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Construções negativas em sateré-mawé

Carneiro, Denize de Souza 29 February 2012 (has links)
Cette dissertation présente une description et une analyse de la négation en sateré-mawé. Cette langue est parlée par les Sateré-Mawé, qui comptent une population de 10.477 (FUNASA, 2010) personnes et vivent dans la Terre Indigène Andirá-Marau, située à la devise des états de l'Amazone et du Pará. C‟est a partir des études de la Linguistique Descriptive et Tipologique, sous la perspective théorique du Fonctionnalisme Structurelle, principalement, de André Martinet (1964), Claude Hagège (1982), Gilbert Lazard (1994), Denis Creissels (2006 et 2010); et de Benveniste (1989 et 2005), Payne (1997) et Touratier (2007), que nous cherchons comprendre les mecanismes morfosyntaxiques de la négation en sateré-mawé. A partir de l'analyse d'un corpus constitué d‟énoncés négatifs selectionés dans des narratives orales, énoncées dans de différents contextes réels de communication, bien comme dans de divers textes écrits par des enseignants indigènes, nous constatons que la négation en sateré-mawé se réalise par l'emploi de différents morphèmes, à savoir: a) un morphème pour nier des déclarations assertives; b) un morphème employé pour nier des énoncés impératifs; c) un morphème employé pour nier des énoncés optatives. Encore dans le contexte de ce travail, nous présentons une analyse préliminaire de l'organisation de l‟énoncé au niveau enunciatif-hierarchique, à partir de laquelle nous constatons que la négation en sateré-mawé présente le trace inhérentement focal. / Esta dissertação apresenta uma descrição e análise da negação em sateré-mawé. Esta língua é falada pelos Sateré-Mawé, que somam uma população de 10.477 pessoas e vivem na Terra Indígena Andirá-Marau, situada na divisa dos estados do Amazonas e do Pará. A partir do arcabouço teórico dos estudos da Linguística Descritiva e Tipológica, sob a perspectiva teórica do Funcionalismo Estrutural, com base, principalmente, em André Martinet (1964), Claude Hagège (1982), Gilbert Lazard (1994), Denis Creissels (2006 e 2010); como também em Benveniste (1989 e 2005), Payne (1997) e Touratier (2007), buscamos compreender os mecanismos morfossintáticos da negação em sateré-mawé. A partir da análise de um corpus constituído pela seleção de enunciados negativos em narrativas orais, enunciadas em diferentes contextos reais de comunicação, como também em diversas narrativas escritas por falantes dessa língua, constatamos que a negação em sateré-mawé se realiza mediante o emprego de diferentes morfemas descontínuos, a saber: a) um morfema para negar enunciados assertivos; b) um morfema empregado para negar enunciados imperativos; um morfema empregado para negar enunciados optativos. Ainda no âmbito deste trabalho, apresentamos uma análise preliminar da organização do enunciado no nível enunciativo-hierárquico, a partir da qual constatamos que a negação em sateré-mawé apresenta o traço inerentemente focal. / Mestre em Linguística
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L’éveil politique de la société algérienne à travers révoltes, soumission, assimilation et nationalisme, 1830-1936 / The political awakening of Algerian society through revolts, submission, assimilation and nationalism.1830-1936

Gheziel, Abla 30 September 2015 (has links)
Plus de cinquante ans après son indépendance, l’histoire de l’Algérie coloniale est et, demeure toujours un sujet aussi douloureux et sensible des deux côtés de la Méditerranée. Au fur et à mesure de l’expansion coloniale française, les membres de la société de l’ex-régence d’Alger voient le mode de vie et leur statut changer. Et, ce en fonction des réformes et des dispositions de l’administration coloniale qui à la fois dut conduire une politique à deux niveaux: une politique pour les colons , les nouveaux habitants de l’Algérie, et une autre pour les indigènes qui malgré le fait que le Senatus consulte de 1865 leur ait