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Habiter le patrimoine : la maison-jardin à Hue / Housing heritage : the Hue Harden house

Nguyen, Thi Huong Hué 23 May 2013 (has links)
Les monuments de Hué sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO depuis 1993. Ils contribuent, par leur histoire même, au rachat d’une guerre qui a aussi été fratricide. La patrimonialisation des constructions impériales entrent dans une politique de construction de l’identité nationale par la culture et le lieu où l’unité vietnamienne s’est la première fois unifiée. La demande de l’organisation internationale qui porte désormais sur le « paysage culturel » suit la même orientation en valorisant ce qui devient une iconographie territoriale. L’extension du patrimoine au « paysage culturel » inclut nécessairement les « maisons-jardin » qui, outre les monuments impériaux, font la gloire d’une culture de Hué très subtile, à la fois élevée et modeste. La continuité de la nature à l’habitat est assurée par le jardin ordonné selon les règles de la géomancie. Mais les maisons-jardin ne sont plus, pour la majorité de leurs habitants, les résidences des mandarins, des artistes et des musiciens de cours. L’histoire est passée par là, provoquant une tension qui a pu être politique (idéologique), qui est sociale et économique assurément. Le discours traditionnaliste qui s’est réveillé autour de l’opération de patrimonialisation visant une « capitale féodale orientale » (ICOMOS, sic, n’est pas sans trouver contradiction dans la réalité contemporaine de l’habitat. Comment peut-on habiter le patrimoine et échapper à la seule vocation touristique qui conduit au musée ou au folklore. C’est à quoi cette thèse tente de répondre. / Hue monuments are inscribed on the List of World Heritage of Humanity by UNESCO since 1993. They contribute through their own history, to the redemption of a war which was also fratricide. The heritage of imperial city fall into a policy of building national identity through culture and the place where the Vietnamese unit was first unified. The request of the international organization that is now on the "cultural landscape" follows the same orientation valuing what becomes a territorial iconography. The extension of the heritage "cultural landscape" necessarily includes "garden houses" which, besides the imperial monuments, are the glory of a culture of Hue subtle, both high and low. Continuity of nature to housing is provided by the garden ordered according to the rules of geomancy. But the houses are no longer the homes of mandarins, artists and musicians for the majority of their inhabitants. The story has been through it, causing a voltage which could be political (ideological), which is certainly social and economic. Traditionalist discourse who woke up around the operation of heritage to a "feudal capital Oriental" (ICOMOS, sic) is not without contradiction found in contemporary reality of the habitat. How can live heritage and escape the single leading tourist or museum folklore. This is what this thesis seeks to answer.
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Habiter le patrimoine : la maison-jardin à Hue

Nguyen, Thi Huong Hué 23 May 2013 (has links) (PDF)
Les monuments de Hué sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO depuis 1993. Ils contribuent, par leur histoire même, au rachat d'une guerre qui a aussi été fratricide. La patrimonialisation des constructions impériales entrent dans une politique de construction de l'identité nationale par la culture et le lieu où l'unité vietnamienne s'est la première fois unifiée. La demande de l'organisation internationale qui porte désormais sur le " paysage culturel " suit la même orientation en valorisant ce qui devient une iconographie territoriale. L'extension du patrimoine au " paysage culturel " inclut nécessairement les " maisons-jardin " qui, outre les monuments impériaux, font la gloire d'une culture de Hué très subtile, à la fois élevée et modeste. La continuité de la nature à l'habitat est assurée par le jardin ordonné selon les règles de la géomancie. Mais les maisons-jardin ne sont plus, pour la majorité de leurs habitants, les résidences des mandarins, des artistes et des musiciens de cours. L'histoire est passée par là, provoquant une tension qui a pu être politique (idéologique), qui est sociale et économique assurément. Le discours traditionnaliste qui s'est réveillé autour de l'opération de patrimonialisation visant une " capitale féodale orientale " (ICOMOS, sic, n'est pas sans trouver contradiction dans la réalité contemporaine de l'habitat. Comment peut-on habiter le patrimoine et échapper à la seule vocation touristique qui conduit au musée ou au folklore. C'est à quoi cette thèse tente de répondre.
