• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 4
  • 1
  • Tagged with
  • 5
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Radikalnationalismus in Syrien und Libanon : politische Sozialisation und Elitenbildung 1930-1958 /

Schumann, Christoph. January 2001 (has links)
Dissertation--Universität Erlangen-Nürnberg, 2000. / Bibliogr. p. 326-348.
2

Les résistances à la République dans le coeur de la Gascogne (Gers, Landes, Lot-et-Garonne) de 1870 à 1914 / Resistances to the Republic in the heartland of Gascony (the Gers, the Landes and the Lot-et-Garonne) between 1870 and 1914

Piot, Céline 11 July 2013 (has links)
De nombreux travaux tendent à prouver que les départements situés au coeur de la Gascogne (c’est-à-dire ceux du Gers, des Landes et du Lot-et-Garonne) n’ont pas à subir de fortes résistances contre la République entre 1870 et 1914. Un rapide examen du tableau politique de ces trois départements montre en effet que les électeurs adhèrent progressivement aux idées républicaines – bien que le rythme soit différent d’une zone à l’autre –, mais doit-on se satisfaire de généralités ? Une étude plus spécifique, confrontant les sources nationales aux sources régionales et utilisant des sources de diverses natures confirmera-t-elle ou, au contraire, nuancera-t-elle, voire infirmera-t-elle, ce schéma d’une Gascogne précocement républicaine et peu encline aux résistances venues tant des conservateurs que de l’extrême gauche ?La première partie, portant sur un état des lieux dans les années 1870, permet de montrer que les conservateurs, bien que divisés, sont encore puissants. Sont ainsi présentées les cultures politiques antirépublicaines en expliquant quels sont leurs moyens de lutte tels que la presse et les réseaux de sociabilité (cercles et sociétés). L’univers agricole est l’un des terrains de prédilection des droites, en particulier de la culture traditionaliste. Mais cette influence se traduit-elle lors des temps électoraux ? À partir de la décennie 1880, et c’est l’objet de la deuxième partie, à l’enracinement durable de la IIIe République répond cependant, dans un illusoire écho, le lent déclin des conservateurs. En Gascogne, de nombreuses personnalités continuent toutefois d’exercer une autorité politique et culturelle par le biais de diverses sociétés, par la presse et le mouvement félibréen. Les espoirs du rétablissement de la monarchie ou de l’Empire, sans s’éteindre, sont néanmoins fortement déçus et les crises nationales (le boulangisme, l’affaire Dreyfus, la tentative de coup d’État de Déroulède…) n’ébranlent pas l’ancrage républicain ; au contraire, elles le renforcent. N’empêche que, dans la période 1890/1914, les résistances à la République prennent d’autres formes et certaines structures, que l’on croyait en Gascogne jusqu’alors réservées aux années vingt, apparaissent déjà. Le paysage politique se recompose sous l’effet de l’évolution droitière du nationalisme, puis du Ralliement qui divise les droites. À cela, vient s’ajouter l’opposition de l’extrême gauche. D’autre part, les revendications culturelles liées au mouvement félibréen deviennent plus fortement politiques, et laGascogne est à son tour ébranlée par les idées de fédéralisme et de décentralisation qui constituent des outils dans les mains des droites afin de lutter contre le régime républicain. Le clergé continue de combattre les lois scolaires et mène une contre-offensive, souvent minimisée et pourtant réelle. / A considerable amount of studies tend to reach the same conclusion, namely that the Departments situated in the heartland of Gascony (the Gers, the Landes and the Lot-et-Garonne) offered little resistance to the Republican ideal between 1870 and 1914. What little resistance there was, was not enough to overthrow the Republic. A cursory examination of the political picture of the three departments shows that voters adhered progressively to Republican ideas; even if the rate at which this occurred varied from one area to another. But can we be satisfied with this general overview ? Is this confirmed by a more in-depth study comparing national and local figures ? Was Gascony really an early day Republic, little given to contestation either from conservatives or the extreme leftThe first part (which deals with the state of the nation in the 1870’s) shows that the conservatives, albeit divided, were still powerful. Their antirepublican faction was empowered through channels of the local press and regional societies. The agricultural faction is traditionally a right wing preserve but is this really translated into a right wing vote at elections ? As from the decade of the 1880’s, the IIIe Republic took root and at the same time the conservatives declined slowly. This is the subject of the second part. In Gascony, however, a number of local dignitaries continued to wield political and cultural power through societies, the press and the felibreen movement. Although hopes of restoring the Monarchy or the Empire were never completely extinguished, they were nevertheless sevenly dampened. National crises (the boulangism, the Dreyfus affair, the attempted coup d’Etat of Déroulède…) reinforced the Republic instead of overthrowing it. In the period from 1890 to 1914, forms of resistance to the Republic were put in place which are usually associated with the 1920’s. The right wing tendency in nationalism is at first reinforced and then the right wing is divided by the Ralliement. The extreme left makes itself felt more forcefully. Added to this the cultural revendications linked to the felibreen movement become more politically based and Gascony is gripped by federalist and decentralising ideas which are tools of the right against the Republican regime. Clerics continue to fight laws governing schools and lead a counter offensive which has often been minimised but is nevertheless a force to be reckoned with.
3

