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Identités en conflit : gouvernementalité, action collective et démocratie

Morissette, Benoît January 2008 (has links) (PDF)
Plusieurs théories sociales et politiques avancent que les nouveaux mouvements sociaux participent au renouvellement de la démocratie actuelle, souvent parce qu'ils remettent à l'ordre du jour la question du bien commun ou qu'ils proposent de nouveaux modèles de participation politique. La théorie des nouveaux mouvements sociaux suggère que ces nouvelles formes d'action collective constituent une force de démocratisation du quotidien. Pour celle-ci, les nouveaux mouvements sociaux ancrent leurs actions dans les valeurs apparues avec la société postindustrielle. L'émergence de ces nouvelles valeurs marquerait un changement d'orientation des forces de contestation politique. De luttes pour la redistribution, incarnées par le mouvement ouvrier, elles se présentent maintenant comme des luttes identitaires. À la différence du mouvement ouvrier dont les actions visaient à prendre le pouvoir politique afin de réaliser son objectif historique: le socialisme, les nouveaux mouvements sociaux ont abandonné toute prétention à l'exercice du pouvoir de l'État. Leurs actions chercheraient dorénavant à libérer des champs d'autonomie. En s'inscrivant dans le cadre du concept de gouvernementalité, élaboré par Michel Foucault, ce mémoire explique plutôt les nouvelles formes d'action collective par l'émergence d'un nouveau dispositif: l'État libéral avancé. Les nouveaux mouvements sociaux constituent ainsi des forces de contestation politique spécitiques à l'actuel dispositif de gouvernement. Les formes et les finalités de ces luttes sont dès lors redevables de la transformation des technologies du pouvoir employées par l'État libéral et de la rationalité politique qu'elles mettent en oeuvre par leur fonctionnement. Dans ce contexte, les actions collectives se présentent comme le résultat d'un processus de construction identitaire où des individus se réunissent pour contester l'identité que leur assigne un mécanisme de gouvernement et revendiquer une identité alternative. Elles apparaissent dès lors comme des contre-conduites dont l'objectif consiste à articuler des relations de pouvoir à des identités subjectives. Comme ce mémoire le suggère, si ces contre-conduites évoquent un renouvellement de la démocratie, ce n'est pas parce qu'elles portent en elles les valeurs au fondement d'institutions politiques à venir, mais bien puisqu'elles réactivent par leurs actions notre compréhension de la démocratie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pensée politique, Michel Foucault, Gouvernementalité, Action collective, Démocratie.
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La décentralisation au Mali : mutations politiques locales et changements sociaux

Godin-Bilodeau, Simon January 2010 (has links) (PDF)
Au Mali, les arènes locales sont composées d'une hiérarchie de pouvoirs locaux et de pouvoirs d'État qui s'assemblent et se superposent entre eux. Les rapports entre ces pôles d'autorité se trouvent au carrefour de plusieurs logiques (locales et étatiques) dont les légitimités sont transformées, réinterprétées et instrumentalisées par les acteurs qui évoluent dans la sphère locale. Avec la réforme de décentralisation engagée sous la présidence d'Alpha Oumar Konaré (1992-2002), la création de nouvelles communes recouvre les anciens rapports de pouvoirs/territorialités et obligent les acteurs à se repositionner dans l'arène locale en redéfinissant leurs modes d'action politique. Ce mémoire examine les interactions entre les principaux acteurs et les conflits entre groupes sociaux suscités par la décentralisation en les situant d'après les modalités d'institutionnalisation de la sphère locale par l'ancien régime. Le cadre théorique adopté s'inspire des travaux de la sociologie historique néowébérienne et de l'anthropologie politique des espaces publics. Partant de la conceptualisation de la décentralisation en tant qu'enjeu de pouvoir de l'arène locale, nous considérons que cette réforme suscite des luttes entre « groupes stratégiques » qui la transforment, tout en l'intégrant dans des pratiques et des structures de pouvoir antérieures. Nous illustrons ce processus d'hybridation des dynamiques sociales aux pouvoirs municipaux en prenant l'exemple de la recomposition des conflits locaux et du repositionnement des acteurs communaux autour des enjeux fonciers. La décentralisation tend à bouleverser les rapports sociaux liés à la propriété et à faire du contrôle des nouvelles collectivités un enjeu majeur de la gestion domaniale. Les communes deviennent alors un site de confrontation entre différents groupes sociaux (autochtones/allochtones, propriétaires/non-propriétaires) qui entrent en lutte pour l'accès aux ressources foncières. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Décentralisation, Pouvoirs municipaux, Arène locale, Conflits fonciers, Sociologie historique, Mali.
573

