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Rêve d’artiste : la littérature, la musique et l’histoire de l’art dans la poésie d’Émile Nelligan

Arella, Suet-Lin 09 1900 (has links)
La fin du XIXe siècle montréalais est une période de grand foisonnement intellectuel et culturel, qui voit l’apparition de plusieurs courants artistiques, comme l’impressionnisme et le symbolisme. Ces courants artistiques manifestent des tendances analogues dans des arts différents. Plusieurs associations artistiques se forment durant cette période, et l’École littéraire de Montréal, fondée en 1895, est l’une des plus importantes. Un de ses membres les plus célèbres est le poète Émile Nelligan, qui rédige une œuvre fulgurante entre 1896 et 1899. Par ses liens avec les autres membres de l’École, Nelligan est proche des changements culturels de son époque, et plusieurs de ses poèmes font référence à des arts autres que la littérature, comme la peinture et la musique. Notre objectif est d’étudier comment les tendances artistiques principales de l’époque, particulièrement en peinture et en musique, se présentent dans l’œuvre poétique de Nelligan. Notre étude s’appuie sur la démarche de Gérard Dessons, qui analyse les éléments constitutifs du discours poétique pour en extraire le sens. Nous désirons apporter une meilleure compréhension des courants artistiques présents à Montréal durant cette période et montrer comment Nelligan emploie des procédés littéraires analogues pour incorporer les traits principaux de ces courants artistiques dans son œuvre. Nous voulons aussi éclairer la nature transdisciplinaire de l’œuvre de Nelligan et sa profonde sensibilité aux relations entre les arts, même s’il n’a pratiqué que la littérature. / The end of the 19th century in Montreal is a time of great intellectual and cultural development, which sees the birth of new artistic currents such as impressionism and symbolism. These currents appear in many different arts of the time. Many artistic associations are created during this period, and the École littéraire de Montréal is one of the most important among them. One of the most famous members of the École is poet Émile Nelligan, who produced a great amount of work between 1896 and 1899. Through his connections with the other members of the École littéraire de Montréal, Nelligan was in contact with the cultural and artistic changes of the time, and many of his poems include references to arts other than literature, such as painting and music. Our aim is to study how the artistic currents of the time, particularly in painting and in music, appear in Nelligan’s poetry. We base our study on the approach of literary analysis by Gérard Dessons, which is based on the analysis of different literary elements and techniques that make up the poem in order to derive its meaning. We wish to bring a greater understanding of the artistic trends present in turn-of-the-century Montreal and how Nelligan uses literary techniques to incorporate the principal techniques and ideas of those artistic currents in his work. We also wish to show the transdisciplinary nature of Nelligan’s work and his great sensibility to the relationships between the arts, even if he practiced only literature during his lifetime.
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Le savant et le profane : documenter l'impressionnisme en France, 1900-1939 / Between Scholar and Layman : documenting Impressionism in France, 1900-1939

Viraben, Hadrien 20 November 2018 (has links)
En 1946, la parution à New York de l’Histoire de l’impressionnisme de John Rewald consacra l’aura d’une historiographie scientifique du mouvement, cautionnée par un investissement documentaire. Cette qualité l’opposait à un monde profane, dominé par une tradition orale et en particulier la réputation de certains témoignages. Un examen attentif ne saurait pourtant donner raison au postulat d’une nature exclusivement savante du document. Une documentation impressionniste se constitua en effet, dès le début du XXe siècle, par l’intermédiaire de producteurs hétéroclites, artistes, témoins, héritiers, critiques, journalistes, aussi bien qu’historiens professionnels, conservateurs et universitaires. Elle peut ainsi être envisagée autant comme le fruit d’une quête de la vérité factuelle que comme l’appropriation d’un objet d’étude populaire, à travers ses empreintes écrites et visuelles. L’appareillage des lectures de l’impressionnisme réunit de la sorte : les autographes ; les memorabilia, meubles ou immeubles chargés du souvenir des peintres ; les technologies photographique et cinématographique. Ces documents participaient en outre d’une culture visuelle plus vaste, incluant les monuments et les plaques commémoratives dans l’espace public, ou encore les motifs transformés par l’acte pictural en points de vue remarquables. L’étude historique et critique de l’écriture de l’histoire impressionniste comme (dé)monstration documentaire permet de revenir sur les circonstances sociales et visuelles de sa mise en œuvre, sur les enjeux de carrière auxquels elle participa, et sur les missions qui lui furent assignées au sein de différents discours sur l’art, savants et profanes. / In 1946 the publication of John Rewald’s History of Impressionism in New York consecrated the aura of the movement’s scientific historiography, supported by documentary investment. This quality confronted laymen’s narratives, which oral tradition and some witness’s accounts’ reputations dominated. Yet, a close consideration could not agree with the assumption of an exclusive scholarly nature of the document. Since the beginning of the 20th century, varied producers, such as artists, witnesses, heirs, critics, journalists, as well as professional historians, museum curators and academics formed an impressionist documentation. It thus can be interpreted as a quest for factual truth, as much as an appropriation of a research object through its written and visual marks. The equipment of impressionist readings hence gathered are: autographs; memorabilia, movable and physical assets as souvenirs of artists; photographic and cinematographic technologies. Moreover, these documents fit into a broader visual culture which included monuments and commemorative plaques of the public sphere, or motives transformed by pictorial acts into remarkable viewpoints. A historical and critical study of such a writing of history as documentary (de)monstration allows here to look back to its execution’s social and visual contexts, the career issues in which it participated, the goals that had been assigned to it within both scholars’ and laymen’s art discourses.
