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Anthologie des sonnets au Québec

Cunningham, Mélanie January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Huit cent mille : blague de bébé mort, suivi de Le silence dans la dramaturgie de la guerre chez W. Mouawad et A. Farhoud

Gaudet, Renée January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Ecrits littéraires de femmes en Egypte francophone : la femme "nouvelle" de 1897-1961

Gaden, Elodie 02 December 2013 (has links) (PDF)
Entre les dernières décennies du XXe siècle et les années 1960 naît et se développe en Égypte une importante production littéraire de femmes : des Égyptiennes éduquées en français (comme Out-el-Kouloub et Doria Shafik) choisissent cette langue pour dire les aspirations de la " femme nouvelle ", qui quitte alors l'espace privé et confiné du harem pour investir l'espace public et porter haut et fort, malgré les réticences séculaires et les résistances des milieux conservateurs, des revendications sociales (féminisme, nationalisme) et culturelles. Des Françaises comme Jehan d'Ivray ou Valentine de Saint-Point s'installent à cette même période en Égypte, et deviennent les témoins et les actrices de cette Renaissance culturelle. Ces auteures investissent divers genres littéraires comme le roman et la poésie mais aussi l'essai ou l'écrit de recherche universitaire, elles publient dans des périodiques, ou créent des revues pour se dire. Elles mettent ainsi à l'épreuve les catégories opposant genres dits féminins et genres dits masculins. Elles contribuent à élaborer une œuvre interculturelle prenant en compte les traditions génériques françaises et égyptiennes, et proposent un renouvellement de la représentation de la femme et de l'Orient. Les écrits littéraires de femmes rassemblent une production très vaste mais qui demeure pourtant peu connue, peu rééditée et peu lue de nos jours, alors même qu'elle jouissait parfois d'une véritable reconnaissance des lecteurs et des institutions littéraires à l'époque de leur parution. Notre travail a consisté à constituer un corpus, c'est-à-dire à l'identifier, à le rassembler, à le classer avant de l'analyser. Il s'agit d'écrire un chapitre oublié de l'histoire littéraire et de s'interroger sur le statut de la littérature des femmes et de la littérature francophone dans la tradition critique.
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Gènes et mythes littéraires : pour un modèle biologique du dynamisme mythique

Ghiasizarch, Abolghasem 14 January 2011 (has links) (PDF)
La présente recherche est une approche transdisciplinaire et pluridisciplinaire qui a pour objet principal, la réévaluation et la redéfinition du concept du mythe littéraire, en abordant la vision des sciences biologiques, plus précisément la génétique dont les instruments et concepts servent de notre point de vue à la reconfiguration des structures déjà classiques de l'imaginaire. Nous avons comme objectif de proposer une définition du mythe qui rend compte de son évolution dans les cultures, non pas une définition statique, immobile ; mais une définition qui suppose l'idée de l'évolution. Le biologiste anglais, Richard Dawkins, écrit en 1976 Le Gène égoïste, dans lequel il explique que "toute vie évolue en fonction des chances de survie des entités répliquées". Selon lui, le gène est la principale unité de sélection dans l'évolution. Dawkins invente aussi le concept de " mème " comme étant l'unité de l'évolution culturelle par analogie avec le gène. Donc, il estime qu'il y a un rapport très fort entre la génétique et la culture humaine, autrement dit, entre le monde physique, le cerveau humain et l'imaginaire. Claude Lévi-Strauss dans, Roger Caillois, Gilbert Durand et Richard Dawkins voyaient une liaison forte entre l'imaginaire et la biologie. Mais, leurs recherches n'aboutissent pas à présenter un modèle concret. Ce que nous essayerons de présenter dans notre recherche, est un nouveau parcours vers ce but avec le nouvel outil de la génétique. Nous étudions quelque domaine crucial de l'imaginaire tel que l'origine ou le Big Bang de l'imaginaire, la frontière dans l'imaginaire et le réel, le tableau des gènes littéraires et les codes des gènes littéraires. C'est une sorte de redécouverte de l'imaginaire basé sur le gène et mythe littéraire. Pour prouver notre point de vue, nous appliquons la méthode du repérage des gènes littéraires sur un récit. Cette recherche transdisciplinaire veut mettre en évidence que le mythe, comme il est défini par les mythologues, les ethnographes, les anthropologues etc., n'est pas seulement un phénomène culturel, religieux, historique, ou déterminé par les représentations littéraires, mais il est en fait, déterminé par les structures génétiques qui préparent l'homme à la propension et la compétence de raconter des " histoires "/ des " récits ".
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Théories esthétiques et polémique littéraire dans les revues moscovites de l'époque romantique (1824-1834)

