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The Development of the Gullah Church

O'Brien, Alicia D. 09 August 2006 (has links)
No description available.
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The Invisible Aesthetic

Ayoade, Adetokunbo 04 September 2018 (has links)
No description available.
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Variations on a Theme by Haydn (1990) and the Invisible Drummer (1974) by Andre Previn: An Introduction and Approach to Performance

Huang, Mei-Hsuan 01 September 2010 (has links)
No description available.
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Inclusion et handicap à dominante visible ou invisible au collège : représentations du handicap, pratiques d'inclusion en contexte scolaire et construction individuelle et interactionnelle d’adolescents en situation de handicap / Visible or invisible disability : inclusion and personnal and social construction of teenagers

Gaulot, Céline 22 November 2018 (has links)
Le traitement du handicap et la place des personnes handicapées a varié selon les époques. Actuellement, dans la lignée des droits de l’homme, les politiques nationales et internationales tendent à promouvoir l’égalité pour tous les hommes et la lutte contre les discriminations se concrétise par des politiques publiques actives, dans la plupart des pays. Au niveau de l’Éducation, le concept d’inclusion a été avalisé à la Conférence de Salamanque (UNESCO 1994), et sa mise en oeuvre est décrite comme « une réforme qui appuie et accueille favorablement la diversité de tous les apprenants » (UNESCO 2001). En France, la loi du 11 février 2005 a introduit une évolution majeure dans le traitement social des personnes handicapées. L’éducation inclusive dans son paradigme appelle à une prise en compte de la complexité de l’humain et des institutions auxquelles il appartient. La présente recherche tend à rendre compte de certains aspects de cette complexité en mettant au jour les représentations et les pratiques d’inclusion en collège auprès d’élèves en situation de handicap à dominante visible ou invisible et en les mettant en lien avec la construction individuelle et interactionnelle de ces adolescents. Quatre dimensions ont été étudiées à partir de la situation de cinq élèves en situation de handicap à dominante visible ou invisible. Le contexte scolaire est le premier niveau : il apporte une structuration objective au processus d’inclusion par la présence d’un dispositif, d’une organisation et de personnes investies dans ce projet. Les représentations du handicap et les pratiques pédagogiques des enseignants sont interrogées dans le deuxième niveau. Le troisième niveau est celui des pairs des élèves en situation de handicap, où ont été questionnés les réseaux socio-affectifs des classes. Enfin, le quatrième niveau concerne la dimension individuelle des cinq élèves. Les résultats de cette recherche de type ethnographique indiquent que la structuration du contexte inclusif a une influence sur la représentation du handicap activée : plus elle est visible car portée par un dispositif et des personnels qui lui sont dédiés, plus la représentation du handicap est riche. Le noyau de la représentation du handicap chez les enseignants (constitué des éléments « monstre », « mort », « handicap physique », « fauteuil roulant » et « autisme ») est identique à celui rencontré dans la population générale, avec une variation spécifique professionnelle (« dyslexie ») entrant dans le champ de la réparation possible du handicap. Lorsque la structuration de l’inclusion est humainement investie, une représentation dite « de reliance » intègre les différents niveaux antérieurs de la représentation et y intègre la situation de handicap. En ce sens, elle est évoluée car elle prend en considération les dernières avancées sociétales en la matière ; on peut la penser aussi transitoire, au même titre que la forme actuelle de l’Éducation inclusive. Des archétypes sont sous-jacents à ces représentations et diffèrent selon la visibilité (où l’archétype activé est celui du monstre et de l’altérité fondamentale) ou l’invisibilité du handicap (où l’archétype activé est celui de l’étranger et de l’inconnaissable), cette notion faisant le lien entre la perception et la représentation dans la dimension intrapsychique de l’individu. Les représentations peuvent évoluer par mise au jour, acceptation et intégration de ses différentes composantes d’une part, par l’expérience concrète discutée et réfléchie du processus inclusif par ses acteurs d’autre part. Ceci induit alors une co-construction entre les différents partenaires et la nécessité de formation pour accéder à une compréhension des singularités des élèves porteurs d’altérité dans l’objectif d’identifier et de répondre à leurs besoins éducatifs particuliers. / The treatment of the handicap and the of persons with disabilities has varied over time. Currently, in line with human rights, national and international policies tend to promote équality for all men and the fight against discrimination becomes a reality by active public policies in most countries. At the education level, the concept of inclusion was endorsed at the Salamanca conference (UNESCO, 1994) and its implementation is described as « a reform that supports and welcomes the diversity of all the learners » (UNESCO, 2001). In France, the law of 11 February 2005 introduced a major change into the social treatment of disabled people. Inclusive Education calls to a consideration of the complexity of the human person and the institutions to which he belongs. This research aims to account for some aspects of this complexity by bringing to light the representations and practices of inclusion in middle school among pupils with dominant visible or invisible disabilities and by linking them to the individual and interactionnal construction of these adolescents. Four dimensions were studied based on the situation of five students with visible or invisible disabilities. The school context is the first level : it provides an objective structure to the inclusion process by the presence of a device, an organization and people involved in this project. We then questioned the representations of disability and the pedagogical practices of the teachers in the second level. The third level is the one of the peers of the disabled pupils, where the socio-affective networks were questioned. Finally, the fourth level concerns the individual dimension of the five selected pupils. The results of this ethnograhic research indicate that the structuring of the inclusive context has an influence on the activated representation of the handicap : the more it is visibly carried by a system and a dedicated staff, the richer is the representation. The core-representation of disability among teachers (consisting in « monster », « death », « physical disability »,« wheelchair » and « autism » elements) is identical to the one found in the general population, with a professional specific variation (« dyslexia ») within th scope of possible disability repair. When the structuring of inclusion is carried by a lot of invested people, a representation called « linking » integrates the different previous levels of the representation and joins the situation of disability. In this sense, it is evolved because it considers the latest sociatal advances in this field ; it can be thought as transitional, in the same way as the current form of inclusive education. Archetypes are underlying these representations and differ according to the visibility (where the activated archetype is the one of the monster and fondamental alterity) or the invisibility (which activate the archetype of the stranger and the unknowable), this motion making the link between perception and representation in the psychic dimension of the individual. Representations may evolve by uncovering, accepting and integrating its diffrents components by the individual on the one hand, and by the concrete experience discussed and reflected by the actors on the other. This then leads to a co-construction between partners and the need for training to access an understanding of the singularities of students with alterities in order to identify and respond to their special educationnal needs.
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Mises en jeu du hors-scène dans le théâtre de Marguerite Duras, Bernard-Marie Koltès et Jean-Luc Lagarce : approche dramaturgique et scénographique / A scenographic and dramaturgic approach to the notion of hors-scène (off-stage) brought into play in Marguerite Duras, Bernard-Marie Koltès and Jean-Luc Lagarce's works

