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Stravinsky's approach to opera

Truman, Philip A. January 1981 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le cahier des charges au Palais Garnier (1879-1914) : grandeur et misères du grand opéra / The specifications at Palais Garnier (1879-1914) : greatness and proverties of the big opera

Monnin-Tonetti, Lucette 11 October 2013 (has links)
Tout au long du XIXe siècle Paris demeura d’un point de vue culturel et artistique un tropisme au cœur de l’Europe en particulier grâce au grand opéra français qui fut selon les spécialistes de la question un art politique majeur de 1820 à 1870 ; de sorte que l’Opéra de Paris devint la première scène européenne. Or, en 1879, la République des opportunistes allait non seulement amorcer un tournant radical dans la vie politique française mais aussi fixer nombre d’éléments constitutifs de notre paysage politique actuel. Aussi, nous a-t-il paru intéressant de nous demander d’une part, si le grand opéra français à la fin du XIXe siècle, et plus précisément de 1879 à 1914 demeurait un genre représentatif au regard des réalités artistiques et d’autre part, s’il s’inscrivait toujours dans une perspective historique et politique ou bien au contraire était-il devenu un archétype désuet ? Pour cela, nous nous sommes attelés à une étude critique des différents cahiers des charges qui fondent juridiquement le grand opéra, même si ce genre musical est antérieur de peu il est vrai à ceux-ci, avant de nous intéresser à l’esthétique proprement dit de ce dernier. Puis, dans un second temps nous avons choisi de mettre au jour les implications financières de cette entreprise artistique au cœur de la IIIe République, en évaluant la place de l’Opéra de Paris au regard des autres arts, mais aussi au regard des autres théâtres francophones limitrophes. C’est donc à une étude sociocritique d’un genre déterminé par l’Institution qu’il reflète que nous nous sommes consacrés tout en démontrant que la IIIe République avait engagé l’Institution dans des contraintes lourdes régie par un cahier de charges qui liait l’Opéra de Paris à l’État, à une époque de stabilité politique. / Throughout the 19th century Paris remained by a cultural and artistic point of view a tropism at the heart of Europe, in particular thanks to big french opera which was accoding the specialists of the question a major political art from 1820 till 1870 ; so that the opera of Paris became the first Euopean stage. Given that, in 1879 the Republic of the opportunist was not only going to prime a radical turning point in the french political life but also to fix number of elements which belong of our current political scene. So, it seemed to us interesting to ask us one hand, if the big French opera at the end of the 19th century and more exactly from 1879 till 1914 remained a representative musical genre with regard to the artistic realities and on the other hand, if it always joined one a historical and political perspective either on the contrary it had become an old-fashioned archetype ? For that purpose, we are attached in a critical study of the various specifications which legally the big opera of Paris, even if the musical genre is previous is it true a little of these, before interesting us in the esthetics itself of the latter. Then, secondly we chose to bring the light the financial implications of the artistic compagny at the heart of the IIIth Republic, by estimating the part of the opera of Paris with the regard of the otherbordering frendh-speaking theaters. It is a socialcritical study of determined genre by the Institution which reflects is that we dedicated ouselves while demonstrating that the IIIth Republic had comitted the Institution in heavy contraints governed by a specifications which bound the Opera of Paris to the State, at a period of political stability.
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La Tribune et la Scène. Les débats parlementaires sur le théâtre en France au XIXe siècle (1789-1914) / Tribune ans Stage. The parliamentary debates about theatre in France in the 19th century (1789-1914)