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Oscar Bardi De Fourtou (1836-1897) : un ministre contre la République / Oscar Bardi de Fourtou (1836-1897) : a minister against the Republic

Truel, Thierry 08 February 2014 (has links)
Oscar Bardi de Fourtou est entré dans l’histoire de la vie politique française comme l’Homme du Seize-Mai, ministre de l’Intérieur à poigne, qui ne laisse pas de place à la contestation de ses décisions que l’urgence d’une crise commande. Chargé par le maréchal de Mac-Mahon de mener une lutte contre les républicains, il procède à d’importants mouvements de fonctionnaires afin que l’action gouvernementale soit soutenue localement par des agents fidèles et dévoués. Avec la dissolution de la Chambre des députés en juin 1877, il est chargé de préparer les élections législatives et empêcher les républicains de les gagner. Tous les moyens légaux sont utilisés mais soumis à la pression des différentes composantes de l’alliance conservatrice qui soutiennent l’initiative présidentielle. L’échec électoral provoque la responsabilité évidente d’un ministre trop exposé pendant la crise. Cette condamnation des vainqueurs est aussi perceptible dans les rangs de la droite conservatrice, déçue que Fourtou n’ait pris de résolutions plus radicales. Sa carrière politique est fulgurante. Avocat au barreau de Ribérac, puis maire de la ville, il est élu député de la Dordogne à trente-six ans en février 1871. Inscrit au centre-droit, il se fait remarquer par Thiers qui le nomme ministre des Travaux Publics. Après la chute du président de la République, il se rapproche de la droite dynastique et obtient la confiance de Mac-Mahon qui lui confie le ministère de l’Instruction publique, des Cultes et des Beaux-Arts. Il incarne alors une expression autoritaire du pouvoir qui est en partie la raison de sa nomination place Beauvau en juin 1874 et à nouveau en mai 1877. Parallèlement à cette carrière ministérielle, il poursuit son ancrage local (président de comice agricole, conseiller général) et devient administrateur de la Compagnie de chemin de fer d’Orléans. Fourtou est alors l’une des figures importantes de la droite conservatrice, proche de l’Elysée. Après le Seize-Mai, il poursuit sa carrière politique, malgré la flétrissure et l’invalidation de son élection qui le conduit à se représenter immédiatement et obtenir la confiance de la population. Devenu sénateur, il continue la lutte contre les réformes des opportunistes mais échoue aux différents scrutins nationaux de 1885. A la faveur du boulangisme, il redevient député en 1889 mais propose de jouer la carte de l’apaisement, signe d’une évolution idéologique de l’homme politique. Parlementaire au parcours singulier, il représente, avec d’autres, les interrogations et la recherche identitaire d’une droite française en pleine transformation dans les premières années de la Troisième République. La postérité ne retient, finalement, que la légende noire de l’ancien ministre de l’Intérieur du Seize-Mai. / Oscar Bardi de Fourtou is involved in french political life as the Man of the Seize-Mai, the Home minister with a very special manner leading with authority and his decisions don’t accept any protest. Commissioned by the marechal Mac-Mahon to lead the fight against republicans, he organized a lot of changes inside the civil servant corps, to help the government restore its power in local position. With the dissolution of the Parliament, he had to prepare the next legislative elections in October 1877 to prevent the victory of republicans. All the legal means were used but under the political pressure of the different components of the Conservative forces which maintain the President policy. The electoral failure of the Conservative forces involved the political responsibility of the former Home minister. His bad reputation came from the winner and also in the Conservative camp, disappointed by his attitude during the crisis not taking strong solutions to resolve it. His political career is lightning. As a lawyer in Riberac, and mayor of his home town, he was elected as Member of Parliament on February 1871. Registered as a member of Right Center, he was chosen by Thiers to be the new Public Work of his government. After the of the President, he was closer to the dynastic Right, and got confidence of the new President Mac-Mahon who decided to give him the Public Education ministry. Therefore, Fourtou represents the authoritarian position of one part of the Conservatives and that’s the reason he changed to the Home ministry in June 1874 and of course, in May 1877.At the same time, he continues his local work and became the Orleans railways Company manager. One of the most important politicians of the French Right, he was closely linked to the Elysee palace. After the Seize-Mai, he carried on his political business, despite the stigmatization of the Parliament, and his invalidation, he was elected again. As senator, he fought against the opportunist reforms but didn’t succeed in the different national elections in 1885. Thanks to the Boulanger crisis, he again became a Member of Parliament in 1889 but wants to promote appeasement, as underlined in evidence in his ideological evolution. As a singular Member of Parliament, he represented a new position, with other colleagues, into the Right movement., especially the search for a new French Right identity during important changes in the first years of the Third Republic. In front of the posterity, with hindsight, he remains a dark legend as the Home minister of the Seize-Mai.
