• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 74
  • 19
  • 4
  • Tagged with
  • 107
  • 64
  • 53
  • 31
  • 27
  • 24
  • 22
  • 20
  • 20
  • 20
  • 19
  • 18
  • 18
  • 18
  • 18
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
71

«Retourne en Arabie!» : expériences de l’islamophobie et de l’altérisation au quotidien : une étude de cas sur des jeunes Québécoises musulmanes

Corbeil, Raphaëlle 05 1900 (has links)
No description available.
72

De héros à zéro: réflexions sur les manifestations et les effets de la faiblesse dans le jeu vidéo

Poirier, Alexandre 08 1900 (has links)
No description available.
73

La normativité corporelle sous le bistouri : (re)penser l’intersectionnalité et les solidarités entre les études féministes, trans et sur le handicap à travers la transsexualité et la transcapacité

Baril, Alexandre January 2013 (has links)
Cette recherche se situe à la jonction des études féministes, trans et sur la production du handicap. Elle s’intéresse aux limites des analyses féministes intersectionnelles et leurs difficultés à considérer certains axes identitaires, telles l’identité de genre et les capacités, à travers l’analyse de deux cas de figure de modifications corporelles, soit la transsexualité et la transcapacité (transformation visant à acquérir un handicap). Cette thèse s’articule autour de la question suivante : quels sont les angles morts des analyses intersectionnelles et comment pouvons-nous y remédier? Pour répondre à cette question, cette thèse propose trois objectifs : 1) Participer aux questionnements critiques entourant certaines limites des analyses féministes intersectionnelles pour en diversifier les axes à partir de l’identité de genre et des capacités; 2) Remettre en question les présupposés conceptuels et les privilèges cisgenristes et (cis)capacitistes qui sous-tendent les discours négatifs entourant ces modifications corporelles et mettre en valeur les points de convergence entre les mouvements féministes, transactivistes et anticapacitistes pour instaurer des dialogues et des solidarités entre eux; 3) Fournir un modèle enrichi de l’intersectionnalité pouvant être déployé en études féministes, trans et sur la production du (trans)handicap, apte à répondre aux nouvelles revendications de justice de groupes opprimés, comme celles des personnes transsexuelles et transcapacitaires. À l’aide d’une méthodologie alliant l’analyse critique de discours, l’analyse archéologique et généalogique, les discours négatifs de certaines féministes et d’autres scientifiques sur ces transformations corporelles sont cartographiés et critiqués. Les réflexions présentées ici, s’inscrivant dans une approche poststructuraliste et queer, ne proposent pas une recherche des « origines » et des motivations de la transsexualité et de la transcapacité, mais plutôt une étude des discours négatifs vis-à-vis ces phénomènes et des systèmes normatifs qui sous-tendent ces discours. C’est sous cet angle que cette recherche constitue un apport important aux champs des savoirs, tant sur le plan théorique, normatif que politique : en se penchant sur deux cas de figure « extrêmes », elle met en lumière les normativités corporelles des régimes dominants, notamment cisgenriste et (cis)capacitiste, occultées tant dans nos sociétés que dans nos mouvements sociaux.
74

Intersectionality, white privilege, and citizenship regimes : explaining LGBTQ people of colour collective engagement trajectories in Toronto and Montreal

