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Plurilinguisme et éducation en Inde : l'enseignement des langues et du français langue étrangère : étude de cas à Chennai et Poudouchéry

Jeannot, Céline 13 December 2012 (has links) (PDF)
Ce travail de recherche propose une approche croisée de la sociolinguistique et de la didactique des langues pour explorer l'enseignement des langues, et en particulier de l'anglais, du tamoul, de l'hindi et du français, en contexte indien. Il vise la compréhension d'enjeux globaux sur la gestion éducative du plurilinguisme en Inde tout en s'appuyant sur une étude de cas localisée à Chennai et Poudouchéry, dans le sud de l'Inde. Le questionnement retenu porte sur les liens de cohérence existant entre la situation sociolinguistique indienne, les politiques linguistiques éducatives et les pratiques et représentations des enseignants en rapport avec les langues et le plurilinguisme. La mise en relation de ces différents niveaux d'analyse s'opère par le biais d'une démarche de contextualisation permettant de mettre en évidence certaines spécificités du plurilinguisme social et individuel en Inde. Cette recherche questionne plus spécifiquement la place du français dans le panorama de l'enseignement des langues en Inde, ainsi que les modalités de son enseignement et les représentations qui y sont associées. L'étude des pratiques et représentations des enseignants de langue a fait l'objet d'une enquête de terrain menée dans des établissements scolaires de Chennai, à l'Alliance française de Madras (Chennai) et au Lycée français de Pondichéry (Poudouchéry). La réflexion menée débouche sur quelques perspectives pour une meilleure reconnaissance des pratiques plurilingues par l'école, et une véritable prise en compte des langues et variétés présentes dans l'environnement social.
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Quelles contextualisations pour l'enseignement du français hors de France?

Doucet, Céline 23 September 2011 (has links) (PDF)
Cette thèse se propose d'étudier la problématique de la contextualisation de l'enseignement du français hors de France. Basé sur des enquêtes de terrain menées en Louisiane et en Australie Occidentale, ce travail de recherche s'inscrit dans une démarche compréhensive et cherche, d'une part, à analyser les orientations didactiques mises en œuvre pour l'enseignement du français en portant une attention particulière aux éventuelles formes de contextualisation présentes dans cet enseignement et, d'autre part, à donner des éléments de réponse explicitant les raisons de ces choix. A partir de l'étude de deux terrains présentés d'un point de vue historique et sociolinguistique, cette recherche interroge la perspective de l'enseignement du français hors de France entre universalisme et contextualisation en tentant d'éclairer sa construction et d'explorer les principaux facteurs de contextualisation, avant de proposer quelques pistes pour une évolution.
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Le kaléidoscope de la liaison en français : étude comparée de son appropriation par des apprenants adultes de FLE et des enfants natifs / The kaleidoscope of liaison in French : comparative study of its acquisition by FFL adult learners and by native children

Harnois-Delpiano, Mylene 07 April 2016 (has links)
La liaison en français consiste en l’apparition d’une consonne de liaison entre deux mots dans des contextes précis de la chaîne parlée qui sont divisés en trois catégories : les contextes où la liaison est catégorique (un /n/ enfant), ceux où elle est variable (un gros /z/ avion) et ceux où elle est erratique (une chanson // anglaise). L’objectif de cette recherche est double : dans la première partie, nous exposons une analyse de chaque dimension linguistique et sociolinguistique impliquée dans le phénomène de la liaison. Chacune d’entre elles permet d’éclairer les études qui ont été réalisées ces dernières années auprès d’apprenants de FLE de niveau intermédiaire à avancé, afin de découvrir dans quelle mesure ils parviennent à s’approprier la liaison, en perception comme en production. Dans la seconde partie, nous présentons une étude expérimentale de l’appropriation de la liaison en français suivie par 17 apprenants coréens de FLE de niveau A1-A2 du CECRL enregistrés trois fois sur une durée d’un an, ainsi que par 165 enfants francophones natifs de deux à six ans. Comme il est impossible de comparer les deux groupes de participants du fait de conditions environnementales et de compétences cognitives non alignables, nous avons élaboré une