Després, Isabelle 17 December 1994 (has links) (PDF)
Cet ouvrage dresse un état des lieux des débats autour du romantisme, tels qu'ils se reflètent dans les revues publiées à Moscou, entre 1824, date de la parution de la revue des futurs décembristes Mnémozyne, et 1834, date de l'interdiction du Telegraf de N. Polevoï et de la publication, dans le supplément du Teleskop de N. Nadejdine, du célèbre article de V. Belinski, " Les rêveries littéraires ". La première partie montre qu'au-delà des divergences, tous les hommes de lettres du début du XIXe siècle étaient réunis par un même objectif, susciter l'apparition d'une littérature russe à la fois nationale, et " moderne ", c'est à dire européenne. Les critiques russes reprennent méthodiquement les théories esthétiques des romantiques européens, en particulier de l'école d'Iéna: Schiller, F. et A. Schlegel, Tieck et Wackenroder . Grâce à un recours à la philosophie allemande, et particulièrement à l'idéalisme objectif de Schelling, les romantiques moscovites parviennent à donner un fondement philosophique à leur esthétique, et ainsi à justifier l'existence d'une critique littéraire. On examine également les différences contextuelles entre le romantisme français et le romantisme russe: le romantisme français est plus social et politique, que national et philosophique. Le rejet par Nadejdine du romantisme dans ce qu'il a de plus excessif, se fait au nom de la morale, voire même des convenances, tandis que pour Polevoï, la vérité est toujours morale si elle est bien intentionnée. Enfin, le futur grand critique V. Belinski introduit l'idée dialectique de la lutte entre le bien et le mal, qui a pour corollaire celle de la nécessité de l'existence du mal, pour l'existence du bien. La dialectique est un des apports essentiels de la philosophie allemande à la théorie esthétique. C'est d'elle que découle la théorie des moments de l'art. Elle permet aux critiques d'envisager la synthèse du classicisme et du romantisme, qui ne sont plus considérés comme deux mouvements antagonistes, mais comme deux phases du développement de l'art. Parallèlement, Hegel développe une nouvelle philosophie de l'histoire. Tout cela va permettre l'émergence d'une critique fondée sur la méthode historique, où les écrivains ne sont plus considérés indépendamment les uns des autres, mais en relation les uns par rapport aux autres. Nadejdine conclut que le temps est venu, pour l'humanité civilisée, d'un art nouveau, authentiquement national, s'appuyant sur la synthèse du classicisme et du romantisme. Dans la seconde partie de notre thèse, intitulée " Construire une littérature nationale ", on reconsidère la question du romantisme sous l'angle de la narodnost'. Le débat sur l'imitation a montré que le romantisme russe n'est pas homogène, mais présente deux tendances, dont l'une met l'accent sur la modernité et l'esprit du siècle, tandis que l'autre considère le romantisme comme une libération, et insiste sur l'affirmation de l'esprit national, et l'expression sincère et authentique de l'artiste. À partir des années trente, les critiques moscovites acceptent et assument la différence avec l'Europe. Le débat se porte sur la notion de narodnost', et il apparaît que le caractère national n'est pas dans la forme extérieure de l'œuvre, mais dans le regard du poète, dans le poète lui-même, ce qui amène à la reconnaissance de Pouchkine comme poète national . Puis la critique peu à peu se met à chercher le caractère national non plus dans le Poète russe, mais dans la vie russe, ce qui apparaît comme un pas décisif vers le réalisme. Ainsi se pose la question du héros national. Dans les années trente, on recherche le caractère national dans la représentation de l'histoire russe. En outre, considérant que les formes lyriques ne correspondent plus aux exigences de la modernité, ni à l'expression de l'identité nationale, les critiques cherchent un nouveau genre, adapté à l'expression du caractère russe. Le drame romantique shakespearien apparaît comme le genre le plus approprié à la mise en scène de l'esprit de l'époque représentée, et de l'esprit du peuple-héros. Pourtant, la parution du drame de Pouchkine Poltava en 1829 reçoit un accueil mitigé. La critique considère que Pouchkine ne s'est pas affranchi de l'influence de Byron. Boris Godounov, écrit plus tôt mais publié deux ans plus tard, correspond mieux aux attentes de la critique, mais seul I. Kireevski salue sans réserves ce tournant dans l'œuvre de Pouchkine. Mais l'histoire ne doit pas être la seule source d'inspiration. Le présent de la Russie n'est pas moins authentiquement russe que son passé. Le peuple, contrairement à la société cultivée, a été préservé des influences européennes. On termine ce chapitre en laissant entrevoir ce que sera la critique " réelle ", et le réalisme russe de la seconde moitié du XIXe siècle. La troisième partie étudie, à travers les débats théoriques et la polémique, la naissance d'une critique littéraire russe. Un premier chapitre retrace l'évolution de la vie littéraire à Moscou et décrit la guerre des périodiques, qui culmine en 1829. Mais après 1830, progressivement, avec l'appauvrissement de l'aristocratie qui entraîne la fin du mécénat, les débuts de l'ère industrielle, le changement des mentalités, il apparaît qu'une revue moderne, pour être rentable, doit aller dans le sens du goût du public le plus large, qu'elle doit être attrayante, qu'elle doit informer, être ouverte sur les cultures européennes. La critique littéraire a une place déterminante dans les revues des années trente, et il devient nécessaire pour elle de redéfinir ses outils et ses critères. On étudie ensuite la polémique sous un angle nouveau, celui des " plébéiens " (M. Pogodine, N. Polevoï) opposés aux aristocrates (P. Viazemski, V. Odoevski, I. Kireevski), et on termine par l'opposition Moscou / Saint-Pétersbourg. Le dernier chapitre est consacré à la méthode critique naissante. Celle-ci s'appuie sur la philosophie de l'idéalisme allemand, subjectif puis objectif. D'autre part, selon la méthode des critiques romantiques européens, l'œuvre ne doit pas être considérée indépendamment de l'auteur. Il faut prendre en compte l'homme, son caractère et sa vie, se plonger dans son univers, s'en faire un ami. C'est la méthode prônée par N. Polevoï. Nadejdine, lui, refuse catégoriquement cette méthode biographique. Il s'attache exclusivement à l'œuvre, et à son caractère national, qu'il juge en la comparant à la réalité. Le critique aura le rôle de confrontation de l'œuvre à la réalité. L'œuvre est considérée comme un document sur la vie, comme un témoignage sur la réalité. Le critique est donc tenté de donner son opinion sur la société russe et la signification de l'histoire russe, d'autant plus que les conditions politiques et la censure d'Etat ne laissent pas de place pour un journalisme d'opinion indépendant. L'œuvre littéraire devient pour le critique un prétexte pour construire sa propre représentation de la réalité russe. L'article critique tend à devenir un essai littéraire.
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Engagement littéraire et création romanesque dans l'œuvre de Mongo Beti