Labelle, Alexie 08 1900 (has links)
Les perturbations des marches de la Fierté à Montréal et à Toronto par des membres de Black Lives Matter ont mis en lumière l’exclusion des personnes racisées au sein des mouvements LGBTQ au Canada, de même qu’en Europe et aux États-Unis. Ces évènements témoignent de la façon dont les personnes racisées s’organisent au sein des mouvements LGBTQ, c’est-à-dire par la création d’organisations formées autour d’identités racisées spécifiques. Ceux-ci s’inscrivent dans une riche tradition d’activisme portée par des personnes racisées LGBTQ au Canada qui demeure, néanmoins, peu étudiée au pays. Cette thèse poursuit ainsi deux objectifs principaux. Dans un premier temps, elle vise à rendre visible la façon dont les personnes racisées participent collectivement au sein des mouvements LGBTQ à Montréal et à Toronto, ou ce que nous appelons les trajectoires d’engagement collectif des personnes racisées LGBTQ, rompant ainsi avec les récits dominants, centrés sur l’expérience des militants LGBTQ blancs. Dans un second temps, elle tente d’expliquer pourquoi les personnes racisées participent collectivement au sein des mouvements LGBTQ de cette façon. Puisant dans la théorie des mouvements sociaux, cette thèse soulève l’importance de tenir compte du contexte relationnel dans lequel s’inscrit la participation, à savoir la configuration des rapports de pouvoir déterminant les positionnements sociaux des individus et des groupes, les uns par rapport aux autres. Pour ce faire, nous proposons l’élaboration d’un cadre théorique intersectionnel articulé autour de trois principes, soit la relationnalité, le pouvoir et le contexte social, combiné à une analyse multiniveau. Nous démontrons ainsi que les trajectoires d’engagement collectif des personnes racisées LGBTQ sont le produit des parcours individuels militants (niveau micro), de dynamiques organisationnelles (niveau meso) et de contextes sociopolitiques et institutionnels (niveau macro). Cette thèse est le fruit de séjours de recherche effectués à Montréal et à Toronto, durant lesquels nous avons réalisé 42 entretiens semi-dirigés avec des militantes racisées LGBTQ, de même qu’avec des militantes blanches LGBTQ. La documentation produite par des organisations LGBTQ ainsi que différentes instances gouvernementales a également été mobilisée de manière complémentaire. À un niveau micro, les résultats de la thèse révèlent comment les parcours individuels militants des personnes racisées LGBTQ diffèrent de ceux des personnes blanches. À un niveau meso, les résultats mettent en évidence la dimension structurante du privilège blanc (masculin/cisgenre/sans handicap) au sein des mouvements LGBTQ, ayant pour effet de reléguer les personnes racisées à la marge de ces mouvements. Enfin, à un niveau macro, une analyse comparative des régimes de citoyenneté québécois et canadiens démontre la façon dont les contextes institutionnels et sociopolitiques informent la participation au sein des mouvements LGBTQ. En rendant visible la participation des personnes racisées au sein des mouvements LGBTQ canadiens, cette thèse contribue empiriquement à l’avancement des connaissances sur le militantisme LGBTQ au Canada. À un niveau théorique, elle enrichit la théorie des mouvements sociaux en introduisant un cadre théorique intersectionnel pouvant faciliter l’analyse de la participation au sein des mouvements sociaux. En plus d’illustrer le potentiel théorique de l’intersectionnalité pour approfondir notre compréhension des mouvements sociaux, cette thèse se distingue de travaux récents davantage centrés sur la praxis et les coalitions intersectionnels au sein des mouvements sociaux. / Recent Pride march disruptions by Black Lives Matter protestors in Montréal and Toronto have pointed to the continuous exclusion of people of colour within LGBTQ movements across Canada, as well as in Europe and the United States. While these events constitute recent manifestations of a particular form of organizing within LGBTQ movements, namely organizations formed around specific racialized identities, they are in fact inscribed within a broader tradition of LGBTQ people of colour (LGBTQ-POC) organizing in Canada, overlooked by academics and mainstream activists. It is in that respect that the aim of this dissertation is twofold. First, it aims to render visible the ways in which people of colour have collectively participated in Montréal’s and Toronto’s LGBTQ movements, or what I refer to as LGBTQ-POC collective engagement trajectories, thereby disrupting dominant, White-centered, LGBTQ narratives. Second, it seeks to explain why people of colour have collectively participated in LGBTQ movements the way that they have in Montréal and Toronto. Building on social movement theory’s previous work, it argues for the need to unpack the relational context within which participation is set, meaning the power configurations that socially locate individuals and groups in relation to each other. With its emphasis on relationality, power, and social context, intersectionality thus comes across as a pertinent avenue to bridge this theoretical gap. Combined with a multilevel analysis, it reveals how LGBTQ-POC collective engagement trajectories are the result of individual activist paths (micro-level), social movement organizational dynamics (meso-level), and institutional and sociopolitical contexts (macro-level). This dissertation draws on fieldwork undergone in Montréal and Toronto, during which 42 in-depth interviews were conducted with LGBTQ-POC and White-LGBTQ activists. Secondary sources, such as documents produced by LGBTQ organizations and other government-related documentation were also used for the analysis. At a micro-level, results show how LGBTQ-POC and White-LGBTQ activists follow different activist paths. At a meso-level, results reveal the structuring character of white (male/cisgender/able-bodied) privilege within LGBTQ movements, in both Montréal and Toronto. At a macro-level, a comparative analysis of Québécois and Canadian citizenship regimes however demonstrates the extent to which institutional and sociopolitical contexts also shape social movement participation. By rendering visible people of colour’s collective participation within Canadian LGBTQ movements, this dissertation fills a significant empirical gap. Theoretically, it enriches social movement theory by introducing an intersectional theoretical framework suitable for analyzing social movement participation. Rather than discard social movement theory as a whole, it instead engages a dialogue with previous work on social movement participation. Alternatively, it lives true to the promise of intersectionality as a theoretical framework for advancing our understanding of social movements, distinguishing itself from recent work focusing primarily on intersectional praxis and intersectional coalitions in the context of social movements.
75