méthode innovante d’appariement sur la base de données factuelles. Nos résultats nous permettent non seulement d’étayer le modèle constructionniste de l’acquisition de la liaison L1 (Chevrot, Dugua, & Fayol, 2009; Chevrot, Dugua, Harnois-Delpiano, Siccardi, & Spinelli, 2013) mais aussi d’esquisser le processus d’appropriation de la liaison L2, très influencé par la graphie apprise dès les premiers cours de FLE. Nous concluons par une mise en perspective didactique prenant en compte l’ensemble des prismes de ce kaléidoscope linguistique de la liaison en français car sans une perception claire de chacun d’entre eux, les apprenants de FLE ne peuvent qu’avoir une vision floue du phénomène. / French liaison is the appearance of a liaison consonant between two words in specific contexts within the spoken word chain. These contexts are divided into three categories : those where the liaison is categorical (e.g. “a child” : un /n/ enfant ), those where it is variable (e.g. “a big plane” : un gros /z/ avion) and those where it is forbidden (e.g. “an english song” : une chanson // anglaise ).The aim of this research is twofold. In the first part, we present an analysis of each linguistic and sociolinguistic sub-field involved in the phenomenon of French liaison. Each of them will allow to shed light on studies of the acquisition of French liaison that have been conducted with learners of FFL (intermediate to advanced level) in recent years. In the second part, we present a comparative study of the acquisition of French liaison based on experimental tasks performed by 17 Korean learners of FFL (level A1-A2 of the CEFR) recorded three times over a one-year and by 165 native children aged two to six. As it is impossible to compare the two groups of participants due to environmental conditions and to different cognitive skills, we have developed an innovative matching method based on factual data. On the one hand, this supports the constructionist model of the acquisition of the liaison L1 (Chevrot, Dugua, & Fayol, 2009; Chevrot, Dugua, Harnois-Delpiano, Siccardi, & Spinelli, 2013). On the other hand, this enables us to sketch the acquisition process of the liaison L2, very influenced by the spelling which is learned from the first FFL course. We conclude with a didactic perspective layout taking into account all the prisms of this linguistic kaleidoscope of French liaison because without a clear perception of each one, FFL learners are bound to have a partial and unfocused interpretation of this phenomenon.
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Qui décide pour qui ? Entre ancrage et mobilité : langue, légitimité et représentations de la francité au Manitoba / Who Decides For Whom? Between Mooring and Mobility : language, legitimacy and ‘francité’ in Manitoba

Monnin, Isabelle 12 November 2018 (has links)
Ancrée dans les méthodes de la sociolinguistique critique, cette thèse fait état des questions de légitimité, d’inclusion et d’exclusion, d’ancrage et de mobilité au sein de la collectivité francophone de la province du Manitoba, une minorité linguistique de langue officielle au Canada. Par l’entremise d’un travail de terrain ethnographique et d’entretiens semi-dirigées, cette étude cherche à sonder les questions de la redéfinition de la francité manitobaine, la reproduction des frontières de différenciation du groupe depuis les années 1960. Cette thèse se penche également sur la formation d’une élite en émergence au Manitoba français durant les années 1960 et le phénomène de migration et de mobilité d’une partie de ce groupe. En posant d’emblée une question importante, ‘Qui décide pour qui’, cette thèse se propose de naviguer à travers les questions légitimité sociale, linguistique et identitaire au Manitoba depuis les années 1960. / This research discusses the legitimizing forces that comprise what it means to be francophone in French speaking parts of Manitoba, an official language minority group in Canada. The researcher has through the lens of critical sociolinguistic analysis and ethnographic fieldwork, used participant observation, open ended interviews and discourse analysis to uncover themes of legitimacy, belonging and elite-building in 1960s Franco-Manitoba and how these themes resonate today. The research attempts to answer the conundrum, “who decides for whom” in matters of the right to francophone recognition. The current issues of migration and the dynamic tension between anchoring of the perceived centre and an ever-shifting periphery of linguistic and “ethnic” boundaries underscore the research.
