve, la formation morale est nécessaire, et l'établissement de liens entre le document discuté avec les lois d'orientations et de bases n ° 9394/96 de la Constitution du Brésil (1988). pour se rend alors compte alors que face à l'humanisme de la tradition philosophique, par le... (Complete abstract click electronic access below) / Mestre
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Nicolas de Gonesse e la traduzione francese di Valerio Massimo. Edizione e commentario / The translation of Valerius Maximus by Nicolas de Gonesse. Critical edition and commentary / Nicolas de Gonesse et la traduction française de Valère Maxime. Edition et commentaire

Pastore, Graziella 10 January 2012 (has links)
La traduction française des facta et dicta memorabilia (memorabilia) de Valère Maxime est l'une des œuvres les plus importantes composées au cours de la grande saison de traduction en français des ouvrages de l'antiquité classique entre le xiiie et le xve siècle. l’œuvre conjointe de Simon de Hesdin et Nicolas de Gonesse, « translateurs » et glossateurs de Valère Maxime, eut une importante fortune manuscrite et fut très célèbre parmi ses contemporains. cependant, elle demeure toujours inédite. par notre recherche nous espérons remédier à cette lacune critique en faisant le travail qui s'impose sur la tradition manuscrite de cette œuvre. plus précisément, en partant des études de m. Giuseppe Di Stefano et en nous rattachant aux travaux d'édition déjà entrepris par l'équipe coordonnée par m. Alessandro Vitale-Brovarone (Université de Turin, Italie), nous comptons fournir une édition critique de la deuxième partie de cette traduction, à savoir la partie mise en français par Nicolas de Gonesse pour le duc Jean de Berry entre 1400 et 1401. / The first French translation of Valerius Maximus constitutes one of the main unpublished works in the medieval French literary production; it can be considered instrumental for a better comprehension of the development of the French branch of Humanism in general, and the diffusion of Italian and Latin texts in fourteenthcentury France in particular. Further expanding the studies of Giuseppe Di Stefano and according to the project of the University of Turin, we propose the first critical edition of the section of the text translated and glossed by Nicolas de Gonesse (books VII 5 - IX) based on manuscript Paris, BnF, français 282. Moreover, we present new data on the manuscript tradition and additional analysis of this work.
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Maurice Blanchot et la question de l'image / Maurice Blanchot and the question of image

Rinaldi, Riccardo 23 March 2019 (has links)
La plupart des approches philosophiques de l’œuvre de Maurice Blanchot ont réservé jusqu’à présent une place marginale à la question de l’image. À partir de L’Espace littéraire (1955), pourtant, l’image assume un statut théorique nous permettant de l’appréhender comme la matrice d’une écriture, d’abord partagée entre fiction et critique, qui trouve enfin dans la fragmentation son essor le plus naturel. Loin d’embrasser un nihilisme stérile, Blanchot dégage de la réflexion sur l’œuvre d’art de Heidegger l’idée d’une apparition en tant que disparition, d’une forme invalidant la distinction entre matière et forme, d’une présence qui n’est pas donnée : présence d’une absence. Il en tire une vision radicalement antihumaniste, bien plus cohérente que la conception de l’événement scandant l’histoire des époques de l’Être : venant avant la chose, l’image condamne la conscience du sujet métaphysique en tant que scène exclusive de toute représentation. Le visage de la mort devient le paradigme du regard aveugle que les choses portent sur nous. La littérature se révèle alors préliminaire à une vision autre, qui touche à ce qui précède l’existence de l’homme dans sa globalité, sa finitude s’éparpillant en une approche sans fin de la fin. Laissant de côté les textes politiques de Blanchot, nous avons considéré l’œuvre comme étant prioritaire au destin de l’auteur, que l’écriture emporte et détermine. Moins structurée que celle de Heidegger, elle s’avère finalement plus appropriée pour être lue à travers « l’optique » suggérée dans la Lettre sur l’humanisme : l’on ne peut concevoir une éthique, en tant que pensée de l’humanisme, si nous n’avons pas au préalable redéfini ce qu’est l’humanitas de l’homme. / Most philosophical approaches to Maurice Blanchot's work have hitherto reserved a marginal place for the question of image. Since L'Espace littéraire (1955), however, image assumes a theoretical status that enables us to apprehend it as the matrix of his writing that, initially divided between fiction and criticism, finally achieves its most natural thriving in fragmentation.Far from embracing a sterile nihilism, Blanchot derives from Heidegger’s reflection on art the idea of an appearance as disappearance, of a form invalidating the distinction between matter and form; a presence which is not given: the presence of an absence. He draws from it a radically anti-humanist vision, much more coherent than the conception of the event defining the history of the epochs of the Being: coming before the thing, image condemns the consciousness of the metaphysical subject as the exclusive stage of all representation. The face of death becomes the paradigm of the blind gaze that things lay upon us. Hence, literature proves to be preliminary to a different vision, one that touches on what precedes man’s existence as a whole, his finitude being scattered in an endless approach of the end.Leaving aside the political texts of Blanchot, I have considered the œuvre as a priority in the author’s fate, which is overcome and determined by writing. Less structured than Heidegger's, Blanchot’s work proves finally more suited to be read through the perspective suggested in the Letter on Humanism: we cannot conceive an ethics, as a thought of humanism, if we have not previously redefine what the humanitas of man is.

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