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La fonction tribunitienne et le Ralliement créditiste du Québec / by Vera Murray.

Murray, Vera, 1947- January 1975 (has links)
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La fonction tribunitienne et le Ralliement créditiste du Québec / by Vera Murray.

Murray, Vera, 1947- January 1975 (has links)
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Les résistances à la République dans le coeur de la Gascogne (Gers, Landes, Lot-et-Garonne) de 1870 à 1914 / Resistances to the Republic in the heartland of Gascony (the Gers, the Landes and the Lot-et-Garonne) between 1870 and 1914

Piot, Céline 11 July 2013 (has links)
De nombreux travaux tendent à prouver que les départements situés au coeur de la Gascogne (c’est-à-dire ceux du Gers, des Landes et du Lot-et-Garonne) n’ont pas à subir de fortes résistances contre la République entre 1870 et 1914. Un rapide examen du tableau politique de ces trois départements montre en effet que les électeurs adhèrent progressivement aux idées républicaines – bien que le rythme soit différent d’une zone à l’autre –, mais doit-on se satisfaire de généralités ? Une étude plus spécifique, confrontant les sources nationales aux sources régionales et utilisant des sources de diverses natures confirmera-t-elle ou, au contraire, nuancera-t-elle, voire infirmera-t-elle, ce schéma d’une Gascogne précocement républicaine et peu encline aux résistances venues tant des conservateurs que de l’extrême gauche ?La première partie, portant sur un état des lieux dans les années 1870, permet de montrer que les conservateurs, bien que divisés, sont encore puissants. Sont ainsi présentées les cultures politiques antirépublicaines en expliquant quels sont leurs moyens de lutte tels que la presse et les réseaux de sociabilité (cercles et sociétés). L’univers agricole est l’un des terrains de prédilection des droites, en particulier de la culture traditionaliste. Mais cette influence se traduit-elle lors des temps électoraux ? À partir de la décennie 1880, et c’est l’objet de la deuxième partie, à l’enracinement durable de la IIIe République répond cependant, dans un illusoire écho, le lent déclin des conservateurs. En Gascogne, de nombreuses personnalités continuent toutefois d’exercer une autorité politique et culturelle par le biais de diverses sociétés, par la presse et le mouvement félibréen. Les espoirs du rétablissement de la monarchie ou de l’Empire, sans s’éteindre, sont néanmoins fortement déçus et les crises nationales (le boulangisme, l’affaire Dreyfus, la tentative de coup d’État de Déroulède…) n’ébranlent pas l’ancrage républicain ; au contraire, elles le renforcent. N’empêche que, dans la période 1890/1914, les résistances à la République prennent d’autres formes et certaines structures, que l’on croyait en Gascogne jusqu’alors réservées aux années vingt, apparaissent déjà. Le paysage politique se recompose sous l’effet de l’évolution droitière du nationalisme, puis du Ralliement qui divise les droites. À cela, vient s’ajouter l’opposition de l’extrême gauche. D’autre part, les revendications culturelles liées au mouvement félibréen deviennent plus fortement politiques, et laGascogne est à son tour ébranlée par les idées de fédéralisme et de décentralisation qui constituent des outils dans les mains des droites afin de lutter contre le régime républicain. Le clergé continue de combattre les lois scolaires et mène une contre-offensive, souvent minimisée et pourtant réelle. / A considerable amount of studies tend to reach the same conclusion, namely that the Departments situated in the heartland of Gascony (the Gers, the Landes and the Lot-et-Garonne) offered little resistance to the Republican ideal between 1870 and 1914. What little resistance there was, was not enough to overthrow the Republic. A cursory examination of the political picture of the three departments shows that voters adhered progressively to Republican ideas; even if the rate at which this occurred varied from one area to another. But can we be satisfied with this general overview ? Is this confirmed by a more in-depth study comparing national and local figures ? Was Gascony really an early day Republic, little given to contestation either from conservatives or the extreme leftThe first part (which deals with the state of the nation in the 1870’s) shows that the conservatives, albeit divided, were still powerful. Their antirepublican faction was empowered through channels of the local press and regional