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Évaluation des modalités d'intégration d'un dentiste dans une équipe multidisciplinaireBergeron, Daniel 04 1900 (has links)
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Étude de l'improvisation dans le cadre d'une collaboration interprofessionnelle selon une perspective de sensemaking : le cas d'une équipe d'événementielMadiot, Laura 08 1900 (has links)
Ce mémoire universitaire provient de la volonté suivante : découvrir comment les différent·es professionnel·les de l’événementiel, expérimentant l’imprévu quotidiennement, arrivent à faire face à l’inattendu sans grande difficulté apparente. Ce questionnement, nourri par mes intérêts professionnels, m’a amenée à m'interroger plus précisément sur le sujet. Pour ce faire, cette recherche propose une revue de la littérature élaborée autour de deux concepts, l’improvisation et la collaboration interprofessionnelle, mis en perspective par un cadre théorique portant sur le sensemaking. Les résultats apportés par cette étude sont doubles. Ils permettent dans un premier temps de poursuivre les recherches déjà menées sur les concepts mobilisés en abordant cette fois un contexte organisationnel nouveau. En accord avec les définitions existantes sur l'improvisation, trois ressources permettant aux planificateurs d’improviser ont d’ailleurs été identifiées : le guide de coordination, les conditions de la flexibilité des rôles ainsi que le processus d'enactment. De surcroît, par l’exploration de ces trois ressources, cette recherche permet dans un second temps d’identifier des dynamiques nouvelles issues de l’association des concepts d’improvisation, de collaboration interprofessionnelle et de sensemaking. Entre autres, nous avons pu découvrir qu’un objet-frontière peut faire office de ressource pour l’improvisation et qu’il doit, pour cela, être compréhensible par tous les membres de la collaboration ; les conditions favorables à la conduite d’une collaboration interprofessionnelle influent également sur la gestion de l’improvisation ; et enfin, la production de sens face à l’inattendue varie en fonction de la profession de chaque membre de la collaboration. L'ensemble de ces résultats, ainsi que l'étude d'un contexte organisationnel inexploré proposent quelques pistes d'études à approfondir par la suite. / This university research comes from the desire of discovering how the various professionals in the event industry, who experience the unexpected daily, manage to cope with the unexpected easily. This curiosity, fueled by my professional interests, made me wondering more precisely on the topic. In order to bring some answers, this research offers a review of the literature developed around two concepts: improvisation and interprofessional collaboration, put into perspective by a theoretical framework on sensemaking. The results of this study are twofold. First of all, they allow us to continue the studies already carried out on concepts used by addressing a new organizational context. In accordance with the existing definitions of improvisation, three resources enabling planners to improvise have been identified: the coordination guide, the conditions of roles' flexibility, and the enactment process. Moreover, by the exploration of these three resources, this research enables, in a second step, to identify new dynamics resulting from the association of the concepts of improvisation, interprofessional collaboration, and sensemaking. Among other things, we have discovered that a boundary object can be used as a resource for improvisation and this is why all the members of the collaboration must be able to understand it; the conditions that are favorable to the conduct of interprofessional collaboration also influence the management of improvisation ; finally, the sensemaking production in unexpected situations varies according to the profession of each member of the collaboration. All these results, as well as the study of an unexplored organizational context, provide various avenues for further studies.