L'autonomie gouvernementale du Nunavik : une redéfinition des relations de pouvoir

Cloutier, Carl 10 1900 (has links) (PDF)
Le concept du droit des peuples autochtones à disposer d'eux-mêmes demeure abstrait tant que les États, forts de leur monopole juridique et politique, n'ouvrent pas la voie des négociations afin de redéfinir leurs relations de pouvoir avec leurs minorités autochtones. La communauté inuit occupant l'espace septentrional du Québec revendique depuis plus d'une trentaine d'années l'obtention d'un pouvoir décisionnel effectif sur le territoire du Nunavik. Dans les années soixante-dix, la communauté inuit et les Cris se sont opposés au développement du colossal projet hydroélectrique de la Baie-James. La confrontation juridique et politique qui a suivi va se conclure en 1975 par la signature de la Convention de la Baie-James et du Nord québécois (CBJNQ) entre l'Association des Inuit du Nouveau-Québec, le Grand conseil des Cris, le gouvernement du Québec et du Canada. Ce traité définit les modalités d'un dédommagement financier et annonce la mise en place d'organismes régionaux à partir desquels les Inuit pourront exercer un certain pouvoir sur leur territoire. Dans la réalité, les Inuit du Nunavik hériteront d'un pouvoir limité essentiellement administratif. Encore aujourd'hui, les revendications et les négociations entourant une autonomie gouvernementale au Nunavik sont évolutives et progressent entre le gouvernement du Québec, le gouvernement du Canada et les représentants inuits. Selon l'échéancier des négociations, en 2013 le projet autonomiste inuit devrait faire partie de la réalité politique québécoise et canadienne. L'histoire et les transformations politiques à venir au sein de cette région manifestent un processus de redéfinition des relations de pouvoir entre ces acteurs. À partir d'une approche théorique de la structuration du pouvoir, nous analysons la modification de la relation de pouvoir entre ces acteurs, c'est-à-dire le passage d'une structure de pouvoir hiérarchique singulièrement défini par la CBJNQ à une structure de pouvoir stratarchique signalée principalement par l'élection de l'Assemblée du Nunavik. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Autonomie gouvernementale, Nunavik, relation de pouvoir, Inuit, structure de pouvoir.
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Éros et pouvoir : regard jungien sur les situations d'abus de pouvoir entre chorégraphes et danseurs contemporains