accordé la citoyenneté, ils n’en restaient pas moins des sujets de seconde zone. A travers cette étude, nous proposons de suivre l’évolution et les facteurs qui ont contribué à l’éveil populaire des masses musulmanes durant la période qui s’étend de 1830 à 1936. Un champs d’études ayant pour cadre les révoltes populaires ; symbole de la résistance populaire des milieux ruraux, la notion de soumission qui reflète une position mitigée de la part des population qui vacille entre résistance et cohabitation face à l’administration militaire puis face à l’administration coloniale civile, Également la perception de la question de l’assimilation chez les Algériens musulmans et les Européens qui revêtit diverses interprétations à partir de la question du royaume arabe et du problème de la naturalisation. La question du nationalisme et la problématique de son existence ou non avant le débarquement des Français. Notre théorie est que tous ces facteurs ont aidé à l’éclosion du nationalisme, processus qui n’a pas suivi un développement linaire mais fut le résultat d’un cheminement complexe compte tenu des différents facteurs tels que le panislamisme, les retombées de la Première guerre mondiale et l’engagement des indigènes dans ce conflit qui à la base ne les concernait pas. Puis, entre les années 1920 et 1930, les formations politiques font leur apparition, intellectuels et réformistes musulmans s’affirment sur la scène politique et engage la confrontation avec l’administration coloniale et le gouvernement de la Métropole. Ainsi , la prise de conscience des masses musulmanes allaient se manifester et s’imposer en dépassant les différences des uns et des autres ; c’est à dire passer d’une pensée particulariste, d’un régionalisme à une pensée collective nationale : se reconnaitre dans une seule et unique identité nationale. / The political awakening of Algerian society through revolts, submission, assimilation and nationalism.1830-1936. More than fifteen years after his independence, Algerian colonial history is and stills always a painful and sensitive subject for the two sides of the Mediterranean Sea. As the French colonial expansion took place, members of society of former regency of Algiers see their way of living changing. And, this in function of reforms and measures of colonial administration which drive a two level policy: toward settlers’ policy; the new inhabitants of Algeria. And another one for indigenous whom still second zone citizen even if the ײSenatus consultײ of 1865 gives them citizenship. Throughout this study, we suggest to follow the evolution of these factors which contribute to the popular awakening of Muslim masses during the period between 1830 and 1936. It is a field of study which includes not only popular revolts, the symbol of rural resistance. But also the notion of submission reflecting à mixed position of populations between resistance and cohabitation with military administration first, then with civil colonial one after, thus the assimilation issue of Algerian Muslims and Europeans, which clothed various interpretations starting by the Arab Kingdom of Napoleon III and the problem of naturalization, and finally, the nationalism issue and the issue of its existence or not before the landing of French. Our theory is that all these features helped the hatching of nationalism, a process which did not follow a linear development but was the result of a complex path according to different factors such as Pan Islamism, the consequences of the WWI and the participation of the indigenous in this conflict which was not their conflict. Then, from 1920 and 1930, political groups appear; Muslim reformers and intellectuals assert themselves in political scene and engage the confrontation with the colonial administration and metropolitan government. Thus, the awareness of Muslim masses will appear and lead up on differences between people; in other move from individual or regional thinking towards a collective national thinking.