Les affrontements idéologiques nationalistes et stratégiques au Proche-Orient vus à travers le prisme de la Société des Nations et de l'Organisation des Nations Unies

Benfredj, Esther 12 1900 (has links)
L’effondrement et le démantèlement de l’Empire ottoman à la suite de la Première Guerre mondiale ont conduit les Grandes puissances européennes à opérer un partage territorial du Proche-Orient, légitimé par le système des mandats de la Société des Nations (SDN). Sans précédent, cette administration internationale marqua le point de départ de l’internationalisation de la question de la Palestine, dont le droit international allait servir de socle à une nouvelle forme de colonialisme. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’Organisation des Nations Unies (ONU) continua l’action entreprise par la SDN en s’occupant également de cette question sur la demande des Britanniques. En novembre 1947, l’ONU décida du partage de la Palestine en deux Etats pour résoudre les conflits entre sionistes et nationalistes arabes. Si ce partage fut accepté par les sionistes, il fut rejeté par les Etats arabes voisins et de nombreux Arabes palestiniens. Les affrontements opposant nationalistes arabes et sionistes de Palestine laissèrent place au conflit israélo-arabe après la proclamation d’Indépendance de l’Etat d’Israël en mai 1948. Au commencement de la guerre froide, les Etats-Unis et l’URSS prirent conscience de l’intérêt géostratégique de cette région, progressivement désinvestie par la France et la Grande-Bretagne. Dans cette étude, nous verrons comment la scène interétatique et la communauté internationale, successivement composée de la SDN puis de l’ONU, ont en partie scellé le sort du Proche et Moyen-Orient. Nous consacrerons également une analyse au rôle joué par les idéologies nationalistes arabes et sionistes, qui tiennent une place centrale au sein de ce conflit. / The collapse and dismantling of the Ottoman Empire following World War I, led the great European powers to engage in a territorial division of the Middle East, legitimized by the mandates system of the League of Nations. Without any precedents, that international administration marked the beginning of the internationalization of Palestine’s thorny issue. The international law would serve as the pillar for a new form of colonialism. The day after World War II, the United Nations continued the action taken by the League of Nations, as well as for the demand of the British. In November 1947, the UN decided to divide Palestine into two States. If the Zionists had accepted that split, their neighbors, Arab States and Palestinian Arabs, would have rejected it. The clashes opposing the Arab Nationalists and the Palestine Zionists gave space to the Arab-Israeli conflict after the independence of Israel, on May 14, 1948. At the beginning of the Cold War, the United States and the Soviet Union became aware of the geo-strategic interest in this region, gradually divested by France and Great Britain. In this study, we will see how the interstate scene and the international community, successively composed by the League of Nations and the United Nations, have partially sealed the fate of the Near and the Middle East. We will also devote a preliminary analysis related to the role played by the Arabs and Zionists nationalist ideologies, which are central in this conflict.
4