Pressault, David 01 1900 (has links) (PDF)
Cette étude de type qualitatif a pour but de mieux comprendre, selon une perspective jungienne, les abus de pouvoir dans les relations entre chorégraphes et interprètes ainsi que la relation entretenue par les danseurs avec leur propre pouvoir. Un examen des écrits a ciblé le harcèlement psychologique de même que la culture du travail et de la formation professionnelle en danse contemporaine. Afin d'examiner les mécanismes inconscients agissant dans la relation entre danseurs et chorégraphes, le cadre théorique s'inspire principalement des écrits de C. G. Jung, fondateur de la psychologie analytique. Des entrevues individuelles semi-dirigées ont été menées de juin à septembre 2008 avec trois danseuses professionnelles ayant entre dix et vingt-cinq années d'expérience et œuvrant dans le domaine de la danse contemporaine. Chaque participante a été rencontrée à deux reprises. Les résultats obtenus nous permettent d'affirmer que des situations d'abus de pouvoir sont présentes entre chorégraphes et danseurs et que l'exercice du pouvoir est réprimé chez ces derniers. La relation presque «amoureuse» entre chorégraphe et danseur est inéquitable, teintée de désir de plaire et d'idéalisation. Dans une perspective jungienne, le pouvoir réprimé chez les danseurs a des effets sur la relation que ces derniers entretiennent avec le chorégraphe et tout le milieu de la danse. À cet égard, ils contribuent eux-mêmes de manière inconsciente au déséquilibre de pouvoir du milieu. Par ailleurs, les résultats de cette étude rejoignent ceux d'études antérieures qui identifient trois facteurs importants pour le développement de situations d'abus de pouvoir et de harcèlement psychologique. D'abord, il existe un important déséquilibre de pouvoir entre les danseurs, pour qui cette notion est ambiguë, et les chorégraphes - ces derniers n'ont pas les outils pour exercer leur pouvoir de façon saine. Ensuite, le faible risque ou l'absence de risque de réprimande prévaut dans ce milieu car aucune des situations de harcèlement n'a été dénoncée; en outre, peu de moyens organisationnels sont mis en place pour aider les danseurs victimes d'abus. Enfin, une culture du silence, un stress élevé et une communication déficiente entraînent des rapports humains souvent émotifs. Ce mémoire souhaite participer à l'ouverture d'une conscience plus éclairée des rapports de pouvoir entre chorégraphes et interprètes car les problématiques de déséquilibre de pouvoir existant dans le milieu de la danse sont la responsabilité de tous ses acteurs. Il est souhaitable que la communauté de la danse définisse ce qui constitue un abus de pouvoir en danse et qu'elle développe des moyens pour mieux encadrer les relations de travail. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pouvoir, Éros, Danseur, Chorégraphe, Abus, Harcèlement psychologique, C. G. Jung, Danse.
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Les partis politiques de l'opposition en Afrique de l'Ouest et leur quête pour le pouvoir d'État : les cas du Bénin, du Ghana et de la Guinée

Souare, Issaka K. 06 1900 (has links) (PDF)
Au début des années 1990, après plusieurs décennies de régimes de parti unique et de juntes militaires, la plupart des pays africains ont (r)établi le système multipartite. Des dizaines de partis politiques sont créés ou reconstruits avec l'objectif précis d'accéder au pouvoir exécutif suprême. Cependant, environ deux décennies plus tard, peu de ces partis ont atteint leur objectif de conquête du pouvoir. En effet, sur 73 cas de changements pacifiques de leaders en Afrique entre 1990 et 2008, seulement 18 ont bénéficié aux candidats présentés par les partis politiques de l'opposition. Ce nombre semble décevant par rapport aux immenses espoirs de «véritable alternance» que ces partis politiques ont suscité au début de la décennie 1990. Cette thèse s'emploie à esquisser des éléments de réponse à cette situation dans la période allant de 1990 à décembre 2008. Afin d'approfondir l'analyse sur cette question, les cas du Bénin, du Ghana et de la Guinée ont été choisis pour mener une étude comparative. Il est vrai qu'il ya eu trois alternances au pouvoir exécutif au Bénin dans la période visée. Mais tous les présidents élus étaient des «candidats indépendants». La Guinée n'a connu aucune alternance dans la période sous examen, ni de personnalités, et encore moins de partis. Le Ghana est donc le seul pays, parmi les trois, où il y a eu deux alternances au pouvoir par un parti politique de l'opposition. Ceci problématise la situation et conduit à la question suivante: comment expliquer la réussite de deux partis d'opposition au Ghana et l'échec de leurs homologues dans les autres pays à conquérir le pouvoir exécutif? Pour répondre à cette question, il a fallu retracer l'historique et l'évolution du multipartisme et des élections dans les trois pays, analyser leur environnement politique et institutionnel par rapport à la compétition politique, et porter un regard critique sur les stratégies notamment des leaders de l'opposition dans leur quête pour le pouvoir. Cette démarche a permis d'avancer l'hypothèse suivante: l'alternance au pouvoir par un parti d'opposition n'est possible que dans un système bipartisan ou bipolarisé, quoique la satisfaction de l'une de ces conditions ne soit pas suffisante. Les exceptions à cette observation sont rares en Afrique et sont le résultat d'une rare combinaison de circonstances particulières. Le Ghana a un système bipartisan. Le système bipolarisé est un bipartisme ad hoc créé grâce à la formation d'une coalition des principaux partis d'opposition. Les paysages politiques béninois et guinéen sont caractérisés par une prolifération de partis politiques qui ont jusque-là échoué dans leurs tentatives de former une véritable coalition électorale contre les partis au pouvoir. Le bipartisme relève de l'environnement institutionnel, et la bipolarisation des stratégies des leaders politiques, d'où notre recours aux approches néo-institutionnelle et stratégique (choix rationnel) comme cadres théoriques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Parti politique, parti d'opposition, alternance au pouvoir, démocratie et démocratisation, élections, formation de coalitions, Bénin, Ghana, Guinée, Afrique de l'Ouest
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La participation des femmes à la vie politique au Burkina (1957-2009)