Entre aspirations et contraintes: analyses du vécu de l'allaitement maternel chez les primipares au prisme des inégalités sociales

Vallières, Annick 10 1900 (has links)
Cette thèse porte sur les inégalités dans le vécu de l’allaitement maternel. Elle vise à : 1) étudier où se situent les aspirations prénatales d’allaitement des mères et leurs réalités postnatales; 2) explorer la manière dont les différences sociales peuvent façonner le vécu de l’allaitement maternel ; 3) saisir leur articulation. Dans le cadre de cette recherche, la collecte des données s’est déroulée en quatre volets : un suivi longitudinal du prénatal au postnatal avec 20 femmes primipares; la tenue de journaux de bord par les mères ; des entretiens semi-dirigés avec 21 professionnelles de l’allaitement ; de l’observation lors de cours prénataux et de soutien à l’allaitement. Comme l’échantillon est composé de mères qui expérimentaient l’allaitement pour la première fois, les écarts entre l’imaginaire et le réel ont entraîné des désillusions pour la totalité des participantes, et ce, à différents niveaux : 1) entre les aspirations initiales et les recommandations de la santé publique (allaitement exclusif jusqu’à six mois et poursuite jusqu’à deux ans et plus) ; 2) entre les aspirations des mères et les réalités d’allaitement ; 3) entre la conception normée d’un allaitement dit « réussi » selon les recommandations de la santé publique et cette même conception telle que vécue par les femmes. Ensemble, le vécu des mères et l’expérience des professionnelles permettent de montrer qu’en réalité, ce sont les interactions constituant la positionnalité des femmes qui « contraignent » l’allaitement. Ils contraignent dans les deux sens du terme : pour le limiter ou au contraire pour le rendre moralement obligatoire. L’analyse du discours des participantes rend compte du fait que ces contraintes à l’allaitement sont inégalement distribuées et se basent principalement sur des rapports sociaux de sexe/genre, d’ethnicité, de classe, d’immigration et de « race ». Finalement, une tendance émerge parmi les professionnelles de l’allaitement rencontrées, la majorité estimant qu’elles font varier leurs pratiques en fonction de la clientèle, que cette différenciation est nécessaire et que d’y arriver est un motif de fierté. Si les catégorisations ont tendance à exagérer l’homogénéité des groupes et à produire des stéréotypes, elles ont également des effets concrets sur les services. Cette thèse permet de mieux comprendre l’ambivalence au cœur de l’expérience de l’allaitement ainsi que les rapports complexes qu’ont les mères avec les recommandations de la santé publique, la promotion de l’allaitement et les professionnelles de l’allaitement. / This thesis examines diversity and inequalities in breastfeeding experiences. It seeks to: 1) understand how mothers’ initial breastfeeding aspirations compare with their post-birth realities; 2) explore how inequalities related to gender, “race”, class, and immigrant status influence breastfeeding experiences from the perspective of both mothers and breastfeeding professionals; and 3) capture how mothers articulate and make sense of their diverse experiences . In this study, four data collection techniques were used: longitudinal semi-structured interviews with 20 first-time mothers conducted when they were pregnant and then approximately six months after the birth of their child; documentary analysis of maternal diaries; semi-structured interviews of 21 breastfeeding professionals; and observation during prenatal classes and breastfeeding support sessions. As the sample is composed of women attempting breastfeeding for the first time, many women felt disillusioned by three types of discrepancies they felt between what they imagined breastfeeding would be and the reality of their experiences: 1) between the initial aspirations and recommendations of public health and medical literature; 2) between their own expectations and their lived realities of breastfeeding; and 3) between the standardized conceptions of successful breastfeeding experiences according to public health recommendations and the concept of success as experienced by the women. Further, the data from both mothers and breastfeeding professionals demonstrate that constraints on breastfeeding are unevenly distributed and founded mainly on social relations such as sex, gender, ethnicity, class, immigration, and race. This study also discovered a tendency among breastfeeding professionals to pride themselves on their ability to differentiate between their clientele on the basis of these categories. While sometimes appropriate, these classifications tend to exaggerate the homogeneity of subgroups, relying on and reproducing stereotypes. An important implication of this is that such practices lead to substantial differences in the services rendered by these professionals. Overall, this thesis provides a better understanding of the ambivalence at the center of the breastfeeding experience and the complex relationships mothers undertake with public health recommendations, the promotion or encouragement of the act of breastfeeding and breastfeeding professionals.
76