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La dimension indigène du MAS entre stratégie et culture partisane / MAS's indigenous dimension between strategie and party culture

Casen, Cécile 12 November 2012 (has links)
Evo Morales, leader du Movimiento al socialismo (MAS), arrive au pouvoir en décembre 2005. Sa victoire électorale, sans précédent depuis le retour de la démocratie (53 % des voix), acquiert une signification historique particulière du fait de son identification comme le premier président indigène bolivien. Le MAS se convertit en la première force politique du pays.Notre analyse se fonde sur deux études de terrain réalisées principalement à La Paz et à Sucre au moment de l'arrivée au pouvoir du MAS, puis alors que se tient l'Assemblée Constituante. Nous avons assisté à de nombreuses manifestations et événements politiques, réalisé des entretiens auprès de dirigeants sociaux, cadres du parti et militants de base ou responsables d'ONG. L'expérience du terrain a permis d'appréhender les « horizons du monde » des partisans du MAS ainsi que les « réseaux de concepts et de récits » (Daniel Cefaï) dans lesquels ils se meuvent.Comme la plupart des partis ethniques, le MAS présente toutes les caractéristiques d'un Parti-Mouvement (Benoît Rihoux). Issus de mouvements sociaux, sa légitimité repose sur son engagement à mettre en oeuvre les revendications dont ces derniers sont porteurs. Si l'analyse de ces liens génétiques le rapproche de nombreux autres partis en Bolivie et ailleurs, nous proposons de rendre compte des spécificités de cette articulation à partir d'une interrogation sur le rôle et l'influence de l'identité indigène en son sein.Pour cela, une distinction est établie entre, d'une part, la référence partisane à l'identité indigène et d'autre part, au-delà de cette revendication, la façon dont la fabrique partisane masiste est informée par la culture politique indigène. Cette double entrée inscrit notre travail dans la discussion qui entoure le statut épistémologique de l'identité indigène et en particulier le constructivisme. Le but de cette étude est de montrer que la dimension indigène du MAS ne renvoie pas seulement à une stratégie électorale mais également à une certaine façon de faire de la politique, dont il faut tenir compte si l'on veut saisir la singularité de ce parti. / Evo Morales, leader of the Movimiento al socialismo (MAS), came to power on december 2005. His electoral victory, unequaled since the transition to democracy (53% of votes), has acquired a particular historical significance from the fact he is identified as Bolivia's first indigenous President.This research is based on two field works, mainly in La Paz and Sucre. The first field work took place when the MAS came to power, the second when the Constitutional Assembly took place. This has involved going to many political events, such as demonstrations and meetings, interviewing social leaders, ONG's workers, cadre partisan as well as rank-and-file members of the party. The field work has enabled me to comprehend the MAS's followers perspectives, and the « chains of concepts and narrative » (Daniel Cefaï) in which they circulate.As most ethnical parties, the MAS shows all the features of a mouvement-party (Benoît Rihoux). Built up from social movements, its legitimacy is based on commitment to implement their claims. Although the analysis of those genetical links makes the MAS comparable to many other political parties in Bolivia and elsewhere, we propose to grasp the specificities of this articulation, starting from the question of the rôle and influence of indigenous identity in the party.A distinction is then made between the reference to the party's indigenous identity and, further, to the way in which the MAS's party-factory is shaped by the indigenous political culture. This double-entry places our research in a discussion about the epistemological status of indigenous identity and constructivism in particular.The purpose of this research is to show that the MAS's indigenous dimension is not only an electoral strategy but a proper way of being in politics, and this should be taken into consideration to get a clear idea of the singularity of this party.