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O uso do Tu e do Você no português falado no Maranhão

Alves, Cibelle Corrêa Béliche January 2010 (has links)
ALVES, Cibelle Corrêa Béliche. O uso do tu e do você no português falado no Maranhão. 2010. 144f. Dissertação (Mestrado em Linguística) – Universidade Federal do Ceará, Departamento de Letras Vernáculas, Programa de Pós-Graduação em Linguística, Fortaleza-CE, 2010. / Submitted by nazareno mesquita (nazagon36@yahoo.com.br) on 2012-07-02T15:43:09Z No. of bitstreams: 1 2010_diss_CCBALVES.pdf: 1233661 bytes, checksum: 66c43e08b7c879327bc73ea4eabe5fc9 (MD5) / Approved for entry into archive by Maria Josineide Góis(josineide@ufc.br) on 2012-08-02T16:55:06Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2010_diss_CCBALVES.pdf: 1233661 bytes, checksum: 66c43e08b7c879327bc73ea4eabe5fc9 (MD5) / Made available in DSpace on 2012-08-02T16:55:06Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2010_diss_CCBALVES.pdf: 1233661 bytes, checksum: 66c43e08b7c879327bc73ea4eabe5fc9 (MD5) Previous issue date: 2010 / O objetivo deste trabalho é fazer uma “fotografia sociolinguística” do português falado no Maranhão no que concerne ao uso de tu e de você. Constituindo-se em um estudo de natureza geo-sociolinguística, ao aliar dois enfoques teóricos da variação regional – a dialetologia e a sociolinguística, a pesquisa verifica a relevância das variáveis sociais – naturalidade, faixa etária, sexo e escolaridade – e das variáveis linguísticas – concordância, tipo de referência e tipo de relato –, no comportamento dos falantes com relação ao uso das formas tu e você. O corpus da pesquisa, constituído a partir do banco de dados do Atlas Linguístico do Maranhão – Projeto ALiMA, é o resultado da aplicação de 28 entrevistas realizadas com informantes de ambos os sexos, agrupados em duas faixas etárias (18- 30 anos) e (50-65 anos), nos municípios de São Luís e Pinheiro (Mesorregião Norte), Bacabal e Tuntum (Mesorregião Centro) e Alto Parnaíba e Balsas (Mesorregião Sul). A análise dos dados revela que, estatisticamente, o você se mostra como a forma mais frequente no falar maranhense, ao apresentar percentual de 61.6% das ocorrências. A análise mostra ainda que a alternância de tu e você é condicionada pela idade do falante e pela localidade à qual pertence. O fator linguístico tipo de relato também tem forte atuação na seleção das formas investigadas. Já a variação diastrática atua no sentido de os mais escolarizados tenderem a usar o tu seguido da concordância verbal. O resultado está representado em cartas geolinguísticas de modo a dar uma visão geral de como essas formas estão distribuídas no falar maranhense. / Ce travail a comme objectif faire une “photographie sociolinguistique” du portugais parlé au Maranhão en ce qui concerne l’usage du tu et du você. Il s´agit d´une étude géosociolinguistique, liée à deux théories de la variation regionale – la dialectologie et la sociolinguistique. Cette recherche veut vérifier l’importance des variables sociales– localité, groupe d’âge, sexe et scolarité – et des variables linguistiques – concordance, type de référence et type de discours – dans le comportament des parlants par rapport à l’usage du tu et du você. Le corpus de la recherche, constitué d’après les données du Atlas Linguístique do Maranhão – Projet ALiMA, est le résultat de l’application de 28 interviews réalisées avec des informants des deux sexes et de deux groupes d’âge (18- 30 ans) et (50-65 ans), dans les villes de São Luís et Pinheiro (Région Nord), Bacabal et Tuntum (Région Centre), et Alto Parnaíba et Balsas (Région Sud). L’analyse des données révèle que, statistiquement, você est la forme la plus fréquente dans le dialecte maranhense, avec un pourcentage de 61.6% de l’échantillon total. L’analyse des données indique aussi que l’alternance du tu et du você est conditionnée par l’âge du parlant et par la localité où il habite. Le facteur linguistique type de discours est important aussi pour la sélection des formes en étude. Du point de vue de la variation diastratique, les sujets plus scolarisés manifestent une tendance à l’usage du tu avec la concordance verbale. Le résultat est représenté en cartes géo-linguistiques qui nous permettent une vision générale de comment ces formes sont distribuées dans le dialecte maranhense.
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Immigration francophone en Acadie du Nouveau-Brunswick : langues et identités : une approche sociolinguistique de parcours d’immigrants francophones à Moncton / Francophone immigration in Acadian New Brunswick : languages and identities : a sociolinguistic perspective on francophone immigrants living in Moncton

Violette, Isabelle 12 November 2010 (has links)
Cette thèse de doctorat contribue au champ de recherche sur l'immigration francophone en milieu minoritaire à partir du contexte acadien néo-brunswickois. Ce travail considère le phénomène de l'immigration francophone comme un analyseur de tensions et de confrontations socio-identitaires et linguistiques au sein de la société acadienne d'accueil. L'analyse fait ressortir un processus de transformation de la représentation politique ainsi que de l'identité collective de la communauté acadienne. De manière plus approfondie, cette recherche illustre le rôle des langues dans le projet migratoire et le projet d'intégration des immigrants francophones à Moncton en regard de sa situation de contacts de langues inégalitaires. Cette thèse adopte une approche interprétative et qualitative afin de privilégier le sens donné par les acteurs directement impliqués dans les phénomènes sociaux et linguistiques à l'étude. / This doctoral thesis is a contribution to the field of research on francophone immigration in a minority setting, more specifically in Acadian New Brunswick. This thesis is examining francophone immigration as a means of understanding and analysing identity and linguistic tensions amongst the Acadian host community. The analysis shows that Acadian society is undergoing a transformation process regarding its political representation and collective identity. The objective is to understand the role that languages play in the migration trajectory and the integration plans of francophone immigrants in Moncton with respect to its unequal linguistic situation. This thesis adopts an interpretative and qualitative approach that takes into account the points of view of the participants who are directly involved in the linguistic and social phenomena under review.