Histoire d’un système judiciaire à plusieurs vitesses : analyse intersectionnelle des procès pour meurtre dans la juridiction de Montréal entre 1700 et 1760

Berthelet, Marie-Ève 08 1900 (has links)
Ce mémoire propose d’analyser la portée des dynamiques de pouvoir intersectionnelles – inter et intra sexe, ethnie et catégorie sociale, comprises comme étant des catégories identitaires articulés – au sein de l’appareil judiciaire montréalais du XVIIIe siècle. Pour ce faire, les archives de procès pour meurtre servent de matériau de base, le crime constituant de façon inhérente la prise ultime de pouvoir d’un individu sur un autre, soit celle de lui enlever la vie. L’analyse se concentre d’une part sur les dynamiques de pouvoir entre les individus, en accordant une importance particulière à l’agentivité des principaux acteurs concernés, et d’autre part, sur les dynamiques de pouvoir entre les individus et l’État, soit entre les sujets et leur roi, dispensateur de toute justice. Le meurtre est ici compris comme un acte de pouvoir violent, mais aussi comme une perturbation de l’ordre social que doit rétablir la justice en punissant le coupable. Se posent alors plusieurs questions : est-ce que l’entrecroisement des catégories identitaires du genre, de la race et de la catégorie sociale influence le cours de la justice? Si oui, comment? À l’inverse, la justice est-elle appliquée différemment selon l’intersectionnalité du sexe, de l’ethnie et de la catégorie sociale des prévenus et victimes? C’est ce que nous déterminons en analysant les dynamiques de pouvoir dans les procès judiciaires pour meurtre de la juridiction de Montréal au XVIIIe siècle, d’abord, sous l’angle du genre dans le premier chapitre, puis sous celui des ethnies dans le second chapitre et enfin, sous celui des catégories sociales dans le troisième chapitre. / This thesis analyses the influence of intersectional power dynamics – inter and intra sex, ethnicity and social category, seen as articulated identity categories – within the eighteenth-century Montreal judiciary system. Murder trial archives serve as the basis for this analysis, the crime of murder in and of itself implying the exercise of total power by one person over another, by taking away his or her life. On one hand, the proposed analysis will focus on power dynamics between individuals, according a special attention to the agency of the principal actors. On the other hand, it will focus on power dynamics between the individuals and the State, in other words between subjects and their king, dispenser of justice. The crime of murder of course suggests an act of power, but also implies a disruption of social order, which justice must restore by punishing the guilty party. We then ask: do the identity categories of gender, race and social category influence the course of justice, and if so, how? Inversely, is justice applied differently according to the intersectionality of the suspect or the victim’s sex, ethnicity and social category? We will answer those questions by analyzing power dynamics in the murder trials of the jurisdiction of Montreal in the eighteenth century; first, from the angle of gender in chapter 1, from that of ethnic groups in the second chapter and finally, from that of social categories in the third chapter.
77

