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Stratégies identiques dans l'opposition : le discours chinois et tibétain en exil sur la médecine traditionnelle tibétaine

Légaré-Dionne, Ménaïque January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Des théories du nationalisme à la construction identitaire nationale : l'identité nationale dans un contexte de légitimation politique en Chine

Huard-Champoux, Mathieu January 2008 (has links) (PDF)
Cette dissertation traite des théories du nationalisme et de la construction de l'identité nationale en Chine. Le mémoire se divise en deux parties interdépendantes. La première partie traite des études théoriques sur le nationalisme et l'identité nationale grâce à une revue de la littérature des grandes approches théoriques sur le nationalisme soit le primordialisme, l'ethnosymbolisme et le modernisme. L'analyse de ces approches permet d'évaluer la pertinence de chacune de ces approches théoriques. Suite à ce débroussailiage théorique, l'approche moderniste sera privilégiée pour la deuxième partie, car elle répond plus adéquatement aux analyses du discours nationaliste dans le cadre de la construction nationale. Ainsi, les approches ethnosymbolistes et primordialistes qui insistent respectivement sur l'origine ethnique des nations et sur la pérennité des communautés nationales au-delà de la période historique associée à la modernité ne prennent pas suffisamment en considération la construction culturelle, ethnique ou, dans certains cas, raciale du discours nationaliste. Un des problèmes principaux dans l'utilisation de ces deux approches réside dans la difficulté de retrouver dans la littérature « l'essence ethnique ou culturelle » d'une nation en particulier. La deuxième partie reprend les conclusions de la partie précédente sur l'évaluation des théories du nationalisme et tente, à l'aide d'une perspective moderniste, d'analyser les discours nationalistes en Chine à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Grâce à cette étude, il est possible de mettre en perspective les dimensions culturelles, raciales et ethniques de l'identité nationale chinoise. Ces dimensions renseignent sur l'instrumentalisation par les intellectuels de l'époque de la question identitaire nationale à des fins de légitimation et de mobilisation politiques pour l'établissement d'un projet idéologique particulier (régime impérial, constitution monarchique, républicanisme, libéralisme politique, socialisme, etc.). Cette partie tente de démontrer comment la nation chinoise, au même titre que toutes les nations du monde d'ailleurs, s'est construite à travers un discours qui n'a peu ou, dans certains cas, aucun fondement historique vérifiable et qui s'élabore au gré des contextes politiques et historiques de l'époque. Plus spécifiquement, cette partie tente de comprendre comment ces référents identitaires ont été incorporés au sein du discours des élites intellectuelles pour ensuite être intégrés aux projets politiques des partis au pouvoir en Chine au début du XXe siècle. Les différents concepts de nature raciale, ethnique, culturelle, idéologique utilisés dans le débat identitaire au tournant du XXe siècle démontrent comment ces concepts peuvent être instrumentalisés, redéfinis, inventés, réinventés et interchangeables selon le dessein politique de ceux ou celles qui les utilisent. Enfin, la dernière section permet de démontrer comment le débat identitaire du début du XXe siècle détermine les grandes lignes du discours nationaliste en Chine depuis les événements de la place Tiananmen en 1989. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Nationalisme, Théories du nationalisme, Identité nationale, Chine, Identité nationale chinoise, Discours nationaliste, Intellectuels, Légitimation politique.
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L'équation saoudienne : angoisse identitaire et éveil à la modernité

Catalán, Mirentxu January 2010 (has links) (PDF)
L'Arabie Saoudite, l'État, la société demeurent peu ou mal connus. L'image d'un pays aux moeurs moyenâgeuses prédomine dans les esprits en Occident. Très peu d'études se sont intéressées aux rapports sociaux et politiques au sein du royaume saoudien. Après une brève présentation de l'histoire politique de ce pays, le mémoire aborde les différents courants de pensée et les ébauches d'émancipation socio-politiques dans un régime monarchique qui fait face aux besoins de changement d'une société qui se cherche. Aujourd'hui beaucoup de Saoudiens aspirent à plus de modernité, de libertés; d'autres, tiennent à rester ancrés dans les valeurs conservatrices de l'Islam wahhabite. Dans cette équation combinant tradition et modernité, le régime monarchique demeure le paramètre principal. C'est sur ce besoin de conciliation entre passé et futur que le régime assoit sa légitimité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Arabie Saoudite, Wahhabisme, Islam, Islamisme, Islamo-libéralisme, Modernité, Tradition, Légitimité, Réforme, Identité.
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Stratégies identiques dans l'opposition : le discours chinois et tibétain en exil sur la médecine traditionnelle tibétaine

