Thèse de doctorat : Sciences de l'information et de la communication : Rennes 2 : 2008. / Volume 2 d'annexes non mis en ligne.

Mémoire d'étude diplôme de conservateur des bibliothèques : bibliothéconomie : Villeurbanne, ENSSIB : 2009. / Texte intégral. Résumé en français et en anglais. Bibliogr. f. 81-86. Index des établissements cités. Liste des sigles utilisés.

This report demonstrates how encounters between readers, writers and editors of a low-brow genre of Urdu fiction, create an affective space of belonging. This genre is published in commercial monthly magazines (commonly known as women’s digests) that contain narratives of feminine domesticity, primarily written by and for women, in Pakistan. Drawing on ethnographic work (archival and interviews) with authors, readers and editors of two monthlies, this study traces the contours of digest community as an affective space of belonging that provides a ‘complex of confirmation and consolation’ on how to be a woman in Pakistan’s changing social milieu. It further argues that recent proliferation of cell phones has led to a new sensibility in this community that has its own rhythm of sound. Previously readers would communicate through published letters mediated by editors. However, now there is direct contact between these two groups, through cell phones. Digest narratives are now also being drawn from experiences readers share with authors over cell phone conversations. This sharing is not factual as such, but rather an affective exchange of feelings about facts. Thus, these conversations can be seen as a shared emotional experience where the lack of visual cues regarding social class, age and ethnicity (since readers and writers rarely meet each other) leads to voices becoming just that – voices that share life stories and experiences. There is thus a transient coming together of women who are mostly unrelated by kinship or ethnicity; and a sociality is formed between strangers with its own sensory feel of rhythm and sound, through the medium of the cell phone. This work contributes to interdisciplinary scholarship on how media and technology is a negotiation between material properties of technologies being introduced and the particular effects in forming new affects and sensibilities; and how dominant representations of Muslim women as a singular and stable category of analysis, can be spoken back to, by highlighting their myriad voices and understanding them beyond the usual tropes of victimhood and emancipation. / text

Turkey's most controversial religious figure is the Muslim cleric and author Fethullah Gülen, whose followers have established around one thousand schools in 135 countries. Since 2003, the Gülen-affiliated educational non-profit TÜRKÇEDER has organized the International Turkish Olympiad, a competition for children enrolled in the Gülen schools. The showpiece of this event is its song contest, in which students perform well-known Turkish songs before live audiences of thousands in cities all over Turkey and reach millions more via television broadcasts and the Internet. While the contest resembles American Idol in its focus on individual singers and Eurovision in its nationalistic overtones, the fact that the singers are performing songs associated with a nationality not their own raises intriguing questions about the intended message of the competition as well as about its publics. To answer these questions, I analyzed YouTube videos of the competition and examined YouTube comments, popular websites, and newspaper opinion columns. I conclude that the performers themselves are meant to feel an affinity with Turkish culture and values, while Turkish audiences receive a demonstration that Gülen's brand of Islam is compatible with Turkish nationalism. Moreover, the competition reaches a multiplicity of publics both within and beyond Turkey. While some of these can be characterized as essentially oppositional counterpublics, I find that, in the case of the Turkish Olympiad, the dichotomy between rational public and emotional or irrational counterpublic established collectively by such theorists of publics as Jürgen Habermas and Michael Warner begins to break down.

Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

La mondialisation est souvent associée à une homogénéisation et une standardisation des métropoles. Pour autant, des représentations urbaines singulières émergent. En questionnant la réalité des modèles internationaux, mon ambition était de comprendre la manière dont les pensées urbaines se fabriquent, se diffusent, se confrontent et s'inventent, la façon dont elles s'ancrent dans une culture, projettent une société en devenir et créent les lieux publics. La mise en regard de la conception de l'espace urbain dans quatre métropoles, Paris, Rabat, Téhéran et New York, a révélé qu'il n'y avait non pas émergence de grands modèles types mais, au contraire, une atomisation de références qui co-existent et fondent les nouveaux lieux de la ville. Ce faisceau d'influences s'inscrit en continuité avec le passé pour mieux le réinventer. Il s'inspire de visions de plus en plus diversifiées, venues d'ailleurs. Plus encore, il prend appui sur des symboles, des représentations imaginaires de la ville. La réalité urbaine émerge de cet enchevêtrement d'interprétations individuelles et collectives, passées ou importées, théoriques ou imaginaires. Les lieux publics apparaissent alors comme un espace de dialogue inachevé sur une représentation du monde elle-même en évolution. Ils sont une redéfinition infinie de l'expérience de la relation des hommes à leur environnement. Cette hybridation amène à penser autrement le fait urbain. La proximité et l'expérience partagée de la fabrication de la ville permettent de charger les lieux des existences, émotions, passions et rêves des hommes. Ceux-ci sont potentiellement ouverts à une possibilité d'habiter, d'être au monde. Plus encore, l'expérience subjective et symbolique permet d'être présent au monde et à autrui, de transposer la vie humaine au-delà de sa condition mortelle, d'inventer un horizon pour " habiter poétiquement la terre " (F. Hölderlin).

Le sujet porte sur les modalités des transferts de compétences dans le cadre de la décentralisation et de l intercommunalité. Il a d abord été défini et présente la notion de transferts de compétences et les règles applicables lors d un transfert dans le cadre de la décentralisation puis de l intercommunalité. Ensuite, il fut mis en évidence les nouveaux transferts de compétences issus de la loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales. Il a été démontré que cette loi a été prise dans la continuité de la révision constitutionnelle du 28 mars 2003. A cet égard, la loi du 13 août 2004 est une loi de transferts de compétences et également une loi de répartition de compétences qui intéresse la décentralisation et l intercommunalité. Montrant alors que tout transfert de compétences nécessite le transfert des biens, des personnels et des finances nécessaire a l exercice de la compétence transférée, il fut étudié les modalités de ces transferts

Thèse (de maîtrise)--Université Laval, 2007. / Bibliogr.: 106-114. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.

Thesis (Ph. D.)--Utrecht University, 2008. / Includes bibliographical references (p. 217-230).