Rouamba, Palingwindé Inès Lydia 06 1900 (has links) (PDF)
La citoyenneté politique a été concédée aux femmes burkinabé dès 1956 avec l'adoption de la loi-cadre qui instaurait le suffrage universel dans les colonies françaises. Dans les faits, le Burkina Faso accueillera sa première femme nommée ministre en 1958. Ensuite, ce n'est qu'en 1976, seize ans après l'indépendance de 1960 et au lendemain de l'Année internationale de la femme, qu'une femme sera à nouveau membre de l'équipe gouvernementale du pays, à titre de secrétaire d'État aux affaires sociales. Aujourd'hui encore, les femmes sont peu représentées dans les différentes branches du pouvoir (exécutive, législative, municipale) ainsi que dans les hauts postes de l'administration publique. L'ordre politique s'inscrit dans l'ordre social où malgré leur importance numérique (plus de 52 % de la population) et leur contribution au développement du pays, elles sont peu présentes dans les sphères décisionnelles. Plusieurs facteurs liés à l'environnement social, culturel, économique et politique expliquent cet état de fait. Cette recherche examine comment la division sociale des sexes et son corollaire, la division sexuelle du travail opèrent dans l'univers politique du Burkina (articulation ordre social et ordre politique). Nous posons comme hypothèses d'une part, qu'il y a un lien explicatif entre les rôles dévolus aux femmes par la société au Burkina et le fait qu'elles sont très peu représentées dans le champ politique, et d'autre part, nous envisageons que plus les femmes peuvent compter sur le soutien de leur époux, plus leur longévité et leur visibilité politiques seront grandes et inversement. Concrètement, notre recherche dégage d'abord, à partir des itinéraires de 45 femmes politiques, les facteurs catalyseurs et les contraintes qui encadrent la participation politique des femmes, puis nous nous penchons sur le rapport qu'elles entretiennent avec le pouvoir et le féminisme. Il ressort que la Révolution a été l'évènement le plus déterminant, en imposant la présence de femmes dans des postes et des milieux traditionnellement masculins, et par voie de conséquence, en créant de nouvelles représentations des femmes dans la société. D'un point de vue individuel, si la compétence technique est un atout essentiel pour accéder aux plus hautes fonctions de l'État burkinabé, cette compétence doit, toutefois, être soutenue par les autres éléments que sont, notamment, les liens familiaux ou personnels avec les caciques du pouvoir. Les femmes burkinabé prennent en effet progressivement leur place sur l'échiquier politique burkinabé, mais cela davantage au gré des places que les hommes veulent bien leur laisser, soit pour rompre avec des pratiques traditionnelles machistes ou pour s'inscrire dans un courant mondial d'émancipation démocratique, que par le fait d'un contrepouvoir féminin qui serait en train de s'implanter. Les normes machistes restent, en effet, fortes, et leurs effets se conjuguent avec un niveau d'alphabétisation et d'instruction des femmes plus bas que celui des hommes ainsi qu'une une situation économique qui leur est défavorable. Recherchant un équilibre entre hommes et femmes, les femmes politiques burkinabé insistent sur la complémentarité des sexes et recherchent une « égalité dans la différence ». Cette posture les amène à prendre leurs distances par rapport au féminisme à l'occidental assimilé par certaines à une guerre des sexes. Selon elles, l'approche genre qui n'est pas centrée uniquement sur les femmes, mais prend en considération la construction sociale des rapports de sexes, donc également les hommes, apparaît participer à une culture de dialogue entre les sexes. Cette approche suscite l'adhésion de différents acteurs, incluant les responsables politiques, des organisations de la société civile et les bailleurs de fonds. Plusieurs actions susceptibles de générer une meilleure représentation et participation des femmes en politique ont été proposées, parmi lesquelles, la création d'un fonds pour le financement de leurs activités politiques, l'élargissement de la politique de quotas aux fonctions nominatives ainsi que l'introduction du thème des relations équitables et égalitaires entre conjoints dans le cursus scolaire des collèges et des lycées. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Burkina Faso, femmes politiques, pouvoir politique, participation politique.
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Le sage et l'Etat. Pouvoir, territoire et développement en Guinée Maritime