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Apprendre ensemble : attitudes des étudiants en médecine envers la pratique collaborative suite à un cours d’éducation interprofessionnelle impliquant un patient-formateurChiniara, Lyne 04 1900 (has links)
Les cours d’éducation interprofessionnelle (IPE) permettent de cultiver la pratique collaborative, composante intégrante et contemporaine de la prestation optimale des soins aux patients. Ce projet de recherche a pour but d’explorer si un cours d’IPE utilisant, entre autre, un atelier interprogramme et la rétroaction d’un tandem composé d’un patient partenaire à profil formateur et d’un professeur, influence les attitudes des étudiants en médecine envers l’IPE, ainsi que le développement des habiletés de communication et de collaboration. Quarante-six de 250 étudiants en troisième année de médecine ayant participé au cours ont rempli le questionnaire Readiness of Health Care Students for InterProfessional Learning Scale. Près de 90% de ces étudiants démontrent une attitude positive envers l’IPE. L’analyse qualitative de plus de 1500 commentaires écrits de 223 étudiants en médecine à partir d’un questionnaire d’évaluation du cours a démontré que ceux-ci perçoivent une amélioration de leurs habiletés de communication et de collaboration, une confiance accrue en leurs compétences et globalement une meilleure compréhension des rôles et responsabilités des professionnels. Des facteurs influençant leurs attitudes et croyances, ainsi que les barrières à l’IPE émergent de l’analyse, tels que l’importance d’un respect mutuel et de l’abolition des préjugés envers les autres professions pour la réussite de l’IPE. En participant à ce cours d’IPE, les étudiants de l’Université de Montréal ont une opportunité exceptionnelle de s’initier à la pratique collaborative en partenariat de soins avec le patient. Les barrières à la participation des étudiants de médecine à la recherche pédagogique sont discutées et des pistes de solution pour rehausser leur intérêt dans le futur sont présentées. / Interprofessional education (IPE) courses help cultivate collaborative practice, an essential aspect of contemporary health care delivery that improves patient care. The goal of this study is to explore if an IPE course, using an interprogram workshop and retroaction by a tandem comprised of a patient-partner with an instructor profile and of a teacher, an innovative approach initiated by the Université de Montréal, influences medical students’ attitudes towards IPE and allows developing communication and collaborative skills. Forty-six of the two hundred and fifty medical students participating in the course filled out the Readiness of Health Care Students for InterProfessional Learning Scale. A positive attitude towards IPE is found in the vast majority of students («teamwork and collaboration» section: 88.9±5.8% of student answers = agree/completely agree). Qualitative analysis of more than 1500 written comments made by students showed that students perceived an improvement in their communication and collaboration skills, as well as their confidence in those skills. Overall, they had better understanding of professional roles and responsibilities. Factors influencing their attitudes and beliefs, as well as barriers to IPE, emerged from the analysis; the importance of respect and abolishing prejudices in order to succeed at IPE were raised. By participating to this IPE course, medical students of Université de Montréal have an exceptional opportunity to familiarize themselves with health care involving partnership with patients and collaborative practice. A discussion of barriers for the participation of medical students in pedagogical research and possible solutions to enhance their interest in the future are provided.
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Comparaison de la pérennité de l'intention des professionnels de la santé d'avoir des conversations dans les cas de maladies graves après avoir été formés à une approche interprofessionnelle ou une approche individuelle : un essai randomisé par grappesAsmaou Bouba, Dalil 18 April 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 17 avril 2024) / Alors que certaines études font état des effets positifs du développement professionnel continu (DPC) sur les comportements cliniques des professionnels de santé, peu de travaux abordent la pérennité de ces effets ainsi que les types d'approches qui pourraient améliorer cette pérennité. Notre objectif était de comparer la pérennité de l'intention des professionnels de santé d'avoir des conversations avec les patients dans les cas de maladies graves, après une formation selon une approche interprofessionnelle ou une approche individuelle. L'analyse secondaire d'une revue systématique, portant sur les effets des réunions et ateliers de formation continue sur la pratique des professionnels de santé et leurs résultats en matière de soins de santé, nous a permis de mieux nous imprégner du sujet en circonscrivant notre recherche à la pérennité de ces effets. Nous avons effectué un essai clinique randomisé en grappes avec des mesures immédiatement (T1), à 1 an (T2) et à 2 ans (T3) après l'intervention dans des cliniques de soins primaires au Canada et aux États-Unis. Nous en rapportons les résultats selon les lignes directrices CONSERVE (2021). Les cliniques ont été assignées au hasard à une formation en équipe interprofessionnelle (intervention) ou à une formation individuelle (comparateur). Notre principal résultat d'intérêt, l'intention des professionnels de santé d'avoir des conversations dans les cas de maladiegrave, ainsi que les variables psychosociales associées (norme sociale, norme morale, croyances sur les conséquences et croyances sur les capacités) ont été mesurées à l'aide du questionnaire DPC-Réaction. Les données ont été collectées à l'aide de questionnaires auto-administrés aux 3 temps après la formation(T1, T2 et T3). Des analyses statistiques bivariées et multivariées ont été réalisées à l'aide d'un modèle linéaire mixte avec effet temps, avec un terme d'interaction entre le temps et le bras. Les 373 participants étaient âgés en moyenne de 35 à 44 ans et 79 % étaient de sexe féminin aux trois temps de l'étude. Sur une échelle de 1 à 7, à T1, l'intention moyenne était de 5.36 (SD 0.18) pour le bras interprofessionnel et de 5.33 (SD 0.20) pour le bras individuel. À T2, elle était de 4.87 (SD 0.21) et 4.94 (SD 0.23) respectivement dans les bras interprofessionnels et individuels. À T3, elle était de 4.59 (SD 0.21) dans le bras interprofessionnel et de 5.14 (SD 0.24) dans le bras individuel. La différence de moyenne d'intention entre les deux bras d'étude était de 0,02 (IC -0,26 à 0,31), -0,07 (IC -0,49 à 0,34), -0,55 (-1,00 à -0,10) à T1, T2 et T3 respectivement, avec une valeur p de 0.01 à T3. La valeur p de l'interaction entre le bras d'étude et le temps était 0.048. En conclusion, l'intention des professionnels de santé d'avoir des conversations dans les cas de maladie grave était plus élevée dans le bras individuel à un an et deux ans. Il existait une différence significative à deux ans à la faveur de la formation en individuel. L'approche de formation interprofessionnelle ne semblait pas plus pérenne que l'approche individuelle 2 ans après la formation. Nos résultats pourraient contribuer à l'amélioration du développement professionnel continu et de fait, de la qualité de l'offre de soins. / While some studies report the positive effects of continuing professional development (CPD) on clinical behavior, few address the sustainability of these effects as well as the types of approaches that could improve this sustainability. Our aim was to evaluate the sustainability of healthcare professionals' intention to have serious illness conversations with patients after training using a team-based approach compared to after training using an individual-focused approach. A secondary analysis of a systematic review on the effects of continuing education meetings and workshops on healthcare professionals' practice and healthcare outcomes enabled us to gain a better understanding of the subject by focusing our research on the sustainability of these effects. We conducted a cluster randomized clinical trial with measurements immediately (T1), at 1 year (T2) and at 2 years (T3) after the intervention in 42 primary care clinics in Canada and the United States. Results are reported according to CONSERVE (2021) guidelines. Clinics were randomly assigned to either interprofessional team training (intervention) or individual training (comparator). Our primary outcome of interest, healthcare professionals' intention to have serious illness conversations, and psychosocial variables associated with intention (social norm, moral norm, beliefs about consequences, and beliefs about abilities), were measured at the three time points using the CPD-Reaction questionnaire. Data were collected using self-administered questionnaires. Bivariate and multivariate statistical analyses were performed using a linear mixed model for each time point with an interaction term between time point and arm. The average age of the 373 participants was 35-44 years, and 79% were women at each study time point. On a scale of 1 to 7, at T1 the mean intention was 5.36 (SD 0.18) for the interprofessional arm and 5.33 (SD 0.20) for the individual arm. At T2, it was 4.87 (SD 0.21) in the interprofessional arm and 4.94 (SD 0.23) in the individual arm. At T3, it was 4.59 (SD 0.21) in the interprofessional arm and 5.14 (SD 0.24) in the individual arm. The difference in mean intention between the two study arms was 0.02 (CI -0.26 to 0.31), -0.07 (CI -0.49 to 0.34), and -0.55 (-1.00 to -0.10) at T1, T2 and T3 respectively, with a p-value of 0.01 at T3. The p-value for the interaction between study arm and time point was 0.048. In conclusion, healthcare professionals' intention to have conversations in cases of serious illness was higher in the individual-focused arm at one and two years. There was a significant difference at two years in favor of individual-focused training. The team-based training approach does not seem more sustainable than the individual-focused approach 2 years after training. Our results could contribute to improving continuing professional development and, in fact, the quality-of-care provision.
