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Le sujet infini face au miroir de l’autobiographie onirique. La narration fragmentaire dans Król-duch de Juliusz Słowacki et dans Aurélia de Gérard de Nerval / The infinite subject in the mirror of oneiric autobiography. Fragmentary narrative in Juliusz Słowacki’s Król-Duch and Gérard de Nerval’s Aurélia

Harsany, Katarzyna 31 January 2011 (has links)
Le parallèle entre Król-Duch de Juliusz Słowacki et Aurélia de Gérard de Nerval est une comparaison narratologique des deux œuvres (en dehors de l’étude d'influences réciproques, comme de l’étude de sources). Le rapprochement des deux auteurs (enrichi par l’apparition, en arrière-fond, de Novalis - toujours dans la perspective d'un parallèle) se construit autour du thème de l’écriture de la révélation onirique. Elle laisse apparaître une rupture fondamentale entre le contenu de la révélation – une existence continue du moi - et la forme discontinue et inachevée sous laquelle elle s’exprime. L’autobiographie onirique qui raconte l’expérience indicible d’une « seconde vie » infinie, entrevue en rêve, apparaît ainsi comme un seuil narratif qui s’interpose entre le fragment et la totalité. Dans les trois parties de l’étude comparée, consacrées respectivement aux modèles de composition, aux modalités de l’inachèvement et aux profils narratifs des deux textes, est posée la question de la limite entre les images mentales d’une extrême subjectivité et leur avatar textuel. Le rapport entre l’invisible et sa représentation y apparaît au travers du rapport entre le rêve du moi infini et le récit de ce rêve, qui se construit comme une perpétuelle réincarnation du « je » en tant que sujet. / « Dream is a second life », Gérard de Nerval writes. « I have never been able to cross through those gates of ivory or horn which separate us from the invisible world without a sense of dread ». He sees dream and real life as asunder though parallel compartments, while Juliusz Słowacki sees them a continuum, without precise boundary where one ends and the other begins. But they do agree on one point: poetry and dream are intimately united.Juliusz Słowacki’s Król-Duch and Nerval’s Aurélia have in common to be oneiric biographies, i.e. written from naked truth as revealed in dreams, where « life is free of space and time ». The outcome is well-nigh as disconnected and incoherent as dream itself. Words cannot represent adequately heavens opened. It is somewhat uncanny that, in both cases, the fragments of the « infeasible book » look like an initiation into sacred mysteries.
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La représentation du temps au cœur du "kinoobraz" dans les films d’Andreï Tarkovski, Andreï Zviaguintsev et Kira Mouratova / The representation of time and the notion of kinoobraz in the cinema of Andreï Tarkovski, Andreï Zviaguintsev and Kira Mouratova