Coulon, Aurélie 05 December 2016 (has links)
Si le mot « hors-scène » est utilisé de manière empirique pour désigner des espaces, des personnages ou des épisodes invisibles, il n’appartient pas au vocabulaire technique du théâtre et il est parfois remplacé, dans l’usage, par des mots empruntés à d’autres champs artistiques comme « hors-champ », « off » ou « hors-cadre ». Ce flou terminologique en fait une notion-miroir reflétant des positionnements esthétiques et idéologiques, qui peuvent se rattacher à un discours de valorisation de l’invisible par opposition à une société de l’image. On l’abordera à travers l’œuvre de trois auteurs majeurs de la seconde moitié du XXe siècle, Marguerite Duras, Bernard-Marie Koltès et Jean-Luc Lagarce. Ils brouillent en effet, selon des modalités différentes, l’articulation de la scène et du hors-scène, donnant lieu, de ce fait, à des mises en scène et à des scénographies qui doivent se confronter à la redéfinition des limites de l’espace de la représentation. La frontière entre le visible et l’invisible ne coïncide plus chez eux avec l’articulation entre la scène et un espace périphérique contigu : elle est mobile et ne se laisse pas aisément localiser, et le hors-scène ne peut plus être envisagé comme un extérieur. Il peut être situé au cœur du visible ; il peut être issu d’un geste de cadrage qui organise les relations de la scène, de la salle et du monde, mais aussi d’un geste de montage qui en fait un hors-temps. Il se manifeste donc de manière discontinue, à travers des brèches ouvertes par divers moyens à l’intérieur d’un espace dramatique et/ou scénique aux limites fluctuantes. C’est pourquoi cette recherche se propose de dégager les enjeux dramaturgiques et scénographiques des usages du hors-scène dans les textes de ces auteurs, mais aussi dans une sélection de mises en scène de la seconde moitié du XXe siècle et du début du XXIe siècle ainsi que de scénographies, et de certaines créations sonores qui y sont associées. Il s’agit ainsi d’identifier différentes catégories de hors-scène et de définir plus précisément une notion qui pourrait bien manifester une modification des modalités de la perception et de la représentation. / The term hors-scène (“off-stage” with a dramaturgical and a scenographic meaning in French) is used in an empirical way to designate spaces, characters and or episodes that are invisible. It is not part of the technical vocabulary of the theater, and it is often replaced by words borrowed from other artistic fields such as “off”, or “out of frame”. Because of this lack of terminological precision, it is a notion that like a mirror reflects ideological and aesthetic orientations which can be related to a discourse that values the invisible, in opposition to an image-driven society. This notion of hors-scène is addressed through a study of the works of three major authors of the second half of the 20th Century: Marguerite Duras, Bernard-Marie Koltès and Jean-Luc Lagarce. Each one of them has his/her specific mode of blurring the lines between the stage and the off-stage, thus producing staging and making scenographies that have to tackle the redefinition of the limits of space and of representation itself. In their works, the boundary between the visible and the invisible no longer coincides with the articulation between the stage and an adjacent peripheral space. The hors scène is mobile and cannot be easily located : it can no longer be considered as what lies outside of the stage. It can be situated at the heart of the visible ; it can spring from a framing choice which orchestrates the relations between the stage, the house and the world, but also from a staging choice that materialises “timelessness”. It reveals itself discontinuously, through breaches opened up in a diversity of ways in a dramatic and/or scenic space whose boundaries themselves are in flux. The thesis identifies the dramaturgic and scenographic stakes of the uses of the hors-scène in the three authors' texts, as well as in a selection of stagings from the second half of the 20th Century and early 21st Century, as well as in scenographies and a number of sound/audio productions to which they are associated. The aim is to trace different categories of the hors-scène and to define more precisely this notion that could very well highlight a change in the modes of perception and representation.
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La poésie de Patrice Desbiens à l'épreuve de la scène : adaptation textuelle et scénique de L'Homme invisible/The Invisible Man