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La description de la pratique interprofessionnelle centrée sur le patient au cours de la trajectoire de soins en oncologieBilodeau, Karine 03 1900 (has links)
Les orientations ministérielles du Québec encouragent une pratique interprofessionnelle centrée sur le patient (ICP), au cours de la trajectoire de soins, pour soutenir les patients diagnostiqués d’un cancer. Cette pratique assure une meilleure communication entre les professionnels et la sécurité des patients, et améliore les soins et l'accès aux services (Santé Canada, 2010). Cependant, les études rapportent généralement les perceptions des professionnels en regard des soins et des services et informent sur les facteurs organisationnels, procéduraux et relationnels liés à cette pratique. Considérant l’importance de celle-ci, il semble nécessaire de la documenter selon les perceptions de patients, de proches et de professionnels dans un contexte réel de soins. L’étude avait pour but de décrire la pratique ICP au cours de la trajectoire de soins en oncologie. Pour soutenir cette description, l’adaptation du cadre de référence Person centred nursing framework (PCNF) de McCormack et McCance (2010) a été réalisée en incluant l’interprofessionnalité, telle que définie par Couturier (2009) et utilisée.
Une étude qualitative de cas multiples a été réalisée auprès de deux équipes interprofessionnelles d’un centre hospitalier universitaire de la région de Montréal. L’échantillon (N=31) était composé de 8 patients, 3 proches, 18 professionnels et 2 gestionnaires. Vingt-huit entrevues ont été réalisées ainsi que 57,6 heures d’observation d’activités cliniques auxquelles participait le patient (ex., rendez-vous, traitement). Les résultats suggèrent que la pratique ICP des équipes est empreinte d’un dualisme de cultures (culture centrée sur le traitement versus culture davantage centrée sur le patient). De plus, les équipes étudiées ont présenté une pratique ICP fluctuante en raison de l’influence de nombreux facteurs tels le « fonctionnement de l’équipe », l’« environnement physique » et le « positionnement » des patients et des professionnels. Les résultats ont aussi suggéré que le déploiement des équipes de soins se fait à intensité variable au cours de la trajectoire. Il a été soulevé que les patients ont pu faire l’expérience d’une pratique ICP changeante, de bris dans la continuité des soins et de transition difficile entre les différentes périodes de la trajectoire. De plus, la description d’une pratique ICP souhaitée par les patients, leurs proches et les professionnels propose un accompagnement respectant le rythme du patient, sans prédominance des valeurs du professionnel ainsi qu’une assiduité dans la collaboration des membres de l’équipe.
Cette étude suggère que les sciences infirmières peuvent ajouter aux connaissances interprofessionnelles actuelles en utilisant une perspective centrée sur le patient, perspective cohérente avec ses valeurs disciplinaires. De plus, de nombreuses pistes de réflexion sont proposées pour la pratique, la recherche, la gestion et la formation. / The ministerial orientations drawn up by the Quebec government promote the concept of interprofessional patient-centred practice (IPPC) throughout the care trajectory to support patients who have been diagnosed with cancer. That form of practice improves communication between professionals and patients’ sense of security, as well as improving care and access to services (Health Canada, 2010). However, studies generally report professionals’ perceptions of care and services and provide information on organizational, procedural and relationship factors connected to that practice. It is necessary to document this important practice based on the perceptions of patients, family members and professionals in a real context of care. This study was designed to describe IPPC practice throughout the trajectory of oncology care. The Person Centred Nursing Framework (PCNF) of McCormack and McCance (2010) was adapted by integrating interprofessionality, as defined by Couturier (2009), and used to support that description.