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Direito ao desenvolvimento de comunidades indígenas no Brasil / Le droit au développement des communautés indigênes au Brésil

Anjos Filho, Robério Nunes dos 27 May 2009 (has links)
O presente trabalho versa sobre o direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas no Brasil, procurando identificar suas fontes, sujeitos e objeto. Para tanto, buscou-se inicialmente examinar o direito ao desenvolvimento no plano internacional, especialmente no que concerne à possibilidade da sua titularidade ser exercida por minorias e outros grupos vulneráveis. Posteriormente, ainda no âmbito do direito internacional, destacou-se a hipótese de as comunidades indígenas, como espécies de minorias, serem titulares de um direito ao desenvolvimento próprio, com características específicas, apontando-se as fontes, os legitimados passivos e o objeto desse direito. A seguir, verificou-se que todos os elementos do direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas também se encontram presentes no direito positivo brasileiro. No plano nacional, suas fontes principais são a Constituição de 1988, os tratados de direitos humanos incorporados à ordem jurídica interna com status supralegal e a legislação ordinária. Já a legitimidade passiva diz respeito ao estado brasileiro, às pessoas jurídicas e às pessoas físicas. Integram o objeto do direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas no Brasil os mesmos direitos que o compõem no âmbito internacional: a) o direito à autodeterminação indígena; b) o direito à manutenção da própria cultura; c) o direito à opção por um processo próprio de desenvolvimento; d) o direito ao território indígena e à utilização dos recursos naturais; e) o direito à participação; f) o direito à melhoria das condições econômicas e sociais; g) o direito à saúde; h) o direito à previdência social; i) o direito à educação; j) o direito à subsistência, ao trabalho e à obtenção de renda; k) o direito à cooperação. A maior parte dos direitos acima enumerados correspondem a discriminações positivas de natureza permanente. Finalmente, observou-se que o direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas não é absoluto, podendo entrar em colisão com outros direitos constitucionais, situação que deve ser solucionada pelos mecanismos adequados, anotando-se que quando for utilizada a técnica da ponderação de interesses há uma tendência no sentido de que a intensidade das limitações impostas aos bens ligados aos princípios do direito constitucional indigenista será menor do que aquela que incidirá sobre os bens que lhes forem opostos. / Le présent travail sagit du droit au développement des communautés indigènes au Brésil, surtout, de ses fondements, sujets et objet. Dabord, le droit au développement a été analysé dans le plan international, principalement la reconnaissance de ce droit aux minorités et aux groupes vulnérables. En suite, encore dans la perspective du droit internacional, on a remarqué lhypothèse des communautés indigènes, comme type de minorité, aient un droit au developpement propre, avec ses fondements, créanciers, débiteurs et objet typiques. Aprés, on a conclu que tous éléments du droit au developpment des communautés indigènes sont trouvés aussi dans le droit positif brésilien. En fait, au plan national, ses sources principaux sont la Constitution de 1988, les traités de droits de lhomme reconnus dans lordre juridique interne et la législation ordinaire. Les débiteurs du droit au développement sont à la fois lEtat bresilien, les personnes morales et les individus. L´objet du droit au développement au niveau nationale est aussi vaste quau niveau internacional, cest à dire: a) le droit à l autodétermination indigène; b) le droit à la préservation de sa culture; c) le droit de loption de se propre processus de développement; d) le droit au territoire indigène et à lexploration de ses ressources naturelles; e) le droit de participation; f) le droit à lamélioration de ses conditions sociaux et économiques; g) le droit à la santé; h) le droit à la Securité social; i) le droit à léducation; j) le droit à la subsistance, au travail e à lobtention de revenu; k) le droit à la coopération. La plupart de ces droits sont espèce de discriminations positives permanentes. Enfin, on a démontré que le droit au développement de communauté indigène nest pas absolu, donc il peut entrer en choc avec dautres droits constitutionels. Ce type de conflit est, en règle, solutionné par la technique de la pondération des intérêts. Dun ce cas, il y a une tendance de favoriser les droits constitucionels des indigènes.