Légaré-Dionne, Ménaïque January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La (re)construction de la légitimité politique et le mouvement communautaire dans le contexte montréalais : une analyse à partir de la sociologie pragmatique de l'acteur réseau

Ceide, Orlando 01 November 2019 (has links)
Cette thèse de maitrise de sociologie cherche à comprendre le processus de (re) construction de la légitimité du pouvoir politique dans son articulation avec le mouvement communautaire au niveau municipal. Basée sur des enquêtes ethnographiques et entrevues semi-directives, cette recherche vise spécifiquement à comprendre comment les élu.e.s de la municipalité Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension de la Ville de Montréal (re)construisent la légitimité de leur pouvoir politique dans leurs interactions avec les acteurs et actrices du mouvement communautaire dans le contexte de la crise du logement et de la pauvreté identifiées comme deux principales controverses.
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État d'exception et crise de légitimité : une analyse politique des évènements d'octobre 1970

Tessier, Simon January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la crise d'octobre 1970, particulièrement sur l'instauration de l'état d'exception au Québec suite à deux enlèvements perpétrés par des membres du Front de Libération du Québec (FLQ). Par-delà la question de la lutte au terrorisme, l'état d'exception déployée durant les événements est analysé dans son lien avec la crise politique et sociale sous-jacente aux événements d'octobre. Ce mémoire vise ainsi à analyser la relation qui peut s'établir entre le recours aux mesures d'exception par le gouvernement fédéral et la crise de légitimité du pouvoir de l'Etat engendrée par le mouvement indépendantiste québécois.
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Reconstruire la légitimité démocratique : l'articulation entre public, communauté et demos dans la pensée de John Dewey

Inchauspé, François-Xavier 09 1900 (has links) (PDF)
La pensée de John Dewey ouvre de nombreuses voies pour repenser la légitimité politique en présentant la démocratie comme une expérimentation, une suite d'enquêtes : bref, sans solution générale préétablie. L'idéal démocratique que Dewey développe ne s'articule pas autour d'un centre commun et unique : un demos unifié qui serait la marque d'une identité collective nationale. Au contraire, le foyer de la légitimité démocratique est décentré, délocalisé et dénominalisé, car ce sont les « publics » qui s'assimilent chez Dewey à des pouvoirs constituants. Cependant, Dewey est incapable de rester fidèle à la conception décentrée de la démocratie qu'il introduit pourtant. Son appel à la reconstruction d'un demos (au singulier) homogène semble l'emporter sur le nécessaire développement de demoï (au pluriel) hétérogènes. En fait, sa conception démocratique sous-tend l'uniformisation des particularités des problèmes qui font naître les publics. Les différentes problématiques sociales sont toutes ramenées sous un problème englobant, premier, général et peut-être même final : la condition des travailleurs. Le peu d'attention qu'il accorde à certaines problématiques, comme celles impliquées par le racisme ou le sexisme, illustre bien cette forme d'avalement de la diversité des publics dans l'unité d'un public commun et central, seul apte à permettre le changement social. Sur la base de cette réinterprétation, il importe de réévaluer l'apport de Dewey aux réflexions entourant la question de la légitimité politique dans le contexte actuel marqué, d'une part, par l'éclatement des formes de participation citoyenne en dehors des canaux traditionnels, et d'autre part, par la multiplication et l'enchevêtrement d'institutions ayant autorité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Légitimité, public, décentrement démocratique, participation citoyenne, inclusion, pluralisme, diversité sociale, John Dewey, G.W.F. Hegel, James Bohman, Iris Marion Young, Pierre Rosanvallon.
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Les corses et la couronne d’Aragon fin XIIIe- milieu XVe siècle. Projets politiques et affrontement des légitimités / Corsicans and the Crown of Aragon- from the late XIII Century to the mid XV Century. Political Plans and Clashes of legitimacies