Réflexions et pistes d’action pour favoriser le soutien par les pairs auprès des personnes LGBTQI+ migrantes : les résultats d’une évaluation communautaire du modèle d’AGIR

Fuentes-Bernal, Javier 09 1900 (has links)
Les personnes LGBTQI+ migrantes portent plusieurs identités minoritaires et par ce fait, sont plus à risque de subir plusieurs formes de discrimination et d’oppression, tel que l’homo-lesbo-bitransphobie, le racisme, le sexisme et/ou la xénophobie. Bien qu’il y ait un intérêt grandissant à l’échelle internationale dans la recherche auprès des communautés LGBTQI+ migrantes, peu de recherches portent sur les pratiques de soutien par les pairs auprès de cette population. Ma démarche de recherche a été inscrite dans une recherche communautaire plus large menée par Dr. Edward Lee en partenariat avec AGIR (Action LGBTQI+ avec les immigrant·e·s et les réfugié·e·s). AGIR est un organisme communautaire qui soutient les personnes migrantes LGBTQI+ et en particulier les réfugié·e·s et les demandeur·se·s d’asile LGBTQI+ à Montréal. Nous avons mobilisé la théorie intersectionnelle et le modèle du stress minoritaire pour analyser un total de (N=14) entretiens qualitatifs semi-dirigés auprès des membres soutenu·e·s, membres du conseil d’administration, membres de l’équipe de soutien et employé·e·s qui sont actuellement ou ont été historiquement impliqués au sein d'AGIR. Des retombées positives du soutien par les pairs ont été constatées en lien avec la santé mentale et le bien-être, la navigation sociale et les relations sociales. Toutefois, des défis en lien avec l’ambiguïté du rôle du-de la pair·e, le manque de formations et de supervision, le risque de burnout et de trauma vicariant ont été identifiés. Finalement, nous avons formulé neuf recommandations en lien avec les récits des participant·e·s pour favoriser le modèle de soutien par les pair·e·s au sein d’AGIR. / LGBTQI + migrants have multiple minority identities and therefore are more at risk of suffering several forms of discrimination and oppression, such as homo-lesbo-bi-transphobia, racism, sexism and/or xenophobia. Although the interest in research with LGBTQI+ migrant communities is increasing internationally, there are few research projects on peer support practices among this population. My research approach is part of a larger community-based research led by Dr. Edward Lee in partnership with AGIR (Action LGBTQI + with immigrants and refugees). AGIR is a community organization that supports LGBTQI+ migrants and in particular LGBTQI + refugees and asylum seekers in Montreal. We mobilized intersectional theory and the minority stress model to analyze a total of (N = 14) qualitative semi-structured interviews with supported members, board members, support team members and employees currently or historically involved within AGIR. Positive results regarding AGIR’s peer support are related to mental health and well-being, social navigation and social relationships. However, challenges related to the ambiguity of the peer role, the lack of training and supervision, and the risk of burnout and vicarious trauma have been identified. Finally, we suggested nine recommendations in connection with participants’ experiences, to promote the peer support model within AGIR. / Las personas migrantes LGBTQI + portan varias identidades minoritarias y, por lo tanto, corren un mayor riesgo de sufrir diversas formas de discriminación y opresión, como la homo-lesbo-bi-transfobia, el racismo, el sexismo y/o la xenofobia. Aunque existe un creciente interés internacional en la investigación con comunidades LGBTQI+ migrantes, poca investigación se ha centrado en las prácticas de apoyo entre pares en esta población. El presente proyecto de investigación fue parte de una investigación comunitaria más grande dirigida por el Dr. Edward Lee en asociación con AGIR (Acción LGBTQI + con inmigrantes y refugiados). AGIR es una organización comunitaria que apoya a los migrantes LGBTQI + y en particular a los refugiados y solicitantes de asilo LGBTQI+ en Montreal. En este proyecto mobilizamos la teoría interseccional y el modelo de estrés minoritario para analizar un total de (N = 14) entrevistas semiestructuradas cualitativas con miembros usuarixs, miembros del consejo de administración, miembros del equipo de apoyo y empleadxs que están actualmente o han estado involucradxs históricamente en AGIR. Este proyecto a documentado efectos positivos del apoyo entre pares en relación con la salud mental y el bienestar, la navegación social y las relaciones sociales. Sin embargo, se han identificado desafíos relacionados con la ambigüedad del rol de los pares, la falta de capacitación y supervisión, el riesgo de burnout y de trauma indirecto. Finalmente, hicimos nueve recomendaciones relacionadas con las experiencias de los participantes para promover el modelo de apoyo entre pares dentro de AGIR.
78