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Une autre théorie critique : l'histoire intellectuelle de la revue Nord-américaine Telos 1968-2001 / Another critical theory : the intellectual history of the northamerican journal Telos, 1968-2001

Himeur, Emilie 17 November 2014 (has links)
Notre thèse d’analyse des idées politiques retrace l’histoire intellectuelle de larevue de pensée critique étasunienne Telos de 1968 à 2001. A travers notre travail denarration critique, nous cherchons à comprendre, au sens wébérien, l’évolution idéologiquesignificative de la publication-organisation, qui est passée en moins de trente ans d’unpositionnement néo-marxiste affilié à la Nouvelle gauche américaine à un populisme prochede la Nouvelle droite européenne. Notre hypothèse de travail est que le rapport que Telosentretient avec la Théorie critique de l’Ecole de Francfort est déterminant pour comprendreson évolution et écrire son histoire. Nous défendons ici la thèse que Telos constitue unorgane dissident de « théorie critique nord-américaine » (Mooney, Calhoun) qui s’exprimesous la forme d’un « traditionalisme critique » qui tient lieu de synthèse entre différentesbranches de théorie critique contemporaine. En tant que synthèse, la théorie telosiennedépasse l'héritage de la vieille Théorie critique francfortoise, dans un double rapportd’intégration et de négation. In fine, Telos produit sa propre critique, une autre théoriecritique. / Our doctoral dissertation traces the intellectual history of the American criticalthought journal Telos from 1968 to 2001. Through our critical narrative, we intend tounderstand, in the weberian sense, the significant ideological evolution of the publicationorganization,which, in less than thirty years, moved from a neo-Marxist position affiliatedwith the American New Left to a populism related to the European New Right. Our workinghypothesis is that the link between Telos and the Critical Theory of the Frankfurt School isdecisive to understand its evolution and write its history. Our thesis is that Telos is adissenting organ of “North-American Critical Theory” (Mooney, Calhoun) expressed as a“critical traditionalism” that acts as a synthesis between various trends of contemporarycritical theory. As a synthesis, the telosian theory overcomes the legacy of the old Criticaltheory in a dual relationship of integration and negation. Ultimately, Telos produces its owncriticism, another critical theory.
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Les espaces du catholicisme francais contemporain : dynamiques communautaires polarisées et recompositions d’un paysage religieux éclaté : (1980-2013) / The aeras of contemporary French catholicism : polarized community dynamics and recompositions of a fragmented religious scene : (1980-2013) / Espacios del catolicismo contemporáneo francés : recomposiciones y dinamicas de un paisaje religioso fragmentado : (1980-2013)

Herbinet, Vincent 03 July 2018 (has links)
Cette thèse vise à analyser dans la contemporanéité (1980-2013) la trajectoire du catholicisme, dans le sillage de la microhistoire, par l’étude de ses acteurs, de ses territoires et de ses communautés, des modes de gouvernement ecclésial. Nous mettrons en lumière le paradoxe du tissu de l’Eglise locale qui se dilate et se morcelle, mais aussi se contracte et se polarise, obligeant l’Ordinaire, dans son gouvernement, à penser un changement de paradigme : passer du défi de la proximité à celui de l’unité, compte tenu de la pluralité des communautés et des territoires associés. Nous étudierons, pour appuyer nos analyses, les diocèses de Rennes, Autun et Fréjus-Toulon. Un glissement de la logique d’enclos à la dynamique de pôles centralisateurs sera appréhendé, parfois en tensions, par les acteurs d’Eglise, à la lumière de quatre enjeux structurant l’argumentation : le « biotope » (rural/urbain), la diversité communautaire, le militantisme et la question de l’identité (statuts des clercs, coresponsabilité, modalités de l’évangélisation, communautarisme…).L’histoire et la géographie sociale permettront de renouveler les problématiques de l’appartenance spatiale et religieuse en partant d’interrogations sur le territoire selon des indicateurs précis : réseaux de fidèles et des militants, apport des nouvelles communautés (effectifs, choix pastoraux, gouvernement), options épiscopales en faveur de tel territoire ou tel groupe ecclésial… Pour l’historien, l’espace peut être considéré comme un outil heuristique, dans lequel des changements d’échelle se sont imposés dans le temps court. En délimitant nos recherches (1980-2013), nous voulons nous attarder à l’intérieur d’espaces qui ne possèdent plus la relative homogénéité que l’histoire leur prêtait avant le XXème siècle.Nos recherches s’inscrivent dans une structure en trois parties. La première partie se veut avant tout contextuelle, à la lumière de la postmodernité et de la sécularisation qui modifient les modes d’appartenance à une religion déclarée par beaucoup en soins palliatifs. Nous analyserons les liens étroits entre le catholicisme et ses modes d’insertion territoriale (rural/urbain) à partir de nos diocèses de référence. Nous présenterons les dé/recompositions des formes de militantisme dans le diocèse de Rennes, terreau d’Action catholique de plus en plus stérile et laissant la place à une militance familialiste très urbaine.La seconde partie de la thèse abordera les enjeux de la gouvernance ecclésiale dans les trois diocèses d’étude. Nous étudierons, dans le temps court, l’évolution du « munus regendi » des évêques et des prêtres avec le croisement