Nicolle, Sylvain 03 December 2015 (has links)
Il existe une véritable « civilisation du théâtre » en France au XIXe siècle. Cette thèse analyse l’ensemble des débats parlementaires qui s’y rapportent de 1789 à 1914 à partir d’un vaste corpus de sources, en particulier les débats budgétaires, les pétitions, les questions et interpellations et les projets de loi. La première partie interroge la contribution parlementaire à la politique théâtrale de l’Etat à travers trois leviers d’action. Le « système du privilège » s’oppose à la logique libérale de l’industrie théâtrale entre 1807 et 1864. La subvention que l’Etat accorde aux théâtres passe de la liste civile au budget de l’Etat à partir de 1820 : ce transfert de souveraineté menace le principe même de la subvention en le soumettant de façon inédite aux aléas des débats parlementaires. La censure constitue le troisième grand levier d’action sur les théâtres, que l’Etat conserve jusqu’en 1905 : l’analyse des arguments pour la justifier ou la combattre met en exergue une corrélation peu évidente entre les convictions énoncées et la culture politique des parlementaires. La seconde partie montre comment leur participation à la politique théâtrale de l’Etat peut être envisagée comme un révélateur de la viepolitique au XIXe siècle. La plongée au cœur de l’action parlementaire, en commission, à la tribune, ou à l’extérieur du Parlement, débouche sur une typologie des parlementaires intervenant sur le théâtre. La question théâtrale est ensuite envisagée au miroir du parlementarisme, tandis que l’instrumentalisation politique des débats sur le théâtre est soulignée à travers les nombreuses digressions internes qui les affectent. La troisième partie s’attèle enfin à comprendre les préoccupations esthétiques et sociales des parlementaires du XIXe siècle à l’égard de la vie théâtrale, envisagée du triple point de vue du répertoire, des auteurs et des artistes, et propose ainsi une histoire parlementaire du goût. / There is a real “theatre civilization” in France in the 19th century. This thesis analyses thewhole of parliamentary debates about this ‘’theatre civilization’’ between 1789 and 1914 based on alarge corpus of sources, including especially the budgetary debates, petitions, questions andinterpellations, and bills. The first part questions the parliamentary contribution to the State theatricalpolicies through three levers of action. The “privilege system” goes against the liberal logic of thetheatre industry between 1807 and 1864. The grant given by the State to the theatres goes from thecivil list to the State budget in 1820 : this sovereignty transfer undermines the very principle of grant,by making it subject to the whims of parliamentary debates in an entirely new way. Censorshipconstitutes the great third lever of action on theatres that the state retains until 1905 : the analysis ofthe arguments aimed at justifying or fighting censorship brings out a not so obvious correlationbetween the expressed beliefs and the political culture of Parliament members. The second part showshow the participation of Parliament members in the State theatre policies can be considered as anindicator of the political life in the 19th century. The dive into the heart of parliamentary action, incommittee, at the tribune or outside the parliament opens into a typology of Parliaments membersintervening about theatres. The theatrical matter is next considered in the mirror of parlementarismwhile the political instrumentation of debates about theatre is underlined through the many internaldigressions which affect them. Finally, the third part gets down to understanding the aesthetic andsocial concerns of the Parliament members in the 19th century towards the theatre life consideredunder a triple view point of repertory, authors and artists, thus suggesting a parliamentary history oftaste.
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Text und ’Subtext’ in der frühen Opéra-comique: Zur Semantik des Vaudevilles

Betzwieser, Thomas 08 January 2020 (has links)
No description available.
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The artist and the Opéra : Manet, Degas, Cassatt

Bronfman, Beverly January 1991 (has links)
No description available.
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Les traductions françaises de Die Entführung aus dem Serail et Die Zauberflöte de W. A. Mozart sur les scènes parisiennes de 1798 à 1954 / The french translations of Mozart's Entführung aus dem Serail and Zauberflöte performed in Paris between 1798 and 1954