Proulx, Marie-Pierre 13 January 2012 (has links)
Depuis l’émergence d’une culture franco-ontarienne dans les années 1970, la poésie a été produite aux côtés du théâtre sur les scènes de la province. Si elle demeure une activité périphérique à la production théâtrale pendant plusieurs décennies, à l’aube des années 2000, elle s’allie réellement à la mise en scène dans le cadre de certaines productions phares. De fait, entre 1998 et 2004, trois metteurs en scène provenant des trois pôles traditionnels de production de l’Ontario français choisissent de porter à la scène les textes du poète Patrice Desbiens. Alors que la poésie est une forme littéraire qui se définit principalement par l’indissociabilité entre forme et contenu, ce mémoire propose une analyse des stratégies textuelles et scéniques privilégiées dans la plus récente des trois productions sus mentionnées : L’homme invisible/The Invisible Man, spectacle produit par le Théâtre de la Vieille 17 à Ottawa en 2004. À l’aide d’outils théoriques tirés des champs de l’adaptation et de la dramaturgie contemporaine, les spécificités propres au récit original et les opérations transformatives qui se sont opérées sont relevées. Les modalités organisatrices de la mise en scène sont ensuite étudiées. Les créateurs réalisent une « adaptation-non-adaptation » (Plana, 2004) dans laquelle, tout en conservant le caractère non-dramatique du texte, ils privilégient l’apparition d’un « métadialogue » (Sermon, 2005) qui s’appuie sur le caractère dualiste et bilingue du récit original. La mise en scène s’articule quant à elle dans la mise en tension de deux modes de figuration tributaires du récit poétique adapté : la métaphore et la métonymie, en faisant un détour par le mimétisme.
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La poésie de Patrice Desbiens à l'épreuve de la scène : adaptation textuelle et scénique de L'Homme invisible/The Invisible Man