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Poéticas que germinan entre la voz y la letra : itinerarios de la palabra a partir de las obras de Hugo Jamioy y Anastasia Candre / Poétiques qui germent entre la voix et la lettre : itinéraires de la parole à partir des œuvres de Hugo Jamioy et Anastasia Candre / Poetics that germinate between the voice and the letter : itineraries of the word from the works of Hugo Jamioy and Anastasia Candre

Vargas Pardo, Camilo 28 September 2019 (has links)
Cette recherche présente une lecture des textes poétiques de deux auteurs indigènes contemporains: Hugo Jamioy Juagibioy et Anastasia Candre Yamacuri. Dans leurs œuvres, ils évoquent des pratiques culturelles et des expressions rituelles des groupes ethniques auxquels ils s’identifient. Ce pourquoi cette étude établit des liens entre les textes poétiques et les contextes culturels où se déroule l’art verbal des camënstá et múruimuina, respectivement. Dans la première partie nous encadrons cette analyse dans une perspective conceptuelle, historiographique et critique dans le débat académique qui réfléchit sur l’incorporation des expressions littéraires de racine orale dans le domaine des études littéraires. La deuxième partie comprend deux chapitres à propos de l’œuvre de chaque auteur. Chaque chapitre expose une analyse qui se partage entre l’herméneutique littéraire et une approche documentaire et ethnographique des contextes rituels évoqués dans leurs œuvres. De cette façon, nous constatons que ces auteurs mettent en lumière la dignité de leurs langues maternelles, ainsi que les formes d’expression symbolique de leurs groupes ethniques vis-à-vis de la société majoritaire. De plus, leurs textes expriment des formes alternatives d’interprétation du monde à partir d’un exercice complexe de traduction qui constitue une poétique particulière. / This research focuses on two contemporary indigenous authors and their poetic texts: Hugo Jamioy Juagibioyand Anastasia Candre Yamacuri. In their work, these authors evoke cultural practices and ritual expressions ofthe ethnic groups which they identify with. Bridges between the poetic texts and the cultural areas where theCamëntsá and the Múrui-Muina verbal art exist, will be proposed. In the first part, I will analyze conceptually,historically and critically, the academic debate about literary expressions with oral roots that have beenincluded in the field of Literary Studies. The second part is divided in two pieces, each one focusing on one ofthe authors. An analysis between literary hermeneutics and ethnography on the ritual contexts and culturalpractices that the authors mention in their texts will be used. In celebrating in the society at large their ownnative language and the symbolic expressions of their ethnic groups, Candre’s and Jamioy’s texts propose aunique poetics based on a complex translation exercise, and an alternative interpretation of the world.
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The effect of mycorrhizal fungi associated with willows growing on marginal agricultural land

Pray, Thomas Joseph 12 1900 (has links)
No description available.
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« Communication communautaire » : pratiques médiatiques des communautés indigènes du nord-ouest argentin / “Community communication” : media practices of indigenous communities in Northwest Argentina

Toulemont, Herlène 02 July 2015 (has links)
Cette recherche s’inscrit dans le champ de la « communication communautaire ». Apparue dans les années 1970, cette notion a évolué sur des controverses, donnant ainsi naissance à des définitions plurielles voire contradictoires. Elle est tantôt associée à la communication pour le développement, tantôt à la communication citoyenne, alternative et populaire. Malgré cette polysémie, la quantité de médias qui se rangent sous cette appellation est en forte expansion. L’objectif est donc d’avancer dans la compréhension de la notion de communication communautaire au prisme des pratiques médiatiques de communautés indigènes. D’abord, d’un point de vue théorique, je réalise une revue critique de la genèse de cette notion et des controverses scientifiques sur lesquelles elle s’est construite, en fonction d’aires culturelles et de positions idéologiques. Ensuite, d’un point de vue empirique, j’analyse des pratiques médiatiques communautaires à partir d’un travail de terrain de type ethnographique réalisé dans sept communautés indigènes situées dans le nord-ouest argentin. Je démontre que leurs pratiques s’élaborent sur trois niveaux : a) intracommunautaire : vers la communauté elle-même, b) intercommunautaire : vers les autres communautés, et c) extracommunautaire : vers « l’extérieur », c’est-à-dire le reste de la société. Elles utilisent et combinent tous les moyens de communication qu’elles ont à disposition (radios VHF, radios FM et Internet) afin de se ré-approprier leur culture et leur identité, porter leurs revendications, développer leur territoire et nouer un dialogue avec l'opinion publique. Finalement, la démarche dialectique, théorique et empirique, m’amène à proposer un nouveau concept : la « communication communautaire indigène ». / The research is about “community communication”. Born in the 1970’s, this notion was developed from controversies, creating various definitions, sometimes even contradictory ones. It is sometimes associated to communication for development, communication for citizens, alternative or popular communications. Despite the polysemy, an increasing number of media refered themselves as “community media”. My aim is to make a better understanding of the notion of community communication, through indigenous communities’ media practices. First, from a theoretical perspective, I executed a critical genealogy of this notion and scientific controversies on which it was built, based on cultural areas and ideological positions. Then, from an empiric perspective, I analyzed media practices from an ethnographic field work carried out in seven different indigenous communities in Northwest Argentina. I demonstrated that their practices are developed on three levels: a) intra community: towards the community itself, b) inter community: towards other communities, and c) extra community: towards the “outside”, meaning the rest of the society. Communities use and combine all communication tools available (VHF radio, FM radio, and the Internet) in order to re-appropriate their culture and identity, express their claims, develop their territories and create a dialogue with the public opinion. At last, this dialectic approach, theoretical and empirical, leads me to introduce a new concept: “the indigenous community communication”.