Aït-Aarab, Mohamed 08 December 2010 (has links) (PDF)
Une double dynamique traverse l'œuvre de Mongo Beti, et ce dès 1953 et ses débuts en littérature : en premier lieu, un engagement inflexible, intransigeant, que l'écrivain brandit comme un signe identificateur de son esthétique romanesque et de son action citoyenne. En second lieu, un courant d'échanges souvent fructueux s'instaure entre " prose latérale " (écrits journalistiques et politiques, essais, pamphlets) et production fictionnelle. Autant dire que l'homme et l'œuvre, pour reprendre une formule désuète, sont indissociablement liés et que les combats de l'un trouve toujours un écho et une transposition, plus ou moins distanciée selon les périodes, dans l'autre. Dans le sillage de Sartre et fidèle en cela à la volonté affichée par les promoteurs de la revue Les Temps modernes, Beti refuse le silence du clerc. Et si trahison il y a, elle se niche, selon lui, dans le refus obstiné de dire l'injustice criante et les manquements aux droits de l'homme. C'est cette ligne de conduite idéologique et scripturaire qui unit tous les ouvrages de Mongo Beti, de la " chronique coloniale " aux " romans d'un retour au pays natal " que ce travail souhaite mettre en évidence, tout en s'interrogeant sur les limites et les tensions qu'engendre une telle posture. Mais, parce qu'il n'est pas un propagandiste appointé mettant son œuvre au service d'une cause qui la transcenderait, Beti évite le piège du roman à thèse - même si certains textes, ceux du " cycle Dzewatama " en particulier, témoignent d'un didactisme pesant - et livre une œuvre qui est avant tout le témoignage passionné et ironique sur plus de soixante-dix ans de l'histoire, souvent douloureuse et tragique, parfois drolatique, de l'Afrique.
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La formation du canon de la nouvelle en Finlande et en Estonie