Obert, Julie 24 September 2013 (has links)
De la fin du 18e siècle jusqu’au milieu du 20e siècle, la plupart des opéras de Mozart ont été joués en français sur les scènes parisiennes. Condition essentielle aux représentations, la traduction a donc joué un rôle décisif dans la diffusion des œuvres lyriques de Mozart en France. Cette thèse étudie les traductions françaises des deux plus célèbres opéras de Mozart en langue allemande, Die Entführung aus dem Serail und Die Zauberflöte, représentées sur les scènes parisiennes entre 1798 et 1954. S’appuyant sur de nombreuses sources encore inédites, cette étude cherche à comprendre comment les traducteurs affrontent les multiples enjeux que représente la traduction des livrets allemands pour le public français. Loin de n’assurer que le transfert d’une langue à l’autre, les traductions remodèlent sans cesse le livret comme la partition des opéras mozartiens, donnant souvent naissance à des œuvres entièrement nouvelles. En croisant l’approche historique et les méthodes de l’analyse textuelle, il s’agit de mettre en lumière les spécificités de chaque traduction, d’éclairer les choix des traducteurs et d’interroger l’évolution des traductions au fil du temps. En permettant au public français de découvrir et d’entendre les opéras de Mozart, les traductions façonnent la réception française de ces œuvres en même temps qu’elles en témoignent. Ce qui est en cause est tout autant la situation particulière du monde lyrique français et ses rapports avec les pays de langue allemande, que la conception de la traduction et de l’œuvre d’art. / The two German operas of Mozart, Die Entführung aus dem Serail and Die Zauberflöte were performed primarily in French from the end of the 18th century until the middle of the 20th century. Cultural conventions and market conditions required that the libretti of German operas be translated into French. In consequence, translation was a vital element in the diffusion of Mozart’s operatic corpus in France. This dissertation is the first to focus on all four sequential translations of Die Entführung aus dem Serail and the five of Die Zauberflöte, performed in Paris between 1798 and 1954. Based on a number of unpublished manuscripts and unknown publications, this scholarly study of the process of translation discloses the transformations of the original works into new versions of Mozart’s operas, not only in the libretti but also in the music. What matters most is to understand how these translations were made and how they evolved over time, as well as exploring the way translators approached the particular difficulties presented by the need to translate texts meant to be sung. What we see is not only a set of changes in the nature of translations, but also a shift in the professional and popular understanding of what constitutes a work of art. Translation both transmitted and framed the meanings of Mozart’s operas at the same time as they made them available to the French musical world. In this context we can see how fruitful it is to braid together musicological research and the insights of literary scholarship in German studies. / In Frankreich wurden Mozarts Opern vom Ende des 18. Jahrhunderts bis in die zweite Hälfte des 20. Jahrhunderts hinein in erster Linie auf Französisch aufgeführt. Um kulturellen Konventionen Genüge zu tun und Markttauglichkeit zu sichern, mussten deutsche Opernlibretti ins Französische übertragen werden, damit das Publikum die Werke verstehen konnte. Folglich waren Übersetzungen eine unumgängliche Voraussetzung für die Verbreitung von Mozarts Opernschaffen in Frankreich. Die vorliegende Dissertation untersucht zum ersten Mal alle Übersetzungen der beiden bekanntesten deutschsprachigen Opern Mozarts, Die Entführung aus dem Serail und Die Zauberflöte, die zwischen 1798 und 1954 auf Pariser Bühnen zu hören und zu sehen waren. Die Studie zieht eine Reihe unveröffentlichter Handschriften und in Vergessenheit geratener Veröffentlichungen heran und zeigt, dass die Übersetzer nicht nur am Text, sondern auch an der Musik Veränderungen vornahmen, die die neuen Fassungen gleichsam zu eigenständigen Werken machten. Das vorrangige Ziel der Arbeit besteht darin zu verstehen, wie die jeweilige Gestaltung der Übersetzungen zustande kam, und wie sie sich im Lauf der Zeit entwickelten. Dabei wird nicht nur ein Wandel in der Übersetzungsart festgestellt: vielmehr wird auch sichtbar, dass sich bei den Übersetzern wie beim Publikum die Auffassung verändert von dem, was ein Kunstwerk ist, und wie man mit ihm umgehen sollte. Indem sie Mozarts Opern der französischen Musikwelt zugänglich machten, bestimmten die Übertragungen das Verständnis der Werke mit, so dass sie aufschlussreiche Quellen zur französischen Mozart-Rezeption darstellen. Um diesen Verschiebungen und wechselseitigen Wirkungen nachzugehen, werden die Methoden der Übersetzungskritik mit den Grundlagen historischmusikwissenschaftlicher Forschung zusammengeführt.
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Adapter l'opéra au cinéma, entre création et reproduction : étude sociologique de "La Flûte enchantée" de Bergman