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Un Monde pour les XX: Octave Maus et le groupe des XX :analyse d'un cercle artistique dans une perspective sociale, économique et politique / A World for the XX: Octave Maus and the Groupe des XX :a study of an artistic circle from a political, economical and social perspective

Goldman, Noémie 13 June 2012 (has links)
Notre thèse se concentre sur la question des mécanismes de restructuration du système du monde de l’art à Bruxelles à la fin du XIXe siècle. Nous cherchons à démontrer comment une nouvelle scène artistique construite autour du cercle des XX à Bruxelles, dont l’épanouissement sera pris en charge par l’animateur d’art Octave Maus, produit un art qui est influencé par les enjeux sociaux et politiques portés par un milieu défini de manière sociale, culturelle et générationnelle.<p>Nous avons ainsi voulu replacer le groupe des XX dans son contexte économique, politique et social. La diversification des approches et des sources était donc un aspect essentiel de nos recherches. Plusieurs voies d’approche ont été empruntées, telles que l’histoire culturelle, la sociologie de l’art, l’histoire du marché de l’art, l’analyse politique ainsi que l’étude de la visual culture. <p>Dans un premier temps, nous analysons l’émergence de la nouvelle scène artistique construite autour du groupe des XX. Nous débutons par une analyse plus monographique du parcours de Maus afin de définir les qualités essentielles de l’animateur d’art qu’il incarne, ainsi que son rôle dans la reconfiguration du milieu culturel. Ensuite, notre étude se concentre sur la mobilisation d’un public autour des salons et la mise en place d’un nouveau marché de l’art aux XX. <p>Dans un second temps, notre étude se penche sur les œuvres créées par les XX et sélectionnées par le public d’amateurs fidèles au groupe. Nous éclairons cette production artistique en y décelant les influences des questionnements et des prises de position sociales et politiques du public des XX, défini précédemment. L’analyse iconographique et stylistique des œuvres s’accompagne d’un travail sur ce milieu culturel, et particulièrement sur ses positions face aux débats sociaux de l’époque. Cette étude aboutit, d’une part, à une description approfondie du public des XX, et, d’autre part, à une meilleure compréhension de l’originalité de la production esthétique des artistes du groupe. /<p><p>This PhD thesis concentrates on the mechanisms by which the artistic world in Brussels was reorganized at the end of the 19th century. The research focuses on the places, institutions, publics, art markets and aesthetic developments that characterized the new artistic scene constructed around the “Salon des XX”. The purpose of this study is to demonstrate that this artistic circle, led by Octave Maus, produced an art influenced by social, political and economic issues. Another aim has been to analyze the public that defended the artists by studying its social, cultural and generational nature.<p>This thesis, which is divided into two parts, for the first time explores the circle of the XX in its economic, political and social environment. The diversification of sources and scientific methods was therefore an essential aspect of the research. Different methods were applied such as, for example, the cultural history, the sociology of art, the history of the art market, political sciences and the visual culture.<p>The first part of this study is about the emergence of a new artistic scene founded around the “Groupe des XX”. The first objective was to investigate the personal and professional path followed by Octave Maus, the manager of the XX, who played a major role in the evolution of the cultural world. Subsequently the research focuses on the mobilization of a particular public and the creation of a new art market around the XX’s exhibitions.<p>The second part of this thesis considers the works of art created by the artists of the “Groupe des XX” and chosen by the public for private collections. New light is shed on this artistic production by the study of the social and political position of the XX’s public, considered as a social group. Hence the iconographic and stylistic analysis of the works goes together with a study of the XX’s milieu, and in particular with its political action. The present thesis, and the method that aims to study the works in parallel with the public’s social nature, lead to a better understanding of the cultural milieu and, at the same time, of the originality of the XX’s artistic creation. <p><p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Manet après Manet : 1900-1960 : le spectre du moderne / Manet after Manet : 1900-1960 : the spectrum of modernity

Léglise, Matthieu 01 December 2018 (has links)