A qualitative study of multiple cases was conducted with two interprofessional teams at a teaching hospital in the Montreal region. The sampling (N=31) consisted of 8 patients, 3 family members, 18 professionals and 2 managers. Twenty-eight interviews were conducted, as well as 57.6 hours of observation of clinical activities in which patients were participating (e.g. appointments, treatments). The results suggest that the teams’ IPPC practice reflected a duality of cultures (treatment-centred culture versus patient-centred culture). In addition, the IPPC practice of teams in the study fluctuated due to the influence of many factors, such as “how the team works,” “the physical environment” and the “stance” of patients and professionals. The results further suggested that the deployment of healthcare teams varied in intensity over the trajectory. The point was raised that patients experienced a variable IPPC practice, breakdowns in continuity of care, and difficult transitions between different periods in the trajectory. In addition, the description of the IPPC practice that patients, their family members and professionals would like to see suggests a form of accompaniment that would follow the patient’s own pace, without imposing professionals’ values, with assiduous collaboration from members of the team.
This study suggests that nursing could advance current interprofessional knowledge by taking a patient-centred perspective, a perspective consistent with values in this discipline. In addition, many avenues for further reflection are put forward in terms of practice, research, management and training.
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Le rôle de l’infirmière de première ligne quant aux troubles mentaux courants dans un contexte interprofessionnel : une étude de cas multiplesCharron, Maude 08 1900 (has links)
Problématique : Au Québec, les troubles anxieux et dépressifs touchent près d’une personne sur cinq au cours de leur vie. Elles consultent majoritairement dans les services de première ligne (SPL) qui sont souvent dispensés en collaboration interprofessionnelle, mais qui ne semblent pas répondre efficacement à leurs besoins. Le rôle optimal (RO) infirmier permet d’intervenir lors du continuum de services. Un écart entre les rôles réels (RR) et le RO des infirmières semble s’observer dans les SPL. But : Décrire et analyser le RR de l’infirmière lors de la prestation des soins aux personnes atteintes de troubles dépressifs et anxieux dans les équipes multiprofessionnelles de première ligne. Méthodologie : 15 professionnels de la santé (infirmières [n=9], autres [n=6]) dans deux milieux de SPL ont participé à cette étude de cas multiples qualitative. Résultats : Trois catégories de facteurs influencent l’écart entre les RR et le RO des infirmières, soit les facteurs liés : 1) à l’équipe, 2) à la clientèle et 3) aux infirmières. La formation du RO des infirmières influence également l’écart. L’approche typiquement holistique et non stigmatisante des infirmières ainsi que la réduction de l’écart entre les RR et le RO semblent optimiser la prise en charge des TMC dans les SPL. Conclusion : Cette recherche met en lumière les facteurs pour réduire l’écart entre les RR et le RO. La formation des professionnels et l’organisation du travail dans le milieu clinique devrait mettre l’accent sur la collaboration interprofessionnelle, maximisant ainsi la pratique des professionnels selon leurs RO. / Problematic: In Québec, anxiety and depressive disorders affect nearly one in five people in their lives. They mainly consult in primary care services which are often provided in interprofessional collaboration but does not seem to succeed to effectively meet their needs. The optimal role allows nurses to intervene throughout the care plan. A difference between the nurse’s actual and optimal roles seems to be observed in the primary care services. Purpose: To describe and analyze the nurse’s actual roles in primary care multiprofessional teams during the delivery of care to people with depressive and anxiety disorders. Methods: 15 healthcare professionals (nurses [n=9], others [n=6]) in two primary care service environments participated in this qualitative multiple case study. Results: Three categories of factors influence the difference between the nurses’ actual and optimal roles: 1) the team, 2) the customer and 3) the nurses. Nurse’s training on the optimal role also influences the gap. The typical nurse’s holistic approach and the nurse’s actual role approaching the optimal role seem to contribute to primary care services in mental health. Conclusion: University training for health professionals and the organization of work in the clinical setting should focus on interprofessional collaboration, maximizing the contribution of optimal role. This research highlights the factors to reduce the gap between the nurse’s actual and optimal roles.