Ovtchinnikova, Maria 17 November 2017 (has links)
L’intérêt porté aux filmographies de cinéastes russes aussi différents qu’Andreï Tarkovski, Andreï Zviaguintsev et Kira Mouratova aboutit à la découverte d’une quête esthétique commune propre aux trois réalisateurs : l’élaboration d’une image cinématographique modelée par le temps autant dans sa matérialité filmique que dans sa puissance métaphorique. Cette approche artistique semble cristallisée dans le terme "kinoobraz" théorisé par Andreï Tarkovski qui s’impose dès lors comme un médium entre la recherche théorique et le champ d’expérimentation analytique de ce travail. Le terme russe "kinoobraz" traduit en français par « image cinématographique » recèle autant de problèmes que de potentiel théorique et analytique. La nature de cette recherche consiste donc en une appropriation, une réinvention et une mise à l’épreuve d’une notion ("kinoobraz"), trois opérations menées simultanément dans un parcours multiple. D’abord, une étude à la fois historique et théorique des conceptions russo-soviétiques de l’"obraz" (théologie des icônes orthodoxes à travers les textes de Pavel Florensky, l’"obraz" selon Sergueï Eisenstein, le "kinoobraz" de Tarkovski) révèle toute une série de résonances conceptuelles avec les théories françaises du figural (à partir du texte "Discours, figure" (1971) de Jean-François Lyotard). Cette confrontation entre la généalogie russe du "kinoobraz" et les propriétés esthétiques du figural, alimentée par la pratique de l’analyse filmique comparée, permet la redéfinition du "kinoobraz" comme un outil opératoire d’analyse. Ainsi, la mise à l’épreuve du "kinoobraz" dans le champ d’expérimentations analytiques sur le corpus de référence composé des films d’Andreï Tarkovski, Andreï Zviaguinstev et Kira Mouratova explore la spécificité temporelle de la matière filmique et du dispositif cinématographique. / Focusing on the cinema of three Russian different filmmakers such as Andreï Tarkovski, Andreï Zviaguintsev and Kira Mouratova, we discover a common aesthetic thread: the development of a film image molded by time both in film's materiality and in its metaphorical power. This artistic approach is crystallized by the term kinoobraz theorized by Andreï Tarkovski, whose ideas and films serve as a link between the theoretical research and the analytic experimentation of the present work. The Russian word "kinoobraz" is usually translated into English as “film image” but this translation does not reveal its full theoretical and analytic potentials. Our research aims at giving this notion its proper place, its reinvention and its use as a tool, all three conducted simultaneously on parallel tracks. Our exploration of this notion includes both historical and theoretical study of the Russian and Soviet conceptions of "obraz" through the theology of orthodox icons found in Pavel Florensky’s texts, its definition by Sergueï Eisenstein, and Tarkovski’s refinement as "kinoobraz". This study reveals a series of conceptual resonances with the French theories of figural (starting with Jean-François Lyotard’s work "Discours, figure" (1971)). The juxtaposition of the Russian genealogy of "kinoobraz" and the aesthetic traits of figural, nurtured by comparative film analysis, allows us to redefine kinoobraz as an analytic tool. Using this tool in the analytic experimentation based on the reference corpus of the films of Andreï Tarkovski, Andreï Zviaguintsev and Kira Mouratova leads us to a deeper understanding of the time specificity of the film matter and the cinematic "dispositif".
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Les Avatars et les métaphores de la figure humaine dans les spectacles contemporains de la marionnette / Avatars and metaphors of the form in contemporary works of puppetry