Rey, Pascal 07 September 2007 (has links) (PDF)
« Développement local », « processus participatif », « décentralisation », « approche bottom/top » : autant de termes omniprésents dans le monde du développement, employés aussi bien par les acteurs que par les chercheurs, qui impliquent une considération des pratiques autochtones dans la promotion du développement « durable », c'est-à-dire socialement et écologiquement pérenne. Dans le contexte de la Guinée Maritime où les pratiques et les stratégies sont fortement communautarisées, il est vite apparu que l'appréhension des réalités locales avec des outils classiques restait limitée. L'accès à la main d'œuvre, aux ressources, au foncier est étroitement conditionné par les phénomènes de domination. Le recours à une approche originale, basée sur le décryptage des rapports de force et de leurs implications, a permis de mettre à jour aussi bien les processus décisionnaires que les fondements des stratégies locales, au sens large du terme. Au-delà d'un éclairage sur les orientations des pouvoirs locaux, elle révèle surtout la cohérence de la gestion du territoire par les autorités coutumières, apportant ainsi des éléments précieux pour discuter des politiques de développement pratiquées en République de Guinée. Il semble en effet regrettable de ne pas s'appuyer sur ces structures existantes et efficaces et de ne pas chercher à intégrer effectivement les populations dans les processus de décentralisation de la gestion du territoire lorsqu'on sait que leurs objectifs sont proches de ceux de l'Etat : la durabilité des ressources et le développement socio-économique.
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Calcul des propriétés de transport de matériaux thermoélectriques

Chaput, Laurent 16 June 2006 (has links) (PDF)
Un module de calcul des coefficients de transport a été implementé, puis appliqué à différents systèmes tels que le zinc pur, les phases MAX 312, les demi-Heusler, ou les Skutterudites. Dans ce travail nous montrons en particulier que des approximations simples pour les processus de diffusion suffisent à évaluer ces coefficients avec une précision raisonnable. Ainsi le coût de calcul reste suffisamment modeste pour envisager l'utilisation de ces calculs dans la recherche de nouveaux matériaux thermoélectriques. De plus nous montrons que le calcul des vitesses des électrons par la technique de différentiation spectrale donne de bons résultats ce qui accélère encore le calcul. Nous terminons ce travail par un chapitre sur l'approximation de l'échange exact pour le calcul de la structure électronique des systèmes fortement corrélés
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L'autoritarisme du pouvoir politique et le "sous-développement" économique en Iran

Dadsetan, Mohammad Mehdi Guichaoua, André January 2003 (has links)
Thèse de doctorat : Changement social : Lille 1 : 2003. / Bibliogr. p. 438-457. Notes bibliographiques en bas de page. Index.
580

Les pouvoirs domestiques entre dissimulation et affirmation une comparaison entre des femmes marocaines "d'ici et de là-bas" /

Mounir, Hakima Dardy, Claudine. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Sociologie : Paris 12 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre. Pagination : 405 p. Bibliogr. : 290 réf.

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