Colombani, Philippe 25 November 2015 (has links)
L’origine des revendications de la Couronne d’Aragon sur la Corse remontent à 1297 lorsque le pape Boniface VIII, qui veut se concilier l’alliance du roi d’Aragon Jacques II, lui donne en fief le royaume de Sardaigne et de Corse, constitué pour l’occasion. Il revient au roi de transformer cette inféodation nominale en domination effective. Durant la première moitié du XIVe siècle, les Catalano-aragonais concentrent leurs efforts sur la Sardaigne mais peinent à s’imposer en Corse où la Commune de Gênes dispose déjà de points d’appui puissants. Les Corses, pris dans ce conflit entre grandes puissances méditerranéennes, ne s’engagent que prudemment pour l’un ou l’autre parti. Les seigneurs insulaires tissent d’abord des liens entre ces suzerains antagonistes, pour tenter de favoriser leurs propres seigneuries. La situation change radicalement après 1358. Les peuples de Corse mènent une vaste révolte anti-seigneuriale et obtiennent l’aide de la Commune de Gênes, qui prend le contrôle du nord de l’île devenu Terra del Comune. Rejetant cette légitimité populaire et génoise, des barons Cinarchesi du sud parviennent à reconstituer leurs seigneuries avec l’aide du roi d’Aragon, ennemi de Gênes et suzerain féodal légitime. L’alliance aragonaise change alors de nature : née d’une convention diplomatique entre puissances extérieures, elle devient un enjeu interne à la Corse. Des seigneurs corses, comme Arrigo della Rocca ou Vincentello d’Istria, s’imposent comme chefs d’un parti royal opposé à Gênes et bénéficient de l’aide de leur suzerain. Pour eux cette l’alliance est aussi un atout dans leur projet de se constituer une seigneurie unique de Corse. L’île devient le champ d’affrontement de projets politiques concurrents, par lesquels chaque protagoniste, local ou extérieur, affirme sa légitimité à gouverner. Étudier les liens qui se sont tissés, du XIIIe au XVe siècle, entre les Corses et la Couronne d’Aragon revient à associer deux grilles d’analyse : une grille méditerranéenne, qui intègre la Corse dans le vaste conflit entre Gênes et l’Aragon, avec pour objectif de comprendre la nature du projet politique de la Couronne d’Aragon en Corse, et une grille locale qui se préoccupe de la façon dont les Corses ont intégrés le fait aragonais. On peut alors appréhender les particularismes et les évolutions de la culture politique corse, autour des thèmes de la légitimité du pouvoir et sa représentation. Mes recherches s’appuient essentiellement sur le fonds de l’Archivo de la Corona de Aragón à Barcelone, encore peu exploité pour la Corse, et particulièrement sur les registres de la Cancilleria real. Les documents aragonais sont confrontés aux chroniques corses, italiennes et catalanes, ainsi qu’aux documents de l’Archivio di Stato di Genova, afin de multiplier les angles d’approche et les échelles d’analyse. / The claims of the Crown of Aragon on Corsica go back to 1297, the year Pope Boniface VIII, eager to form an alliance with King James II of Aragon, bestowed on him the opportunely-created Kingdom of Sardinia and Corsica. It was for the King to turn this theoretical allegiance into an effective domination. During the first half of the XIV Century, the Catalan-Aragonese concentrated their efforts on Sardinia but found it hard to impose their rule on Corsica, where the Commune of Genoa already had many strongholds. Corsicans, caught in the midst of this conflict opposing two great Mediterranean powers, were careful not to choose sides hastily. The lords of the island first made alliances with those rival suzerains, in an attempt to favour their own seigneuries. The situation changed radically after 1358, when the Corsican peoples rebelled against their lords and obtained the help of the Commune of Genoa, which then took the control of Northern Corsica, now “Terra del Commune”.Rejecting this popular – and Genovese- legitimacy, some “Cinarchesi” barons succeeded in reconquering their Southern seigneuries, with the help of the King of Aragon, the enemy of Genoa and lawful suzerain. This changed the very nature of the Aragonese alliance – initially meant as a diplomatic covenant between two foreign powers, it now became a major issue inside Corsican society. Corsican lords, such as Arrigo della Rocca or Vincentellod’Istria, emerged as leaders of a royalist party, opposed to Genoa and benefitting from the help of the Crown of Aragon. For them, the alliance was also an asset in their own plan to turn Corsica into one single seigneury. The island became the scene of many a clash between competitive political agendas, in which each player – both local and foreign, tried to assert its claim to rule Corsica.Studying the ties formed between Corsicans and the Crown of Aragon from the XIII Century to the XV Century amounts to analyzing the situation from two perspectives – a Mediterranean one, which comprehends Corsica in the vast conflict between Genoa and Aragon and aims to understand the nature of the political plan of the Crown of Aragon as regarded Corsica, and a local one, which focuses on the extent to which Corsicans absorbed the Aragonese reality. The latter perspective highlights the specificities and evolutions of Corsican political culture and, in particular, issues such as the legitimacy of power and its representation.My research is, for the most part, based on documents from theArchivo de la Corona de Aragón in Barcelona, so far hardly exploited as regards Corsica, and in particular on the registers of the Cancilleria Real. Aragonese sources are confronted with Corsican, Italian and Catalan chronicles, as well as with the documents from the Archivio di Stato di Genova, in order to present as many different perspectives and axes of study as possible.
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Pratique développementaliste et légitimation du pouvoir des élites dominantes en Colombie (2002-2010)