societies. The agricultural faction is traditionally a right wing preserve but is this really translated into a right wing vote at elections ? As from the decade of the 1880’s, the IIIe Republic took root and at the same time the conservatives declined slowly. This is the subject of the second part. In Gascony, however, a number of local dignitaries continued to wield political and cultural power through societies, the press and the felibreen movement. Although hopes of restoring the Monarchy or the Empire were never completely extinguished, they were nevertheless sevenly dampened. National crises (the boulangism, the Dreyfus affair, the attempted coup d’Etat of Déroulède…) reinforced the Republic instead of overthrowing it. In the period from 1890 to 1914, forms of resistance to the Republic were put in place which are usually associated with the 1920’s. The right wing tendency in nationalism is at first reinforced and then the right wing is divided by the Ralliement. The extreme left makes itself felt more forcefully. Added to this the cultural revendications linked to the felibreen movement become more politically based and Gascony is gripped by federalist and decentralising ideas which are tools of the right against the Republican regime. Clerics continue to fight laws governing schools and lead a counter offensive which has often been minimised but is nevertheless a force to be reckoned with.
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L'indépendance à droite : l'histoire politique du Regroupement national et du Ralliement national entre 1964 et 1968

Normand, Janie 10 1900 (has links) (PDF)
En septembre 1964, plus de sept membres de la région de l'Est-du-Québec quittent le Rassemblement pour l'indépendance nationale principalement pour cause de divergence idéologique. De surcroît, ces dissidents prennent la décision de fonder un nouveau parti indépendantiste et traditionaliste, le Regroupement national. Le docteur René Jutras, pédiatre à l'Hôtel-Dieu d'Arthabaska, devient le chef de ce nouveau parti et il est appuyé par une équipe dont fait partie, entre autres, Lucien Lessard, Jean Garon et Jean Miville-Dechêne. Les regroupistes présentent leur pensée politique dans leur journal de parti, La Nation. En résumé, ils combinent le projet d'indépendance du Québec avec une idéologie traditionaliste qui met de l'avant l'idée de continuité de la tradition et de la culture canadienne-française. En mars 1966, le Regroupement national se fusionne au Ralliement des créditistes du Québec pour donner naissance au Ralliement national dont la coprésidence est assurée par René Jutras et Laurent Legault. À l'aube des élections provinciales du 5 juin 1966, le parti nouvellement fusionné propose un programme électoral toujours fidèle à l'idéologie traditionaliste, tout en alliant les théories du crédit social. De plus, il suggère la formule d'États-associés pour l'établissement d'un Québec indépendant. Au scrutin de juin, le Ralliement national récolte 2,3 % des suffrages exprimés. Cependant, le parti obtient de bons résultats dans certains comtés régionaux. Au congrès postélectoral d'août 1966, Gilles Grégoire est élu nouveau président du RN. Sa présidence est marquée par une plus grande ouverture ainsi qu'une volonté d'alliance avec le RIN, tout en proposant les mêmes valeurs traditionalistes. À l'automne 1967, un autre groupement indépendantiste voit le jour, le Mouvement souveraineté-association dirigé par René Lévesque. L'arrivée de Lévesque accélère les négociations entre les partis indépendantistes afin de former un seul grand parti durant l'année 1968. Finalement, dû à des conflits d'ordre idéologique avec le RN et le MSA, le RIN est évincé des pourparlers. Donc, le Ralliement national et le Mouvement souveraineté-association s'associent pour fonder le Parti québécois en octobre 1968. Gilles Grégoire en devient le vice-président. Plusieurs anciens regroupistes et d'anciens rallinistes seront parmi les principaux architectes du Parti québécois des années 1960, 1970 et 1980. En somme, une meilleure connaissance de l'histoire politique du Regroupement national et du Ralliement national permet de saisir la composante traditionaliste non négligeable à l'origine du Parti québécois. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Regroupement national, Ralliement national, Rassemblement pour l'indépendance nationale, Mouvement souveraineté-association, René Jutras, Pierre Bourgault, René Lévesque, Laurent Legault, Gilles Grégoire, Indépendance, Souveraineté.