Proulx, Marie-Pierre 13 January 2012 (has links)
Depuis l’émergence d’une culture franco-ontarienne dans les années 1970, la poésie a été produite aux côtés du théâtre sur les scènes de la province. Si elle demeure une activité périphérique à la production théâtrale pendant plusieurs décennies, à l’aube des années 2000, elle s’allie réellement à la mise en scène dans le cadre de certaines productions phares. De fait, entre 1998 et 2004, trois metteurs en scène provenant des trois pôles traditionnels de production de l’Ontario français choisissent de porter à la scène les textes du poète Patrice Desbiens. Alors que la poésie est une forme littéraire qui se définit principalement par l’indissociabilité entre forme et contenu, ce mémoire propose une analyse des stratégies textuelles et scéniques privilégiées dans la plus récente des trois productions sus mentionnées : L’homme invisible/The Invisible Man, spectacle produit par le Théâtre de la Vieille 17 à Ottawa en 2004. À l’aide d’outils théoriques tirés des champs de l’adaptation et de la dramaturgie contemporaine, les spécificités propres au récit original et les opérations transformatives qui se sont opérées sont relevées. Les modalités organisatrices de la mise en scène sont ensuite étudiées. Les créateurs réalisent une « adaptation-non-adaptation » (Plana, 2004) dans laquelle, tout en conservant le caractère non-dramatique du texte, ils privilégient l’apparition d’un « métadialogue » (Sermon, 2005) qui s’appuie sur le caractère dualiste et bilingue du récit original. La mise en scène s’articule quant à elle dans la mise en tension de deux modes de figuration tributaires du récit poétique adapté : la métaphore et la métonymie, en faisant un détour par le mimétisme.
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La poésie de Patrice Desbiens à l'épreuve de la scène : adaptation textuelle et scénique de L'Homme invisible/The Invisible Man

Proulx, Marie-Pierre 13 January 2012 (has links)
Depuis l’émergence d’une culture franco-ontarienne dans les années 1970, la poésie a été produite aux côtés du théâtre sur les scènes de la province. Si elle demeure une activité périphérique à la production théâtrale pendant plusieurs décennies, à l’aube des années 2000, elle s’allie réellement à la mise en scène dans le cadre de certaines productions phares. De fait, entre 1998 et 2004, trois metteurs en scène provenant des trois pôles traditionnels de production de l’Ontario français choisissent de porter à la scène les textes du poète Patrice Desbiens. Alors que la poésie est une forme littéraire qui se définit principalement par l’indissociabilité entre forme et contenu, ce mémoire propose une analyse des stratégies textuelles et scéniques privilégiées dans la plus récente des trois productions sus mentionnées : L’homme invisible/The Invisible Man, spectacle produit par le Théâtre de la Vieille 17 à Ottawa en 2004. À l’aide d’outils théoriques tirés des champs de l’adaptation et de la dramaturgie contemporaine, les spécificités propres au récit original et les opérations transformatives qui se sont opérées sont relevées. Les modalités organisatrices de la mise en scène sont ensuite étudiées. Les créateurs réalisent une « adaptation-non-adaptation » (Plana, 2004) dans laquelle, tout en conservant le caractère non-dramatique du texte, ils privilégient l’apparition d’un « métadialogue » (Sermon, 2005) qui s’appuie sur le caractère dualiste et bilingue du récit original. La mise en scène s’articule quant à elle dans la mise en tension de deux modes de figuration tributaires du récit poétique adapté : la métaphore et la métonymie, en faisant un détour par le mimétisme.
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Poétiques d’archipélité : désancrages géographiques et littéraires / Poetics of archipelity : geographical and litterary disanchoring