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"Vamos lutar da forma que nós sabemos" : estudo etnográfico sobre a participação de representantes indígenas nos comitês de bacias hidrográficas no Brasil : os casos do comitê do Itajaí e do comitê São Francisco

Laigneau, Patrick January 2006 (has links)
Ce travail rend compte d’une tentative de construire un regard sur les comités de bassins hydrographiques depuis leurs frontières, selon une perspective inspirée de l’anthropologie post-coloniale. L’étude est centrée sur la participation de représentants des peuples indigènes dans ces comités de bassins, qui sont des instances délibératives chargées de l’élaboration de politiques de gestion de l’eau. Deux exemples sont abordés à partir d’une approche ethnographique : le cas du Comité Itajaí (Santa Catarina) et le cas du Comité du rio São Francisco. Dans le premier cas, une situation de conflit, l’absence des représentants indiens aux réunions du comité et la mobilisation, de leur part, d’autres modes de défense de leurs intérêts, nous conduisent à considérer le Comité comme un espace social où coexistent un ensemble de narrations en tension les unes avec les autres. La narration des indiens, dans ce contexte, s’inscrit de façon performative dans la narration dominante du Comité. Dans le second cas, les représentantes des peuples indigènes revendiquent leur incorporation au sein du Comité São Francisco en des termes différents par rapport aux autres membres. L’analyse de ce processus d’intégration est réalisée non pas en terme d’entrée des indiens dans un groupe préexistant, mais à partir d’une conception des comités de bassins comme espaces constitués de manière performative à travers de l’action de leurs membres. / Este trabalho consiste na construção de um olhar sobre os comitês de bacias hidrográficas a partir de suas margens, numa perspectiva oriunda da antropologia póscolonialista. O foco está colocado na participação de representantes dos povos indígenas nesses comitês, que são instâncias deliberativas de elaboração de políticas de gestão da água. Dois exemplos são tratados a partir de um estudo etnográfico: o caso do Comitê do Itajaí (Santa Catarina) e o caso do Comitê do rio São Francisco. No primeiro caso, uma situação de conflito, a ausência dos representantes indígenas nas reuniões do Comitê do Itajaí e a mobilização por eles de outros modos de defender seus interesses, conduzem a conceber o Comitê como espaço social onde coexistem um conjunto de narrativas em tensão umas com as outras. A narrativa dos índios, neste contexto, inscreve-se de modo performático na narrativa dominante do Comitê do Itajaí. No segundo caso, os representantes dos povos indígenas reivindicam sua incorporação ao Comitê São Francisco em termos diferenciados dos demais membros. A análise deste processo de incorporação é realizada, não em termos de entrada dos índios num grupo preexistente, mas a partir de uma concepção dos comitês de bacias como espaços performaticamente constituídos pela atuação de seus membros.