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Apprendre le français, s'approprier, s'intégrer au féminin dans le Val-de-Marne : Enjeux éthiques, politiques et institutionnels / Learning French, appropriation, integration for women in Val-de-Marne : ethical, political, institutionnal stakes

Bruneau, Aurélie 10 November 2015 (has links)
Cette thèse, réalisée dans le cadre d’une CIFRE au sein du Conseil départemental du Val-de-Marne, propose un état des lieux et réflexion sur la place accordée à l’appropriation du français par des femmes migrantes inscrites dans des parcours d’insertion complexes, et au sein d’un programme de formation de français langue professionnelle, initié et soutenu par le Département, dont la doctorante était cheffe de projet. Ce travail de recherche soulève la question de la place et du rôle de la langue française dans la conception intégrative des étrangers par l’Etat français mais également par les personnes migrantes elles-mêmes. De manière concomitante, les missions réalisées dans le cadre de la CIFRE au sein d’une collectivité territoriale ont permis de mettre en évidence une gestion et un aménagement linguistique implicite, territorialisé. Cette recherche, ancrée dans les champs de la didactique des langues et de la sociolinguistique, s’est développée à partir d’une orientation épistémologique interprétative, compréhensive, informée par les points de vue herméneutiques, interrogeant tout à la fois l’histoire, l’expérience et les projections des témoins et du chercheur / This PhD, written while working at the Departemental council for Val-de-Marne (CIFRE structure), offers a survey and reflexion on the place given to learning French by migrant women, with complex insertion histories, within a training program of French as a professional language. This program has been initiated and supported by the Department, for which the PhD candidate was project manager. This research raises the question of the place and role of French language in the integrative vision of foreigners by the French State, but also by migrating persons themselves. In the same time, the missions accomplished at CIFRE have allowed to shed the light on a linguistic management and development that appears to be both implicit and territorialized. This research, rooted in the fields of didactics of languages and sociolinguistic, has been developed from a comprehensive and an interpretative epistemological orientation, informed by the hermeneutical points of view, questioning all together the notions of history, experience and projection (of the witnesses, as well as the researcher)
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Du plurilinguisme à l'école au Sud-Tyrol : minorités linguistiques, représentations sociolinguistiques, dynamiques identitaires et pratiques éducatives en milieu plurilingue / From multilingualism to school in South Tyrol : linguistic minorities, sociolinguistic representations, identity dynamics, and educational practices in a multilingual milieu

Leroy, Marie 05 December 2017 (has links)
S’inscrivant dans une réflexion sociolinguistique et didactique, cette thèse propose de sonder les appropriations langagières et les imaginaires linguistiques de collégien-ne-s de la ville de Bozen-Bolzano dans le Sud- Tyrol/Haut-Adige. Dans cette Province italienne officiellement multilingue qui bénéficie d’un Statut de protection de la minorité germanophone, le vivre-ensemble est fortement marqué par la séparation des écoles sur une base ethnolinguistique. La présence relativement récente de migrants transnationaux invite à porter un regard renouvelé sur les dynamiques d’identification entre « autochtones » et « allochtones » et, plus particulièrement, à en considérer les implications au niveau éducatif. En donnant des appareils photos jetables à des collégien-nes de la ville de Bozen-Bolzano avec la mission de photographier « les langues du quartier » pour en faire une exposition, il s’agit d’interroger les façons dont, dans une ville qui semble incarner une certaine hybridité, des jeunes interprètent la pluralité qui les environne. / This thesis proposes to investigate the linguistic appropriations and the conceptualizations of language of secondary school students in the town of Bozen-Bolzano in South Tyrol / Alto Adige, as a sociolinguistic and didactic reflection. In this officially multilingual Italian province, which enjoys a status of protection of the German-speaking minority, living together is strongly marked by the separation of schools on an ethnolinguistic basis. The relatively recent presence of transnational migrants calls for a renewed look at the dynamics of identification between "indigenous" and "non-indigeneous" and, more particularly, its implications for education. By giving disposable cameras to secondary school students in the town of Bozen-Bolzano, a city that seems to embody a certain hybridism, with the mission of photographing "the languages of the neighborhood" to create an exhibition, the goal is to investigate the ways young people interpret the plurality that surrounds them.