Cárdenas Acosta, Manuel 12 1900 (has links) (PDF)
L'étude du modèle d'État dominant en Colombie et de l'idéologie de légitimation au fondement de ce dernier est l'objet de cette recherche. La recherche couvre la période de la présidence d'Alvaro Uribe Vélez, au cours des deux mandats de son gouvernement, soit de 2002 à 2010. Deux aspects du programme de gouvernement du président colombien nous intéressent particulièrement : son projet d'État communautaire et son pendant; la politique de sécurité démocratique. Nous nous sommes penchés surtout sur les plans de développement mis en forme et appliqués pendant cette présidence. À l'analyse, et c'est là l'objet de la première partie, il apparaît que l'État communautaire et son approche développementaliste sont des mécanismes destinés spécifiquement à promouvoir les intérêts des classes dominantes et à asseoir leur pouvoir sur les classes dominées. Notre hypothèse est que la mise en place de cet État communautaire ne vise rien d'autre que l'intensification de l'accumulation capitaliste et la consolidation de la mainmise de la bourgeoisie sur l'appareil d'État en s'appuyant, entre autres choses, sur une stratégie militaire/guerrière pour résoudre la contestation révolutionnaire des FARC et de l'ELN. La deuxième partie, centrée sur l'analyse de la superstructure de l'État communautaire, met en évidence le rôle du paramilitarisme dans la construction et la consolidation de cet État communautaire. La politique de sécurité démocratique, expression de cette stratégie, apparaît ainsi comme l'instrument d'éradication de la guérilla et d'autres types de contestations politiques de la domination de classe en Colombie et à ce titre, elle tend à s'imposer comme l'unique voie de sortie de l'affrontement armé. Utilisant un langage pseudo démocratique et une approche populiste, cette politique de sécurité démocratique est bien au service des classes dominantes. Les élites économiques, il n'y a pas de doute, se sont incontestablement enrichies entre 2002 et 2010, tout en renforçant leur emprise sur l'État. Parallèlement, la situation des classes défavorisées est très loin de s'être améliorée et ces dernières, cibles par excellence de cette politique, laissent bien voir dans leur comportement le triomphe de l'idéologie dominante. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Colombie, Alvaro Uribe Vélez, État communautaire, sécurité démocratique, idéologie, lutte de classes, légitimation, pouvoir.
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L'improbable stabilité d'un pays au bord de la crise : un regard sur les grands paradigmes en science politique traitant du royaume d'Arabie Saoudite

Arvisais, Olivier 04 1900 (has links) (PDF)
Dans la littérature concernant l'Arabie Saoudite, on parle souvent du caractère instable de la structure politique. Le royaume est souvent décrit comme étant au bord de la crise, prête à exploser. Pourtant, jusqu'à ce jour le royaume affiche une certaine stabilité au niveau politique. De plus, les récents évènements des révoltes arabes du printemps 2011 confirment la grande stabilité du régime et le faible niveau de mobilisation de l'opposition et de la contestation, contrairement à ses voisins. Afin d'améliorer notre compréhension des problématiques sociopolitiques en Arabie Saoudite l'objectif de ce mémoire est de circonscrire la façon dont le paradigme de l'État rentier permet de comprendre l'évolution contemporaine de l'Arabie saoudite, et comment il s'articule avec d'autres logiques de rapports sociaux et de rapports de pouvoir, particulièrement avec la notion des liens primordiaux. Nous souhaitons ainsi orienter la lecture des faits empiriques et la validité de notre approche se situe au niveau de la richesse de l'analyse et de l'orientation qu'elle permet. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Arabie Saoudite, État rentier, liens primordiaux, jeunes, mentalité, contestation, État, société, légitimité.

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