Carayol, Martin 05 December 2013 (has links) (PDF)
Ce travail vise à observer les mécanismes à l'œuvre dans la canonisation des nouvelles finlandaises et estoniennes. L'auteur présente d'abord les travaux théoriques qui concernent le canon littéraire et les fréquents débats entourant cette notion. Il étudie ensuite le rôle des plus importantes instances canonisatrices (recensions, travaux critiques, prix littéraires, anthologies, traductions, institution scolaire et universitaire) en Finlande et en Estonie. Une attention particulière est accordée à la réception critique dans les revues littéraires des deux pays, et à la présentation qui est faite des classiques de la nouvelle dans les manuels de littérature.Des études de cas sont ensuite présentées : à partir d'exemples tirés d'écrivains ou de thèmes précis, l'auteur y met en lumière certains phénomènes caractéristiques de la canonisation, et diverses circonstances susceptibles de faciliter la canonisation des textes, ou au contraire d'y faire obstacle. Ces analyses débouchent sur des propositions de nouveaux outils théoriques pour l'étude diachronique des canons.
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Archipel suivi de L'étrangère en son royaume : la psyché du lieu chez Marguerite Duras

Chantraine, Dominique 08 1900 (has links)
À partir de courts récits, la narratrice reconstitue le passé d’une famille. Le personnage central, une petite fille, est la narratrice qui retrace les événements qui ont mené à l’éclatement de la cellule familiale. Cette histoire autobiographique est rédigée au « elle » dans un souci de se distancier de ce passé. La petite fille a grandi et la narratrice qu’elle est devenue se réapproprie son héritage : la possibilité d’écrire cette histoire. Dans l’œuvre de Marguerite Duras, les lieux sont souvent sollicités pour participer à la narration des événements. Dans La pute de la côte normande et Écrire, deux œuvres autobiographiques rédigées au « je », les lieux sont ceux du quotidien. Ceux-ci sont révélateurs de la psychologie de l’auteure et se mêlent à la préoccupation d’écrire. Ainsi, Marguerite Duras, ses lieux et son écriture se retrouvent-ils liés par le langage de l’auteure, lequel témoigne du vide laissé par la mort de son père. / Through short accounts, the narrator reconstitutes the past of a family. The main character, a young girl, is the narrator attempting to trace the events which led to the break-up of her family cell. Seeking to distance herself from this past, she delivers the auto-biographical story using the third person. The little girl has grown up, and the narrator she has become attempts to reclaim her heritage: the possibility of writing this story. In Marguerite Duras’ work, the presence of surroundings is often solicited to participate in narrating the events. In La pute de la côte normande and Écrire, two auto-biographical works written in the first person, the places evoked are those sheltering her everyday life. Those are revealing of the author’s psychology and intertwine with the concern of writing. Marguerite Duras, her surroundings and her writing style become bound to one another by the author’s language, which reveals the void caused by her father’s death.
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Playing the woman, gender performance on the contemporary stage

Solga, Kimberly A. January 1997 (has links) (PDF)
No description available.
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Les essais de jeunesse d'Hubert Aquin, la genèse d'un écrivain

Madore, Geneviève January 1999 (has links) (PDF)
No description available.

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