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A escrita da mulher trabalhadora na imprensa operária brasileira da República Velha : a luta contra o enclausuramento e o preconceito linguístico

Boenavides, Débora Luciene Porto January 2018 (has links)
Questa tesi, che ha come base teorica la sociolinguistica storica, analizza il modo come la scrittura delle donne lavoratrici nella stampa operaia brasiliana della Prima Repubblica – República Velha (1889-1930) ha costituito un prodotto della realtà del tempo come pure ha inciso su quella realtà. A tale fine, si osservano le basi materiali nelle quali le lavoratrici di quel periodo storico operavano, cercando di descrivere il modo di produzione, i rapporti di produzione, i rapporti sociali nonché i vari ruoli sociali che quelle donne occupavano. Per primo è analizzato il confinamento di voci e idee come forma di politica linguistica imposta al proletariato dalla classe dominante nel Brasile della Prima Repubblica. Si difende l'idea che questa politica linguistica sia avvenuta attraverso pratiche che limitavano le possibili sfere discorsive accessibili alla classe lavoratrice, tra cui vanno citati la censura subita dalla stampa operaia in quel contesto storico, la disciplina imposta alla classe operaia e la colonizzazione delle donne lavoratrici, tramite molteplici discorsi dominanti sulla cosiddetta "questione femminile" e attraverso la presunta difesa del loro onore, realizzata mediante l'internamento delle giovani donne nei "conventi". Si esamina la politica di discriminazione linguistica, considerando due stereotipi sulla classe operaia, costruiti dal ceto dominante: quello di una classe di analfabeti e quello della donna “facile”. Infine, il rapporto tra le donne lavoratrici e la stampa operaia, la nuova possibile sfera discorsiva per quelle donne, viene analizzata mediante l'osservazione di questa sfera discorsiva, dei generi di discorsi che vi erano prodotti e degli enunciati delle donne lavoratrici in questa sfera. Tra le conclusioni dell'analisi, tre vanno evidenziate. La prima è che la stampa operaia in quanto sfera discorsiva non era egualitaria, nel senso che in essa, non vi era un'uguaglianza tra le voci maschili e femminili. La seconda è che i generi discorsivi prodotti dalle donne in questo campo erano costituiti perlopiù di lettere aperte, articoli e inviti e presentavano stili rivendicatori e/o argomentativi, al contrario di quelli prodotti dagli uomini, che di solito erano espositivi. L'ultima conclusione che possiamo trarre dall'analisi realizzata è che, da un punto di vista linguistico, gli enunciati prodotti dalle donne si contraddistinguevano da quelli degli uomini per l'uso della prima persona plurale, ancorché tale caratteristica non sempre significasse che le donne che l'usavano si considerassero parte del próprio discorso, ma piuttosto che erano consapevole di appartenere a quella classe e sapevano che solo con l'unione sarebbero potute emergere vittoriose dalle loro lotte. / Prenant comme base théorique la sociolinguistique historique, ce travail se propose de montrer que les écrits des ouvrières dans la presse brésilienne de la Première République – República Velha (1889-1930) ont constitué un reflet de la réalité de l'époque, de même qu'ils ont influencé cette réalité. Pour cela, nous observons les bases matérielles dans lesquelles les femmes ouvrières de cette période opéraient et tentons de décrire le mode de production, les rapports de production, les relations sociales de même que les divers rôles sociaux qu'elles ont occupés. Nous discutons d’abord la claustration des voix et des idées en tant que politique linguistique imposée au prolétariat par la classe dominante brésilienne de la Première République. Nous défendons l'idée que cette politique linguistique s’est réalisée au travers de pratiques qui limitaient les sphères discursives accessibles à la classe ouvrière, parmi lesquelles on compte la censure qu'a souffert la presse ouvrière dans ce contexte historique, la discipline imposée à la classe ouvrière et la colonisation des femmes travailleuses, par le moyen des différents discours de la classe dominante sur la soi-disant «question des femmes» et à travers la prétendue défense de leur honneur, faite par l'internement des jeunes femmes dans les «couvents». Nous discutons ensuite la politique de discrimination linguistique à travers la présentation critique de deux stéréotypes sur la classe ouvrière construits par la classe dominante: celui d'une classe composée d'analphabètes et celui de la femme “de mauvaise vie”. Finalement, la relation entre les travailleuses et la presse ouvrière, cette nouvelle sphère discursive possible pour ces femmes, est analysée par le biais de l'observation des aspects de cette sphère discursive, des genres de discours qui y étaient s produits et des déclarations des travailleuses dans ce domaine langagier. Trois des conclusions de cette analyse peuvent être mises en évidence. La première de ces conclusions est que la presse ouvrière, en tant que sphère discursive, n'était pas une sphère égalitaire, dans laquelle il y aurait eu un équilibre entre les voix masculines et féminines. La seconde déduction que l'on peut faire est que les genres discursifs produits par les femmes dans ce domaine consistaient systématiquement en lettres ouvertes, articles d'opinion et invitations et présentaient surtout des traits stylistiques argumentatifs et/ou revendicatifs, contrairement à ceux des hommes qui étaient habituellement