Bonnetier, Stanka 10 December 2011 (has links)
Cette thèse, relevant de la problématique des avatars et des métaphores de la figure humaine et deses multiples représentations scéniques, interroge les créations contemporaines de la marionnette. Elle a pourpoint de départ la pratique de la marionnette et la place conférée à la figure dans les dispositifs scéniques.Fondés sur des confluences des figures animées et des images de synthèse, les dispositifs contemporains issusdes nouvelles techniques de l’image et du son ont permis de dépasser la structure traditionnelle de lamarionnette. A mi-chemin entre poupée et forme raffinée, la marionnette dépasse ses contours et ouvre vers denouvelles représentations scéniques : des ombres, des doubles virtuels, des avatars de synthèse, pouvant êtretransformés et évolués en temps réel. Toutes ses représentations posent la question de l’incarnation. Ainsi lafigure de l’avatar se présente comme un possible prolongement de la marionnette. Les outils technologiquespermettent une nouvelle manière de former, d’élaborer la figure. Ils offrent une infinie possibilité de ladédoubler, de la multiplier, de la répliquer. Dans ce geste répétitif la figure tend progressivement vers uneffacement de ses contours. Loin de la forme anthropomorphique, elle symbolise le plus souvent une idée, unconcept, un mot en jouant sur l’essence de la matière et les agencements plastiques d’objets et de matières.Quant aux possibles dédoublements de l’interprète réalisés grâce aux technologies de l’image et du son, lecorps vivant en chair et en os se démultiplie dans des figurations comme les ombres, les reflets et les doublesvirtuels. Ces derniers deviennent un indice, une icône de notre présence. La démultiplication spatiale etcorporelle de leur présence iconique fait scintiller les nombreux subterfuges d’une ruse scénique. Car cettenouvelle figure, construite par les jeux d’illusions et de leurres qu’autorise l’usage du numérique effaceprogressivement les contours traditionnels de la figure humaine en brouillant les pistes d’une identificationtangible. Ces nouvelles figures se présentent comme des images décalées et sont une véritable invitation àpenser l’absence et la présence, l’apparition et la disparition. La figure s’ouvre à une interprétation multiple etoffre une vision différée en interrogeant la place de l’humain dans notre société. Les dispositifs scéniques quiabritent ces figures deviennent une véritable iconostase pour leur déploiement. Espace d’une fiction du regard,la figure compose et décompose sans cesse ses contours en offrant son image à celui qui la regarde. Lespectateur est invité à vivre une expérience oculaire en le transformant en véritable acte de voir. / This thesis studies the problematics of avatars and metaphors of the human form and its manifoldstage representations; it questions contemporary ‘creation’ in the field of puppetry. The practice of puppetryand the place bestowed on the human form in staging devices are the starting point of the study. Located at theconvergence of animated figures and of computer graphics, contemporary staging devices that stem from newtechniques of sound and video have allowed us to surpass the traditional framework of the puppet. Halfwaybetween doll and refined figure, the puppet goes beyond its outline and opens the path towards new stagerepresentations; shadows and virtual doubles, CGI avatars, which can all be transformed and developed in realtime. All its representations beg the question of incarnation. Thus the face of the avatar is presented as apossible extension of the puppet. Technological tools allow new ways of devising and developing the face. Theyoffer infinite possibilities to divide the face, to multiply and replicate it. In this repetitive gesture, the facetends gradually to be effaced of its outlines. Far from the anthropomorphic figure, it symbolises here an ideamost often, a concept, a word that underscores the essence of the material and the visual arrangement of objectsand matter. As for the potential splitting of the performer achieved thanks to new technology in video andsound, the living boy in flesh and blood multiples as shadows, reflections and virtual doubles. The latterbecome a sign, an icon of our presence. Spatial and corporeal duplication of their iconic presence makes thenumerous subterfuges involved in a staging device sparkle. Because this new figure, built from simulatedreality games and digital lures, gradually erases the traditional contours of the human form by blurring thepaths to any tangible identification. These new forms are presented as staggered images and are a realinvitation to rethinking absence and presence, appearance and disappearance. The face/form is exposed tomultiple interpretations and offers a deferred vision by questioning the place of the human being in our society. Staging devices that shelter these forms become a true iconostasis for their demonstration. The face –the space belonging to the fiction of the gaze – incessantly makes and breaks its outlines by throwing up itsimage to those who watch him. The viewer is invited to undergo an ocular experience by transforming it into atrue act of seeing.
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MAGNUM SIGNUM MEXICANUM - " Révélations " autour de l'image de la Vierge de Guadalupe. XVIe - XXIe siècles / MAGNUM SIGNUM MEXICANUM - "Revelations" around the image of the Virgin of Guadalupe. 16th - 21st centuries

Augier de Moussac, Nathalie 15 November 2017 (has links)
L'image miraculeuse de la Vierge de Guadalupe mexicaine est bien plus qu'une icône religieuse : aujourd'hui symbole national, c'est un objet politique qui s'est trouvé au coeur de rivalités constantes entre le pouvoir civil et l'Eglise depuis son " apparition " au XVIe siècle. Sans pour autant négliger les liens qui la rattachent à chacun, ou presque, des Mexicains, nous nous sommes efforcés de mettre en lumière cet aspect trop souvent négligé de son histoire qui se déroule sur près de cinq siècles. / The miraculous image of the Mexican Virgin of Guadalupe is much more than a religious icon : It is a national symbol and a political object which has been at the heart of constant rivalities between the civil authorities and the Church since her "apparition" in the XVIth century. Without neglecting the intimate relationship most Mexicans have developed with her, we have been focusing on this aspect, too often forgotten from most scholar studies on the matter.

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