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Félix Eboué, 1884-1944 : mythe et réalités coloniales / Félix Eboué, 1884-1944 : myth and colonial realities

Capdepuy, Arlette 16 October 2013 (has links)
Descendant d’esclaves, Félix Éboué est né dans le milieu de la petite bourgeoisie de Cayenne (Guyane) en 1884. Il termine ses études secondaires à Bordeaux puis ses études supérieures à Paris : il sort diplômé de l’École coloniale en 1908. A sa demande, il est affecté en Oubangui-Chari (colonie de l’AEF). Il reste en brousse vingt deux ans avant de devenir administrateur en chef (1931). Il est ensuite nommé à différents postes : secrétaire général de la Martinique (1932-1934), secrétaire général du Soudan français (1934-1936), gouverneur de la Guadeloupe (1936-1938), gouverneur du Tchad (1938-1940). A l’été 1940, il choisit le camp de la Résistance avec de Gaulle. Le ralliement du Tchad donne au chef de la France libre un territoire français en Afrique, d’une importance stratégique capitale. En novembre 1940, de Gaulle le nomme gouverneur général de l’AEF à Brazzaville et Compagnon de la Libération. Jusqu’à février 1944, grâce à sa maîtrise de l’administration coloniale, il gère les hommes et les ressources de l’AEF pour le plus grand profit de la France libre et des Alliés. Épuisé et malade, il décède au Caire en mai 1944.La mémoire d’État s’empare de sa mémoire pour en faire rapidement une icône : il entre au Panthéon en mai 1949. Mais, Félix Éboué ne se réduit pas à son mythe : s’il est un personnage emblématique de la IIIe République, il est un homme ancré dans son époque par son appartenance à des réseaux de pouvoirs et par ses idées. Sa spécificité est d’avoir espéré réformer le système colonial et d’avoir cru qu’il était possible de lutter contre le préjugé de couleur, contre le racisme au nom des valeurs de la République. S’il fut un pionnier, c’est par le domaine du sport qui était pour lui un outil par excellence de l’intégration et d’épanouissement de l’individu. / Descendant of slaves, Felix Eboue was born in the middle of the lower middle class of Cayenne (Guiana) in 1884. He finished high school in Bordeaux and his graduate studies in Paris: he graduated from the “Ecole coloniale” in 1908. At his request, he was assigned in Oubangui-Chari (AEF colony). It remains in the bush twenty two years before becoming Chief (1931). He was appointed to various positions: Secretary General of Martinique (1932-1934), Secretary General of the French Sudan (1934-1936), governor of Guadeloupe (1936-1938), governor of Chad (1938-1940). In the summer of 1940, he chose the side of the Resistance with de Gaulle. The rallying Chad gives the leader of Free France, a French territory in Africa, a strategic importance. In November 1940, de Gaulle appointed Governor General of the AEF in Brazzaville and Companion of the Liberation. Until February 1944, thanks to his mastery of the colonial administration, he manages people and resources of the AEF for the benefit of Free France and the Allies. Exhausted and ill, he died in Cairo in May 1944. The memory State seizes his memory to make an icon rapidly enters the Pantheon in May 1949. But Felix Eboue is not limited to the myth: it is an iconic character of the Third Republic, he is a man rooted in his time by his membership in networks of power and ideas. Its specificity is to be hoped reform the colonial system and have believed it was possible to fight against the prejudice of color against racism on behalf of the values of the Republic. If he was a pioneer, this is the sport that was for him an ideal tool for the integration and development of the individual.