Bernard, Justin 01 1900 (has links)
La version intégrale de ce mémoire est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal www.bib.umontreal.ca/MU). / "La Flûte enchantée" (1975), téléfilm d’Ingmar Bergman, pose, dans une perspective sociologique, la question de l’adaptation de l’oeuvre alliée aux intentions esthétiques de son auteur. En quoi Bergman est-il parvenu à adapter "La Flûte enchantée" à la société, principalement suédoise, de 1975 à laquelle son film est destiné ? Comment développe-t-il sa contribution esthétique entre le respect de l’oeuvre, tant sur le plan de son contenu dramatique que sur le plan de sa réception, et l’innovation qui est à la base de son approche cinématographique ? De par son mode de diffusion télévisuel, le film de Bergman rend l’opéra accessible au plus grand nombre. De par ses réarrangements du livret, traduit en suédois, il réactualise l’oeuvre de Mozart. De par ses traits esthétiques, il exprime une vision de son auteur sur la représentation même d’un opéra sur scène et marque de son empreinte l’histoire des mises à l’écran d’opéras. / "The Magic Flute" (1975) is a television film directed by Ingmar Bergman which, from a sociological perspective, raises the question of an opera’s film adaptation paired with the aesthetic endeavours of filmmaking. How does Bergman succeed in adapting "The Magic Flute" to a contemporary, mainly Swedish, 1975 audience to whom his film is intended? How does he develop his aesthetic contribution as he comes face to face with the difficult choice between owing respect to the opera, in terms of the libretto’s content and of its reception, and envisioning a work of its own? Through its telecast, Bergman’s film makes the opera accessible to the public at large. By rearranging the libretto, translated into Swedish, it attunes Mozart’s work to contemporary issues. It also bears aesthetic traits which express Bergman’s ideas about the theatrical performance of an opera and has left its imprint on the history of operas on screen.
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Lecture et interprétation du Théâtre d'Ippolito Nievo : « I Beffeggiatori » et les fragments dramatiques / The Reading and interpretation of Ippolito Nievo's Theatre "I Beffeggiatori" and dramatic fragments