des générations, avec le principe de coresponsabilité et le développement différencié selon les diocèses du diaconat permanent et des laïcs en mission ecclésiale. Nous développerons tout particulièrement le cas toulonnais pour lequel peu d’études approfondies ont été réalisées.Enfin, la troisième partie mettra l’accent sur la problématique du développement croissant d’un catholicisme attestataire polarisé en quête de visibilité. Nous analyserons la genèse du Renouveau et sa trajectoire dans le diocèse de Rennes. Nous nous pencherons particulièrement sur la communauté de l’Emmanuel, sur sa promotion de la nouvelle évangélisation et l’intégralisme de ses modes pastoraux. Ensuite, fort d’une certaine fécondité sacerdotale et d’un dialogue chaotique avec Rome (Motu proprio en 1988 et 2007), la galaxie traditionaliste très hétéroclite reste le cadre de mutations contemporaines que nous étudierons dans les diocèses de Rennes et d’Autun. Enfin, nous changerons d’échelle en nous focalisant sur la ville-sanctuaire de Paray-le-Monial, pôle militant et laboratoire incubateur d’un « nouveau catholicisme », sur l’articulation entre les différents territoires (ville, sanctuaire, paroisse) et les acteurs en place. / This thesis aims at analysing, in the contemporary world (1980-2013), the trajectory of catholicism, in the wake of microhistory, through the study of its actors, its territories and its communities, the modes of ecclesial government. We will highlight the paradox of the fabric of the local Church which expands and fragments, but also contracts and polarizes, forcing the Ordinary, in his government, to think of a paradigm shift: from the challenge of proximity to the one of unity, taking into account the plurality of communities and associated territories. To support our analyses, we will study the dioceses of Rennes, Autun and Frejus-Toulon. A shift from the logic of enclosures to the dynamics of a centralizing pole will be apprehended, sometimes in tension, by Church actors, in the light of four issues structuring the argument: « biotope » (rural/urban), community diversity, activism and the question of identity (status of clerics, co-responsibility, modalities of evangelization, communautarism...).History and social geography will enable us to renew the problems of spatial and religious belonging by starting from questions about the territory according to precise indicators: networks of the faithful and militants, the contribution of new communities (numbers, pastoral strategies, government), episcopal options in favour of a particular territory or ecclesial group... For the historian, space can be considered as a heuristic tool, in which changes of scale have been imposed in short time. By delimiting our research (1980-2013), we want to focus on the interior of aeras that no longer possess the relative homogeneity that history lent them before the 20th century.Our research are presented in a three-part structure. The first part is intended above all to be contextual, in the light of postmodernity and secularization, which modify the modes of belonging to a religion declared by many in palliative care. We will analyse the close links between Catholicism and its modes of territorial integration (rural/urban) from our dioceses of reference. We will present the recompositions of the forms of militancy in the diocese of Rennes, a breeding ground for Catholic Action that is increasingly sterile and leaving room for very urban familyist militancy.The second part of this thesis will address the issues of ecclesial governance in our three dioceses of study. We will study, in the short time, the evolution of the « munus regendi » of bishops and priests with the crossing of generations; with the principle of co-responsibility and the differentiated development according to the dioceses of the permanent diaconate and of the laity in ecclesial mission. We will particularly develop the Toulon case for which few in-depth studies have been carried out.Finally, the third part will focus on the problem of the growing development of a polarized Catholic witness in search of visibility. We will analyze the genesis of the Renewal and its trajectory in the diocese of Rennes. We will look particularly at the Emmanuel community, its promotion of the new evangelization and the fundamentalism of its pastoral modes. Then, with a certain priestly fruitfulness and a chaotic dialogue with Rome (Motu proprio in 1988 and 2007), the very heterogeneous traditionalist galaxy remains the framework of contemporary mutations that we will study in the dioceses of Rennes and Autun. Finally, we will change scale by focusing on the city-sanctuary of Paray-le-Monial, militant pole and laboratory incubator of a « new Catholicism », on the articulation between the various territories (city, sanctuary, parish) and the actors in place. / La modernidad desafía "parroquia civilización". Los cambios en espacial e institucional llevada a cabo por la Iglesia católica, entre ellos diócesis, son simples adaptaciones renovadas o por el contrario, inauguran un proceso de desarrollo en el centro de nuevas áreas de distribución, en particular con el creciente impacto de los nuevos jugadores? Las iglesias se vacían todas partes en Francia, pero las comunidades y diócesis han recuperado algunos lugares para hacer los pilares de las nuevas formas de práctica religiosa, si es posible, la supervivencia no sólo de la institución, sino también la transmisión de la fe. ¿Cuál es el proceso? ¿Es sostenible en el tiempo? ¿Con qué herramientas?

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