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Oscar Bardi De Fourtou (1836-1897) : un ministre contre la République / Oscar Bardi de Fourtou (1836-1897) : a minister against the Republic

Truel, Thierry 08 February 2014 (has links)
Oscar Bardi de Fourtou est entré dans l’histoire de la vie politique française comme l’Homme du Seize-Mai, ministre de l’Intérieur à poigne, qui ne laisse pas de place à la contestation de ses décisions que l’urgence d’une crise commande. Chargé par le maréchal de Mac-Mahon de mener une lutte contre les républicains, il procède à d’importants mouvements de fonctionnaires afin que l’action gouvernementale soit soutenue localement par des agents fidèles et dévoués. Avec la dissolution de la Chambre des députés en juin 1877, il est chargé de préparer les élections législatives et empêcher les républicains de les gagner. Tous les moyens légaux sont utilisés mais soumis à la pression des différentes composantes de l’alliance conservatrice qui soutiennent l’initiative présidentielle. L’échec électoral provoque la responsabilité évidente d’un ministre trop exposé pendant la crise. Cette condamnation des vainqueurs est aussi perceptible dans les rangs de la droite conservatrice, déçue que Fourtou n’ait pris de résolutions plus radicales. Sa carrière politique est fulgurante. Avocat au barreau de Ribérac, puis maire de la ville, il est élu député de la Dordogne à trente-six ans en février 1871. Inscrit au centre-droit, il se fait remarquer par Thiers qui le nomme ministre des Travaux Publics. Après la chute du président de la République, il se rapproche de la droite dynastique et obtient la confiance de Mac-Mahon qui lui confie le ministère de l’Instruction publique, des Cultes et des Beaux-Arts. Il incarne alors une expression autoritaire du pouvoir qui est en partie la raison de sa nomination place Beauvau en juin 1874 et à nouveau en mai 1877. Parallèlement à cette carrière ministérielle, il poursuit son ancrage local (président de comice agricole, conseiller général) et devient administrateur de la Compagnie de chemin de fer d’Orléans. Fourtou est alors l’une des figures importantes de la droite conservatrice, proche de l’Elysée. Après le Seize-Mai, il poursuit sa carrière politique, malgré la flétrissure et l’invalidation de son élection qui le conduit à se représenter immédiatement et obtenir la confiance de la population. Devenu sénateur, il continue la lutte contre les réformes des opportunistes mais échoue aux différents scrutins nationaux de 1885. A la faveur du boulangisme, il redevient député en 1889 mais propose de jouer la carte de l’apaisement, signe d’une évolution idéologique de l’homme politique. Parlementaire au parcours singulier, il représente, avec d’autres, les interrogations et la recherche identitaire d’une droite française en pleine transformation dans les premières années de la Troisième République. La postérité ne retient, finalement, que la légende noire de l’ancien ministre de l’Intérieur du Seize-Mai. / Oscar Bardi de Fourtou is involved in french political life as the Man of the Seize-Mai, the Home minister with a very special manner leading with authority and his decisions don’t accept any protest. Commissioned by the marechal Mac-Mahon to lead the fight against republicans, he organized a lot of changes inside the civil servant corps, to help the government restore its power in local position. With the dissolution of the Parliament, he had to prepare the next legislative elections in October 1877 to prevent the victory of republicans. All the legal means were used but under the political pressure of the different components of the Conservative forces which maintain the President policy. The electoral failure of the Conservative forces involved the political responsibility of the former Home minister. His bad reputation came from the winner and also in the Conservative camp, disappointed by his attitude during the crisis not taking strong solutions to resolve it. His political career is lightning. As a lawyer in Riberac, and mayor of his home town, he was elected as Member of Parliament on February 1871. Registered as a member of Right Center, he was chosen by Thiers to be the new Public Work of his government. After the of the President, he was closer to the dynastic Right, and got confidence of the new President Mac-Mahon who decided to give him the Public Education ministry. Therefore, Fourtou represents the authoritarian position of one part of the Conservatives and that’s the reason he changed to the Home ministry in June 1874 and of course, in May 1877.At the same time, he continues his local work and became the Orleans railways Company manager. One of the most important politicians of the French Right, he was closely linked to the Elysee palace. After the Seize-Mai, he carried on his political business, despite the stigmatization of the Parliament, and his invalidation, he was elected again. As senator, he fought against the opportunist reforms but didn’t succeed in the different national elections in 1885. Thanks to the Boulanger crisis, he again became a Member of Parliament in 1889 but wants to promote appeasement, as underlined in evidence in his ideological evolution. As a singular Member of Parliament, he represented a new position, with other colleagues, into the Right movement., especially the search for a new French Right identity during important changes in the first years of the Third Republic. In front of the posterity, with hindsight, he remains a dark legend as the Home minister of the Seize-Mai.