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Validation d’une pratique avancée en ergothérapie pour la thérapie de la mainLaliberté, Mélissa 08 1900 (has links)
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Interactions entre les professionnels d'une équipe de soins intensifs : les déterminants influençant la collaborationDubé, Jean-Nicolas 05 1900 (has links)
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Perceptions des résidents en médecine d'urgence suite à l'obtention d'une rétroaction multisources: de l'information différente, pertinente et utileCastonguay, Véronique 12 1900 (has links)
Dans un monde où les résidents sont continuellement évalués par les médecins, ce projet de recherche explore la perception de résidents en médecine d'urgence suite à l'obtention d'une rétroaction multisources provenant de médecins enseignants, d'infirmiers avec qui ils ont travaillé et de patients qu'ils ont soignés. Dans une urgence d'un centre universitaire tertiaire, dix résidents ont pris part à un processus de rétroaction multisources. Trois mois après cette intervention, ils ont participé à des entrevues semi-structurées visant à explorer leur perception de ce processus de rétroaction. Une analyse qualitative a permis de constater la valeur que peut avoir cette procédure pour la formation des résidents. Étant donné que les médecins qui enseignent à l'urgence offrent des rétroactions portant majoritairement sur l'expertise médicale, la rétroaction multisources permet d'offrir de la rétroaction sur un plus grand nombre de compétences (gestion, communication, collaboration, professionnalisme). La majorité des résidents affirment avoir modifié certains comportements ou façons de faire après l'obtention de cette rétroaction. L'information provenant des infirmiers et des patients s’avère être crédible, pertinente, mais surtout, les résidents jugent utile d'obtenir cette information dans leur formation en médecine d'urgence. / In a world where residents are continuously assessed by physicians, this present study explored
residents’ perceptions of multisource feedback provided by their teaching physicians, nurses with
whom they have worked, and patients they have treated. In the emergency department of a
tertiary-care university hospital, ten emergency medicine residents participated in a multisource
feedback intervention. Three months later, they participated in semi-structured group and
individual interviews on their perception of the intervention. The qualitative analysis of these
interviews shows the evident potential of using multisource feedback in resident formation.
While physicians focused primarily on medical expertise, nurses and patients addressed many
others competencies (management, communication, collaboration, professionalism). Residents
concluded that obtaining feedback from nurses and patients was acceptable and useful in their
training. Residents received information they found helpful, and the great majority of them
reported having modified certain behaviours after obtaining this feedback. Multisource feedback
appeared as an acceptable, credible and useful option for the assessment of medical competencies
other than medical expertise in emergency residents.
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Effet de l’environnement de simulation sur le travail d’équipe et la charge cognitive de professionnels débutants lors d’une réanimation traumatologique : une étude de faisabilitéLapierre, Alexandra 03 1900 (has links)
Les simulations interprofessionnelles sont très populaires pour former les professionnels de la santé débutant en traumatologie à travailler en équipe dans les salles d’urgence. Ces simulations peuvent être effectuées en laboratoire (environnement contrôlé) ou in situ (environnement réel de soins), ce qui peut potentiellement influencer la charge cognitive des débutants, c’est-à-dire l’effort mental requis pour apprendre. Jusqu’à présent, aucune étude n’a comparé l’influence de l’environnement de simulation sur l’apprentissage du travail d’équipe et la charge cognitive des professionnels débutant en traumatologie. Malgré les défis associés à la réalisation d’un essai contrôlé randomisé en contexte de formation, une telle étude apparait nécessaire pour approfondir notre compréhension de l’effet de l’environnement de simulation sur l’apprentissage.
Cette thèse par article présente une étude qui avait pour but de tester la faisabilité d’un essai contrôlé randomisé pour examiner comment l’environnement de simulation (laboratoire versus in situ) influence le développement des habiletés de travail d’équipe et la charge cognitive des professionnels débutant en traumatologie à la salle d’urgence. Cette étude s’est appuyée sur le modèle de la charge cognitive de Choi et al. (2014).