Cette thèse se propose de décomposer le spectre des commentaires critiques, historiques ou littéraires qui se sont projetés sur l'œuvre d'Édouard Manet dans la première moitié du XXe siècle, en regard de multiples contrepoints visuels. Cet «exercice de style méthodologique total» que permet Manet, selon les mots de Pierre Bourdieu, vise à rendre compte d'une réception mythique, monumentale et pourtant méconnue, tout en procédant en permanence à l'analyse réflexive de ses propres outils d'investigation. Par le prisme de ces présences posthumes très hétérogènes, souvent d'une grande violence, le but est de retracer la généalogie du concept narratif de «modernité» qui s'est déployé à partir d'Édouard Manet, en Europe et aux États-Unis, alors que son œuvre était simultanément défigurée en incarnation du classicisme national. Plus qu'une origine, Manet peut alors se définir comme un «carrefour» : un embranchement, à la puissance spéculaire considérable, d'idéologies, d'historicités et de projections fantasmagoriques. Ces analyses ont pour objet des réseaux très denses d'attraction, de répulsion, et de contamination entre différents systèmes d' énonciation dissonants, envisagés en regard des procédés déployés par Manet lui-même, dans le mouvement d'une œuvre à la fois profondément relationnelle et d'une radicale altérité. La problématique récurrente du fractionnement - dans la multiplicité de ses enjeux et de ses déterminations schizoïdes, du dualisme au fétichisme - forme le fil directeur de cet effort d'exhumation intellectuelle : est ici retracée en détail l'impossible tentative d'en finir avec un peintre qui ne cesse d'inquiéter une modernité constituée sur son nom. / The purpose of this dissertation is to decompose the spectrum of commentary, historical and literary, along with the multiple visual counterpoints, that were generated from the work of Édouard Manet in the first half of the 20th century. Manet allows for this « total methodological exercise », in Pierre Bourdieu's words, which endeavours to reckon with a mythical, monumental, yet mostly unknown reception, while continually conducting a reflexive analysis of its own investigative tools. Through the scope of these posthumous, heterogeneous and often extremely violent occurrences, the goal is to retrace the genealogy of the narrative concept of« modernity » which was uncoiled from the figure of Édouard Manet, in Europe and the United States, during a time when his work was simultaneously being distorted as an incarnation of national classicism. More than a point of origin, Manet can be defined as a « crossroad » : a powerful specular junction of ideologies, historicities and phantasmagorical projections. The abject of these analyses is the dense network of attraction, repulsion, and contamination that has been woven between the various and discordant systems of enunciation, studied in the light of processes set up by Manet himself, through a body of work both profoundly relational, yet radically alien. The recurrent question of fractioning, in its multiple issues and schizoid determinations - from dualism to fetishism - make up the guiding principle of this effort of intellectual exhumation; here are retraced in detail the impossible attempts that were made to do away with a painter who has time and again proven to be cause for concern to an idea of modernity created under his name.
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L’expérience des femmes bourgeoises dans les espaces publics et privés dans deux tableaux de Georgina de Albuquerque

de Oliveira Savoi, Camila 08 1900 (has links)
Cette étude porte sur la représentation de femmes bourgeoises par l’artiste brésilienne Georgina de Albuquerque (1885-1962), active durant la première moitié du 20e siècle. Appartenant elle-même à la bourgeoisie, Albuquerque était sensible aux réalités que vivaient ces femmes, notamment au début du 20e siècle, une époque marquée par d’importants changements qui ont entraîné une augmentation de la présence des femmes dans les centres urbains. Largement absente des livres d’histoire de l’art, Albuquerque avait pourtant réussi à se tailler une place importante dans le monde de l’art : parmi les reconnaissances obtenues de son vivant, elle était devenue la première femme à diriger l’École nationale des beaux-arts à Rio de Janeiro. M’appuyant sur des images et textes de l’époque, ainsi que sur les travaux d’historiennes de l’art telles que Ruth Iskin et Griselda Pollock afin de réfléchir à la « Femme nouvelle » ou aux espaces occupés par les femmes de la bourgeoisie, j’analyse les représentations du quotidien de ces femmes au sein de la société patriarcale. Je me penche ainsi sur deux scènes de genre, en mettant l’accent sur les espaces dans lesquels les femmes sont représentées : Coin de la rivière (vers 1926), où deux femmes se trouvent dans un espace public, et Jeunes femmes et ara (sans date), où l’on voit deux femmes dans un espace privé. Albuquerque dépeint les libertés acquises par les bourgeoises au début du 20e siècle, ainsi que les limites de ces libertés, se trouvant déchirées entre l’envie d’occuper pleinement leur place dans la société et les contraintes imposées par une culture patriarcale qui cherche à les cantonner au rôle