Debibakas, Audrey 22 October 2015 (has links)
Le corpus interroge des œuvres désancrées, décentrées, mouvantes : loin d’être des unités séparées et indépendantes, les romans quoique singuliers entre en relation les uns avec les autres sur le plan thématique narratif. On peut donc identifier un univers romanesque, à la fois spécifique et commun. Les romans rayonnent à partir d’un lieu et d’une histoire commune et s’articulent autour de trois îles créant une véritable géographie scripturale : trois romans, trois îles de la Caraïbe, trois auteurs. L’archipel géographique comme l’archipel littéraire apparaissent comme le résultat d’une géographie malléable et/ou d’une écriture sans limite. L’espace dessiné et l’œuvre sont en perpétuelle construction. L’archipélité géographique mais aussi littéraire est, dans cette étude, à percevoir comme une façon de retrouver et rassembler les morceaux d’histoires, de mémoires. La Traite est proprement un « parler indicible » et ne donne lieu à aucun récit. C’est donc sur ce fond d’absence de mythe et d’épopées que s’inscrivent les œuvres du corpus. Elles tentent de retranscrire également la dimension lacunaire fragmentée, mettant en avant une pensée du vide, de l’absence, de l’indicible et de l’ineffable. Le « non-monde » initial laisse la place à l’émergence d’un nouveau lieu digénique narratif. Il s’agit d’une dématérialisation du lieu géographique dans l’espace narratif. Le lien archipélique retranscrit l’indicible et l’invisible des mémoires et des histoires oubliées par l’acte d’écriture. Non contente d’en décrire la vacance, les romans transforment la béance géographique, historique et mémorielle en atout littéraire et poétique. Ce qui était une carence pourrait s’avérer aujourd’hui un atout pour la pensée et, paradoxalement pour la création littéraire. / The body of texts examined in this study deals with disanchored, decentred, shifting literary works. Far from being separate and independent units, the novels, though singular, are constantly overlapping in terms of narrative themes. Therefore we can identify a fictional landscape that is both specific and common. The novels take pride of place from within a common history and focus on three islands, thereby creating a real scriptural geography. Three novels, three Caribbean islands and three authors are under consideration. The geographical archipelity and the literary one appear to be the result of a malleable geography and/or of a boundless creativity. The designated space and the works are in perpetual construction. In this study, both the geographical and literary archipelagos are conceptualized as a way to identify and bring together small portions of history and memories. The slave trade is a truly “unspeakable language” which does not provide any narrative. Against the backdrop of an absence of epic tales and myths, the texts that are considered for study have been highlighted. They are seeking to reproduce the fragmented and incomplete nature of life, thereby emphasizing the importance of nothingness, absence, the unspeakable and the ineffable. The initial “non-world” evolves into an emerging new digenic narrative space. Hence a geographical dematerialization within the narrative. The archipelago itself reproduces the unspeakable and invisible memories that are related to forgotten stories. Thus, the novels are not only describing geographical and historical nothingness, they are also transforming it into an asset for literature and poetry. What was once considered a fundamental flaw has become an asset for literary and creative thought.
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Minotaure et labyrinthe, l'indicible et l'invisible : expression du mythe dans la littérature québécoise / Minotaur and labyrinth, the unutterable and the invisible : Expression of the myth in quebecer literature