Les affrontements idéologiques nationalistes et stratégiques au Proche-Orient vus à travers le prisme de la Société des Nations et de l'Organisation des Nations Unies

Benfredj, Esther 12 1900 (has links)
L’effondrement et le démantèlement de l’Empire ottoman à la suite de la Première Guerre mondiale ont conduit les Grandes puissances européennes à opérer un partage territorial du Proche-Orient, légitimé par le système des mandats de la Société des Nations (SDN). Sans précédent, cette administration internationale marqua le point de départ de l’internationalisation de la question de la Palestine, dont le droit international allait servir de socle à une nouvelle forme de colonialisme. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’Organisation des Nations Unies (ONU) continua l’action entreprise par la SDN en s’occupant également de cette question sur la demande des Britanniques. En novembre 1947, l’ONU décida du partage de la Palestine en deux Etats pour résoudre les conflits entre sionistes et nationalistes arabes. Si ce partage fut accepté par les sionistes, il fut rejeté par les Etats arabes voisins et de nombreux Arabes palestiniens. Les affrontements opposant nationalistes arabes et sionistes de Palestine laissèrent place au conflit israélo-arabe après la proclamation d’Indépendance de l’Etat d’Israël en mai 1948. Au commencement de la guerre froide, les Etats-Unis et l’URSS prirent conscience de l’intérêt géostratégique de cette région, progressivement désinvestie par la France et la Grande-Bretagne. Dans cette étude, nous verrons comment la scène interétatique et la communauté internationale, successivement composée de la SDN puis de l’ONU, ont en partie scellé le sort du Proche et Moyen-Orient. Nous consacrerons également une analyse au rôle joué par les idéologies nationalistes arabes et sionistes, qui tiennent une place centrale au sein de ce conflit. / The collapse and dismantling of the Ottoman Empire following World War I, led the great European powers to engage in a territorial division of the Middle East, legitimized by the mandates system of the League of Nations. Without any precedents, that international administration marked the beginning of the internationalization of Palestine’s thorny issue. The international law would serve as the pillar for a new form of colonialism. The day after World War II, the United Nations continued the action taken by the League of Nations, as well as for the demand of the British. In November 1947, the UN decided to divide Palestine into two States. If the Zionists had accepted that split, their neighbors, Arab States and Palestinian Arabs, would have rejected it. The clashes opposing the Arab Nationalists and the Palestine Zionists gave space to the Arab-Israeli conflict after the independence of Israel, on May 14, 1948. At the beginning of the Cold War, the United States and the Soviet Union became aware of the geo-strategic interest in this region, gradually divested by France and Great Britain. In this study, we will see how the interstate scene and the international community, successively composed by the League of Nations and the United Nations, have partially sealed the fate of the Near and the Middle East. We will also devote a preliminary analysis related to the role played by the Arabs and Zionists nationalist ideologies, which are central in this conflict.
5

République de Moldavie : Quel territoire pour quelle population ? : Origine, toponymie, frontières, peuplement / Republic of Moldova : What territory for what population ? : Origin, toponyms, borders, population