Performances trans, noires et queer dans la musique populaire : approche intersectionnelle et spécificités du contexte brésilien

Borges, Juliette 08 1900 (has links)
Ce travail se penche sur les enjeux de représentation de genre au Brésil, en prenant pour objet d’étude les performances d’artistes queer et trans de couleur sur la scène musicale populaire brésilienne. Je me penche d’abord sur la conjoncture sociopolitique du Brésil, marquée par un contexte paradoxal de popularité croissante d’artistes de la communauté LGBTQ+, associée à une vague de violences symboliques et physiques envers ces groupes minorisés. En m’inscrivant dans les études culturelles et visuelles, je mobilise ensuite des théories et concepts sur la performance (Taylor, 2003) et la performativité du genre (Butler, 2006), notamment au sein des études queer (Muñoz, 1999), selon une approche intersectionnelle. Je m’attache également à replacer les discours d'identité et de résistance ainsi que les réflexions épistémologiques dans le contexte brésilien. Sur cette base, j’étudie les performances des artistes Linn da Quebrada, Liniker, Gloria Groove, Quebrada Queer, Jup do Bairro et Majur, à travers une analyse textuelle de quatre vidéoclips qui est ensuite étendue aux performances dans les réseaux médiatiques et sociaux, avec Instagram. En réfléchissant aux différentes significations et aux affects produits par ces performances, ce travail met en exergue le rôle subversif des intimités queer et trans et la manière dont elles participent à la création d’un monde queer (Muñoz, 2009). Ces performances transgressent ainsi les normes basées sur le genre, la sexualité, la race et la classe, participant à un mouvement de lutte intersectionnelle et culturelle au Brésil. Enfin, ce travail ouvre la voie à une réflexion sur les manières dont les médias numériques permettent et relaient les performances subversives. / This study investigates issues of gender representation in Brazil through a study of performances by queer and trans artists of colour associated with the Brazilian popular music scene. I first examine the socio-political context of Brazil, marked by a paradoxical context where the increasing popularity of artists from the LGBTQ+ community corresponds with a wave of symbolic and physical violence towards these marginalized groups. In this study grounded in cultural and visual studies, I engage with theories and concepts of performance (Taylor, 2003) and gender performativity (Butler, 2006), particularly within queer studies (Muñoz, 1999), using an intersectional approach. I also insist on situating discourses of identity and resistance and epistemological reflections in the Brazilian context. On this basis, I study the performances of artists Linn da Quebrada, Liniker, Gloria Groove, Quebrada Queer, Jup do Bairro and Majur, through a textual analysis of four video clips that is then articulated with performances in media and social networks, notably Instagram. Reflecting on the different meanings and affects produced by these performances, this study highlights the subversive role of queer and trans intimacies and how they participate in queer worldmaking (Muñoz, 2009). I argue that these performances transgress norms of gender, sexuality, race and class, participating in a movement of intersectional and cultural struggle in Brazil. Finally, this work concludes with a reflection on how digital media enable and relay subversive performances.
79