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Extintos no discurso oficial, vivos no cenário social: os índios do Ceará no período do Império do Brasil – Trabalho, terras e identidades indígenas em questão / Disparue dans le discours officiel, vivant sur la scène sociale: les indiens de Ceara dans la période de l'Empire au Brésil - travail, la terre et les identités autochtones en question

Xavier, Maico Oliveira January 2015 (has links)
XAVIER, Maico Oliveira. Extintos no discurso oficial, vivos no cenário social: os índios do Ceará no período do Império do Brasil – Trabalho, terras e identidades indígenas em questão. 2015. 304f. – Tese (Doutorado) – Universidade Federal do Ceará, Programa de Pós-graduação em História Social, Fortaleza (CE), 2015. / Submitted by Márcia Araújo (marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2015-12-15T12:12:27Z No. of bitstreams: 1 2015_tese_moxavier.pdf: 3640784 bytes, checksum: f4649845b0e57b1b9ae201816356663a (MD5) / Approved for entry into archive by Márcia Araújo(marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2015-12-15T17:20:20Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2015_tese_moxavier.pdf: 3640784 bytes, checksum: f4649845b0e57b1b9ae201816356663a (MD5) / Made available in DSpace on 2015-12-15T17:20:20Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2015_tese_moxavier.pdf: 3640784 bytes, checksum: f4649845b0e57b1b9ae201816356663a (MD5) Previous issue date: 2015 / A presente tese reflete um esforço no sentido de perceber e compreender as estratégias das autoridades provinciais do Ceará para elidir as culturas dos povos indígenas e inseri-los de vez à sociedade cearense, objetivando torná-los dependentes das instituições oficiais e do poder dos potentados locais. Tendo suas identidades ignoradas e estigmatizados pelo discurso dos administradores e intelectuais oitocentistas, os índios estabeleceram táticas, com bastante cautela, para não perder totalmente suas áreas territoriais e suas práticas culturais. Mesmo com os planos de dominação do Estado brasileiro, diante das medidas de controle dos dirigentes provinciais e do poder dos proprietários, não aceitavam inertes a condição de subalternos. Examinando com atenção e de forma crítica os documentos do século XIX, constata-se que protagonizaram acontecimentos marcantes, tomaram decisões e fizeram escolhas embora em situações difíceis. Apesar de viverem sob pressões e ameaças, muitos se recusavam a aceitar facilmente o rígido disciplinamento do trabalho pensado pelas elites governantes. Ademais, nesse período em que os moradores não indígenas e câmaras municipais buscavam consumar a usurpação das terras indígenas, vários índios resistiram e continuaram habitando essas áreas, buscando garantir principalmente a sobrevivência física e, na medida do possível, étnico-cultural. Embora tenham sido considerados extintos na segunda metade do século XIX, na prática, enquanto sujeitos históricos e étnico-culturais, não deixaram de existir, diferenciando-se dos demais segmentos da sociedade cearense. Assim, este estudo surge da necessidade de compreender esse processo histórico. Se a versão de inexistência indígena que hoje se difunde passou a ser constituída no Ceará provincial, é neste contexto que se acham as raízes que dão legitimidade a ação dos índios que, na contemporaneidade, buscam a autoafirmação como tais, exigindo seus direitos envolvidos por um sentimento de indianidade. / Cette thèse reflète un effort pour percevoir et comprendre les stratégies des autorités provinciales du Ceará pour contourner les cultures des populations indigènes et de les insérer définitivement à la société du Ceará, visant à les rendre dépendantes des institutions officielles et du pouvoir de potentats locaux . Après avoir leurs identités ignorées et stigmatisés par le discours des dirigeants et des intellectuels du XIXe siècle, les indigènes ont établi des tactiques, avec prudence, pour ne pas perdre complètement leurs zones territoriales et leurs pratiques culturelles. Même avec les plans de domination de l'Etat brésilien, face aux mesures de contrôle des dirigeants provinciaux et le pouvoir des propriétaires, les indigènes n’acceptaient pas inerte la condition subalterne. Examinant attentivement et de façon critique les documents du XIXe siècle, il semble que ceux-là ont joué des événements majeurs, pris des décisions et fait des choix, même dans des situations difficiles. Bien qu'ils vivent sous la pression et les menaces, beaucoup d’entre eux ont refusé d'accepter facilement la dure discipline de travail conçue par les élites dirigeantes. En outre, dans cette période où les résidents non-indigènes et les municipalités cherchaient à consommer le vol des terres indigènes, plusieurs indigènes ont résisté et continué à habiter ces zones, cherchant principalement à assurer la survie physique et, dans la mesure du possible, ethno-culturelle. Bien qu'ils aient été considérés comme éteints dans la seconde moitié du XIXe siècle, dans la pratique, en tant que sujets historiques et ethno-culturels, ils n’ont pas cessé d'exister, de se différencier des autres segments de la société du Ceará. Cette étude découle de la nécessité de comprendre ce processus historique. Si la version de l'absence indigène qui se diffuse aujourd'hui a commencé à être construite dans le Ceará provinciale, est dans ce contexte que nous trouvons les racines qui donnent une légitimité à l'action des indigènes qui, dans la contemporanéité, cherchent l'auto-affirmation en tant que telle, qui réclament leurs droits impliqués par un sentiment d'indianité.