Musat, Jana 04 January 2012 (has links)
Le 27 août 1991, l’opinion publique internationale prenait acte de la naissance de la République de Moldavie, dont deux tiers du territoire ont constituées jusqu’en 1941 la province roumaine de Bessarabie. Depuis toujours, la Principauté de Moldavie se trouve dans une confluence de trois grandes cultures : slave, latine et orientale ; trois grandes religions : orthodoxe, catholique et musulmane ; trois grands peuples : slave, latin et turc et trois courants idéologiques : panslavisme, panturquisme et pan-latinisme. C’est pourquoi, à travers les siècles, la Principauté de Moldavie a manœuvré constamment entre ces Puissances et ces courants pour garder son identité nationale. Aujourd’hui, en principe, la Moldavie est toujours dans la situation de jongler entre la CEI et l’UE, entre Est et Ouest, sa situation géopolitique étant la même.Dans la Première partie de notre thèse nous avons étudié l’origine, la toponymie et les frontières de la Bessarabie, mais aussi l’engouement des Grandes Puissances pour ce territoire. Nous traiterons aussi les guerres et les négociations de paix qui la caractérisent, allant de la guerre russo-turque jusqu’au régime tsariste qui y régnait. Nous avons ensuite suivi les changements subis par la Bessarabie pendant la Première guerre mondiale, avec la création de la République Démocratique Moldave, tout en s’attardant sur le processus de la création de l’URSS avec ses répercussions sur l’évolution de la Moldavie soviétique poststalinienne. Nous avons finalement, étudié ici-même la question des nationalités, et les concepts de « nation », « nationalisme », « dénationalisation », « russification », « collectivisme », « moldovenisme » etc.La Deuxième partie démarre avec des questions sur l’identité nationale moldave, et l’éclatement des conflits régionaux. Nous décrivons les minorités séparatistes de Gagaouzie et de Transnistrie, qui n’acceptent pas la souveraineté de la Moldavie. Le régime de Tiraspol est un régime oppressif et totalitaire, qui doit être éloigné par l’action des facteurs externes. De plus, nous étudions la création de la CEI et GUAM, l’implication de l’OSCE, de l’UE, de la Russie, de l’Ukraine et de la Roumanie dans le processus de négociation pour la résolution du conflit transnistrien. Finalement, nous examinons la manière avec laquelle la « fédéralisation », et la « régionalisation » peuvent résoudre les conflits ethniques en Moldavie. En conclusion nous répondons aux questions centrales sur le territoire et la population moldave. / On August 27 1991, the international public opinion acknowledges the birth of the Republic of Moldova, which has represented two-thirds of the Romanian province of Bessarabia until 1941. During the history, Principality of Moldova is parting of the ways of three cultures: Slavic, Latin and Eastern; three great religions: Orthodox, Catholic and Muslim; three populations: Slavic, Latin and Turkish; and three ideologies: Pan-Slavism, Pan-Turkism and pan-Latin. Therefore, over the centuries, the Principality of Moldova has continuously handled these Great Powers and ideologies to keep its national identity. Nowadays, Moldova is still able to pursue between CIS and EU policies and between East and West geopolitical situation.In the first part of the thesis, we study the origin, toponyms and borders of Bessarabia, and we characterize the interest of the Great Powers for this territory. For it we describe, the wars and peace negotiations, starting with the Russo-Turkish war until the period of Bessarabia under the tsarist rule. Moreover, we treated the period of Bessarabia during the First World War, but also the creation of the Moldavian Democratic Republic, describing the process of foundation the USSR and its impact on the evolution of the post-Stalin Soviet Moldova. Finally, we studied the nationality question and the concepts like the "nation", the "nationalism", the "denationalization", the "Russification", the collectivism", the "moldovenism" etc...The Second Part starts with questions about the Moldovan national identity and the outbreaks of regional conflicts. We raise the issue of the separatist minorities of Gagauzia and Transnistria, which do not accept the sovereignty of Moldova. The Tiraspol regime is a totalitarian and oppressive regime, which must be removed by the action of external factors. Moreover, we study the creation of the CIS and GUAM and the involvement of the OSCE, EU, Russia, Ukraine and Romania in the negotiation process for the resolution of the Transnistrian conflict. Finally, we discuss the possibilities of how cans the "federalization" and "regionalization" solves the ethnic conflicts in Moldova. In conclusion, we answer to the questions dealing about the territory and the Moldovan population.

Page generated in 0.1489 seconds