Vingt-quatre professionnels de la santé (infirmier[ère]s, résident[e]s en médecine, inhalothérapeutes) ayant moins de 18 mois d’expérience à la salle de réanimation d’un centre de traumatologie ont été affectés à quatre équipes de six professionnels. Chaque équipe a participé à deux simulations interprofessionnelles de 15minutes séparées par un débriefing de 45minutes axé sur les principes de la formation Team Strategies and Tools to Enhance Performance and Patient Safety (TeamSTEPPS). Les simulations ont été effectuées en laboratoire (groupe A — deux équipes) ou in situ (groupe B — deux équipes). Après chaque simulation, les professionnels débutants ont rempli des questionnaires validés sur le travail d’équipe et la charge cognitive perçus. Les simulations ont été filmées afin d’évaluer la performance du travail d’équipe par des observateurs formés. Des indicateurs de faisabilité liés au recrutement, à l’attrition, à la procédure de randomisation, à la mise en œuvre des activités de simulation et à la collecte de données ont été compilés. Des analyses de variance mixtes ont été utilisées pour calculer les tailles d’effet préliminaires.
En ce qui concerne la faisabilité, plusieurs difficultés ont été rencontrées, telles qu’un faible taux de recrutement et l’impossibilité de réaliser la randomisation. Pour les tailles d’effet, les résultats préliminaires suggèrent que l’environnement de simulation n’influence pas la performance perçue du travail d’équipe et la charge cognitive des professionnels débutant en traumatologie. Les résultats suggèrent toutefois l’efficacité des simulations interprofessionnelles pour rehausser le travail d’équipe, et ce, peu importe l’environnement.
Cette étude met en lumière plusieurs obstacles à la réalisation d’un essai contrôlé randomisé en contexte de simulation interprofessionnelle à la salle d’urgence. Elle permet aussi de jeter un regard nouveau sur la conception de la charge cognitive dans l’apprentissage du travail d’équipe, en proposant d’autres pistes de recherche. Enfin, cette étude renforce la nécessité de poursuivre les activités de simulation interprofessionnelle dans les milieux cliniques pour rehausser le travail d’équipe, un pilier des soins en traumatologie à la salle d’urgence. / Interprofessional simulations are very popular for training novice trauma health professionals to work as a team in emergency departments. These simulations can be conducted in a laboratory (controlled environment) or in situ (real healthcare environment), which can potentially influence the novices’ cognitive load, or the mental effort required to learn. However, to date, no study has compared the influence of the simulation environment on teamwork learning and cognitive load in novice trauma professionals. Despite the challenges associated with conducting a randomized controlled trial in the context of continuing education, such a study is needed to advance our knowledge of the effect of the simulation environment on learning.
This article-based thesis presents a study designed to test the feasibility of a randomized controlled trial to examine how the simulation environment (laboratory versus in situ) influences the development of teamwork skills and cognitive load of novice trauma professionals in the emergency department. This study used Choi et al.’s (2014) cognitive load model.
Twenty-four novice trauma professionals (nurses, medical residents, respiratory therapists) with less than 18 months of experience in the resuscitation room of a trauma center were assigned to four teams of six professionals. Each team participated in two 15-minute interprofessional simulations, separated by a 45-minute debriefing, which focused on the principles of the Team Strategies and Tools to Enhance Performance and Patient Safety (TeamSTEPPS) training. The simulations were conducted in the laboratory (group A—2 teams) or in situ (group B—2 teams). After each simulation, novice professionals completed validated questionnaires on perceived teamwork performance and cognitive load. The simulations were videotaped to assess teamwork performance by trained observers. Feasibility indicators related to recruitment, attrition, randomization procedures, implementation of simulation activities, and data collection were compiled. Mixed analyses of variance were used to calculate preliminary effect sizes.
Regarding feasibility, several difficulties were encountered, such as a low recruitment rate and the inability to perform randomization. Regarding effect sizes, preliminary results suggest that the simulation environment does not affect novice trauma professionals’ perceived teamwork
performance and cognitive load. However, the results suggest the effectiveness of interprofessional simulation activities in improving teamwork, regardless of the environment.
This study highlights several barriers to conducting a randomized controlled trial in the context of interprofessional trauma simulation in the emergency department. It also provides a new perspective on the concept of cognitive load in teamwork learning and suggests other avenues of research. Finally, this study reinforces the need to continue interprofessional simulations in clinical settings to improve teamwork, a pillar of trauma care in the emergency department.
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