Rouquette, Nadine 08 July 2016 (has links)
La mythologie place l’homme face à la temporalité de l’existence. La littérature permet d’appréhender cette temporalité tout en la densifiant à travers l’art. Le motif récurrent du labyrinthe et la figure du Minotaure qui lui est indéfectiblement attachée dévoilent les liens inextricables de l’écriture, du mythe et de la lecture. Le roman de l’écrivain québécois Jean Barbe, paru en 2004 : Comment devenir un Monstre a réactualisé la figure du Minotaure et a maintenu ce fil d’Ariane jusque dans son dernier roman : Le Travail de l’huître, en développant ses deux facettes : monstruosité et labyrinthe. Cette remémoration littéraire des mythèmes Minotaure et Labyrinthe apparaît dans d’autres ouvrages québécois contemporains notamment depuis les années soixante. Elle révèle à la fois la plasticité formelle du mythe, car il se fait jour dans des ouvrages de styles littéraires différents, et dégage des constantes littéraires qui pourraient être liées spécifiquement au corpus québécois. Hubert Aquin et Gilbert La Rocque développent des écritures caractérisées par des mouvements labyrinthiques et des thématiques éclairant ce propos. D‘autres auteurs aux écritures différentes permettent d’essayer de démontrer la prégnance et l’adaptabilité de ce mythe tant du point de vue du signifiant que du signifié : R.Ducharme, G.Bessette, R.Lalonde, M.Tremblay, J. Renaud, Y.Thériault, complètent ainsi l’étude. Des auteurs féminins apportent un autre point de vue : Aude, M.C. Blais, A. Hébert, S. Jacob, G. Roy, avec les voix de la jeunesse : A. Dandurand, J. Hétu, M.H. Poitras. G. Soucy assure également la relève ainsi que J.F Beauchemin, Biz, Louis Hamelin et S.Trudel qui mettent en scène ce mythe de façon singulière et significative. La figure du Minotaure par la représentation concrète de son ambivalence peut-elle saisir les spécificités de la littérature québécoise contemporaine marquée par la fracture historique? Le labyrinthe, attaché indéfectiblement au Minotaure, tour à tour efface ou fait ressurgir le monstre innommable, l’invisible rejoint alors l’indicible. / Mythology brings human being to face the temporality of existence. Literature allows to grasp this temporality in making it dense through art. The recurrent motif of the Labyrinth and the Minotaur’s figure which is its indefectible tie reveal the inextricable bounds between writing, myth and reading. Quebecer author Jean Barbe’s novel 2004: Comment devenir un Monstre actualised the Minotaur’s figure and this Ariane’s thread was maintained until his last novel : Le Travail de l’huître, expanding its two sides : monstruosity and labyrinth. This literary remembrance of the mythemes Minotaur and Labyrinth becomes evident in other contemporaneous quebecer works especially since the sixties. It both reveals the formal plasticity of the myth, for it appears in novels from various literary styles, and show some literary constants which could specifically be linked to the quebecer corpus. Hubert Aquin and Gilbert La Rocque develop writings characterized by labyrinthine movements and themes shining a light on this topic. Other writers with different ways of writing allow to try and display the weight and adaptability of the myth both in the significans and the signification. R. Ducharme, G. Bessette, R. Lalonde, M. Tremblay, J. Renaud, Y. Thériault, complete the study in this manner. Feminine authors bring another point of vue : Aude, M.C. Blais, A. Hébert, S. Jacob, G. Roy, with the voices of youth : A. Dandurand, J. Hétu, M.H. Poitras. G. Soucy also succeed to them along with J.F Beauchemin, Biz, Louis Hamelin et S. Trudel who stage this myth in a singular and significant way. Can the Minotaur figure, through concrete representation of its own ambivalence, catch the specificities of a contemporary quebecer literature, branded by a historical split? The Labyrinth, indefectibly tied to the Minotaur, in turn vanishes or brings forth the nameless monster, the unutterable thus joining the invisible.

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