expositifs. Finalement, on peut dire que les énoncés produits par des femmes étaient linguistiquement marqués par l'utilisation de la première personne du pluriel, sans que ce trait ne signifie nécessairement que les femmes qui l'utilisaient se considèrent parties prenantes de leurs discours, mais voulant dire qu'elles étaient conscientes d'appartenir à cette classe et qu'elles ne pourraient sortir victorieuses de leurs luttes qu'en restant unies. / Esta dissertação de mestrado, que tem como base teórica a sociolinguística histórica, tem como objetivo principal analisar como a escrita da mulher trabalhadora na imprensa operária brasileira da República Velha (1889-1930) refletiu e influenciou a realidade da época. Para isso, observa-se em que base as mulheres trabalhadoras deste período estavam inseridas, tentando-se, assim, descrever o modo de produção, as relações de produção, as relações sociais e, também, os diversos papeis sociais vivenciados por elas. Discute-se, primeiramente, o enclausuramento de vozes e de ideias enquanto política linguística imposta ao proletariado pela classe dominante no Brasil durante a República Velha. Defende-se a ideia que esta política linguística ocorreu através de práticas que limitavam as esferas discursivas possíveis à classe trabalhadora, entre elas, a censura que sofreu a imprensa operária nesse contexto histórico, o disciplinamento da classe trabalhadora e a colonização da mulher trabalhadora, através dos múltiplos discursos da classe dominante sobre a chamada “questão da mulher” e através da suposta defesa de sua honra, feita pelo internamento das moças nos “conventos”. Após, discorre-se sobre a política do preconceito linguístico, através da discussão sobre dois estereótipos da classe trabalhadora construídos pela classe dominante: o estereótipo de uma classe formada por analfabetos e o estereótipo da mulher prostituída. Por fim, analisa-se a relação entre mulher trabalhadora e imprensa operária, uma nova esfera discursiva possível a estas mulheres. São estudados os aspectos dessa esfera discursiva, os gêneros discursivos que nela são produzidos e os enunciados das mulheres trabalhadoras nessa esfera. Podem-se destacar três das conclusões a respeito da análise realizada. A primeira, que a imprensa operária enquanto esfera discursiva não foi uma esfera igualitária, em que houvesse equipolência entre as vozes masculinas e femininas. A segunda, que os gêneros discursivos produzidos por mulheres nesta esfera constantemente constituíam cartas abertas, artigos de opinião e convites com estilos reivindicatórios e/ou argumentativos, em oposição aos dos homens, que normalmente eram expositivos. A última, que os enunciados produzidos por mulheres eram linguisticamente marcados pelo uso da primeira pessoa do plural, mas que esta marca nem sempre significava que as mulheres que a usavam se incluíam em seus discursos, e sim que elas possuíam consciência de sua classe e sabiam que apenas com união poderiam sair vitoriosas de suas lutas. / This Masters dissertation, which has Historical Sociolinguistics as theoretical basis, analyses how the writing of the working woman in the Brazilian working press in the Old Republic (1889-1930) reflected and influenced the reality of the time. Therefore, it is observed in which base the working women were in this period, trying, this way, to describe the mode of production, the relations of production, the social relations and the different social roles lived by them. It is discussed, at first, the enclosure of the voices and the ideas whilst language policy imposed to the proletariat by the ruling class in Brazil during the Old Republic. It is defended the idea that this language policy occurred through the practices that limited the possible spheres of discourse to the working class, including the censorship that the working press suffered in this historic context, the disciplining of the working class and the colonization of the working woman, through the multiple discourses of the ruling class on the so-called “women question” and through the suppose defence of their honour, done through the confinement of the ladies in the “convent”. After that, it is expatiated about the policy of the linguistic discrimination, through the discussion about two stereotypes of the working class built by the ruling class: the stereotype of a class formed by illiterate people and the stereotype of the prostituted woman. At last, it is analysed the relation between the working woman and the working press, a new sphere of discourse possible to these women. It is studied the aspects of this sphere of discourse, the discursive gender produced on it and the utterance of the working women in this sphere. It is possible to highlight three of the conclusions about this analysis. The first, the working press whilst sphere of discourse was not an egalitarian sphere, in which there was equivalence between male and female voices. The second, the discursive gender produced by women in this sphere constantly built open letters, opinion articles and invitations with a claim or argumentative style, opposite the discourse produced by men, which normally were expositive. The last, the utterances produced by women were linguistically marked by the use of the first person of plural, although this mark did not always mean the women that used it included themselves in their discourses, instead, they were aware of their class and they knew only with union they could emerge victorious from their struggles.