Les considérations de « race » ou couleur dans le processus de jumelage en adoption Banque mixte : analyse d’un cas de discrimination raciale systémique à l’aube de la théorie critique raciale, de l’intersectionnalité et de l’internormativité

Lebrun, Dominique 01 1900 (has links)
Dans le cadre du jumelage d’une famille d’accueil Banque mixte et d’un enfant en situation de compromission, cette famille peut exprimer certaines restrictions, notamment quant aux facteurs ayant une incidence sur l’intensité de la prise en charge (déficiences physiques, mentales, troubles graves du comportement, etc.). Cependant, elle peut aussi émettre une réserve sur la « race » ou couleur de l’enfant, caractéristique sans implication fonctionnelle. Les enfants de couleur sont de ce fait considérés « plus difficiles à placer ». Mon mémoire questionne cette pratique où l’État – en avalisant les restrictions de « race » ou couleur posées par les familles d’accueil Banque mixte qu’il rémunère – crée, dans l’allocation des ressources de santé et de services sociaux, une disparité préjudiciable aux enfants racisés, et ce, sur la base, précisément, de leur « race » ou couleur. / As part of the current pairing process for a foster (potentially adoptive) family and a vulnerable child from the “Banque mixte”, whose security and development are on the line – this foster family may set certain restrictions, notably in relation to factors influencing the intensity of care (physical or mental limitations, behavioural disorders, etc.). However, the adoptive parent(s) can also restrict the offering of their service to « Whites only », limiting their potential care to children who fit their racial requirements, a criterion without any functional impact. Children of colour are therefore considered « more difficult to place ». Our master thesis questions this practice in which the State – by endorsing the racial restrictions issued by the Banque mixte foster family through placement and remuneration – creates in the resource allocation of health and social services a detrimental disparity on the mere basis of “race”.
80

Se loger dans un quartier tremplin : trajectoires et stratégies résidentielles des familles immigrantes à Parc-Extension et Saint-Michel, Montréal