de maîtresse de maison. Adoptant un style impressionniste qui lui permet de s’exprimer plus librement, Albuquerque représente l’amitié comme jouant un rôle essentiel pour surmonter ces défis, démontrant ainsi l’importance d’une sororité pour que les femmes puissent s’épanouir dans l’espace privé comme public. Albuquerque cultivait des liens d’amitié avec d’autres femmes dans sa propre vie, lesquels ont été importants pour le développement de sa carrière tout comme pour celles d’autres artistes femmes. L’étude de l’héritage artistique inestimable d’Albuquerque ouvre la voie pour faire sortir de l’obscurité cette remarquable artiste impressionniste brésilienne. / This study focuses on the representation of bourgeois women by Brazilian artist Georgina de Albuquerque (1885–1962), active in the first half of the twentieth century. As a member of this social class, Albuquerque was sensitive to the realities experienced by these women, particularly at the beginning of the twentieth century, a period marked by important changes that led to an increased presence of women in urban centers. Largely ignored by the history of art, Albuquerque succeeded in carving out an important place for herself in the artworld of her time: among the recognitions achieved during her lifetime, she became the first woman director of the National School of Fine Arts in Rio de Janeiro. My study brings together images and texts of the period, as well as the work of art historians such as Ruth Iskin and Griselda Pollock to think about representations of the “New Woman” and of the spaces in which women are represented within patriarchal society. I concentrate on two genre scenes, focusing on the spaces in which the women protagonists are depicted: River Corner (circa 1926), where two women are in a public space, and Young Women and Ara (no date), which shows two women in a private space. Albuquerque depicts the freedoms acquired by bourgeois women in the early 20th century – as well as the limits of those freedoms – as they struggle between the desire to fully occupy their place in society and the constraints imposed by a patriarchal culture that tries to limit them to the role of mistress of the house. Embracing an impressionist style that allows her to express herself more freely, Albuquerque portrays friendship as essential to overcoming these challenges, demonstrating the importance of sisterhood. This study underlines the importance of this sorority for women to achieve fulfillment in both the private and public spheres. Albuquerque cultivated this bond with other women in her own life, maintaining ties that were important to the development of her career as well as those of other female artists. Studying Albuquerque’s inestimable legacy opens the way to lifting this remarkable Brazilian impressionist artist from obscurity. / Este estudo tem como foco a representação da mulher burguesa pela artista brasileira Georgina de Albuquerque (1885-1962), atuante na primeira metade do século XX. Como integrante dessa classe social, Albuquerque foi sensível às realidades vividas por essas mulheres, principalmente no início do século XX, período marcado por importantes mudanças que levaram a uma maior presença feminina nos centros urbanos. Em grande parte ignorada pela história da arte, Albuquerque conseguiu conquistar um lugar de destaque no mundo artístico de seu tempo: entre os reconhecimentos alcançados em vida, está o de primeira mulher diretora da Escola Nacional de Belas Artes do Rio de Janeiro. O estudo reúne imagens e textos da época, bem como o trabalho de historiadoras da arte como Ruth Iskin e Griselda Pollock, para pensar as representações da "Nova Mulher" e os espaços de representação da mulher na sociedade patriarcal. Analiso duas cenas de género, centrando-me nos espaços em que as mulheres protagonistas são representadas: Canto do rio (cerca de 1926), onde duas mulheres se encontram num espaço público, e Moças e arara (sem data), que mostra duas mulheres num espaço privado. Albuquerque retrata as liberdades adquiridas pelas mulheres burguesas no início do século XX - bem como os limites dessas liberdades -, que se debatem entre o desejo de ocupar plenamente o seu lugar na sociedade e os constrangimentos impostos por uma cultura patriarcal que tenta limitá-las ao papel de dona de casa. Abraçando um estilo impressionista que lhe permite expressar-se mais livremente, Albuquerque retrata a amizade como essencial para ultrapassar estes desafios, demonstrando a importância da irmandade. Este estudo salienta a importância desta irmandade para que as mulheres se realizem tanto na esfera privada como na esfera pública. Albuquerque cultivou esse vínculo com outras mulheres em sua própria vida, mantendo laços que foram importantes para o desenvolvimento de sua carreira e de outras mulheres artistas. O estudo do valioso legado de Albuquerque abre caminho para tirar da marginalidade essa notável artista impressionista brasileira.

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