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"Vamos lutar da forma que nós sabemos" : estudo etnográfico sobre a participação de representantes indígenas nos comitês de bacias hidrográficas no Brasil : os casos do comitê do Itajaí e do comitê São Francisco

Laigneau, Patrick January 2006 (has links)
Ce travail rend compte d’une tentative de construire un regard sur les comités de bassins hydrographiques depuis leurs frontières, selon une perspective inspirée de l’anthropologie post-coloniale. L’étude est centrée sur la participation de représentants des peuples indigènes dans ces comités de bassins, qui sont des instances délibératives chargées de l’élaboration de politiques de gestion de l’eau. Deux exemples sont abordés à partir d’une approche ethnographique : le cas du Comité Itajaí (Santa Catarina) et le cas du Comité du rio São Francisco. Dans le premier cas, une situation de conflit, l’absence des représentants indiens aux réunions du comité et la mobilisation, de leur part, d’autres modes de défense de leurs intérêts, nous conduisent à considérer le Comité comme un espace social où coexistent un ensemble de narrations en tension les unes avec les autres. La narration des indiens, dans ce contexte, s’inscrit de façon performative dans la narration dominante du Comité. Dans le second cas, les représentantes des peuples indigènes revendiquent leur incorporation au sein du Comité São Francisco en des termes différents par rapport aux autres membres. L’analyse de ce processus d’intégration est réalisée non pas en terme d’entrée des indiens dans un groupe préexistant, mais à partir d’une conception des comités de bassins comme espaces constitués de manière performative à travers de l’action de leurs membres. / Este trabalho consiste na construção de um olhar sobre os comitês de bacias hidrográficas a partir de suas margens, numa perspectiva oriunda da antropologia póscolonialista. O foco está colocado na participação de representantes dos povos indígenas nesses comitês, que são instâncias deliberativas de elaboração de políticas de gestão da água. Dois exemplos são tratados a partir de um estudo etnográfico: o caso do Comitê do Itajaí (Santa Catarina) e o caso do Comitê do rio São Francisco. No primeiro caso, uma situação de conflito, a ausência dos representantes indígenas nas reuniões do Comitê do Itajaí e a mobilização por eles de outros modos de defender seus interesses, conduzem a conceber o Comitê como espaço social onde coexistem um conjunto de narrativas em tensão umas com as outras. A narrativa dos índios, neste contexto, inscreve-se de modo performático na narrativa dominante do Comitê do Itajaí. No segundo caso, os representantes dos povos indígenas reivindicam sua incorporação ao Comitê São Francisco em termos diferenciados dos demais membros. A análise deste processo de incorporação é realizada, não em termos de entrada dos índios num grupo preexistente, mas a partir de uma concepção dos comitês de bacias como espaços performaticamente constituídos pela atuação de seus membros.

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