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Cléricalisme et anticléricalismes à Lyon, de la Commune à la Première Guerre mondiale (1870-1914) / Clericalism and anticlerical movements in Lyons, from the Commune to WWI (1870-1914)

Charlas, Joseph-Michel 23 October 2017 (has links)
Les quarante-cinq premières années de la Troisième République se caractérisent par une politique de laïcisation touchant de nombreux domaines, à commencer par l’éducation, politique qui culmine en 1905 avec la loi de Séparation des Eglises et de l’Etat. La ville de Lyon, qui avait connu durant les deux premiers tiers du XIXème siècle une renaissance particulièrement forte du catholicisme, se manifestant par la création d’œuvres dynamiques, se voit confrontée en retour à une vague particulièrement puissante d’anticléricalisme. La confrontation des deux groupes idéologiquement opposés, que l’on peut nommer « clérical » et « anticlérical », détermine toute une succession de crises, d’accalmies, de recompositions, dont les spécificités lyonnaises ne pas toujours liées à celles du contexte national. Dans ses aspects concrets, cette lutte n’est pas perçue de la même façon chez tous ceux qui se rassemblent autour de l'étiquette « anticléricale » : les ouvriers de la Guillotière n’ont pas les mêmes griefs à formuler contre le clergé que les radicaux du « Comité de la rue de Grôlée ». Néanmoins, autant l’anticléricalisme reste assez simple à définir, autant le cléricalisme se révèle plus difficile à appréhender : il dépend d’abord du regard de l’autre, notamment de l’anticlérical. Les diverses manifestations de défense religieuse d’un catholicisme qui se perçoit alors volontiers comme une citadelle assiégée, les multiples attaques contre le clergé, voire contre la religion, des hommes au pouvoir, s’inscrivent à Lyon, sur la longue durée, dans le droit fil d’une série de luttes, d’insurrections et de répressions, dont chaque camp revendique - ou non - la postérité idéologique. / One of the main features of the first forty five years of the Third Republic is a policy of secularization in many fields, beginning with education and reaching its climax in 1905 when the law on the separation between church and state was passed (given the French context at the time, it especially targeted the catholic church). During the first two thirds of the XIXth century Lyons had known a strong revival of Catholicism which manifested itself by the creation of dynamic charitable organizations. The town then had to face a sudden increase of anticlericalism. The confrontation between two groups that were politically opposed – let us name them “clerical” and “anticlerical” – sparked crisis after crisis, followed by lulls and reconstructions, all these being sometimes different from what was happening at the national level, due to the particular characteristics of the town. In concrete terms not all that had gathered under the banner of anti-clericalism held the same opinion about the struggle: the workers in the district of La Guillotière did not hold the same grievances against the clergy as the radicals in the “rue de Grôlée committee”. Yet, although anticlericalism can be easily defined, clericalism proves more difficult to apprehend: in the first place it depends on the perception the others, and more specifically those who support the anticlerical faction, have of us. Catholicism then tends to see itself as a besieged fortress and the different manoeuvres set up to defend its religion, the numerous attacks against the clergy, even against religion from men in power are, in Lyons, quite in keeping with a long succession of struggles, insurrections and suppressions of which each side claims -or does not claim- the ideological posterity.
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History, Context, Politics, Doctrine: Jacques Maritain Amidst the Headwinds of History

Rosselli, Anthony 11 August 2022 (has links)
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