Crisanti, Flavia 06 December 2010 (has links)
À l'exception de Le Confessioni di un italiano, le roman le plus célèbre d'Ippolito Nievo (1831-1861), - et d'une partie de sa production poétique – Le poesie garibaldine- , les œuvres de Nievo sont encore, en grande partie, étudies selon l'image du début du XXe siècle fixée par Dino Mantovani. Le premier biographe de Nievo a voulu relever dans ses œuvres une dimension poétique et esthétique liée au Romantisme, auxquelles s'ajoute un arrière fond politique. Cet portrait a marqué la tendance de la critique italienne à lire et relire Nievo comme l'écrivain qui a donné les plus belles pages de la littérature du Risorgimento, mais, en même temps, qui n'a jamais eu une propre et véritable dimension intellectuelle. Mais, depuis le lancement de l'Edition Nationale de l'Œuvres d'Ippolito Nievo en 2005 à Padoue, cette image a commencé lentement a changer. Il y a eu un revirement critique signalé par la décision de publier comme premiers titres les comédies Pindaro Pulcinella et Le Invasioni moderne, soulignant la volonté d'ouvrir les études aux textes moins connus qui avaient été sacrifiés et, parfois, jamais publies au XXe siècle. Cette approche, donc, a engendré une revalorisation et une redécouverte de toute sa production romanesque, poétique et journalistique. Par conséquence il à été possible pénétrer totalement sa pratique d'écriture. Quant à ce sujet il s'arrive que Nievo avait l'habitude de rédiger en même temps des textes de nature très différente: des poèmes et des roman, des articles et des lettres. Cette pratique a mise à jour la naturelle tendance à abattre les confins entre les genres.Pour ce qui concerne les œuvres théâtrales, dont nous proposons l'édition critique (la comédie I « Beffeggiatori » et les brouillons pour une comédie en vers « Don Giovanni » et un livret d'opéra « Consuelo ») cette absence de confins est encore plus évidente. D'une manière générale on peut affirmer que Nievo n'a jamais regardé au théâtre contemporain, mais il a fondé sa dramaturgie sur des éléments très éloignes entre eux: la tradition goldonienne pour la fonction des personnages par rapport à certaines situations (par exemple la typologie du moquer ou des amoureux), la production romanesque française de Honoré de Balzac, de Stendhal et de George Sand pour la structure des relations entre les personnages et pour le choix des thèmes d'actualité (par exemple la description ironique du pouvoir politique de l'aristocratie). Donc il apparaît aujourd'hui que, même si Nievo n'avait jamais quitte l'Italie, sa dimension existentielle et intellectuelle était complètement européenne. Il s'agit d'une double identité littéraire et nationale ambiguë, qui dénoue très clairement la complexité de l'écrivain italien. / For a long time Ippolito Nievo’s (1831-1861) theatrical production was considered less important than his work of narrative and was considered as “juvenile work”. On the contrary, during the last ten years of the Nineteenth century, it was reconsidered and it brought to the discovery of several comic texts, such as Le Invasioni Moderne and Il Pindaro Pulcinella, which have showed Nievo’s cleverness in writing plays for the theatre.The edition of the last unpublished production, which is presented in this essay, completes and broadens the studies done on Nievo’s theatre, at the same time, opening several doors for a possible reconsideration of some critical points of Nievo’s literary aesthetics. From the study of the unpublished texts produced before Le Confessioni di un Italiano, in fact, Nievo’s dependence on French literature appeared, especially Balzac, Stendhal and George Sand. The setting of I Beffeggiatori –a political comedy which portrays Italy in 1852-1853 – and its study of the characters recalls the Chartreuse de Parme by Stendhal, his ironical glance at political happenings told by Balzac and it moves away totally from contemporary comic theatre. Don Giovanni –notes for a comic text in verses- results from Stendhalian considerations on the figure of the Seduttore, considerations which we can find in the De l’Amour and in the short story Les Cenci; but Don Giovanni also results from the whole French post-Byron tradition of the myth. Consuelo – the libretto- reveals a clear and evident Sandian matrix in its plot and allows to formulate a theory on the aesthetic Nievian music, full of Mazzinian considerations, well known to Sand too.The edition of these texts has allowed to reformulate some judgements on the origin of Nievo’s irony, even in L’Afrodisiaco per l’amor platonico and in Lettere a Matilde, underlining a matrix which is decidedly and only French.
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Rythmes, mouvements et double transfert : De Max Reinhardt à la Kapellmeisterregie hollywoodienne