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A escrita da mulher trabalhadora na imprensa operária brasileira da República Velha : a luta contra o enclausuramento e o preconceito linguístico

Boenavides, Débora Luciene Porto January 2018 (has links)
Questa tesi, che ha come base teorica la sociolinguistica storica, analizza il modo come la scrittura delle donne lavoratrici nella stampa operaia brasiliana della Prima Repubblica – República Velha (1889-1930) ha costituito un prodotto della realtà del tempo come pure ha inciso su quella realtà. A tale fine, si osservano le basi materiali nelle quali le lavoratrici di quel periodo storico operavano, cercando di descrivere il modo di produzione, i rapporti di produzione, i rapporti sociali nonché i vari ruoli sociali che quelle donne occupavano. Per primo è analizzato il confinamento di voci e idee come forma di politica linguistica imposta al proletariato dalla classe dominante nel Brasile della Prima Repubblica. Si difende l'idea che questa politica linguistica sia avvenuta attraverso pratiche che limitavano le possibili sfere discorsive accessibili alla classe lavoratrice, tra cui vanno citati la censura subita dalla stampa operaia in quel contesto storico, la disciplina imposta alla classe operaia e la colonizzazione delle donne lavoratrici, tramite molteplici discorsi dominanti sulla cosiddetta "questione femminile" e attraverso la presunta difesa del loro onore, realizzata mediante l'internamento delle giovani donne nei "conventi". Si esamina la politica di discriminazione linguistica, considerando due stereotipi sulla classe operaia, costruiti dal ceto dominante: quello di una classe di analfabeti e quello della donna “facile”. Infine, il rapporto tra le donne lavoratrici e la stampa operaia, la nuova possibile sfera discorsiva per quelle donne, viene analizzata mediante l'osservazione di questa sfera discorsiva, dei generi di discorsi che vi erano prodotti e degli enunciati delle donne lavoratrici in questa sfera. Tra le conclusioni dell'analisi, tre vanno evidenziate. La prima è che la stampa operaia in quanto sfera discorsiva non era egualitaria, nel senso che in essa, non vi era un'uguaglianza tra le voci maschili e femminili. La seconda è che i generi discorsivi prodotti dalle donne in questo campo erano costituiti perlopiù di lettere aperte, articoli e inviti e presentavano stili rivendicatori e/o argomentativi, al contrario di quelli prodotti dagli uomini, che di solito erano espositivi. L'ultima conclusione che possiamo trarre dall'analisi realizzata è che, da un punto di vista linguistico, gli enunciati prodotti dalle donne si contraddistinguevano da quelli degli uomini per l'uso della prima persona plurale, ancorché tale caratteristica non sempre significasse che le donne che l'usavano si considerassero parte del próprio discorso, ma piuttosto che erano consapevole di appartenere a quella classe e sapevano che solo con l'unione sarebbero potute emergere vittoriose dalle loro lotte. / Prenant comme base théorique la sociolinguistique historique, ce travail se propose de montrer que les écrits des ouvrières dans la presse brésilienne de la Première République – República Velha (1889-1930) ont constitué un reflet de la réalité de l'époque, de même qu'ils ont influencé cette réalité. Pour cela, nous observons les bases matérielles dans lesquelles les femmes ouvrières de cette période opéraient et tentons de décrire le mode de production, les rapports de production, les relations sociales de même que les divers rôles sociaux qu'elles ont occupés. Nous discutons d’abord la claustration des voix et des idées en tant que politique linguistique imposée au prolétariat par la classe dominante brésilienne de la Première République. Nous défendons l'idée que cette politique linguistique s’est réalisée au travers de pratiques qui limitaient les sphères discursives accessibles à la classe ouvrière, parmi lesquelles on compte la censure qu'a souffert la presse ouvrière dans ce contexte historique, la discipline imposée à la classe ouvrière et la colonisation des femmes travailleuses, par le moyen des différents discours de la classe dominante sur la soi-disant «question des femmes» et à travers la prétendue défense de leur honneur, faite par l'internement des jeunes femmes dans les «couvents». Nous discutons ensuite la politique de discrimination linguistique à travers la présentation critique de deux stéréotypes sur la classe ouvrière construits par la classe dominante: celui d'une classe composée d'analphabètes et celui de la femme “de mauvaise vie”. Finalement, la relation entre les travailleuses et la presse ouvrière, cette nouvelle sphère discursive possible pour ces femmes, est analysée par le biais de l'observation des aspects de cette sphère discursive, des genres de discours qui y étaient s produits et des déclarations des travailleuses dans ce domaine langagier. Trois des conclusions de cette analyse peuvent être mises en évidence. La première de ces conclusions est que la presse ouvrière, en tant que sphère discursive, n'était pas une sphère égalitaire, dans laquelle il y aurait eu un équilibre entre les voix masculines et féminines. La seconde déduction que l'on peut faire est que les genres discursifs produits par les femmes dans ce domaine consistaient systématiquement en lettres ouvertes, articles d'opinion et invitations et présentaient surtout des traits stylistiques argumentatifs et/ou revendicatifs, contrairement à ceux des hommes qui étaient habituellement expositifs. Finalement, on