Reiser, Chloé 12 1900 (has links)
Thèse réalisée en cotutelle internationale entre l'Université de Montréal et l'Université de Paris. / Cette recherche de géographie urbaine et sociale porte sur les trajectoires et les stratégies résidentielles des familles immigrantes à Saint-Michel et Parc-Extension, deux inner suburbs d’immigration de Montréal. S’ils sont encore désignés par les chercheur·se·s comme des espaces tremplins, les deux quartiers ne semblent plus favoriser la mobilité sociale et spatiale des nouveaux et nouvelles arrivant·e·s. Alors que la plupart des locataires à faible revenu vivent des situations de logement précaires dans le secteur privé, quelques familles immigrantes parviennent à accéder au secteur social. Comment expliquer la stabilisation résidentielle des familles immigrantes à Parc-Extension et Saint-Michel et l’accès au logement social d’une minorité au sein de ces quartiers tremplins ? Si l’on a tendance à envisager les familles immigrantes comme des individus multi-déterminés sur le marché du logement, ces dernières sont pourtant capables d’arbitrer. L'idée est de redonner une certaine capacité d’agir aux familles en insistant sur leur intentionnalité dans la recherche et dans les choix successifs de logement, tout en montrant comment ces stratégies résidentielles sont conditionnées par des barrières spécifiques, liées notamment à leur identité immigrante. À cet effet, j’articule différentes méthodes qualitatives. Menés auprès de 61 familles immigrantes, les entretiens semi- directifs complétés par la démarche de photographie participative constituent le socle de l'analyse. Si j’utilise les extraits d’entretien et les photos pour comprendre la complexité des arbitrages résidentiels et du processus de recherche de logement, le travail systématique d’encodage des entretiens me permet de reconstituer les trajectoires des ménages sur le temps long depuis leur arrivée à Montréal. La trentaine d'entretiens semi-directifs menés auprès des bailleurs sociaux, des élu·e·s et des urbanistes, ainsi que l'observation participante conduite comme bénévole au sein d'un organisme communautaire dans chacun des quartiers apportent un point de vue extérieur sur les structures qui s'imposent aux familles. Loin de faire leurs choix simplement en fonction de leur identité immigrante, la plupart des familles élisent leur logement et leur quartier en tant que parents, les enfants étant placés au cœur des stratégies résidentielles. Cependant, la structure de l’offre résidentielle, les problèmes de diffusion de l’information ou encore les discriminations des propriétaires et des institutions provoquent un tri social où les ménages immigrants les plus insérés parviennent à obtenir des logements abordables de bonne qualité, tandis que les familles les plus vulnérables sur le plan économique, social et culturel sont reléguées au parc social de fait. Les transformations en cours dans les deux quartiers viennent affecter les projets des familles interrogées et renforcer leur précarité résidentielle. Alors que j’interroge le maintien à terme de la fonction tremplin à Saint-Michel et Parc-Extension, les organismes de défense des droits des locataires s’organisent pour tenter de combler l’inaction des pouvoirs publics. En adoptant une position théorique et méthodologique intermédiaire au sein des études sur les trajectoires résidentielles, cette thèse propose d’ouvrir de nouvelles perspectives de recherche sur les recompositions urbaines et les mobilités résidentielles à l'œuvre dans les quartiers tremplins des grandes métropoles canadiennes. / This research in urban and social geography investigates the residential trajectories and strategies of immigrant families in Saint-Michel and Parc-Extension, two inner suburbs of immigration in Montreal. While researchers still refer to them as transitional spaces, these two neighborhoods no longer seem to foster the social and spatial mobility of newcomers. Whereas most low-income tenants live in precarious housing situations in the private sector, a handful of immigrant families manage to access the social sector. How can we explain the residential stabilization of immigrant families in Parc-Extension and Saint-Michel and the access to social housing of a minority within these transitional neighborhoods? If there is a tendency to view immigrant families as multi-determined individuals in the housing market, they are still capable of decision-making. The idea is to give back a certain ability to act to families by insisting on the intentionality in their search and successive housing choices, while showing how these residential strategies are affected by specific barriers, notably related to their immigrant identity. To do so, I combine several qualitative survey techniques. Semi-directive interviews and a participatory photography project with 61 immigrant families form the basis of this analysis. If I use the interview transcripts and the photographs to understand the complexity of the residential choices and the housing search process, the systematic work of encoding the interviews helps me to reconstruct the long-term trajectories of the households since their arrival in Montreal. The thirty or so semi-directive interviews conducted with social landlords, elected officials and urban planners, as well as the participant observation carried out as a volunteer within a community organization in each neighborhood, provide an outside perspective on the structures which prevail over these immigrant families. Far from simply making choices on the basis of their immigrant identity, most families select their homes and neighborhoods as parents, the children being at the heart of their residential strategies. However, the structure of the housing supply, information dissemination issues or discriminatory practices by landlords and institutions lead to a social stratification in which the most integrated immigrant households manage to obtain good quality and affordable accommodation, while the most economically, socially and culturally vulnerable families are relegated to the de facto social stock. The ongoing changes in the two neighborhoods affect the projects of the interviewed families and increase their residential insecurity. While I am questioning the long-term continuation of the gateway function in Saint-Michel and Parc-Extension, tenant rights organizations try to compensate for the inaction of public authorities. With a theoretical and methodological intermediate position within studies on residential trajectories, this thesis aims to open up new research perspectives on urban restructuring and residential mobility at work in the transitional neighborhoods of major Canadian cities.

Page generated in 0.1827 seconds