Delmas, Fabien 23 November 2012 (has links)
A partir de 1870, le théâtre européen est saisi d'un intense besoin de réformes. Sous l'impulsion d'une nouvelle génération de théoriciens et de scénographes un mouvement s'initie. Il mènera à l'émergence du metteur en scène. Envisageant la mise en scène comme une « suggestion de rêve à base tangible », Adolphe Appia fixe dans La Musique et la mise en scène les prérogatives du régisseur, devenu chef de l'orchestre scénique. En 1905, à Berlin, Max Reinhardt pose les fondations d'un empire théâtral qui rayonnera sur l'art Allemand jusqu'au début des années 1930. Innovant, expérimentant, exploitant les possibilités offertes par le progrès technologique, Reinhardt concrétise le concept d'orchestration scénique, la Kapellmeisterregie.Ce travail de recherche est consacré à l'élaboration d'un vaste continuum déterminé par un principe de transposition intermédiale liant théâtre et cinéma, et l'Europe à Hollywood. S'élaborant en fonction des notions de mouvement et de rythme, cette étude envisage la perpétuation au sein du cinéma américain de principes scénographiques développés par Adolphe Appia et Max Reinhardt. A ce titre, les œuvres de William Dieterle, Michael Curtiz, Vincente Minnelli et Otto Preminger apparaîtront comme d'hypothétiques ramifications d'une vision de la mise en scène dont le spectacle cinématographique hollywoodien serait l'un des aboutissements. / Since 1870, European theatre has been in need of a wide range of reforms. A new movement was started with a new generation of theoreticians and scene designers which lead to the emergence of a director. Adolphe Appia, who envisaged directing as a “suggestion of an obtainable dream” established in La Musique et la mise en scene the director's rights in front of the set choreographers. In Berlin in 1905, Max Reinhardt laid down the foundations for a theatrical empire which would later go on to influence German art in the early 1930s. With the aid of new, continuously developing technology, Reinhardt set in stone the concept of scenic orchestration, the Kapellmeisterregie. This thesis is devoted to the development of a comprehensive continuum determined by a principle of intermedial transposition linking theatre to cinema, and Europe to Hollywood. Developing on the concepts of movement and rhythm, this study considers the perpetuation within American cinema in scenic principles developed by Adolphe Appia and Max Reinhardt. As such, the works of William Dieterle, Michael Curtiz, Vincente Minnelli and Otto Preminger appear as hypothetical ramifications with a vision of staging a show in which a Hollywood film would be one of their aims.
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François Colin de Blamont (1690-1760). Une carrière officielle au cœur des institutions musicales françaises du Grand Siècle au Siècle des Lumières / François Colin de Blamont (1690-1760). An official career in the French musical institutions during the Classical Century up to the Age of Enlightenment

Dratwicki, Benoît 12 February 2014 (has links)
Débutant sa carrière durant les dernières années du règne de Louis XIV sous les auspices de Michel-Richard de Lalande, François Colin de Blamont se fait connaître dans les salons de la Régence par ses airs et ses cantates. Nommé Surintendant de la Musique de la Chambre du jeune Louis XV (1719), il devient l’un des acteurs déterminants de l’évolution des goûts et des pratiques musicales de la Cour. Dans la capitale, il est joué avec succès au Concert Spirituel, à l’Académie royale de musique et dans les cénacles en vue, souffrant toutefois de l’étoile montante de Jean-Philippe Rameau. Ses partitions témoignent de l’ambiguïté musicale française caractéristique du Siècle des Lumières, associant respect de la tradition et recherche de modernité. Ce travail propose de mettre en lumière la carrière et l’Œuvre de ce compositeur en les éclairant par le contexte historique, social et politique. La première partie fait le point sur la jeunesse, la formation et les premières productions de l’auteur. La deuxième partie est consacrée au service de la Cour. La troisième partie aborde le milieu musical parisien et les implications de Colin de Blamont dans les grandes institutions de la capitale. Enfin, la dernière partie tente de porter un regard neuf sur l’auteur, considéré tout à la fois comme homme de cour, esthète et musicien. / François Colin de Blamont started his career during the last years of the reign of Louis XIV under the aegis of Michel-Richard de Lalande. During the Regency, he was mostly known through his arias and cantatas. In 1719, he was appointed ‘Surintendant de la Musique de la Chambre’ of the young Louis XV. He became one of the main personalities involved in the evolution of the tastes and the musical practices at the Court. In Paris, his music was successfully played at the ‘Concert Spirituel’, at the ‘Académie royale de musique’ and in the most famous literary sets, even if the rising star of Jean-Philippe Rameau was to overshadow him. His style shows the musical ambiguity typical of French music of the 18th century, which associated the respect of the tradition with the aspiration to modernity. This study aims to bring to light the career and the works of this composer by considering them in their historical, social and political context. The first part sums up his youth, his training and his first works. The second part is devoted to his career at the Court. The third part explores the Parisian musical environment and the involvement of Colin de Blamont in the main institutions of the city. Finally, the last part will consider the author in a new way, as a man of court, as an esthete and as a musician.

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