peut dire que les énoncés produits par des femmes étaient linguistiquement marqués par l'utilisation de la première personne du pluriel, sans que ce trait ne signifie nécessairement que les femmes qui l'utilisaient se considèrent parties prenantes de leurs discours, mais voulant dire qu'elles étaient conscientes d'appartenir à cette classe et qu'elles ne pourraient sortir victorieuses de leurs luttes qu'en restant unies. / Esta dissertação de mestrado, que tem como base teórica a sociolinguística histórica, tem como objetivo principal analisar como a escrita da mulher trabalhadora na imprensa operária brasileira da República Velha (1889-1930) refletiu e influenciou a realidade da época. Para isso, observa-se em que base as mulheres trabalhadoras deste período estavam inseridas, tentando-se, assim, descrever o modo de produção, as relações de produção, as relações sociais e, também, os diversos papeis sociais vivenciados por elas. Discute-se, primeiramente, o enclausuramento de vozes e de ideias enquanto política linguística imposta ao proletariado pela classe dominante no Brasil durante a República Velha. Defende-se a ideia que esta política linguística ocorreu através de práticas que limitavam as esferas discursivas possíveis à classe trabalhadora, entre elas, a censura que sofreu a imprensa operária nesse contexto histórico, o disciplinamento da classe trabalhadora e a colonização da mulher trabalhadora, através dos múltiplos discursos da classe dominante sobre a chamada “questão da mulher” e através da suposta defesa de sua honra, feita pelo internamento das moças nos “conventos”. Após, discorre-se sobre a política do preconceito linguístico, através da discussão sobre dois estereótipos da classe trabalhadora construídos pela classe dominante: o estereótipo de uma classe formada por analfabetos e o estereótipo da mulher prostituída. Por fim, analisa-se a relação entre mulher trabalhadora e imprensa operária, uma nova esfera discursiva possível a estas mulheres. São estudados os aspectos dessa esfera discursiva, os gêneros discursivos que nela são produzidos e os enunciados das mulheres trabalhadoras nessa esfera. Podem-se destacar três das conclusões a respeito da análise realizada. A primeira, que a imprensa operária enquanto esfera discursiva não foi uma esfera igualitária, em que houvesse equipolência entre as vozes masculinas e femininas. A segunda, que os gêneros discursivos produzidos por mulheres nesta esfera constantemente constituíam cartas abertas, artigos de opinião e convites com estilos reivindicatórios e/ou argumentativos, em oposição aos dos homens, que normalmente eram expositivos. A última, que os enunciados produzidos por mulheres eram linguisticamente marcados pelo uso da primeira pessoa do plural, mas que esta marca nem sempre significava que as mulheres que a usavam se incluíam em seus discursos, e sim que elas possuíam consciência de sua classe e sabiam que apenas com união poderiam sair vitoriosas de suas lutas. / This Masters dissertation, which has Historical Sociolinguistics as theoretical basis, analyses how the writing of the working woman in the Brazilian working press in the Old Republic (1889-1930) reflected and influenced the reality of the time. Therefore, it is observed in which base the working women were in this period, trying, this way, to describe the mode of production, the relations of production, the social relations and the different social roles lived by them. It is discussed, at first, the enclosure of the voices and the ideas whilst language policy imposed to the proletariat by the ruling class in Brazil during the Old Republic. It is defended the idea that this language policy occurred through the practices that limited the possible spheres of discourse to the working class, including the censorship that the working press suffered in this historic context, the disciplining of the working class and the colonization of the working woman, through the multiple discourses of the ruling class on the so-called “women question” and through the suppose defence of their honour, done through the confinement of the ladies in the “convent”. After that, it is expatiated about the policy of the linguistic discrimination, through the discussion about two stereotypes of the working class built by the ruling class: the stereotype of a class formed by illiterate people and the stereotype of the prostituted woman. At last, it is analysed the relation between the working woman and the working press, a new sphere of discourse possible to these women. It is studied the aspects of this sphere of discourse, the discursive gender produced on it and the utterance of the working women in this sphere. It is possible to highlight three of the conclusions about this analysis. The first, the working press whilst sphere of discourse was not an egalitarian sphere, in which there was equivalence between male and female voices. The second, the discursive gender produced by women in this sphere constantly built open letters, opinion articles and invitations with a claim or argumentative style, opposite the discourse produced by men, which normally were expositive. The last, the utterances produced by women were linguistically marked by the use of the first person of plural, although this mark did not always mean the women that used it included themselves in their discourses, instead, they were aware of their class and they knew only with union they could emerge victorious from their struggles.

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